MADANIYA
«Le terrorisme,
Face cachée de la mondialisation»
René Naba

Lundi 11 juin 2018
«Le
terrorisme, Face cachée de la
mondialisation»,
un ouvrage de
Richard Labevière*.
Le titre résume à
lui seul la thématique majeure de la
polémologie contemporaine du dernier
quart de siècle. L’auteur, Richard
Labévière, se livre à une analyse sans
concession de ce phénomène, en observant
une méthode rarement pratiquée par la
cohorte de journalistes français
prescripteurs d’opinion, mais qui
l’honore en même temps que sa profession
: «The Inside news and Oustside views».
La collecte des informations de
l’intérieur du cercle décisionnaire du
pouvoir, mais une analyse dégagée de la
connivence.
Officier de la
réserve opérationnelle, ancien Rédacteur
en chef à RFI (Radio France
Internationale), Rédacteur en chef du
magazine en ligne
www.prochetmoyen-orient.ch, Richard
Labévière est l’auteur d’une quinzaine
d’ouvrages dont «Les dollars de la
terreur» (Grasset 1999), premier ouvrage
du genre sur le financement des
groupements islamistes par les
pétromonarchies du Golfe. C’est donc un
connaisseur qui parle des sujets qu’il
maîtrise, non un bonimenteur propulsé à
la célébrité médiatique pour les
nécessites de la guerre psychologique et
de la désinformation.
Un incoloclaste
Pur produit du
système mais iconoclaste, ce
correspondant de guerre, homme de
terrain par excellence, sera pourtant
vilipendé sans ménagement par des
suffragettes tarifées de la contre
révolution syrienne. Il sera qualifié
d’agent d’influence du gouvernement de
Damas, pour avoir osé mettre en garde
contre les dangers de
l’interventionnisme français sur le
flanc méridional de la Méditerranée
(Libye, Syrie, Soudan), de même que
l’instrumentalisation de bi nationaux
franco-syriens dans la guerre de
destruction de la Syrie et l’alliance
contre nature entre la France et la
Turquie dans le démembrement de la
Syrie, dans une réédition de la
forfaiture d’Alexandrette. Une mise en
garde vécue comme un camouflet par des
supplétifs mercenaires happés par
l’appât du gain dans une entreprise de
destruction de leur partrie d’origine.
L’une d’elles se
distinguera particulièrement. Sangsue de
la pensée parasitaire, ignorante mais
pleine de morgue et de suffisance, la
graphomane syrienne du quotidien
LIBERATION, salariée du milliardaire
franco-israélien Patrick Drahi, est
coutumière, il est vrai, du journalisme
de complaisance et de révérence,
nullement du journalisme d’impertinence.
Journaliste
confirmé ayant une solide maîtrise des
enjeux de la géopolitique mondiale,
l’homme de surcroît a le sens de la
formule. Une plume heureuse pour le plus
grand plaisir de ses lecteurs et le
malheur de ses cibles, un doigté qudont
il fait usage à la manière d’une
sulfateuse.
Ainsi, à titre d’exemple, le portrait du
polotologue Jean Pierre Filiu, seule
personne au Monde sans doute avec Saint
Paul à avoir connu l’epectase sur son
chemin de Damas :
ou alors ce
portrait d’un opposant professionnel
opportuniste :
«L’auteur de ces lignes se souvient
d’une confrontation télévisée avec Samir
Aïta – éternel courtisan de tous les
défecteurs syriens, de Rifaat al-Assad à
Moustapha Tlass en passant par Abdel
Halim Khaddam – dont l’obsession est de
devenir ministre, un jour… Ceint d’une
écharpe rouge, rouge comme celle de
Christophe Barbier (révolutionnaire en
chef de L’Express), le sieur Aïta ne
cessait d’invoquer – trémolos dans la
voix – la «révolution» syrienne! A la
dixième évocation récurrente du même
type, votre serviteur se permet de
mettre en garde l’imprécateur contre
l’abus textuel du terme. Réponse
courroucée du pré-ministre : «mais vous,
jeune homme qu’est-ce que vous pouvez
bien connaître des révolutions ?»
