Opinion
Syrie : Appel à
l'union des voisins turc et iranien
pour résoudre le conflit
Parti Anti Sioniste
Vendredi 25 octobre 2013
Hossein Sheikholeslam, conseiller du
président du Parlement iranien Ali
Larijani pour les affaires
internationales, affirme qu’il a
toujours existé une affinité entre
l’Iran et la Turquie pour traiter toutes
les questions régionales… sauf le
conflit syrien.
Le 23 octobre, il a salué les
relations excellentes entre les deux
pays et les a appelé à s’unir pour aider
la Syrie et l’Iraq, qui traversent une
lourde épreuve.
Le conseiller a invité les
participants à la conférence de Genève 2
à accepter une trêve et des négociations
immédiates pour un règlement immédiat du
conflit syrien et pour la tenue, l’année
prochaine, d’élections nationales en
Syrie.
La Turquie et l’Iran conviennent,
tous les deux, que la crise syrienne
doit être résolue par le peuple syrien ;
le Premier ministre turc Recep Tayyip
Erdogan a même condamné toute ingérence
étrangère dans la campagne électorale
syrienne de 2014.
Le conseiller Sheikholeslam fait
remarquer que « si les pays
étrangers n'avait pas touché à la Syrie,
l'avenir du pays aurait été très
différent ». C’est aussi l’avis du
Parti Anti Sioniste qui met en garde
contre toute ingérence extérieure dans
la résolution du conflit.
Le Parti Anti Sioniste invite
à nouveau les différentes composantes de
la société syrienne – gouvernement et
opposition – à s’asseoir autour d’une
table. Les opposants qui d’entrée de jeu
exigent l’exclusion du gouvernement
syrien à la conférence de Genève 2 ne
veulent pas la négociation. Ils veulent
la Syrie pour eux seuls et ceci n’est
pas acceptable. Ce n’est ni
démocratique, ni conforme au souhait du
peuple syrien…
Parti Anti Sioniste
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