LUC
MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY
Syrie. Les masques tombent (II) :
La 'coopération honteuse avec des
groupes extrémistes' de Tel-Aviv et
Washington
Luc Michel

Mercredi 14 février 2018
LUC MICHEL (ЛЮК
МИШЕЛЬ) &
EODE/
Luc MICHEL pour EODE/
Quotidien géopolitique –
Geopolitical Daily/
2018 02 13/
« Israël a attisé les tensions en
violant la souveraineté syrienne et
libanaise, les résolutions de l’ONU, en
ayant une coopération honteuse avec des
groupes extrémistes et sans compter ses
attaques répétées en Syrie »
- Mme Aida Touma-Suleiman
(député arabe à la Knesset).
I /
LES USA ET LEURS ALLIES DJIHADISTES
« La tentative des
terroristes de mettre sur pied une base
militaire liée aux États-Unis dans la
Ghouta orientale de Damas est tombée à
l’eau », dit Sana. Les groupes
terroristes, se trouvant dans la Ghouta
orientale de Damas, principalement le
Fabbat al-Nosra (ex al-Qaida en Syrie),
« ont échoué dans leur tentative de
créer une base et un aéroport militaire,
lié aux États-Unis. Leur objectif était
d’empêcher l’avancée des forces
militaires syriennes en lutte contre le
terrorisme dans la région ».
LA TENTATIVE DES
DJIHADISTES DE METTRE SUR PIED UNE BASE
MILITAIRE LIEE AUX ÉTATS-UNIS DANS LA
GHOUTA ORIENTALE DE DAMAS
Les groupes
terroristes actifs dans la Ghouta
orientale continuent à violer l’accord
sur les zones de désescalade. Ils ont
visé avec des obus de mortier, ce
dimanche 11 février, les quartiers
d’habitation dans la ville de Damas.
« Trois civils ont été tués et quelques
autres blessés », selon Fars News. Les
représentants du gouvernement syrien et
les opposants armés avaient convenu, le
5 février à Vienne, de mettre en vigueur
la trêve élargie dans la Ghouta
orientale, mais les terroristes
continuent, toujours, de violer cet
accord.
« La tentative des
terroristes du Front al-Nosra de mettre
en place un aéroport et une base
militaire dépendant des États-Unis, pour
ainsi empêcher l’arrivée des forces
syriennes dans la région », a été
déjouée, a écrit le journal syrien ‘Al-Watan’.
Le quotidien libanais ‘Al-Akhbar’ a
annoncé, ce vendredi 9 février, que
« l’armée syrienne et ses alliés se
dirigeraient bientôt vers le Rif de
Damas pour un nettoyage définitif de la
Ghouta orientale de la présence des
terroristes ».
Les forces
syriennes, à l’aide de l’axe de la
Résistance, avaient déjà réussi à
chasser, il y a un mois, les terroristes
de la Ghouta occidentale de Damas. À
l’issue de trois mois d’intenses combats
militaires, l’armée syrienne a fini par
contraindre les terroristes à se
soumettre aux conditions de l’axe de la
Résistance et à rendre leurs armes.
L’US AIR FORCE
FRAPPE LES FORCES DE DAMAS SOUS PRETEXTE
DE LUTTE CONTRE LE TERRORISME :
« PLUS DE 100 SOLDATS DE BACHAR AL-ASSAD
TUES DANS DES FRAPPES » (AFP)
Plus de 100 membres
des forces loyales au régime syrien du
président Bachar al-Assad ont été tués
dans des frappes effectuées en état de
"légitime défense" par la soi-disant
« coalition antijihadiste » (sic) menée
par les Etats-Unis, a annoncé ce 8
février un responsable militaire
américain. « Nous estimons que plus de
100 membres des forces prorégime
syriennes ont été tués au cours d'un
affrontement avec les Forces
démocratiques syriennes (la rébellion …
à base soutenue par Washington, ndlr) et
les forces de la coalition », a déclaré
ce responsable du Central Command US.
La télévision
officielle syrienne a dénoncé une «
agression » de la part de la coalition.