Electron libre, aux
antipodes des graphomanes pro syriens,
Richard Labévière en paiera le prix. Son
éviction de la direction de l’émission
«Géostratégie» de RFI est en effet
intervenue dans le cadre de la
déconstruction de la «politique arabe de
la France» menée tambour battant par le
tandem pro israélien Nicolas Sarkozy
Bernard Kouchner.
Sous couvert d’une
amitié tonituruante avec un Emir arabe,
l’Emir du Qatar, Cheikh Khalifa Ben
Hamad Al Thani, de sinistre mémoire,
elle s’est traduite par la promotion de
personnalités au philo sionisme exacerbé
de Bernard Kouchner (Quai d’Orsay), à
Pierre Lellouche (Affaires européennes),
à Dominique Strauss Khan (FMI), à Arno
Klarsfeld (Matignon) et François
Zimmeray, ancien vice-président de la
commission d’études politiques du CRIF,
Ambassadeur pour les Droits de l’homme,
en passant par Christine Ockrent (pôle
audiovisuel extérieur), Philippe Val
(France inter), à la toute dernière
recrue Valérie Hoffenberg, directrice
pour la France de l’American Jewish
Committee, représentante spéciale de la
France au processus de paix au
Proche-Orient. Et par l’éradication
systématique de toute sensibilité
pro-palestinienne du service public
français Bruno Guigue (administration
préfectorale), Richard Labèvière et
Wahib Abou Wassel, seul palestinien à
l’époque dans l’audivisuel public
extérieur français.
Pathétique Michèle Alliot Marie
responsable de l’éviction de Bruno
Guigue, qui sera degagée sans menagement
lors du «printemps arabe» pour avoir
fait des offres de service au dictateur
Zine el Abiddine Ben Ali pour la
répression du soulèvement populaire
tunisien, se livrant à des transactions
immobilières en Tunisie, insensible à
l’immolation de Mohamad Bouazizi.
Sur ces liens les
portraits du tandem à l’origine de
l’éviction de Richard Labèvière
«Inside News
Outside Views» : collecte des
informations de l’intérieur du cercle
décisionnaire du pouvoir, mais une
analyse dégagée de la connivence.
L’auteur narre en
peu de mots suggestifs le hold up opéré
par Laurent Fabius sur la diplomatie
française sous la mandature de François
Hollande (2012-2016), exigeant que la
cellule diplomatique de l’Elysée ne
fasse pas d’ombre au Quai d’Orsay, où
trônait le plus célèbre ronfleur des
forums internationaux, de même que
l’accentuation de la mainmise des néo
conservateurs français sur la politique
étrangère française.
Une tendance
amorcée par le «sang mêlé» Nicolas
Sarkozy en tandem avec «le tiers
mondiste, deux tiers mondain», Bernard
Kouchner, et parachevée par Laurent
Fanius, le «petit télégraphiste des
Israéliens dans le dossier nucléaire
iranien». De grands patriotes en somme
faisant prévaloir les intérêts
supérieurs de leur pays sur toute autre
considération corporatiste ou
communautariste.
Un reniement de la tradionnelle
politique bi-partisane gaullo
mitterandienne qui s’est prolongée par
le nettoyage de la DGSE de tout
représentant de cette sensibilité
diplomatique qui a fait longtemps
honneur à la France.
Pour aller plus
loin sur ce sujet
L’infobésité
Lettré, Richard
Labévière a forgé un néologisme heureux
: «l’Infobésité… résultante des
«réactions moralisatrices, de l’amalgame
sémantique et de l’empilement d’émotions
répetitives». Autrement dit, en termes
moins policés, le fruit de la
conjonction de l’inflation
d’informations et de l’enflure des
journalistes.
D’un même souffle,
Richard Labévière dénonce «le cynisme
mercantile des pays ocidentaux envers
les pétromonarchies, la désinformation
des médias voyeurs, qui basculent dans
la propagande et les fadaises
d’improbables experts».
