Mali ? Afrique ?
Tarentino vous l'explique... Georges
Stanechy
Lundi 18 février
2013
« Ainsi les
conquérants en venaient-ils à avoir peur
des conquis ; ils perdaient leur
sang-froid, tiraient sur des ombres dans
la nuit. Le silence glacial, hostile,
planait sans cesse sur eux. » John
Steinbeck (1)
La transe de Jules Ferry
Le soufflé est retombé, à peine levé…
La page est tournée. Dans l’héroïsme et
le panache, s’époumone la chorale
médiatique !…
Nos
“armées” viennent de se couvrir de
gloire au Mali, volant d’Austerlitz en
Stalingrad, écrasant victorieusement
divisions, brigades, régiments et
bataillons de nos barbares ennemis !
Certains célébrant cette magnifique
épopée dans de surprenants
rapprochements : «
Le Blitzkrieg à la française » !
Comparable à la « guerre éclair » du
général Heinz
Guderian, spécialiste
de l’arme blindée, qui avait pulvérisé
en quelques jours l’armée française en
1940 et l’armée russe lors de la phase
initiale de l’opération
Barbarossa un an plus
tard. (2)
Rien de
moins…
Notre
“propagande” flanquée de ses instituts
de “sondages-bidons”, d’un zèle
énergique, démontrant son efficace tour
de main dans l’art de concocter
quotidiennement ses pilules
anesthésiantes ou euphorisantes, dans un
astucieux dosage ! Des JT aux émissions
documentaires et articles de presse.
Entrelardés d’enquêtes d’opinion aux
pourcentages staliniens. Approbateurs,
évidemment.
Fière de
son scénario et de sa mise en scène…
Alternant, suivant les menus imposés,
les qualificatifs d’usage : «
terroristes », « islamistes », ou, dans
une touche folklorique, « djiahdistes ».
Lors de nos dernières conquêtes
coloniales, on envoyait des troupes pour
préserver
La Civilisation des « cannibales »,
l’évangélisation étant passée de mode :
comme aux Iles
Marquises ou en
Nouvelle-Calédonie.
La diabolisation évolue, mais la réalité
reste immuable : nous sommes encore plus
féroces que les cannibales des contes
coloniaux dès qu’il s’agit d’étriper
plus faible que soi.
La “modernité” remplit ses fonctions.
Ces "nouveaux cannibales" sont membres
d’organisations logées, en autant de
boutiques au marketing soigneusement
segmenté, dans les cavernes de la
région. Probablement architecturées sous
air conditionné d'après les films de
James Bond : multiples écrans,
ordinateurs, clignotants, sirènes et
portes blindées.
Aux
appellations aussi variées que leurs
origines « contrôlées » ou téléguidées :
AQ, AQMI, MNLA, MUJAO, DA ou DEA, et
Bla-Bla. Telle la mosaïque des marques
de lessives, sorties de la même usine,
de nos supérettes…
Nos « experts », “militaires” et
“géopoliticiens” de tous poils,
virevoltant d’une TV à l’une, courant
d’une radio à l’autre… «
Pom-pom
girls » chargées
d’exciter l’enthousiasme de leurs
concitoyens assommés de précarité et de
chômage. Oui : la France, plus forte que
jamais, est gouvernée par des hommes
pénétrés de sagesse, de discernement, de
courage et de générosité !
Notre “président”, ébahi par le succès
foudroyant de sa « guerre contre le
terrorisme », revivant dans la redingote
de Jules Ferry
les expéditions coloniales de nos aïeux.
A présent, chef de guerre ou de
conquête, dont l’allure martiale assure
la montée des sondages flageolants. Lui
permettant d’hausser le ton face à la
Corée du Nord :
« …
condamnée avec la plus grande fermeté…
».
Ou se voyant
déjà, tel Alexandre, aux portes de
Téhéran à la tête de sa vaillante armée…
A en croire son
discours menaçant
prononcé le 6 février 2013 lors de la
réception, dans le palais présidentiel
de la “République laïque”, d’une
délégation de la «
Conférence des organisations juives
américaines » regroupant 51
responsables d’associations de cette
obédience religieuse… (3)
Gardien de la Souveraineté Nationale.
