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EODE - International Elections Monitoring

Dissolution du parlement tchèque,
législatives en automne
EODE

Jeudi 22 août 2013

EODE Press Office avec AFP / 2013 08 21 /
http://www.facebook.com/EODE.monitoring
http://www.eode.org/category/eode-international-elections-monitoring/international-elections-survey/

Crise tchèque: dissolution du Parlement tchèque, législatives en automne …
Les députés tchèques ont décidé ce mardi de la dissolution de la Chambre basse, synonyme de l'organisation en automne d'élections législatives anticipées, censées mettre un terme à la crise politique provoquée par la chute du gouvernement de centre droit de Petr Necas. "Sur les 147 votants, 140 députés ont voté pour la dissolution, sept contre", a constaté le vice-président de la chambre, Lubomir Zaoralek, à l'issue du vote.

Une majorité qualifiée des trois cinquièmes, soit 120 des 200 députés, était requise pour cette décision, qui fait suite au récent refus du Parlement d'approuver le "gouvernement d'experts" de l'économiste de gauche Jiri Rusnok, proche allié du président Milos Zeman.

ELECTIONS LEGISLATIVES EN OCTOBRE

M. Zeman, vétéran de la gauche tchèque, avait déjà fait savoir vendredi que les législatives pourraient avoir lieu les 25 et 26 octobre. La décision finale sur la date du scrutin pourra être prise après l'entretien de M. Zeman avec les chefs des principaux partis, prévu vendredi. La Constitution fixe un délai de 60 jours, à compter de l'approbation formelle de la dissolution du Parlement par le président de la République.

Quatre des six partis parlementaires ont voté pour la dissolution : les sociaux-démocrates CSSD, les communistes KSCM, les centristes VV et le parti de droite TOP 09, membre de l'ancienne coalition de centre droit. Les élus du parti de droite ODS de l'ex-Premier ministre Necas Petr n'ont pas participé au vote. Selon la présidente de la chambre basse, Miroslava Nemcova de l'ODS, la dissolution du Parlement offre un "pouvoir absolu" au président Zeman.

La chambre basse a décidé de son autodissolution pour la première fois depuis l'indépendance de la République tchèque en 1993.

LA MONTEE DU CSSD SOCIAL-DEMOCRATE …

Fort de 30% à 35% des intentions de vote selon les sondages, le CSSD est largement favori du prochain scrutin législatif, devant le KSCM (15-20%), le TOP 09 (12-15%) et l'ODS (5-12%). "Je salue cette décision sans équivoque de la chambre basse, qui offre aux citoyens la possibilité de décider eux-mêmes de l'avenir de leur pays", a affirmé le chef du CSSD, Bohuslav Sobotka.

Il a plaidé en faveur de l'organisation du scrutin les 25 et 26 octobre, date qui peut s'avérer symbolique car elle précède la fête nationale du pays le 28 octobre, jour anniversaire de l'indépendance de la Tchécoslovaquie en 1918.

L'organisation d'élections anticipées à cette date "serait avantageuse pour la gauche car beaucoup d'électeurs n'ont pas encore oublié leur vif mécontentement à l'égard du gouvernement Necas", a déclaré à l'AFP l'analyste politique Jiri Pehe. Selon lui, le CSSD formerait après sa victoire attendue un gouvernement minoritaire, bénéficiant d'un soutien tacite du Parti communiste qui reviendrait ainsi dans les allées du pouvoir pour la première fois depuis la "Révolution de velours" de 1989.

"La variante la plus probable est le gouvernement minoritaire du CSSD avec un soutien des communistes. Elle est d'ailleurs appuyée par le président Zeman", a indiqué à l'AFP M. Pehe. "Il n'y a pas de réticence importante à cette solution au sein du CSSD", a-t-il noté.

… ET LA CHUTE DU PREMIER MINISTRE RUSNOK

Le cabinet de M. Rusnok, appelé aussi "gouvernement présidentiel", avait été nommé le 10 juillet pour remplacer celui de M. Necas, tombé en juin après l'arrestation spectaculaire de sa collaboratrice et maîtresse, Jana Nagyova, sur des accusations de corruption et d'abus de pouvoir.

Selon les analystes, la crise politique n'a pour l'instant pas eu d'impact sur cette troisième économie de l'Europe centrale. La République tchèque vient de sortir de la récession dans laquelle elle était plongée depuis 18 mois, avec une croissance de son PIB de 0,7% au 2e trimestre par rapport au trimestre précédent, selon une estimation officielle de l'office national des statistiques publiée la semaine dernière.

EODE Press Office
(avec AFP, intertitres de la Rédaction)

http://www.eode.org/eode-international-elections-monitoring-dissolution-du-parlement-tcheque-legislatives-en-automne/

 

 

   

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Source : Luc Michel

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