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Cirepal

La Voix de la Résistance : Palestine, Liban 
(15 novembre 2006)
bulletin n° 7 

Centre Palestinien d'information
 
Les sources de la police israélienne ont reconnu ce mercredi soir, 15 novembre, la chute de quatre fusées palestiniennes sur la ville de Ascalan, à l'intérieur des terres occupées en 48. Les sirènes utilisées pour faire face aux fusées n'ont servi à rien, puisqu'elles se sont mises en marche après la chute des fusées.
L'un des habitants sionistes de Ascalan a déclaré : nous avons été à proximité du lieu où sont tombées les fusées, nous avons entendu trois explosions, puis les sirènes d'alarme". Un autre a déclaré : "j'ai entendu une grande explosion, puis aperçu une fumée dense, et des ambulances qui se dirigeaient vers le lieu de l'explosion, et alors que je m'approchais de la fenêtre, j'ai vu tomber d'autres fusées."
Les Brigades du martyr al-Qassam ont annoncé leur responsabilité de cette attaque, au moment où les Alwiya an-Nasir Salaheddine affirmaient que leurs combattants ont tiré des fusées sur Ascalan.
Ces attaques viennent quelques heures après les attaques sur Sderot, colonie sioniste construite en 48 sur le village palestinien de Najd, attaques revendiquées par les Saraya al-Quds et les Brigades du martyr al-Qassam, où le garde du ministre de la guerre Peretz a été touché.
Les Saraya al-Quds, branche militaire du mouvement du Jihad islamique, ont annoncé ce mercredi avoir touché la colonie Sderot par deux fusées de moyenne portée et occasionné de lourdes pertes aux sionistes. Saraya al-Quds promet de poursuivre la voie de la résistance, notamment après la grave répression que le mouvement subit depuis plus de deux ans, avec les assassinats ciblés de ses militants et les poursuites incessantes de ses combattants et de leurs familles.
En association avec les Brigades Abu Ali Mustafa, branche armée du FPLP, les deux organisations ont frappé par deux fusées le centre Nahal Moz, à l'est de la bande de Gaza, et par une fusée de type Sumud 1 la colonie Bi'ri, à l'est du camp Breij au centre de la bande de Gaza. Le communiqué des organisations fait état du retrait des combattants vers leurs bases.
Dans la ville de Nablus, le combattant Baha' Saleh Khater, 26 ans, des Brigades Abu Ali Mustafa, a été mortellement touché lors d'un affrontement avec les forces sionises qui avaient investi le camp d'al-Ayn.
Dans un communiqué, les Alwiya al-Nasir, branche armée des comités de la résistance populaire, ont annoncé avoir tiré sur un soldat sioniste se trouvant dans la base près du camp Breij, dans la bande de Gaza.
Cette opération, précise le communiqué, est une riposte aux crimes de l'occupant, affirmant que la lutte se poursuivra jusqu'à la libération totale de la terre occupée.
 
 
Gouvernement palestinien : il n'y aura pas de reconnaissance de l'Etat d'Israël
Centre Palestinien d'Information
Dr. Mahmud Zahhar, ministre des affaires étrangères dans le gouvernement palestinien a affirmé que le prochain gouvernement d'unité nationale qui est en train d'être constitué pour rassembler toutes les forces palestiniennes "ne reconnaîtra pas l'entité sioniste". Dans une déclaration à la presse à Téhéran, il a déclaré que le programme du gouvernement d'unité s'appuie sur le document d'entente nationale, qui ne mentionne pas la reconnaissance, et qui ne fait pas de concessions sur les droits palestiniens, affirmant que ce gouvernement ne sera pas constitué en fonction des demandes du quartet, mais en fonction de la situation intérieure palestinienne.
 