Il pointe la connivence des grandes
démcraties occidentales avec l’Arabie
saoudite, «un des principaux financiers
de l’Islam radical, un scandale qui
perdure depuis trente ans».
«De la petite delinquance à la grande
criminalité, installé au cœur de nos
sociétés, le terrorisme est devenu le
stade suprême de la mondialisation…. Il
profite de la révolution numérique dont
nul ne maitrise les effets et échappe à
tout contrôle».
Pour aller plus
loin sur ce sujet
Rizhome
Pour expliquer la
prolifération des groupements
islamiques, il emprunte aux philosophes
français Gilles Deleuze et Felix
Guattari la théorie du Rhizome, un des
éléments de la «French Theory». En
botanique, le rhizome est une tige
souterraine et parfois subaquatique
remplie de réserve alimentaire. Il
nourrit certaines espèces souterraines
capables de le consommer. S’il meurt, il
enrichit le sol en matière organique. Et
dans le cas d’espèce, image pertinente,
il s’agit d’une structure évoluant en
permanence, dans toutes les directions
horizontales, et dénuée de niveaux.
L’hospitalisation d’Oussama Ben Laden à
l’hopital américain de Doubai
Il remet en mémoire
utilement la séquence de
l’hospitalisation à Doubai d’Oussama Ben
Laden, chef d’Al Qaida, en juillet 2001,
soit deux mois avant le raid contre les
symboles de l’hyperpuissance américiaine
le 11 septembre 2001, indice sinon de la
conninvence de l’administration
américaine avec l’initaiteur du
terrorisme islamique contemporain, à
tout le moins lsa manuetude à son égard.
Se fondant sur le
témoignage d’un haut fonctionnaire,
celui qui était à l’époque Redacteur en
Chef à RFI précise que le Chef d’Al
Qaida, pourtant déchu de sa nationalité
saoudienneà l’époque, a sejourné à
Doubai du 4 au 10 juillet 2010, venant
de Quetta (Pakistan). Accompagné de son
médecin personnel et successeur Aymane
Al Zawahiri, d’un infirmier algérien et
de 4 gardes de corps, il a occupé le 4
étage de l’hôpital où il a été traité
par le Docteur Terry Callaway, urologue.
Oussama Ben Laden, qui souffrait
d’insufisances rénales, avait réussi à
se faire livrer auparavant du matériel
de dialyse mobile, lors d’un traitement
à l’hopital central de Lahore.
Le djihad, une
replique américaine à la stratégie
indépendatiste de l’Union sovietique
dans le tiers monde
Richard Labévière
soutient que Le djihad a constitué une
réplique américaine à la stratégie
indépendatiste de l’Union Soviétique
dans le tiers monde.
L’instrumentalisation de l’Islam comme
arme de combat politique, en tant
qu’anti dote au nationalisme arabe anti
américain a été effectivement mise en
oeuvre dans la foulée de l’incendie de
la Mosquée d’Al Aqsa (1969), lors du
sommet islamique de Rabat, premier
sommet islamique de l’histoire
contemporaine
Elle a entrainé un basculement du centre
de gravité du Monde arabe de la rive
méditerranéenne vers le golfe,
c’est-à-dire des pays du champ de
bataille vers la zone pétrolifère sous
protectorat anglo-américaine. Avec pour
conséquence, la substitution du mot
d’ordre de solidarité islamique à celui
mobilisateur d’unité arabe ainsi que le
dévoiement de la cause arabe,
particulièrement la question
palestinienne, vers des combats
périphériques (guerre d’Afghanistan,
guerre des contras du Nicaragua contre
les sandinistes), à des milliers de km
de la Palestine, et dans l’époque
contemporaine à des guerres contre les
pays arabes eux-mêmes (Libye, Syrie) ou
des pays africains (Nord Mali).