Cette opération menée dans la nuit de
mercredi à jeudi a été déclenchée par
une attaque desforces de Damas contre
des positions des Forces démocratiques
syriennes (FDS), une alliance
arabo-kurde alliée de Washington. Ces
frappes interviennent sur fond de
tensions croissantes entre Damas et
Washington, les Etats-Unis accusant, une
fois de plus, « le régime syrien d'avoir
utilisé des armes chimiques ». Ces
frappes, menées depuis mercredi, ont
répondu à une « attaque non-provoquée
contre le quartier général des Forces
démocratiques syriennes », a affirmé le
responsable américain, expliquant
qu’entre vingt et trente obus de chars
et d’artillerie avaient atterri à
environ 500 mètres de ce quartier
général. La coalition a riposté avec des
tirs d’artillerie et des frappes
aériennes. Environ 500 hommes de la
coalition sont engagés dans cette
riposte, a précisé le responsable
américain.
Les combats ont eu
lieu à huit kilomètres à l’est d’une
ligne de démarcation fixée par la Russie
et les États-Unis le long de l’Euphrate,
les forces russes opérant à l’ouest et
les forces américaines à l’est. « Les
responsables de la coalition ont été
régulièrement en contact avec leurs
homologues russes avant, pendant et
après » les frappes, a ajouté le
responsable. Ce que nie Moscou.
II /
ISRAEL JOUE ET PERD EN SYRIE …
* Lire aussi sur
LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/
SYRIE D’UNE GUERRE A L’AUTRE (V):
ISRAEL GRAND PERDANT DE LA GUERRE QUI SE
TERMINE EN SYRIE
sur
http://www.lucmichel.net/2018/01/16/luc-michels-geopolitical-daily-syrie-dune-guerre-a-lautre-v-israel-grand-perdant-de-la-guerre-qui-se-termine-en-syrie/
QUAND ISRAEL
S’INGERE OUVERTEMENT DANS LA GUERRE
SYRIENNE: « LE F-16 ABATTU: C'EST
NETANYAHU LE RESPONSABLE » (DEPUTEE
ISRAELIENNE)
Une parlementaire
israélienne estime ce 12 février que
« la nouvelle attaque contre la Syrie
était une tentative de la part de
Netanyahu de détourner l’attention du
public de son dossier de corruption ».
Mais surtout elle dénonce le complicité
de Tel-Aviv avec des groupes djihadistes !
La députée de la ‘Liste arabe commune’,
Aida Touma-Suleiman, a accusé « le
gouvernement de Netanyahu d’être
responsable des évènements de samedi
matin dans le nord d’Israël » (Palestine
occupée, Ndla). Selon cette
parlementaire, « le Premier ministre
israélien Benjamin Netanyahu cherche à
provoquer une guerre en Syrie afin de
détourner l’attention du public sur son
dossier de corruption et préserver ainsi
sa survie politique ».
Le Premier ministre
israélien est en effet accusé
d’escroquerie, de corruption financière,
de complot, de fraude et d’abus de
confiance. Des proches de Netanyahu,
dont son épouse, sont également
soupçonnés de corruption et d’abus de
biens publics. D’autres membres du clan
Netanyahu ont été interrogés à plusieurs
reprises sur des malversations sur des
achats frauduleux. La députée
israélienne a rappelé que Tel-Aviv avait
attaqué la Syrie samedi, « quelques
jours avant que la police ne publie une
partie des résultats de l’enquête menée
sur plusieurs cas de corruption dans
lesquels Netanyahu est impliqué ».
« UNE COOPERATION
HONTEUSE AVEC DES GROUPES EXTREMISTES »
(DEPUTEE ISRAELIENNE II)
Mais le cœur de sa
dénonciation est le suivant :
« Israël a attisé
les tensions en violant la souveraineté
syrienne et libanaise, les résolutions
de l’ONU, en ayant une coopération
honteuse avec des groupes extrémistes et
sans compter ses attaques répétées en
Syrie », a fait remarquer Mme Aida
Touma-Suleiman.
Le Premier ministre
israélien a, aussitôt après la chute du
F-16, repris ses accusations contre
l’Iran lui imputant la responsabilité de
l’abattage de l’avion de chasse. Le
ministère iranien des Affaires
étrangères a démenti les allégations
d’Israël ; l’un des hauts commandants du
Corps des gardiens de la Révolution
islamique a même indiqué que « l’Iran
n’avait pas besoin de réponde à un
régime mensonger ». Malgré toutes ses
accusations et menaces contre l’Axe de
la Résistance, « Tel-Aviv a supplié
auprès de la Russie de calmer l’Iran »,
comme l’a annoncé Reuters citant des
sources diplomatiques israéliennes.
