MADANIYA
Les islamophilistes français,
idiots utiles du terrorisme islamiste
René Naba
Vendredi 6 janvier 2017
François Burgat Burqa, le Bachagha de
l’islamologie néo-colonialiste
Erhal
Erhal Ya Burqa, Erhal Erhal bila Awdat :
Parmi
les grands naufragés de Syrie figurent
les trois anciens résidents français de
Damas, Pierre Vladimir Glassman, servant
multicartes de la mission française en
Syrie, François Burqa Burgat, son alter
à l’ego surdimensionné, ainsi que Jean
Pierre Filiu, dont ses révélations sur
son chemin de Damas n’ont pas fini de
provoquer en lui des déflagrations aux
effets pervers.
Faux nez
de l’administration, ils se porteront
aux avants postes de l’offensive
médiatique déployant un zèle
omnidirectionnel pensant compenser ainsi
leur mutisme sur les abus du pouvoir
baasiste lors de leur immersion en
pré-positionnement en Syrie. Ce trio
d’intellectuels embedded fera long feu,
démasqué et déconsidéré au grand dam de
leur commanditaire.
Pierre
Vladimir Glassman : Celui qui a été
perçu dans les milieux progressistes
arabes de Beyrouth comme le chiffreur de
l’ambassade française en Syrie, -et
désigné sous le sobriquet d’«Al Kazzaz»,
au choix «le vitrier ou le verrier»-
sera par la suite animateur clandestin
du site d’un «œil borgne sur la Syrie»
de l’officieux journal du Quai d’Orsay
le journal le Monde, sous le pseudonyme
d’Ignace Leverrier. Il trépassera, l’été
2015 sans voir vu se réaliser son rêve,
la chute du régime bassiste.
Le
fonctionnement réticulaire du trio (Burqa,
Leverrier, Filui) en synchronisation
avec Thomas Pierret (Médiapart) fera du
quatuor, les «tontons flingueurs» de la
bureaucratie française, les drones
tueurs de toute pensée dissidente, au
mépris de la tradition de rigueur et
d’objectivité scientifique de la
recherche académique française.
Les sociétés connectées favorisent en
effet l’épidémie du dénigrement et la
culture de l’insulte.
Fébrile,
vibrionnaire, l’ancien résident de Damas
à la tête de l’Institut Français Pour le
Proche Orient (IFPO), s’est arrogé, lui,
le rôle de chef de meute des
islamophilistes se vivant en Bachagha de
l’islamologie néo-colonialiste.
Il a
ainsi achevé une carrière, jadis
prometteuse, par sa gratification du
sobriquet de «Burqa-Burgat», glané sur
le champ de bataille imaginaire de ses
fantasmes, pour ses œillères
idéologiques et sa déconfiture
intellectuelle dans le décryptage des
soulèvements arabes de l’hiver 2011.
Sa
grille de lecture ressemble à une
passoire de thé. Des impressions
partielles et fugaces, des ajustements
progressifs entre ses structures
mentales personnelles et les structures
sociales du champ social où il évolue.
Ses automatismes de pensée l’enfermant
dans des raisonnements déductifs et
abstraits, qui débuchent sur une
compulsion de répétition.
«Burga»…
Un sobriquet dont il sera affligé ad
vitam, d’autant plus cuisant que l’un
des chefs de file du néo-islamisme, le
tunisien Rached Al Ghannouchi, en
adhérant au principe de réalité par
l’abandon de l’Islam politique au profit
d’une «démocratie musulmane», lâchera en
rase campagne son outrancier
thuriféraire à son triste sort, rendant
caduques ses élucubrations qui lui
valurent jadis leur pesant d’or.
Bénéficiaire d’une subvention de deux
millions d’euros octroyée par le très
atlantiste Conseil Européen des
Relations Extérieures, le conférencier
de l’Otan, en mission commando -en
mission commanditée ?- se démènera comme
un diable à l’ouverture des pourparlers
de paix sur la Syrie, fin janvier 2016,
pour discréditer l’opposition
démocratique syrienne et valoriser ses
amis djihadistes en une roue dentée de
la diplomatie néo conservatrice
française.