Pour aller plus
loin
L’Islam comme
substitut aux caids de la drogue
Le djihad a pris
une dimension planétaire conforme à la
dimension d’une économie mondialisée par
substitution des petromonarchies aux
caids de la drogue dans le financement
de la contre révolution mondiale. Dans
la décennie 1990-2000, comme dans la
décennnie 2010 pour contrer le printemps
arabe
Si la Guerre du
Vietnam (1955-1975), la
contre-révolution en Amérique latine,
notamment la répression anti castriste,
de même que la guerre anti soviétique
d’Afghanistan (1980-1989) ont pu être
largement financés par le trafic de
drogue, l’irruption des islamistes sur
la scène politique algérienne signera la
première concrétisation du financement
pétro monarchique de la contestation
populaire de grande ampleur dans les
pays arabes.
Pour s’en
convaincre, il suffit de revenir à
l’année charnière de l’histoire
contemporaine, 1989. Cette année-là voit
l’implosion de l’empire soviétique avec
la fin de la guerre anti soviétique
d’Afghanistan et la fin de la guerre
irako iranienne, c’est à dire la fin des
deux guerres de fixation des pays de
contestation de l’hégémonie occidentale,
l’URSS et l’Iran et le début de la
déstabilisation de l’Algérie, leur allié
sur le ponant du Monde arabe
La défaite de
l’URSS, sur le plan régional, a
intronisé les Talibans pro wahhabites,
galvanisés par leur victoire sur
l’athéisme, en maîtres d’œuvre d’un
Afghanistan sunnite frontalier d’un Iran
chiite, dans le prolongement d’un Irak
sunnite sous la houlette baasiste de
Saddam Hussein contenant le flanc sud de
l’Iran sur le golfe arabo persique.
L’Iran Khomeyniste
tentera d’en desserrer l’étau par une
sorte de dépassement par le haut, en
contournant le sunnisme non sur le plan
théologique mais sur le plan de
l’idéologie révolutionnaire.
La Fatwa anti Salmane Rushdie,
condamnant à mort l’écrivain indo
britannique pour apostasie pour avoir
ironisé sur l’une des épouses du
prophète, s’est inscrite dans cette
perspective.
Elle a eu valeur
symbolique en ce qu’elle démontrait le
souci des Chiites, la branche
minoritaire de l’Islam, de faire
respecter les dogmes religieux avec la
même vigueur que leurs rivaux sunnites.
De démontrer d’une manière sousjacente
que le zèle de l’Imam Ruhollah Khomeiny,
le guide la révolution islamique,
l’habilitait sur le plan spirituel, à
être l’alter ego du roi d’Arabie
saoudite, le gardien sunnite des Lieux
saints de l’islam
L’idéologisation
de la guerre sur une base religieuse :
Talibans / Al Qaida/ DAECH
La Fatwa anti
Salmane Rushdie a constitué, sur le plan
théologique, la réplique stratégique
iranienne à une idéologisation de la
guerre sur une base religieuse, telle
qu’elle s’est déroulée en Afghanistan.
Ce faisant, le
clergé iranien se plaçait ainsi à
l’avant-garde de la défense des valeurs
de l’authenticité et de la lutte contre
l’occidentalisation de la société
musulmane, au moment où les Talibans,
fer de lance anti soviétique, étaient
conduits à se concentrer sur leur base
territoriale nationale, l’Afghanistan,
cédant ainsi la place à «Al Qaida» pour
le leadership du combat à l’échelle
planétaire.
Symbole de la
coopération saoudo américaine dans la
sphère arabo musulmane à l’apogée de la
guerre froide soviéto-américaine, le
mouvement d’Oussama Ben Laden avait
vocation à une dimension planétaire, à
l’échelle de l’Islam, à la mesure des
capacités financières du Royaume
d’Arabie.
Dommage collatéral
de ce rapports de puissance, l’Algérie
en paiera le prix en ce que ce pays
révolutionnaire, allié de l’Iran et de
la Syrie, le noyau central du Front du
Refus Arabe, évoluait en électron libre
de la diplomatie arabe du fait de la
neutralisation de l’Egypte par son
traité de paix avec Israël et la
fixation de la Syrie dans la guerre du
Liban.