 
Crise dans l'armée et les appareils sécuritaires sionistes
Un responsable militaire sioniste a déclaré que l'armée de l'occupation vivait une des crises les plus profondes depuis sa fondation. Des proches de Dan Halutz, chef de l'état-major de l'armée ont affirmé que ce dernier souhaitait réellement démissioner de son poste, avant la fin de ce mois.
Halutz se considère victime des commissions d'enquête sionistes qui essaient de comprendre les failles de cette armée ayant conduit à la victoire de la résistance libanaise, cet été.
Un sondage publié par un quotidien sioniste montre que 71% des personnes interrogées souhaitent la démission de Halutz.
Non seulement au Liban, mais l'armée sioniste se trouve incapable d'arrêter la résistance à partir de la bande de Gaza et dans les territoires de la Cisjordanie, malgré tous les massacres commis et toutes les invasions et arrestations, depuis le début de l'Intifada. L'incapacité de l'armée sioniste est devenue plus manifeste depuis cet été, où l'invasion de la bande de Gaza n'a servi qu'à intensifier les tirs de la résistance en direction des colonies installées depuis 48
Mais la crise qui secoue l'armée, fondement de l'Etat sioniste, n'est pas la seule.
Un rapport de l'ambassade israélienne à Moscou est récemment parvenu au ministère des affaires étrangères sioniste, montrant que le nombre d'Israéliens qui quittent l'Etat et retournent à leur pays en Russie est de 50.000 alors qu'ils étaient 7500 il y a trois ans. Selon le département des statistiques, 28.500 russes juifs sont retournés dans leur pays.
Des personnalités israéliennes en Russie explique ce mouvement de retour au pays par l'amélioration des conditions de vie en Russie et la détérioration des conditions de la sécurité dans l'Etat d'Israël.
 
Comment la Jordanie applique ou n'applique pas les résolutions du sommet arabe
L'agence de presse allemande a repris les déclarations d'un responsable des banques jordaniennes, disant : les banques en Jordanie n'ont pas l'intention de briser le blocus financier imposé contre le gouvernement palestinien, tel que cela a été décidé par le sommet des ministres des affaires étrangères arabes".
"Les banques jordaniennes travaillant dans les territoires palestiniens "n'ont pas l'intention de prendre les mesures nécessaires pour briser le blocus, par crainte des mesures de vengeance des sionistes, comme cela s'est passé auparavant.
Bien que les ministres des affaires étrangères arabes aient pris cette décision à cause des préparatifs de changement de gouvernement au niveau palestinien, il semble que la décision doive rester de l'encre sur le papier, suite aux déclarations américaines, qui s'étonnent que les ministres aient pu oser faire une telle déclaration.
Rappelons qu'il y a huit banques jordaniennes qui travaillent dans les territoires occupés palestiniens en 67, avec 51 agences.
 
 
 
Prisonniers palestiniens et arabes : exigeons leur libération
 
chantage israélien : Israël refuse les visites aux prisonniers du Hamas tant qu'il n'a pas d'informations sur le soldat détenu
Le quotidien israélien Yediot Aharanot a écrit que les appareils sécuritaires sionistes sont en train de préparer un nouveau moyen de pression sur le mouvement Hamas consistant à interdire les visites familiales aux prisonniers du mouvement tant qu'ils n'ont pas d'informations sur le soldat israélien détenu par les groupes de la résistance, dans la bande de Gaza.
Mais ce que le quotidien semble dire et qui n'est pas vrai, c'est que les autorités israéliennes respecteraient les droits des prisonniers palestiniens, et que cette mesure d'interdiction de visites serait exceptionnelle. Or, l'interdiction des visites familiales est un chantage constant pratiqué par Israël contre les prisonniers et leurs familles.
 
 
Nadi al-asir al-Filistini
14-15 novembre 2006
Communiqué de presse
Les parents des prisonniers d'al-Quds et des territoires occupés de 48 réclament que leurs enfants soient inclus dans l'échange des prisonniers
14 novembre 2006
Dans un appel qui est parvenu à Nadi al-asir al-Filistini, les parents des prisonniers d'al-Quds et des territoires occupés de 48 réclament du président palestinien que l'opération d'échange prévue avec l'Etat sioniste, que leurs enfants soient inclus dans cet échange. Les parents s'adressent au président, au chef du gouvernement ainsi qu'au conseil législatif palestinien, et tous les responsables du dossier des négociations et des échanges, leur demandant de ne pas laisser passer l'occasion de faire libérer leurs enfants, de maintenir les critères de justice et d'équité et de ne pas pratiquer de discrimination envers les prisonniers originaires de la ville d'al-Quds (annexée par les sionistes) et des territoires occupés en 48 (Etat d'Israël).
Ils réclament que l'ensemble des prisonniers soit pris en compte, et que l'échange soit en faveur prioritairement des anciens prisonniers (plus de vingt ans de détention).
Nadi al-Asir se joint à cet appel et réclame que tous les prisonniers et arabes détenus dans les geôles sionistes soient pris en compte pour mener l'opération d'échanges.
 