Assemblée Nationale (1), Sénat, RFI, le
plus de l’Obs, tous, bien tous, -à
l’exception du Conseil Constitutionnel
et du Conseil d’État-, subiront la
logorrhée de l’ancien résident de Damas,
au point qu’au Palais Bourbon, des
parlementaires affligés par sa
sialorrhée quitteront la salle à la mi
audience, laissant en pan ce paon de la
pensée stratégique française. Ce dindon
de la farce.
Indifférent aux malheurs de son pays,
-dont il aura été grandement responsable
par ses analyses fantaisistes-, sans
craindre le ridicule, Burqa, agité d’une
pensée diffluente, se répandra en
complainte devant une commission
parlementaire de son sobriquet.
Confondant balourdise et humour, il fera
valoir qu’à tout prendre il aurait
préféré le sobriquet de Bucca, du nom du
camp de prisonniers américain qui avait
regroupé en Irak, entre 2003 et 2007, le
noyau dirigeant du futur état islamique
(Daech), suggérant par là sa préférence
pour une identification à ce groupement
terroriste.
Pathétique identification d’une
pitoyable prestation. Une piteuse
posture d’une imposture.
Jouissif
comme Néron au spectacle de l’incendie
de Rome, Burqa d’IREMAM, trônant sur son
promontoire du Pharo, le compte en
banque matelassé par des «primes d’expat»,
pourra désormais à loisir méditer, non
sur les splendeurs du «Vieux Port» de
Marseille, mais en «Idiot utile» du
terrorisme islamiste, sur le champ de
ruines que son narcissisme pervers aura
infligé au Monde arabe, particulièrement
les pays à structure républicaine.
Son
programme «Wafaw», un programme de
recherche sur l’autoritarisme dans le
Monde arabe, aux analyses d’outre temps,
prendra fin en 2017, augurant sinon
d’une retraite anticipée à tout le moins
d’une disgrâce. Malgré ses effets de
manche, ses vitupérations, il quittera
la scène vaincu et déconsidéré de tant
d’excès. Dégagé bien avant son
obsessionnel point fixe Bachar Al Assad.
La
vieillesse, dans le cas de Burqa, est un
naufrage. Et, dans le cas d’espèce, ce
naufragé ne reposera pas en paix. La
plus grande bonne volonté du monde ne
lui épargnera pas un sort funeste. Rien
n’y fait, rien n’y fera : En dépit des
suppliques réitérées de ses partisans et
l’intercession de ses détracteurs, l’œil
était dans la tombe et regardait Caïn.
Inexorablement, inéluctablement,
immanquablement, l’œil sera dans la
tombe et fixera Burqa.
Erhal Erhal Burqa, Erhal Erhal Bila
Awdat.
Romain Abdallah Caillet Calimero, alias
Colonel Salafi et ses anciennes
connections avec le djihadisme
Si
François Burgat a inondé la planète de
ses jérémiades sur le sobriquet Burqa,-
qui lui colle désormais en plein visage,
comme le sparadrap sur le nez du
Capitaine Haddock-, son disciple
désormais renié par son démiurge, le
djihadophiliste, Romain Abdallah Caillet
Calimero, alias le Colonel Salafi, -son
nom de conversion qu’il portait à sa
fréquentation d’une mosquée salafiste du
Caire- s’est symboliquement drapé, via
son épouse, en Burqa, signant par là
même et sa soumission au mimétisme
ambiant et son indigence intellectuelle
et son abdication idéologique.
Une
insulte aux combats des femmes arabes à
visage découvert contre leurs ennemis,
de Leila Khaled et Dalal Moughrabi
(Palestine) à Djamila Bouhired
(Algérie).
Ci joint
Abdallah Caillet-Calimero aux côtés de
son épouse, d’origine marocaine, en
Burqa, en promenade familiale sur la
Corniche de Beyrouth portant dans ses
bras un de ses enfants :
Dans une
démarche destinée sans doute à masquer
ses connections djihadistes anciennes,
il se placera à l’avant garde de la
curée anti-iranienne.
