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Cirepal

La Voix de la Résistance : Palestine, Liban 
(21 décembre 2006)
bulletin n° 15 



Résistance légitime
 
Trois heures de résistance héroïque à Sila al-Harthiye
Les deux martyrs Al-Ayssa et Sawafta ont résisté jusqu'à la dernière minute
Ali Samoudi - Jénine
Trois heures durant, les combattants martyrs, Hussam Mahmoud Ibrahim al-Ayssa (24 ans) du village Sanur et Salah Hafez Mahmud Sawafta (25 ans) de Toubas, les deux appartenant aux Saraya al-Quds, ont refusé de se rendre aux forces de l'occupation qui les encerclaient, à l'intérieur d'une maison abandonnée dans le village de Sila al-Harthyeh, à l'ouest de Jénine. Ils ont poursuivi leur résistance aux soldats de l'occupation jusqu'à l'épuisement de leurs munitions, et que les forces de l'occupation aient bombardé la maison par toutes sortes d'armes avant de les assassiner, après qu'ils aient été blessés.
Les habitants de Sila al-Harthyeh racontent que les soldats ont continué à appeler les combattants, pendant des heures, leur demandant de se rendre, mais ces derniers ont insisté pour résister et affronter les forces de l'occupation. Le village n'avait pas assisté à des affrontements aussi intenses, depuis longtemps.
L'opération de l'armée sioniste a commencé aux environs de deux heurs du matin, lorsque 30 véhicules militaires accompagnés de bulldozers et soutenus par l'aviation de reconnaissance et des Apatchis, ont pénétré dans le village. Les soldats ont fermé toutes les issues du village, ont encerclé les quartiers et interdit à la population de sortir de chez eux. Puis les écoles ont été fermées, et aucun é&lève n'a pu rejoindre son école, les soldats ayant mis des barrages sur les routes. Les soldats de l'occupation ont également confisqué les ambulances du Croissant rouge palestinien, interdit aux juornalistes, aux agences de presse locales et internationales de se déplacer, même après le retrait des forces de l'occupation.
 
Sheikh Khaled Jaradat, du Jihad islamique, a déclaré que le déploiement de l'armée sioniste s'est concentré sur le centre du village, les soldats ayant occupé plusieurs maisons, encerclant une maison abandonnée près de la mosquée du village. Ils ont alors commencé à lancer des appels, demandant aux combattants recherchés de se rendre, tout en tirant sur la maison.
Jaradat a ajouté que les soldats ont investi toutes les maisons à proximité, prenant en otages les citoyens, les expulsant de leurs maisons et les rassemblant sur une place. Des témoins ont raconté que les coups de feu et l'explosion de charges a duré pendant une longue période de la nuit. Au matin, la force israélienne a essayé d'investir la maison abandonnée, mais elle a été repoussée par la résistance des jeunes encerclés. Les forces sionistes ont reculé, pendant que les bulldozers avançaient pour détruire le mur qui entourait la maison, afin de faciliter l'attaque des soldats.
 
Résistance et refus de se rendre
Les villageois ont affirmé que les jeunes Al-Ayssa et Sawafta ont refusé de sortir et de se rendre aux occupants, qui ont commencé à bombarder la maison à la mitraillette lourde, et qui ont menacé les combattants de détruire la maison sur leurs têtes. Ibrahim Jaradat a témoigné disant que de violents coups de feu ont été échangés, les résistants ont affronté les forces de l'occupation pendant plus de trois heures, jusqu'à l'épuisement de leurs munitions. Après la cessation des coups de feu de l'intérieur de la maison, les forces de l'occupation se sont massées autour et ont poursuivi leurs tirs et leurs bombardements, jusqu'à ce qu'elles puissent exécuter les deux martyrs. La maison a été investie et les deux dépouilles mortelles furent retirées vers une maison proche.
Des dizaines de jeunes du village ont affronté la présence des soldats, en lançant sur les chars et les véhicules des pierres et des cocktails molotov, et les soldats occupants ont tiré des balles, un jeune fut blessé par une balle en caoutchouc. Les habitants ont expliqué que les soldats ont alors poursuivi des jeunes et arrêté plusieurs, accusés d'appartenir au Jihad islamique.
Après le départ des forces de l'occupation, la population a pu transporter les dépouilles mortelles de deux martyrs, criblées de balles, ce qui a suscité la colère de la population.
 