LES REGLES DU JEU
ONT CHANGE AVEC LE CRASH CE 10 FEVRIER
DU F-16 ISRAELIEN
Pour l’expert
iranien des questions internationales,
Hossein Cheikh-ol-eslam, dont je partage
les conclusions, « la destruction, le 10
février, d’un F-16 israélien par la DCA
syrienne a indubitablement changé la
donne dans la région, au détriment de la
prétendue suprématie militaire
israélienne ». Dans une note parue par
le journal iranien ‘Hemayat’, l’analyste
rappelle que « c’est la première fois
qu’Israël annonce que l’un de ses avions
de combat a été visé par la DCA
syrienne » ; c’est aussi la première
fois que les médias israéliens parlent,
dans la couverture de cet événement,
d’un « coup porté au prestige » de
l’aviation israélienne.
« De peur des
frappes de l’armée syrienne, les
terroristes du Front al-Nosra (rebaptisé
Front Fatah al-Cham), déployés dans les
hauteurs du Golan et à Quneitra,
abandonnent leurs positions, tandis que
les Israéliens, soucieux d’entraver les
avancées de l’armée syrienne, après le
nettoyage de 1 100 km² de terrain de la
présence des terroristes, au nord de
Hama, se permettent de nouvelles
incursions sporadiques contre les unités
impliquées dans la lutte contre les
terrorises takfiristes. »
L’article précise
que « la réponse cinglante apportée par
la DCA syrienne aux chasseurs
sophistiqués israéliens n’était pas
seulement une réaction à l’appui
explicite de Washington et Tel-Aviv aux
terroristes. Avec cet événement, les
capacités de l’armée syrienne en termes
de technologie militaire entrent dans
une nouvelle phase (…) Il ne faut pas
oublier, non plus, cette réalité que
dans toutes leurs opérations militaires
contre la Syrie, les avions de chasse
israéliens avaient jusqu’ici emprunté
l’espace aérien des zones occupées par
les terroristes ; il s’agissait de zones
à problème en termes de couverture
radar. La destruction du F-16 israélien
montre que le ciel syrien n’est plus sûr
pour les avions de chasse israéliens. »
Une deuxième
attaque de l’armée israélienne contre la
banlieue de Damas a été violemment
ripostée. La presse israélienne dénonce
même un « piège iranien » (sic) !
D’après l’analyste iranien, « même si
l’on accepte la version israélienne des
faits sur l’interception d’un drone
conçu sur le modèle du RQ-170 au-dessus
d’al-Jalil, cela signifierait que les
autorités israéliennes reconnaissent le
progrès de l’armée syrienne en termes de
localisation et de ciblage ».
L’article aborde
ensuite l’événement dans ses aspects
liés aux caractéristiques militaires
techniques :
« Cet événement
montre que les avions de combat F-16,
après trois décennies de vol au service
de l’armée israélienne et quatre
décennies au service de l’USAF, et
malgré toutes les améliorations et
rénovations qu’ils ont adoptées, ont
largement perdu de leurs capacités
opérationnelles face aux missiles
d’artillerie Sam-5, n’étant plus
capables, non plus, de mener des
opérations secrètes depuis le Liban
contre des cibles en Syrie. »
L’analyste iranien
conclut ainsi qu’à toute agression
israélienne sera désormais réservée une
riposte cinglante : « Ces ripostes sont
actuellement de nature défensive mais
selon les conditions du jour, elles
pourraient prendre des allures de
mesures offensives à l’avenir. Une fois
que l’armée syrienne aura libéré les 20
% de territoire restant toujours occupés
par les terroristes, elle entrera dans
une phase nettement offensive, et ni le
Dôme de fer, ni la Fronde de David
israéliens ne seront alors capables de
résister à la pluie de missiles qui
tombera sur les territoires occupés (…)
l’on pourrait s’attendre à ce que les
autorités du régime usurpateur israélien
optent pour la retenue, réfrénant leur
tentation d’aventurisme dans le ciel
syrien. Car, une confrontation militaire
Tel-Aviv-Damas, non seulement affectera
les territoires en Palestine occupée,
mais encore, exposera le régime
israélien au risque d’un fiasco
inévitable, dans la confrontation avec
une Syrie qui a pour alliés l’Iran, le
Hezbollah et la Russie. »
RETOUR SUR LA
COLLABORATION D’ISRAEL AVEC LES
DJIHADISTES DE TOUS BORDS
L’alliance honteuse
mais bien réelle d’Israël avec les
djihadistes en Syrie n’est pas nouvelle
! Je la dénonçais en détails dès 2015
(1).