Rempart de la Laïcité. Glorieux
défenseur des valeurs de La
Civilisation…
L’étoffe des héros.
Humain, toutefois…
Emu aux larmes en recevant, au Mali,
allégeance des notables et vivats des
populations. Chœurs ou claques, comme
dans toute bonne dictature, transbahutés
en camions avec distribution de petits
drapeaux à agiter et slogans à clamer.
Sinon, pas de « bons » pour retirer la
ration quotidienne de l’aide alimentaire
d’une population maintenue dans la
quasi-famine. Jusqu’à les habiller de
neuf, après “casting”, pour une
impeccable représentation télévisuelle…
Moteur parfaitement huilé, le cynisme
ronronne.
Personne
n’est dupe. S’agissant d’une énième
nouvelle
guerre coloniale
montée de toutes pièces, depuis des
mois. Consistant moins à s’emparer de
territoires que de s’approprier, ou
renforcer la spoliation, des richesses
énergétiques ou minières de la région.
Ces «
resource wars », guerres pour les
ressources, qui vont ravager le siècle,
comme le rappelle le chef d’état-major
des armées russes
Valery Gerasimov. (4)
Ressources du Mali ?... Argent, or,
cuivre, bauxite, etc. Potentiel gazier
et pétrolier. Surtout, fondamental :
uranium (trois zones uranifères
actuellement recensées :
Falea,
Iforas,
Gao). (5)
Coulisses, machineries et machinations,
de ce théâtre de marionnettes ont été
parfaitement, lucidement, mises à plat
par de nombreuses personnes,
militants
de La Dignité Humaine, associations
citoyennes, exerçant avec courage leur
esprit critique. (6)
Citons, entre autres, le dossier de
l’association Survie, fondée par le
regretté
François-Xavier Verschave
(qui veut entrevoir les enjeux en
Afrique doit lire ses ouvrages),
méritoire travail d’information :
"Les
zones d’ombres de l’intervention
française au Mali – Eléments de contexte
et d’explication" (7).
Ou encore, les décapantes et
indispensables analyses de
Michel
Collon (diffamé
en permanence par les relais de
l’extrême-droite américaine en France et
en Belgique) qui démonte, rouage par
rouage, l’intoxication de la propagande
via les médias, les intitulant les «
médiamensonges » (8) :
i)
La France au Mali : repérer les “médiamensonges”(1/2)
ii)
La France au Mali : repérer les “médiamensonges”(2/2)
La révolte de Django
L’essentiel de l’arnaque est montré,
démontré, démonté.
Ne reste, en forme de conclusion,
qu’à élargir la perspective géopolitique
et historique au continent dans son
ensemble.
Le Mali, symbolise la prédation de
l’Afrique par l’Occident. (9) Son
indépendance politique par rapport aux
anciennes puissances coloniales,
commencée dans les années soixante,
n’était que de façade. Proie des groupes
miniers, pétroliers, “privatiseurs”,
impitoyablement
rongée
jusqu’à l’os,
l’Afrique est toujours en attente de sa
véritable indépendance.
Pour faire court, j’ai choisi une
métaphore. Sous forme d’un film récent,
à l’énorme retentissement international.
Celui de
Quentin
Tarentino : “Django
Unchained”.
Aux antipodes des clichés
complaisants d’Autant
en emporte le vent de
Margaret
Mitchell,
abordant la même époque. Loin de n’être
qu’une charge contre l’esclavagisme des
noirs par les grandspropriétaires Blancs dans la
fédération nord-américaine de la fin du
XIX° siècle, mythique paradis de
La Liberté, il illustre avec force
et lucidité les ravages de la
colonisation. L’exploitation de l’Homme,
ses forces et ses faiblesses, dans l’hyperviolence
et le racisme.