 
Les Saraya al-Quds ripostent
Pluie de roquettes sur le Naqab occidental (www.arabs48.com)
6 roquettes ont été lancées cet après-midi (20/12) sur les colonies sionistes se trouvant dans le Naqab occidental. L'une est tombée au sud d'Ashkelon (village palestinien d'origine, al-Majdal) et d'autres sur le passage de Sufa. Plus tôt, d'autres roquettes avaient été lancées du nord de la bande de Gaza en direction de Sderot, et selon les sources sionistes, les roquettes sont tombées dans un lieu ouvert.
Les Saraya al-Quds, branche armée du mouvement du Jihad islamique, a lancé les roquettes sur Sderot, en première réponse à l'assassinat de deux de ses combattants, à Sila al-Harthya, les martyrs Salah Sawafta et Hussam al-Ayssa.
Le communiqué de Saraya al-Quds a appelé l'ensemble des combattants des mouvements Hamas et Fateh, des appareils sécuritaires et de la sécurité exécutive (qui dépend du minisère de l'Intérieur) de préserver le sang palestinien, rappelant la parole du martyr fondateur du mouvement, Fathi Shiqaqi, assassiné par le Mossad : "L'unité est un devoir légal, si nous ne nous unissons pas, l'ennemi nous tuera un à un".
Abu Ahmad, porte-parole des Saraya al-Quds, a déclaré que le mouvement ne restera pas les bras croisés face aux assassinats de ses combattants et de tous les combattants de notre peuple, la réponse à l'assassinat des deux combattants des Saraya dans la région de Jénine ne tardera pas, et à l'intérieur de l'entité sioniste. Il a ajouté que la trêve n'existe pas, toutes les options sont ouvertes pour les combattants de notre peuple.
Il a appelé toutes les branches militaires des organisations de la résistance à abandonner leurs conflits internes et à revenir à la résistance puisque l'occupation se poursuit et que l'occupant rompt la trêve. Il a mis en garde contre le fait de faire porter la responsabilité aux Saraya al-Quds de toute riposte des Saraya au cours des prochaines heures, puisque l'occupant a rompu la trêve par 457 actes depuis sa proclamation.
 
Au barrage de Hamra, la sauvagerie sioniste au quotidien
Nida' al-Quds, correspondant (20/12)
Les soldats de l'occupation sont devenus furieux lorsque la population s'est avancée en un seul mouvement pour protéger l'étudiant qui venait d'être sauvagement agressé et frappé sur le barrage de Hamra. Ils sont alors confisqué tous les papiers d'identité et ont maitenu tout le monde, pendant 5 heures, en plein air. Salem Zayda, un étudiant, témoigne : j'ai été fouillé puis le soldat s'est mis à questionner à propos de mes papiers; d'autres ont commencé alors à fouiller mes affaires, et d'un seul coup, ils se sont jetés sur moi, m'ont frappé sauvagement, ils m'ont tiré par terre. 7 soldats se sont mis à me frapper sans relâche.
Cette scène a provoqué les gens, qui sont sortis de leurs voitures et se sont approchés pour demander la fin des brutalités. L'un des jeunes s'adresse aux soldats lui demandant pourquoi ils font cela ? C'est criminel! les soldats se sont mis en colère, ils se sont mis en alerte, ont levé leurs armes vers la population, mais les gens n'ont pas reculé, au contraire, ils avançaient encore plus.
 
Zakaria Khaled, un chauffeur, poursuit son récit, disant : les gens se sont rassemblés, et ont demandé à parlé à l'officier du barrage, mais les soldats ont tiré des coups de feu, et ont commencé à attaquer la population. Une patrouille des occupants est alors venue renforcer la présence militaire, mais ce n'était pas suffisant pour la population qui a maintenu son rassemblement devant le barrage, exigeant la fin des brutalités. Les forces militaires ont encerclé la population, ont confisqué leurs papiers d'identité puis les ont laissés pendant 5 heures en plein air, alors qu'ils enchaînaient l'étudiant et l'emmenaient vers une destination inconnue.
La population a témoigné que les agressions et brutalités sont quotidiennes au barrage de Hamra, c'est celui qui sépare la région de Jénine et la vallée du Jourdain du reste de la Cisjordanie. Le chauffeur Firas Abdel Nasser explique que les soldats du barrage se comportent avec sauvagerie avec la population, ils agressent les jeunes, et notamment ceux qui portent la barbe et les étudiants. La semaine dernière, a-t-il ajouté, les soldats ont agressé et frappé trois jeunes parce qu'ils avaient la barbe, ils ont été arrêtés pendant des heures et frappés.
Le chauffeur Bilal al-Hadaq raconte que les soldats ont arrêté un jeune parce qu'il avait écrit les mots Allah, malheur aux criminels, victoire aux déshérités. Lorsque je suis arrivé au barrage, les soldats demandent aux jeunes de sortir de voiture, il y avait parmi eux un jeune étudiant, Najib al-Basha, ils l'ont arrêté, lui ont demandé d'ouvrir sa sacoche, et lorsqu'ils ont vu le Coran, ils se sont mis en colère, ils ont fouillé dans les cahiers et ont vu ce qui était écrit, ils m'ont demandé de venir lire, et à peine avais-je fini qu'ils m'ont jeté à terre, puis ils ont emmené Najib avec eux dans leur véhicule vers le campement militaire où il a été battu.
 
