P.A.S.
L’expansion du sionisme en
France,
de 1980 à nos jours… [2/3]
Parti Anti Sioniste
Le Parti Anti Sioniste :
Une réplique au sionisme en France !
Mercredi 7 mai 2014
Tandis que l’Assemblée générale de
l’ONU définissait, en 1975, le sionisme
comme une forme de racisme, l’entité
sioniste va, suite à cette définition,
tout faire pour inverser cette équation
et réhabiliter le sionisme, en
considérant l’antisionisme comme une
nouvelle forme d’antisémitisme. En
France, l’entité sioniste brandit la
menace de l’antisémitisme (quitte à la
provoquer) pour arriver à ses fins. Le
Premier ministre français de l’époque,
Raymond Barre, n’a pas empêché la
capitulation des forces antisionistes
devant les pressions sionistes, manquant
un rendez-vous historique avec la
justice, la vérité et la raison.
La stratégie sioniste comprend six
étapes.
Elle s’attache, tout d’abord, à
développer la mauvaise conscience et le
sentiment de culpabilité des Européens
(des Français, en l’occurrence) envers
les Juifs à cause des crimes qu’ils ont
subis par les forces nazies en Europe
centrale lors de la première moitié du
XXe siècle, perpétuant par la même
occasion le statut de « victime
innocente » des Juifs.
Le sionisme va ensuite mener un
travail consciencieux d’endoctrinement
sur la question de l’antisémitisme,
jusqu’à exacerber la sensibilité du
peuple français contre l’antisémitisme
au point de ramener tout acte effectué
contre des Juifs ou ce qui a rapport
avec eux, à de l’antisémitisme. Des
films et des livres envahissent les
médias et les librairies, accaparant la
mauvaise conscience et la mémoire
occidentale qui devient amnésique face
aux autres crimes commis (dont ceux
commis par l’entité sioniste). Les
programmes scolaires regorgent de
références à la « Shoa », « à
l’histoire et au danger de
l’antisémitisme » —réduit aux seuls
Juifs et à leur vision— et au sionisme,
présenté comme un « mouvement
d’émancipation dans les grandes épopées
de l’histoire humaine ! », au point
d’arriver à cette situation paradoxale
dans la société française :
Toute atteinte (même simulée) contre un
Juif est passible de comparution
immédiate devant la justice et de prison
ferme alors que souvent, les agressions
contre les Arabes ou les musulmans sont
minimisées, voire ignorées et que les
agressions en bande organisée commises
par la Ligue de Défense Juive (LDJ) sont
suivies d’un non-lieu…
Par ailleurs, le sionisme empêche
toute recherche sur la présentation des
faits de l’holocauste,
en détournant de façon
pernicieuse les lois
antidiscriminatoires
décrétées en 1881
(celles-là mêmes qui avaient favorisé
l’assimilation et l’intégration
des juifs dans le moule français), par
l’ajout d’articles ou de jurisprudences
faisant autorité.
Le 13 juillet 1990, la loi
française dite Gayssot, ajoute à la loi
de 1881 sur la liberté de la presse,
l’article 24bis suivant : « Seront
punis des peines prévues par le
sixième alinéa de l’article
24 ceux qui
auront contesté, par un des moyens à
l’article 23, l’existence
d’un ou plusieurs
crimes contre l’humanité tels
qu’ils sont définis par
l’article 6 du
statut du tribunal militaire
international annexé à l’accord de
Londres du 8 août 1945 et qui ont été
commis soit par les membres d’une
organisation déclarée criminelle en
application de l’article 9 dudit statut,
soit par une
personne reconnue coupable de tels
crimes par une juridiction française ou
internationale. »
Ainsi, le simple fait de
remettre en question des faits ou de
vouloir faire des recherches sur ces
points est considéré comme un délit.
C’et un fait sans précédent dont le
danger en son principe n’échappa pas aux
savants historiens : « Il
est dangereux d’empêcher la liberté
de recherche. »
Le philosophe Roger Garaudy, pour
avoir contesté le nombre des victimes de
la « Shoa » multiplié par six
sans raison apparente et pour avoir
effectué des recherches à cette fin, fut
mis au ban de la société, accusé
d’antisémitisme…, au point que la
mosquée de Paris refusa d’enterrer son
corps ! Une sorte de chantage à
l’antisémitisme est mise en place, la
crainte d’en être accusé agissant comme
un rayon paralysant et favorisant le
silence ou l’indulgence devant les
exactions commises par l’entité
sioniste…
La quatrième étape de la stratégie
sioniste est de présenter les Juifs
comme les « sentinelles de la
République et des valeurs de la
République », allant même jusqu’à
dire que « les Juifs de France sont
plus que jamais les Français à
l’avant-garde de la République »
(le Premier ministre Manuel Valls, le 19
mars 2014, place du Trocadéro à Paris,
lors d’un rassemblement contre
l’antisémitisme) et de faire que la
lutte contre l’antisémitisme soit une « cause
nationale » –Quelle place
reste-t-il pour les non-Juifs de France,
méprisés ?— S’en prendre à un juif,
c’est s’en prendre à la liberté et à la
démocratie (françaises) et donc toute la
France doit se sentir concernée.
Positions qui seront reprises par les
responsables politiques français…
LSO/LSE
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