Jusqu’au jour de la prise de
conscience, du refus, de la révolte…
Tous les acteurs du drame de
l’Afrique, de toute colonisation, y sont
symboliquement campés, en interaction
dantesque. L’humour venant souvent
tempérer la violence des situations. Sur
fond d’une rigoureuse documentation
historique, dans son implacable, féroce,
vérité...
Le "Blanc
Richissime" jouissant, grâce à
l’accumulation de sa fortune, d’acheter
tout ce qui peut l’être sur Terre dans
l’application sans limite de
La loidu Plus Fort : Bonne
Conscience, violence impunie,
exploitation et humiliation des faibles
ou des sans défense, jusqu’à ce qu’ils
en crèvent… Diabolique incarnation, très
réussie, de
Leonardo DiCaprio qu’on
n’imaginerait pas, à priori, dans un
rôle de “méchant”.
Convaincu de la supériorité de la
race blanche. La justifiant, dans une
hallucinante démonstration, en sciant le
crâne d’un ancien esclave mort de son
père, prouvant qu’il manquait "une case"
aux Noirs, et autres races inférieures
aux Blancs… Thèses racistes qui ont,
effectivement, perduré dans les milieux
scientifiques et colonialistes jusqu’au
milieu du XX° siècle.
En France, relisons le combat (en
1953 !) de l’inoubliable
Frantz
Fanon
(complètement occulté dans notre pays…),
contre les thèses du grand ponte de la
psychiatrie et de ses disciples de «
l’Ecole psychiatrique d’Alger »,
Antoine Porot (1876-1965) qui ne
cessait d’affirmer :
« L’indigène nord-africain, dont le
cortex cérébral est peu évolué, est un
être primitif dont la vie
essentiellement végétative et
instinctive est surtout réglée par le
diencéphale […] L’Algérien n’a
pas de cortex, ou, pour être plus
précis, il est dominé, comme chez les
vertébrés inférieurs, par l’activité du
diencéphale … » (10)
Ou encore en 1952 son disciple,
Henri Aubin, soutenant au sujet des
Noirs, dans le “Manuel alphabétique de
psychiatrie” :
« Les indigènes de l’Afrique noire
se rapprochent dans une large mesure de
la mentalité primitive. Chez eux les
besoins physiques (nutrition, sexualité)
prennent une place de tout premier plan
; la vivacité de leurs émotions et leur
courte durée, l’indigence de leur
activité intellectuelle, leur font vivre
surtout le présent comme des enfants…
[…] La mentalité du primitif est
surtout le reflet de son diencéphale
alors que la civilisation se mesure à
l’affranchissement de ce domaine et à
l’utilisation croissante du cerveau
antérieur. » (11)
Notons que ces articles, à prétention
scientifique, demeurent inchangés dans
la quatrième édition du “Manuel” parue
en 1969… Et, qu’en toute impunité au
regard de nos lois contre le racisme,
Antoine Porot est encorne célébré,
adulé, dans les cercles nostalgiques de
la colonisation française en Algérie.
Exemple de "l’Association du cercle
algérianiste" (12) :
« La notoriété de cette École d'Alger
légitime assurément l'attention et la
fierté de nos lecteurs »...
Les propos condescendants, pétris
d’arrogance, de mépris, des “Pom-pom
girls” infestant les plateaux de TV et
radios, cascades de logorrhée sur «
l’inexistence de l’Etat du Mali », «
l’incapacité » du pays à s’organiser, se
défendre et, bien entendu, se
développer, participent de ce racisme
imbibant l’inconscient collectif des
milieux colonialistes :
« …
on leur donne l’indépendance et ils sont
incapables d’évoluer, d’entrer dans la
modernité… ».
Et, autre fadaises pour masquer les
massacres de tous ceux, modèles de
courage et d’intégrité, qui se sont
dressés pour défendre l’autonomie de
leurs pays, économique et diplomatique,
en valoriser les ressources pour le
compte de la population. Renversés dans
des coups d’Etat, tués souvent dans
d’atroces conditions, avec leurs
partisans par les armées ou services
spéciaux occidentaux.