Le prisonnier Mazen Daoud Faraj, du camp de Aïda, torturé
Le 13 novembre dernier, le prisonnier Mazen Daoud Faraj, détenu dans le centre de Atzion, a déclaré à l'avocat de Nadi al-asir, avoir été sauvagement frappé sur tout le corps, et notamment au visage (oeil et oreille gauches). Il a ensuite été transféré à l'hôpital Hadassa Ayn Karm pour être soigné. Les médecins ont décelé une oreille gravement percée. Il a déclaré souffrir d'une insuffisance respiratoire et des maux de têtes terribles, à cause des coups subis.
L'avocat de Nadi al-asir, Hussayn Sheikh, a déclaré que les prisonniers détenus dans le centre Atzion subissent une punition collective car ils demandent l'amélioration des conditions de leur détention. Ils ont réclamé une nourriture propre, des produits d'entretien des cellules et l'amélioration de l'aération des cellules, mais la direction a refusé net et les a plutôt privés de la promenade quotidienne et a isolé un certain nombre d'entre eux dans des cellules individuelles.
Les prisonniers se sont plaints des pratiques provocatrices des geôliers, qui les insultent sans cesse et leur interdisent de faire leurs prières, mais aussi les frappent lorsqu'ils sont transférés aux centres d'interrogatoire.
 
Dans le cadre de ses activités de solidarité avec les prisonniers, Nadi al-asir al-Filistini a introduit 60 couvertures pour les prisonniers du centre militaire de détention Atzion, au sud de Bethlehem. Il s'agit d'un don du gouvernorat de Bethlehem en faveur des prisonniers. Nadi al-asir rappelle qu'au cours du mois d'ocotbre, les rafles de l'occupant ont ajouté 85 nouveaux détenus à ceux qui étaient déjà à Atzion.
 
420 Palestiniens enlevés depuis le début du mois de novembre
Les forces de l'occupation ont accentué les rafles au sein des Palestiniens, y compris les enfants et les femmes. 420 Palestiniens ont été enlevés. Le député Issa Qaraqi', rapporteur du comité des prisonniers dans le conseil législatif, a mis en garde contre ces rafles qui sont de plus en plus fréquentes, presque quotidiennes, dans les villes et les villages palestiniens. Il a déclaré que ces rafles sont la guerre silencieuse menée sans fracas, mais ayant autant d'impact que la guerre par les armes, à cause des méthoodes sauvages et barbares utilisées contre les citoyens dès leur arrestation.
 
Les forces américaines arrêtent des femmes palestiniennes à Baghdad, en Irak
Le conseil des ulémas musulmans en Irak a dénoncé l'arrestation des femmes palestiniennes par les forces américaines d'occupation, décrivant ces actes de crimes immoraux. La communauté palestinienne en Irak a déclaré que les forces américaines ont arrêté trois femmes et six hommes lorsqu'elles ont investi leurs maisons à l'est de Baghdad. Les forces américaines sont également accusées d'avoir pillé et volé l'argent des familles palestiniennes dont les membres ont été arrêtés.
 