Il sera
toutefois, curieusement mutique lors des
honneurs militaires rendus au président
Hassan Rouhani, début 2016, dans
l’enceinte de la Cour des Invalides.
Une
cérémonie dans l’une des plus
prestigieuses places militaires
françaises, en présence du ministre
français des Affaires étrangères,
Laurent Fabius, le grand vaincu de
l’accord international sur le nucléaire
iranien. Tout un symbole. Alors, Colonel
Salafi : Laurent Fabius, agent iranien
lui aussi ? Ou petit télégraphiste
israélien ?
Sur ce
lien, le procès verbal de l’audition
d’Abdallah Caillet par la Sous Direction
Anti terroriste (SDAT).
La
publication de cette note a fait tarir
la pépite d’or du consultant BFM TV. Au
lendemain de cette divulgation, la
chaîne se débarrassera de son «djihadologiste»
en herbe désormais encombrant en raison
du fait qu’il n’avait «pas jugé utile de
lui préciser un certain nombre
d’éléments importants de son passé, liés
directement aux questions qu’il devait
évoquer à l’antenne».
Fiche
«S» en 2008 et boursier de l’état
français pendant quatre ans (2011-2015)…
Fiché S,
et néanmoins boursier de l’état et
échapper en cette période ultra sensible
de montée en puissance du djihadisme, à
la vigilance du «fonctionnaire sécurité
défense», l’officier supérieur français
affecté habituellement au ministère de
l’enseignement supérieur pour détecter
les brebis galeuses ?
Et si
Romain Caillet n’était finalement qu’un
«poisson pilote» des services français,
«à l’insu de son plein gré», opérant
sous couverture académique de François
Burqa dans le marécage djihadiste, dont
les connections ont pu être
reconstituées par le pistage des ses
interlocuteurs sur les réseaux sociaux,
à l’instar de son compère qatarologue
Nabil EnNsari, opportunément reconverti
dans la «dé-radicalisation» après
soufflé sur les braises ?
Jeté en
pâture après avoir été pressé tel un
citron, à la manière de Mohammad Merah,
le tueur de Toulouse et de Montauban
(2012)?
Sauf à y
déceler l’indice d’une complaisance
coupable des pouvoirs publics, la
question mérite d’être posée au vu de
son parcours chaotique et de sa longue
immunité et impunité. Si tel était le
cas, gare au retour de bâton d’Al Qaida,
dont «les dirigeants sont des
ignorants», Abdallah Calimero dixit.
Signe de
son grand respect des deniers publics
d’un état en faillite, l’homme vivra
cinq ans aux frais du contribuable
français à Beyrouth, boursier du Quai
d’Orsay, sur instigation de son mentor
Burgat auprès de son ami Eric
Chevallier, poulain du socialo sioniste
Bernard Kouchner et ancien ambassadeur
de France auprès de l’opposition
syrienne off-shore.
Cinq ans
à abreuver ses censeurs de ses injures,
sans soutenir sa thèse doctorale. Sans
la moindre interpellation de l’autorité
de tutelle sur cette défaillance, ni sur
ses répercussions financières sur les
deniers public.
Sans le
moindre rappel à l’ordre de la
hiérarchie quant aux choix aléatoires du
directeur de thèse. Son expulsion de
Beyrouth, en 2015, constituera le point
final de sa lévitation et de son
magistère sur les gazouillis de la
planète djihadiste, en même temps que la
fin de l’imposture intellectuelle de ce
djihadologue autoproclamé.
Le
quatuor Burgat-Caillet-Pierret-Ennasri…
une parfaite illustration de l’utilité
du copinage, du mépris du contribuable
et de l’irresponsabilité de la tutelle.
Le
tableau serait plus complet avec
l’adjonction de Vincent Geisser, en état
d’épectase permanent devant son gourou
nahdaouiste Mouncef Marzouki, le
fossoyeur de la démocrate post dictature
par son alliance contre nature avec
Rached Ghannouchi, le chef de la branche
tunisienne des Frères Musulmans, ainsi
que Pierre Puchot, l’appendice
beyrouthin du quatuor, la relève fumeuse
de l’expulsé du Liban, Abdallah Cailllet,
qui recommande de «relativiser
l’importance du phénomène djihadiste» et
dont l’ignorance crasse s’étale sur ce
lien, sur le dos du contribuable
français :
«En
Syrie, Les djihadistes ne
représenteraient que «10 à 15%» des
combattants de la rébellion syrienne,
selon le chercheur Romain Caillet (sic).