Les Islamistes
algériens joueront toutefois de la
malchance en ce que le déploiement de
troupes occidentales, -dont soixante
mille soldats juifs américains-, à
proximité des Lieux Saints de l’Islam,
dans la région occidentale du royaume, à
l’occasion de la première guerre anti
irakienne du Golfe, en 1990, les placera
en porte à faux avec leurs bailleurs de
fonds, contraignant leur chef Abassi
Madani à prendre ses distances avec les
Saoudiens. Au titre de dommage
collatéral, le débarquement des «forces
impies» sur la terre de la prophétie
constituera le motif de rupture entre
Oussama Ben Laden et la dynastie
wahhabite.
Epilogue
LA CRÉANCE DU MONDE
MUSULMAN À L’ÉGARD DE L’OCCIDENT
Partenaire majeur de l’Alliance
atlantique durant la guerre froide
soviéto-américaine, le Monde musulman
dispose d’une dette d’honneur à l’égard
de l’Occident, avec la Turquie en
sentinelle avancée de l’Otan sur le
flanc sud de l’URSS, amplifiée par la
participation de 50.000 arabo-afghans à
la guerre contre l’armée rouge en
Afghanistan, avec en surplus la
participation de près de 2 millions
d’arabo africains aux deux guerres
mondiales du Xxme siècle contre
l’Allemagne.
Mais,
paradoxalement, en dépit de cette
contribution, unique dans l’histoire,
l’Islam et les Musulmans constituent une
thématique majeure de la polémologie
contemporaine, désormais promus au rôle
d’épouvantail dans la production
intellectuelle occidentale, alors que
les pays musulmans sont les grands
perdants de la coopération
islamo-occidentale.
La Turquie ne
dispose même pas d’un strapontin au sein
de l’Union Européenne et pas une
parcelle de la Palestine n’a été
restituée aux Palestiniens, alors que
parallèlement, l’opération française
Serval au Mali, en janvier 2013, pour
neutraliser le groupement Ansar Eddine
du Qatar, de même que l’opération
Sangaris en RCA, ont affranchi la France
de sa dette à l’égard des troupes
d’outremer.
En surplomb, les
suppliques du Mufti de l’Otan Youssef
Qaradawi, pour bombarder des pays arabes
(Libye, Syrie), ont libéré les anciennes
puissances coloniales occidentales de
leur dette à l’égard des Arabes et des
Musulmans.
Les six «sales
guerres» de l’époque contemporaine sont
situés dans la sphère de l’Organisation
de la Conférence Islamique (Syrie, Irak,
Afghanistan, Somalie Yémen et Libye)
générant 60 millions d’enfants musulmans
pâtissant de la pauvreté, de la maladie,
des privations et de l’absence
d’éducation, alors que 12 pays musulmans
comptent le taux le plus élevé de
mortalité infantile et que 60 % des
enfants n’accèdent pas à la scolarité
dans 17 pays musulmans.
Dans ce pyschodrame
planétaire, le Monde arabe a été
désarticulé, durablement gangréné par le
terrorisme islamisque, dont les
métastases se sont projetés sur le Monde
occidental. Apprenti sorcier, l’Occident
aura été un démiurge d’une séquence
internationale qu’il aura plus subie que
maitrisée. Et les Pays arabes et de
manière générale l’Islam, les dindons de
la farce, un repoussoir absolu au sein
des opinions occidentales.
Prochain ouvrage de Richard Labévière,
la stratégie de la mer de la France, un
domaine où excelle là aussi notre
confrère.
- *«Le
terrorisme, Face cachée de la
mondialisation», un ouvrage de
Richard Labevière. Préface d’Alain
Chouet, ancien chef du service de
renseignement de sécurité de la
DGSE- Direction générale de la
Sécurité Extérieure). Editeur Pierre
Guillaume De Roux.
Reçu de René Naba pour publication
Le sommaire de René Naba
Le
dossier invitation à lire
Les dernières mises à jour

|