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Parti antisioniste
L'antisémitisme : permission de tuer
Yahia Gouasmi
Lundi 5 avril 2010
Le mercredi 31 mars, le corps de Monsieur Saïd Bourarach a été
repêché dans le canal de l'Ourcq. L'affaire remonte à la veille,
mardi 30 mars. Résumons les faits. Monsieur Saïd Bourarach est
vigile dans un magasin de bricolage situé à Bobigny. Juste après
la fermeture du magasin (19h), un client, voulant entrer de
force malgré la fermeture se heurte au vigile.
Altercation, le client revient avec des proches, échanges de
coups et le vigile termine dans le canal de l'Ourcq. Cherchant à
fuir ses agresseurs, a t'il été poussé comme le laissent
entendre ses proches ?
Il se trouve que les agresseurs sont juifs et que la victime est
d'origine marocaine (marié, père de trois enfants et travaillant
dans son entreprise depuis bientôt deux ans). L'appartenance
communautaire des agresseurs explique immédiatement le peu de
retombées médiatiques que cette affaire a provoquées. Imaginons
une seconde la situation inverse : un vigile juif est agressé
par des Français musulmans et retrouvé mort au fonds du canal ?
On entend d'ici, le bruit de toute la machine médiatique, les
cris d'indignation concernant « la montée de l'antisémitisme »,
on imagine facilement, comme cela s'est vu dans le passé, des
hommes politiques français, manifester derrière le drapeau
israélien. Mieux encore, tout le monde se souvient de la fausse
agression antisémite dans le RER, qui, dès le départ, a été
condamnée par toute la classe médiatico politique alors qu'il
s'agissait d'une affabulation d'une mythomane. Ainsi donc, en
France, toute injure, toute altercation avec un juif est
obligatoirement un acte antisémite et toute la France, au garde
à vous doit culpabiliser avant d'aller manifester derrière le
drapeau israélien.
Quand il s'agit d'un Français « d'origine » (expression qui
indique que certains sont plus français que d'autres...)
maghrébine, africaine ou autres, qui est agressé par des membres
de la communauté juive, on nous demande, dès le départ et avec
insistance, de n'y voir aucun racisme ! Souvent, il faut que,
localement et nationalement, les membres de la famille de la
victime et ses amis se battent pour briser le silence des médias
et donner à l'affaire le retentissement qu'elle mérite.
Nous avons encore en mémoire l'affaire Fofana et
l'instrumentalisation que les sionistes en ont faite. Nous avons
aujourd'hui, la mort de Monsieur Saïd Bourarach et il est facile
de comparer : « le deux poids, deux mesures » continue,
l'agression commise par des membres de la communauté juive
contre un non juif est, d'entrée de jeu, occultée, minimisée...
Avant même que l'enquête n'ait commencé, on nous demande de ne
voir dans l'agression commise par des Juifs, aucune dimension
raciste. Le cadre est fixé d'avance. Pire encore, les agresseurs
de Monsieur Saïd Bourarach, non seulement nient les faits, mais
affirment avoir été «
victimes d'insultes antisémites ». Vous avez bien lu « victimes
» : le vigile est mort mais déjà les agresseurs présumés se
posent en victimes, ressortant « l'antisémitisme ».
A ce propos, la palme de l'ignominie revient à SOS-Racisme. Ces
antiracistes « institutionnels » et grassement subventionnés
s'empressent d'ajouter (à propos des prétendues insultes
antisémites) : « en tout état de cause sur ce dernier point,
SOS-Racisme entend rappeler que rien ne saurait justifier un
éventuel homicide ». Quelle prudence dans le langage quand les
agresseurs sont juifs, quelle façon également de laisser
entendre que face à d'éventuelles insultes antisémites, il n'y a
pas que l'homicide ... En effet, nous connaissons tous,
l'arsenal en place, pour réprimer le prétendu antisémitisme de
la société française, pour le plus grand profit du lobby
sioniste en France.
Si l'on souhaite que cette affaire aille jusqu'au bout, il faut
que les intéressés (non seulement les proches de la victime mais
tous ceux qui ne supportent plus la domination et l'insolence
sionistes en France) fassent preuve de la plus grande vigilance.
Il ne faut pas que les responsabilités soient diluées (on
commence déjà à parler de bandes rivales...) avant d'être
étouffées, sous prétexte d'éviter des conflits
intercommunautaires. Il n'y a pas de conflit intercommunautaire.
Il y a une réalité toute simple, facile à constater, un lobby,
le lobby sioniste a pris le pouvoir en France et fait sa loi.
Au nom de tous les adhérents et amis du Parti Anti Sioniste, je
présente mes plus sincères condoléances à la famille de Monsieur
Saïd Bourarach et les assure que le Parti Anti Sioniste, que
j'ai l'honneur de présider, ne relâchera pas sa vigilance pour
que toute la lumière soit faite sur ce drame.
Le Président,
Yahia Gouasmi.
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