Parmi une cohorte de valeureux
leaders,
Thomas
Sankara,
Patrice
Lumumba,
resteront dans toutes les mémoires,
malgré le méticuleux travail
d’oblitération de la propagande
occidentale, les héros de la libération
« post-indépendance » de l’Afrique.
Le personnage de
DiCaprio, tout en raffinement
apparent, est emblématique de ces
castes, groupes multinationaux, Etats,
d’une cruauté, d’une perversité, sans
borne. Exploitant ceux qu’ils
asservissent sans aucune pitié. Pillant,
rasant pays, populations, générations,
dans d’incalculables souffrances, avec
sourires, cigares et vins fins…
Une scène terrifiante du film a pour
décor le salon privé d’un luxueux bordel
de la Nouvelle-Orléans. S'y déroule un
combat à mort entre deux lutteurs
africains, esclaves, pour le plus grand
plaisir de son richissime sponsor.
Parabole de ces guerres civiles,
fratricides, organisées par les Etats
occidentaux, dans les salons des
organisations et sommets internationaux,
pour entretenir le chaos sur le
continent Africain.
On y voit
DiCaprio, à la fin du combat,
tendre un marteau au vainqueur,
l’obligeant à faire éclater la tête de
son adversaire déjà terrassé. Je n’ai pu
m’empêcher de penser aux "organisateurs"
de l’atroce mise en scène de la fin de
Kadhafi…
On le sait, mais on se tait.
Complices.
L’Afrique est un continent
colossalement riche. Le plus riche de la
planète.
Chaque Etat devrait avoir un niveau
de vie supérieur à celui de la Suède… Cen’est pas l’Afrique qui a besoin
de l’Occident, mais le contraire. C’est
pourquoi, tout sera planifié, exécuté,
pour maintenir l’Afrique dans le
sous-développement : guerres civiles,
chaos, spoliations. Car, ce n’est pas de
«
guerre au terrorisme » qu’il s’agit
en Afrique. Mais de «
guerre au développement », comme
l’écrit dans un excellent article
Dan Glazebrook (13) :
“The
West’s War Against African Development
Continues”
Tout sera fait pour qu’il n’y ait
aucune union économique, monétaire,
encore moins scientifique,
technologique, ou militaire, entre Etats
Africains, pouvant constituer
progressivement de grands ensembles aux
synergies complémentaires.
Tout comme pour l’Union du Grand
Maghreb, torpillée en permanence, dont
le commerce ne représente même pas 2%
entre Etats voisins et frères. Il en
sera de même pour le Sahel et autres
grands bassins de développement. Le
Sahel gigantesque, grandiose, mer
intérieure à sec, de l’Atlantique à la
mer Rouge, aux
immenses
ressources, qui
devraient être exploitées, mises en
valeur sur place, par tous les pays
riverains, dans une coopération
constructive. Ce ne seront que guerres,
chaos et drones…
“La
Femme”
de Django, jouée par la ravissante
Kerry Washington, symbolise cette
Afrique, magnifique, pleine de vie et de
promesses de bonheur, au destin
provisoirement brisé. Qui lui a été
enlevée, et dont la recherche sert de
fil conducteur au récit. Portrait de
femme rebelle, luttant pour sa survie,
le respect de sa dignité. Et, qui le
paye cher dans tous les traitements
sadiques et humiliations que lui
infligent ses despotes.
Face à ce magnifique portrait de
femme, Tarentino, esquisse celui de son
antithèse : “La
Pute et la Soumise”. Qui bénéficie
de toutes les faveurs de ses maîtres :
argent à profusion, privilèges de toutes
natures, fastueuse garde-robe, bijoux et
statut social. Insensible au sort de son
peuple, de sa nation, témoin de son
exploitation sous les coups,
avilissements, privations, horreurs.
Assistant impassible, sirotant son
champagne, à la lutte à mort des deux
lutteurs et autres sauvageries.