Azmi Bishara, président du Rassemblement national démocratique (Palestiniens de 48)
 écrit :
(...) le conflit en cours est un conflit entre deux voies. Les puissances étrangères, les Etats-Unis et Israël notamment, exercent des pressions sur les forces du règlement pour qu'elles règlent rapidement la bataille et posent ses conditions, qu'elles ne tergiversent pas surtout que le blocus a duré un long moment, car il y a le rapport de Baker et Hamilton et le besoin d'Israël pour un règlement après la guerre sur le Liban, et le refus américain d'une ouverture vers la Syrie. C'est pourquoi les forces du règlement sont pressées et veulent déterminer l'issue de la bataille pour accepter ce que Arafat a refusé, et ce qui leur sera proposé est encore moins important, même si elles remportent la bataille. C'est l'essence du conflit actuel. Remporter une victoire politique au détriment de l'unité nationale ne mène pas à un règlement juste...
La voie de l'unité nationale est une autre voie qui part du point de vue qu'il n'est pas possible de déterminer la bataille actuellement, et qu'en faisant l'unité entre le Hamas, le Fateh et les autres organisations, sur la base que c'est le seul moyen pour briser le blocus et résister, sans annuler la vie du peuple palestinien. Cette unité ne nécessite pas d'imposer des conditions politiques à Hamas, mais de mettre en place un programme politique commun représenté par le document de l'entente nationale et proposer une stratégie commune de résistance.
Mais ce n'est pas ce qui se déroule actuellement, ce qui se passe est plutôt une tentative de décider de l'issue politique, par une crise suivie par une trêve suivie par une crise... La question n'est pas qui soutenir mais quelle unité voulons-nous ? Sera-t-elle basée sur le chantage pour faire des concessions par le maintien du blocus, est-ce qu'il s'agit d'une trêve jusqu'au prochain conflit pour une décision politique ? Ou alors est-ce une unité basée sur la résistance, la volonté nationale de briser le blocus ? (arabs48.com)
 
 
Prisonniers palestiniens et arabes dans les prisons de l'occupation : libération immédiate
 
Enlèvement de 22 Palestiniens en Cisjordanie
Les enlèvements ont eu lieu la nuit du 19 au 20 décembre, dans plusieurs villes et villages de Cisjordanie.
 
Abdul Aziz Dweik, président du parlement palestinien détenu, a considéré qu'il était honteux de parler d'élections législatives alors que plusieurs députés ont été envlevés et mis en prison. Il répondait à la proposition de Mahmoud Abbas d'organiser des élections législatives anticipées pour sortir, selon lui, de la crise politique de l'autorité palestinienne.
Au tribunal militaire sioniste de Ofer, où il avait été convoqué avec plusieurs de ses confrères enlevés comme lui, il a déclaré le 20 décembre que l'appel de Mahmoud Abbas ne bénéficie d'aucune légalité.
Il a appelé le peuple palestinien à se réunir autour du document de l'entente nationale.
 
Membre des brigades des Martyrs d'al-Aqsa, le résistant Yasser Arafat, du camp de Balata, a été mis en isolement dans la prison de Beer Saba'.
 
Le bureau d'information du FDLP
a dénoncé dans un communiqué l'agression et le traitement inhumain subis par le jeune détenu Hassan Sabri Badr, 16 ans, de Abu Dis, lors de sa présence face aux instructeurs de l'occupation, à Maale Adomim. Le jeune Hassan a été frappé à la tête et sur tout le corps, avec des barres de fer. Le directeur du bureau, Munqidh Abu Rumi a demandé à Medecins sans frontières et au comité international de la croix-rouge d'intervenir rapidement pour faire cesser les souffrances des prisonniers et notamment la pratique de la torture de la part des instructeurs sionistes.
 