Une opération de
piratage informatique de grande
envergure contre les ordinateurs
d’Israéliens et Américains travaillant
étroitement avec la soi-disant «
opposition syrienne » révèlait en
juillet 2015 les contacts étroits entre
les parties, rapportait alors le ‘Times
of Israel’. Les auteurs présumés de
cette opération de Cyber-guerre auraient
été « des membres des Services syriens
et du Hezbollah », selon les
informations publiées dans le journal
libanais ‘Al-Akhbar’, proche de
l’organisation chiite.
Al-Akhbar avait
ainsi divulgué les contacts entre Mendi
Safadi, un conseiller politique druze
israélien, qui a dirigé le cabinet de
l’ex-vice-ministre de la Coopération
régionale Ayoub Kara, et plusieurs
membres de la pseudo « opposition
syrienne » dans le monde. Selon le
quotidien libanais, « Safadi aurait
tenté de recruter des agents en Syrie et
au Liban pour le compte du gouvernement
israélien mais aussi essayer de signer
des contrats d’armement avec l’Etat
islamique (EI) et le front al-Nosra,
deux organisations terroristes ». Jabat
al-Nosra, ce sont al-Qaida en Syrie, les
soi-disant « islamistes modérés » qui
combattent DAECH et aussi (surtout)
Damas, avec le soutien des USA, de
l’OTAN, des Saoudiens, de la Turquie et
des Jordaniens.
Interrogé par le
Times of Israel, Safadi avait reconnu
que son « ordinateur avait été piraté
(…) par des agents des unités de
cyber-guerre du Hezbollah et du
président syrien Bachar al-Assad ». Il
avait néanmoins « nié les allégations
liées aux dits-contrats d’armement tout
en confirmant avoir été en lien avec un
homme proche de l’EI, dans le cadre de
contacts pour la libération de l’otage
jordanien Muaz Kasasbeh » (brûlé vif).
Malgré l’ampleur des révélations du
quotidien libanais, Safadi a assuré au
Times of Israel « qu’aucun de ces
contacts n’étaient en danger » (sic). «
Dans la plupart des cas, des surnoms
étaient utilisés pour masquer la réelle
identité de ses sources », a-t-il
expliqué.
ISRAËL EST IMPLIQUE
DE FACTO EN SYRIE DEPUIS DES ANNEES
A l’inverse,
l’homme d’affaire israélo-américain Moti
Kohana, également visé par le piratage,
s’était dit « plus inquiet des
conséquences de ces révélations. Cela
peut risquer la vie des gens, y compris
des citoyens américains », avait-il
confié au Times of Israel. « Si l’Iran
ou le Hezbollah ont piraté mon
ordinateur dans le New Jersey, ils ont
enfreint la loi américaine, et je vais
les poursuivre légalement. Ceci est très
grave » (sic), avait poursuivi sans
vergogne Kohana.
La version
officielle de Tel-Aviv est la suivante :
« depuis le début de la guerre civile
syrienne il y a plus de 4 ans, Israël
s’efforce de ne pas s’impliquer et de
s’en tenir au droit humanitaire en
soignant les blessés qui arrivent sur
son territoire (sic). Néanmoins, le
conflit déborde fréquemment du côté
israélien de la frontière » (resic). «
Tsahal ne vient pas en aide à
l’organisations terroriste al-Nosra,
mais au secours des blessés syriens qui
s’approchent de la frontière » (resic),
avait déjà déclaré le porte-parole de
l’armée le général Moti Almoz en juin
2015, au lendemain du lynchage d’une
ambulance israélienne transportant des
blessés djihadistes « syriens ». Selon
le ministère israélien de la Santé, en
2015, « près d’un millier de Syriens ont
été soignés dans quatre hôpitaux
israéliens depuis le début du conflit »
…
En juin 2017, Le
Secrétaire général de l’ONU, Antonio
Guterres, exprimait ses « préoccupations
au sujet des contacts entre les soldats
de l’armée israélienne et les
combattants de différents groupes
djihadistes dans le sud de la Syrie
(province de Deraa) et dans les hauteurs
du Golan ». Dans rapport produit par
l’ONU le 8 juin 2017 (2), Antonio
Guterres a mis l’accent sur « la montée
progressive des contacts entre les deux
parties, contacts vérifiés par les
observateurs de l’ONU situés dans le
Golan ».