Ils sont mieux entraînés, mais le
rapport de force sur le terrain est en
train de changer à l’avantage des
laïques et islamistes modérés», soutient
Pierre Puchot.
«Islamiste modéré»? Une spécificité
française qui vire à la spéciosité en ce
que la France est l’unique pays au Monde
à pratiquer ce distinguo qui se veut
subtil, indice patent de sa confusion
mentale.
Chapeau
l’artiste. Au rythme des âneries
pareilles débitése à journées faites par
ce quarteron d’«ex-pat», à l’abri du
risque et du besoin, la décadence est
assurée.
À croire
que «les conseillers ne sont pas les
payeurs». Pierre Puchot apparaît
rétrospectivement comme une parfaite
illustration de cette caste de
bureaucrates intellectuels sans rapport
avec les périlleuses réalités du
terrain, à qui fait défaut le sentiment
de leur insignifiance devant la gravité
des périls qui fondent sur la Nation.
La
rigueur morale commande à cette
quintette de branquignoles de la pensée
d’interroger les survivants des carnages
de Charlie Hebdo et du Paris Bataclan,
en 2015, et de Bruxelles et de Nice, en
2016, de même que les familles des
victimes pour savoir si de tels arguties
emportent leur adhésion ; si de tels
arguments fallacieux développés depuis
leur tour d’ivoire collective vaut
quitus de leur malheur, alors qu’il
serait plus sain d’admettre que la
spirale de la terreur en France se
terminera quand celle-ci cessera de se
comporter en état-voyou.
BHL et le serment de Toubrouk
http://www.purepeople.com/media/bhl-laurent-fabius-et-bernard-kouchner_m655341
Dernier et non le moindre, BHL :
«l’homme des ides de Mars», loin des
rumeurs désobligeantes de la ville et
des imprécations contre son auguste
personne, médite sur son exploit
rarement égalé d’avoir libéré les forces
bridées du djihadisme tant en Syrie
qu’en Libye, déblayant ainsi la voie à
l’accès de l’État Islamique au flanc sud
de l’Europe, projetant dans l’espace
européen près d’un million de migrants
faméliques vers un continent en crise
systémique de son économie.
Le
Malraux des temps modernes se voulait un
homme de son temps, il s’est révélé un
homme de l’Otan. L’homme de la guerre et
de la paix est, en fait, un homme guère
épais… Avec son «Serment de Toubrouk» en
guise de cache misère.
Six ans après le soulèvement populaire
arabe, la légende d’un mouvement
spontané de révolte mené par des
cyber-activistes est mise à mal. Elle
tourne, par moments, à la mystification,
voire à la supercherie en raison de
leurs connexions anciennes avec leurs
bailleurs de fonds opérant sous couvert
d’ONG et l’intervention massive des
agences de communications, notamment
depuis Doubaï de la firme Saatchi and
Saatchi, sous la houlette du libanais
Élie Khoury, «spécialiste en stratégie
des communications» et artisan de la
«Révolution Orange» au Liban.
«Fron Confrontation to Containement» :
Le rapport de la Rand coproration
Le
premier à avoir mentionné un plan
prémédité américain pour donner un coup
de balai à la nomenklatura arabe et
renouveler les autocrates gérontocrates
a été Mohammad Djibril, ancien premier
ministre de la période transitoire de
Libye.
«La stratégie américaine, depuis 2007, a
visé à confier la gestion de l’Islam
politique aux Frères Musulmans afin que
la confrérie assume le rôle de chef de
file du courant se réclamant de l’Islam
modéré». Elle s’est inspirée d’un
rapport de la Rand corporation, qui
avait pour nom de code «C-C» pour «From
Confrontation to Containement», a-il
assuré lors d’une interview à la presse
arabe à l’occasion du 3e anniversaire de
la chute de la dictature.