 
Témoignage de Sheikh Tahayneh, de Jénine
Nida' al-Quds (10/12)
Sheikh Tahayneh est détenu administratif. Il est membre du Jihad islamique. Dans un entretien, il parle des conditions de détention dans la prison de Megiddo, où il est détenu. Il appelle à lancer une large campagne de solidarité avec les prisonniers et leur résistance face à la politique de répression menée par les autorités carcérales israéliennes et leur appareil le Shabas, qui visent à faire plier les prisonniers en les humiliant et les torturant.
Les forces de l'occupation ont refusé de libérer sheikh Sharif Tahayneh, après 30 mois de détention administrative. Il n'est pas accusé, n'est pas condamné, mais les autorités de l'occupation prétendent détenir un dossier secret sur ses activités au sein de la direction du Jihad islamique. Il se trouve toujours avec des centaines de prisonniers dans la prison de Megiddo, dans des conditions de plus en plus pénibles à cause des provocations continuelles de la direction des prisons. Le moindre geste est prétexte pour envahir les cellules et les fouiller, puis punir les prisonniers.
A chaque fois que les forces spéciales de la prison investissent et fouillent les cellules, des prisonniers sont convoqués. "J'ai été convoqué puis mis en isolement. J'ai aussi été interdit des visites. C'est la situation régulière des prisonniers. Chaque prisonnier peut être à tout instant interdit des visites, sans raison, ou alors mis en isolement jusqu'à ce que les familles payent une amende, mais souvent, les familles ne peuvent pas. Donc, le détenu reste en isolement.
Sheikh Tahayneh raconte que l'un des moyens de l'autorité carcérale sioniste et de la Shabas est de surveiller constamment les prisonniers, qui sont interdits de se réunir, et lorsque les prisonniers parlent de la situation politique, ils sont agressés. La situation est très tendue à chaque fois qu'il y a le sermon du vendredi. Ils suivent tous les mots dits, ils veulent nous interdire d'être en liaison avec notre peuple, de conscientiser les plus jeunes qui arrivent. Il est interdit de parler de politique, et la punition est terrible. Un jour, sheikh Muhammad Yousef Jaradat a parlé, dans un sermon, de la visite de Condolezza Rice, cela a mis la direction de la prison en colère, qui a arrêté la prière, mis Jaradat en isolement, avec une amende de 450 shekels et une interdiction de visite pendant un mois.
Cela s'ajoute aux conditions désastreuses dans les prisons, avec une nourriture infecte et le manque de soins et de propreté.
 
 
Le Mossad israélien (services de renseignements responsable de l'assassinat de dizaines de résistants palestiniens) fait une tournée en Europe
21/12/06
Selon le quotidien sioniste Yediot Aharanot, les responsables sionistes ont envoyé quelques officiers du Mossad en Europe afin de préparer l'opinion publique et les officiels à des sanctions contre l'Iran, de façon à ce qu'elles ne paraissent pas comme une initiative israélienne. Ces représentants du Mossad se sont déjà rendus en Allemagne et ont l'intention de rencontrer des responsables européens à Bruxelles.
Parions qu'en France, ils n'auront aucune difficulté (au contraire), à rencontrer quelques journalistes et intellectuels, qui ont déjà commencé une campagne contre l'Iran, bien avant l'arrivée du Mossad., il faut juste coordonner les efforts.
 
 
LIBAN
Rencontre avec les familles des martyrs de Marwahin
20 décembre
 
Le responsable de la région sud du Hizbullah, sheikh Nabil Qawuq, a rencontré les familles des martyrs de Marwahin, les victimes du massacre commis par les forces sionistes au mois de juillet 2006. Il a déclaré : les complications politiques internes ne peuvent nous détourner de la poursuite de la libération des terres occupées, les fermes de Shebaa, les collines de Kfarshouba et aussi la libération des prisonniers détenus dans les prisons israéliennes. Il a poursuivi, affirmant que "l'arme de la résistance est uniquement dirigée contre l'ennemi sioniste, nous ne lui ferons pas plaisir en la détournant vers un autre lieu. Nous voulons que notre terre et nos prisonniers reviennent à nous, par une nouvelle victoire, sans offrir des acquis à l'ennemi israélien".
"Ceux qui critiquent la résistance en disant qu'elle s'occupe de la crise interne sont les mêmes qui la guettaient tout au long de la période précédente. Il est vraiment ridicule que les gens du pouvoir disent vouloir préserver le rôle de cette résistance alors qu'ils ont tout fait précédemment pour la détruire. Nous ne sommes en conflit avec aucune confession ou religion. Notre seul adversaire est le groupe qui soutient le projet américain, soutenu par des gens de toutes les confessions. Nous voulons préserver les acquis de la résistance, l'unité nationale loin de tout gain partisan, confessionnel.
Il a affirmé que le gouvernement de Sanioura est illégal, c'est le seul gouvernement libanais que les Israéliens ont loué. Il a conclu : la tâche des pions américains au Liban est de poursuivre les buts de l'agression israélienne pour servir le projet du moyen-orient américain, qui est de servir du début à la fin l'entité sioniste, et non pas les Libanais, que ce soit le peuple ou les confessions.

Traduit par Centre d'Information sur la Résistance en Palestine

 


Source : Cirepal


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