Toujours en juin
2017, le ‘Wall Street Journal’
rapportait qu’« Israël continue à
fournir et à soutenir différents groupes
rebelles engagés dans la lutte contre
Assad et ses alliés russes, iraniens et
libanais » afin de maintenir une zone
tampon près de ses frontières. Selon le
journal américain, « en 2016, Israël a
créé une unité spéciale qui a eu pour
mission de distribuer l’aide israélienne
aux différents groupes. L’aide
consistait en « armes, munitions et
salaires à donner aux djihadistes ».
Interviewé par le WSJ, le porte-parole
du groupe rebelle Fursan al-Joulan, ou
Chevaliers du Golan, (groupe lié à
Al-Qaïda), Motassam al Golani, a
« remercié Tel-Aviv pour avoir combattu
à leurs côtés : indirectement, en
fournissant armes et, directement, avec
l’aviation et le soutien de
l’artillerie ». Le même Al Golani est
venu déclarer que « s’il n’y avait pas
Israël, on ne pourrait jamais tenir tête
à l’armée syrienne de Bashar Al Assad ».
La chaîne Russia
Today (RT) avait repris la nouvelle et
avait interviewé d’autres militants (3).
Le chef d’un autre groupe djihadiste
dans le Golan, Abou Sahib, avait alors
déclaré : « à titre de commandant, je
perçois un salaire annuel de 5 000
dollars versé par Israël ». Au cours de
l’entretien, le chef du groupe a indiqué
que « la collaboration avec Tel-Aviv
continue depuis 2013 et a joué un rôle
crucial pour continuer à s’opposer à
l’armée loyaliste d’Assad dans toute la
région », vu qu’« Israël continue
d’envoyer des armes et de l’argent pas
seulement à notre groupe, mais à tous
les groupes rebelles dans le Golan ».
NOTES :
(1) Cfr. Luc
MICHEL, APRES LES USA, VOICI LA
COLLABORATION D’ISRAEL AVEC LES
DJIHADISTES MISE A NU ! (15 juillet
2015)
sur
http://www.lucmichel.net/2015/07/15/lucmichel-net-apres-les-usa-voici-la-collaboration-disrael-avec-les-djihadistes-mise-a-nu/
(2) Cfr.
http://www.un.org/ga/search/view_doc.asp?symbol=S/2017/486
(3) Cfr.
https://www.wsj.com/articles/israel-gives-secret-aid-to-syrian-rebels-1497813430
(Source : Presse syrienne citée par SANA
– Presse arabe et iranienne citée par
PARS - Reuters - Al-Akhbar
- Times of Israel – RT -
EODE Think-Tank)
Photo :
Le premier ministre israélien Nétanyahou
serre la main d’un terroriste du Jabbat
al-Nosra (Al-Qaïda en syrie) dans un
hôpital israélien sur le Golan annexé (à
la frontière de la Syrie, le 18 février
2014).
LUC MICHEL (ЛЮК
МИШЕЛЬ) & EODE
* Avec le Géopoliticien de l’Axe
Eurasie-Afrique :
Géopolitique – Géoéconomie –
Géoidéologie –
Néoeurasisme – Néopanafricanisme (Vu de
Moscou et Malabo) :
PAGE SPECIALE Luc MICHEL’s Geopolitical
Daily
https://www.facebook.com/LucMICHELgeopoliticalDaily/

* Luc MICHEL (Люк
МИШЕЛЬ) :
WEBSITE
http://www.lucmichel.net/
PAGE OFFICIELLE III
– GEOPOLITIQUE
https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel.3.Geopolitique/
TWITTER
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* EODE :
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WEBSITE
http://www.eode.org/
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