Volant
au secours de la victoire, des
intellectualoïdes (3), en fin de
parcours, se sont ralliés à la bannière
du néo-islamisme de la confrérie des
Frères Musulmans, dont les
pronostiqueurs annonçaient la victoire,
dans l’espoir d’un pathétique rôle de
gourou de la contre-révolution arabe.
Les
dérives de leurs poulains vers le
djihadisme planétaire, les mésalliances
d’un Occident porteur de civilisation,
la résistivité de certaines cibles de la
stratégie atlantiste, Bachar Al Assad de
Syrie, et les Houthistes au Yémen, le
soutien résolu de l’Iran, de la Russie
et du BRICS (Brésil, Inde, Chine,
Afrique du sud) à leurs alliés
régionaux, mettront en échec ce plan.
La fin
du monopole des airs exercé depuis 70
ans par l’alliance atlantique.
La guerre de Syrie a brisé le monopole
des airs détenus depuis la fin de la IIe
Guerre mondiale (1939-1945), il y a 70
ans par l’Otan et son allié israélien,
de même que la fin du leadership en
Méditerranée, désormais sillonnée en
permanence par les flottes russes et
chinoises avec des facilités à Tartous
(Syrie) et Mers El Kébir (Algérie),
bouleversant la stratégie régionale au
bénéfice du coupe moteur du BRICS.
L’Histoire retiendra, rétrospectivement,
que Nicolas Sarkozy, Alain Juppé,
François Hollande, Laurent Fabius, BHL,
Bernard Kouchner et Burqa-Burgat auront
été les grands vaincus de la guerre de
Syrie, entraînant la France dans leur
naufrage moral signant par la même la
déconfiture de la pensée stratégique
française.
La
Syrie, six ans après, se présente comme
un vaste cimetière de la classe
politico-médiatique française, un
naufrage de l’ampleur du désastre de
Trafalgar, à l’effet de marginaliser
considérablement la France dans la
gestion des affaires du monde.
L’anthropologie arabe devra un jour
s’attacher prioritairement à décrypter
les motivations profondes qui ont
propulsé des militants communistes aux
convictions solidement ancrées, allant
jusqu’à leur incarcération, en «Fou du
Roi», faire valoir des pétromonarchies
les plus antinomiques à leur combat de
vie. Et la psychiatrie arabe interpréter
cette singulière prédisposition des
bi-nationaux franco-syriens à se dévouer
pour une fonction supplétive de deux
pays (France-Turquie) à l’origine du
démembrement de leur partie d’origine,
Alexandrette (Syrie).
1-
Audition de François Burqa Burgat à
l’Assemblée Nationale française sur les
moyens de Daech. Audition diffusée par
LCP. Écouter à partir de la 48e minute
ou il se plaint d’être qualifié de Burqa
:
Réunion
de la mission d’information sur les
moyens de Daech et audition de François
Burgat, directeur de recherche au CNRS
et coordonnateur du (…)
http://archive.lcp.fr/emissions/travaux-de-l-assemblee/vod/178656-reunion-de-la-mission-d-information-sur-les-moyens-de-daech-et-audition-de-francois-burgat-directeur-de-recherche-au-cnrs
Pour aller plus loin sur ce personnage
Sur la déconfiture de la presse
française
Les
charlatans de la révolution syrienne par
Bruno Gigue
2- Cf. à
ce propos Haytham Manna, président de
l’Institut Scandinave des Droits de
l’Homme dans son ouvrage «La Résistance
civile, contribution à
l’auto-immunisation des sociétés» SIHR
2e édition 2015).
3-
Intellectoïdale : L’intellectoïdale est
à l’intellectuel ce que l’androïde est à
l’être humain. Une vague ressemblance à
l’extérieur, et, à l’intérieur, juste en
fatras de câblage pré-programmes.
François Burgat et BHL relèvent de la
faune intellectoïdale, Noam Chomsky est,
lui, un intellectuel.
La
version arabe sur le site de l'auteur
par Sana’a Yazigi Khalaf – Enseignante –
France.
Le sommaire de René Naba
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