De la même espèce, pour me limiter à
un exemple français, que celles qui ne
cessent de parader, déversant leurs
bouillies nauséeuses, sur les plateaux
de TV et radio. Où elles sont reçues,
évidemment, avec tous les égards dus à
leurs protecteurs. Affirmant, pitoyables
rouages d’une propagande, qu’elles ne
doivent leur “statut” qu’à l’école
républicaine, la laïcité, la
"méritocratie" d’une république
imaginaire. Comme si les 6,5 millions de
chômeurs, en France, n’étaient pas
passés par l’école de la république et
n’avaient aucun mérite…
Silencieuses face aux souffrances, et
spoliations, de leurs peuples ou
nations, dont elles prétendent être
originaires. Se prosternant même devant
leurs oppresseurs. Leur incessante
référence à la "méritocratie", dont
elles seraient les héroïnes, n’est, en
fait, qu’un aveu : celui de leur
servilité putassière.
Ce lamentable personnage, fait écho à
un groupe essentiel dans toute
colonisation, les : “Petits
Blancs”. Portraits ravageurs de
cette catégorie d’individus : minables,
miteux, lâches, stupides (l’un d’eux est
joué par
Tarentino lui-même !).
Tous, aussi exploités et méprisés par
leurs richissimes patrons que les
esclaves qu’ils sont chargés de dominer
et d’exploiter au quotidien. Seule
différence, celle de trouver leur
identité dans le mépris des colonisés,
et donner libre cours à leurs pulsions
sadiques en toute impunité. Image du
racisme colonial ordinaire, parfaitement
mise en scène. Impact explosif !
Et, personnage central du film,
magistralement interprété par
Samuel Jackson méconnaissable,
l’auxiliaire indispensable de tout
esclavagisme, de toute colonisation,
spoliation, occupation :
“Le Collabo”.
Démoniaque, cauchemardesque
d’intelligence perverse, supérieure à
celle de son maître ! Méprisant,
insultant, bafouant, terrorisant, ses
frères Africains. Il personnifie tous
ces dictateurs civils ou militaires,
tortionnaires zélés, bourgeois achetés,
intellectuels vendus, qui participent à
l’abaissement et au pillage de leurs
propres pays.
Y-a-t-il au moins un
Blanc dans le film qui ne soit pas
un salopard fini ?...
Oui. C’est le personnage de King
Schultz, sympathique fripouille, joué
avec un humour inépuisable par
Christoph Waltz. Il fera équipe
avec Django, l’acteur
Jamie Foxx. Symbolisant la
fraternité, entre
Blanc et
Noir. Et au-delà, quelles que
soient couleurs, ethnies et croyances.
Face à l’inacceptable…
Mais, je me garde de vous raconter
les détails de l’intrigue et la fin…
Allez voir ce film, dans une
haletante métaphore, vous y vivrez un
moment d’Afrique, ses drames et ses
espoirs.
A la sortie, pour relâcher la
pression avec une bonne rasade de rire,
en guise de pop-corn, je vous offre une
tranche de “bien-pensance” concoctée sur
un site
spécialisé dans la Bonne Conscience
raciste (14) :
« …
Nous avons su élever notre esprit et le
débarrasser de toutes les scories de
toute idéologie ou religion,
en plaçant l’homme et son humanité
[le soulignement est de l’auteur du
texte]
au centre de la société. En ce qui
concerne l’adage connais-toi, toi-même,
et fais de la raison ton art de vivre,
pour certains, ce n’est pas encore gagné
! ».
1.
John Steinbeck,
Lune Noire (The
Moon is Down), J.-C. Lattès, 1994,
p. 86.
7.
Les zones d’ombres de l’intervention
française au Mali – Eléments de contexte
et d’explication (dossier
d’information de 25 pages -
téléchargeable), Association Survie,
www.survie.org, 23
janvier 2013.
8. Source vidéos :
i)
La France au Mali : repérer les “médiamensonges”
(1/2)
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