Nos prisonniers perdent la vue à cause de la torture
13 novembre 2006
L'avocat de l'association Mandela de solidarité avec les prisonniers, a déclaré que les prisonniers palestiniens souffrent de conditions désastreuses, à cause de la malnutrition, de la négligenve médicale et du manque de vêtements chauds et de couvertures pour l'hiver.
Dans le centre de Huwwara, les soldats sionistes ont agressé les prisonniers en les frappant et les insultant. Ils les privent de se rendre aux toilettes au cours de la nuit. Les détenus affirment qu'il n'y a pas d'eau chaude, que les cellules sont dépourvues de matelas et de couvertures, les détenus devant dormir sur le sol nu alors qu'ils manquent de vêtements chauds. Plusieurs détenus sont malades comme Maher Badawi et Alaa Abu Salem.
Le cas du prisonnier blessé Haytham Mahmud Abdel Jalil Yassine, est très grave, il est de Asira Shamaliya, les soldats de l'occupation ont tiré sur lui et l'ont blessé, alors qu'il passait par un barrage. Il se trouve actuellement à l'hôpital Rabin à Petah Tikva, les avocats de Mandela l'ont visité le 6 novembre dernier. Il est dans un état critique, la balle ayant traversé le bassin pour exploser à l'intérieur de son estomac.
Dans la prison de Beer Saba' (Halikedar), 460 prisonniers sont répartis en trois sections. Buthayna Daqmaq, présidente de l'association Mandela, a visité plusieurs prisonniers. Thaer Hammad a dénoncé la négligence médicale des autorités pénitentiaires en direction des prisonniers, il a donné pour exemple les cas de Abdel Raouf Hamed et de Salameh Rashayda, qui a perdu la vue au cours de l'interrogatoire. Ce dernier a déclaré à l'avocat qu'au cours de l'interrogatoire dans la prison de Ascalan, il a été sauvagement frappé à la tête, par l'arrière, et parfois, il était battu alors qu'il avait les yeux bandés. Un mois après ces interrogatoires, il a perdu la vue alors qu'il se trouvait en cellule.
Trois prisonniers sont en isolement dans cette prison. Il sr'agit de Mu'tazz Hijazi, Saleh Dar Musa et Abdallah Barghouty, qui est en isolement depuis son arrestation le 5 mars 2003. Ces prisonniers isolés sont privés des visites familiales. Les ordres d'isolement sont renouvelés automatiquement.
 
 
 
Liban : la majorité des bombes à fragmentation utilisées par Israël dans sa guerre contre le Liban a été fabriquée par les Etats-Unis.
Des centaines de milliers de ces bombes n'ont pas encore explosé. Israël, bien que fabriquant ces bombes, a reçu ces quantités par le biais de l'aide américaine, directement, sans passer par les industries militaires, ce qui lui a évité de les acheter sur le compte de son armée. Selon des sources sécuritaires israéliennes, Israël préfère acheter ces bombes en payant avec l'argent des aides américaines. Le montant de ces aides annuelles se monte à près de 3 milliards de dollars, la grande partie servant à acheter des armes fabriquées par les Etats-Unis.
 
Sayyid Nasrullah, s'adressant aux Libanais : N'ayez crainte... La paix civile est solide, le gouvernement s'en ira et nous n'avons plus de relation avec lui
14 novembre 2006
Le secrétaire général du Hezbullah, Sayyid Hassan Nasrullah a déclaré devant une assemblée de plus de six mille sinistrés de la banlieue sud : le gouvernement "propre" viendra et construira, et nous, nous n'abandonnerons pas les gens, et comme nous l'avons affirmé le premier jour de la victoire, nous sommes engagés avec vous pour la reconstruction de vos maisons, vos institutions, avec de l'argent propre. Dans trois mois, les chantiers de la reconstruction de la banlieue se mettront en route.
Il a appelé la population à ne pas craindre la guerre civile, disant : certains agitent cette menace, mais je vous dis que c'est le faible qui va aller dans ce sens, ce pays est le nôtre, et nous avons donné des dizaines de milliers de martyrs, de blessés, de détenus et de handicapés, ce que nous avons de plus cher pour le protéger, le rendre fier et digne, et nous protègerons la paix civile et la stabilité".
Il a conclu : "ce gouvernement s'en ira, et nous n'avons plus aucune relation avec lui depuis notre démission, il y aura un autre gouvernement. Je ne vous promettrai pas que sa crédibilité sera plus élevée, car la crédibilité de celui-ci est zéro.
 
 
Le député Usama Saad, président de l'organisation populaire nassérienne (Saïda) : Au cours d'une conférence de presse, il a déclaré que "le chef du gouvernement doit se comporter, après la démission de sept ministres, comme le chef de gouvernement pour tous les Libanais et non comme partisan d'une partie, il doit prendre l'initiative pour aider à resserrer les rangs et non les diviser. Dans tous les cas, le gouvernement a échoué car il ne peut aider les Libanais" Il a indiqué que "les forces du pouvoir poursuivent la politique de la tension politique, d'incitation et d'accaparement du pouvoir. Elles refusent la participation des autres parties". Il a considéré que ces forces ont sciemment fait échouer le dialogue auquel avait appelé le président du parlement, Nabih Berri, concluant par "les forces du pouvoir cherchent à terroriser les forces de l'opposition en les accusant d'avoir participé au crime d'assassinat du président martyr Rafic Hariri".
 
Le Hizbullah : le coup d'Etat est américain, et Sanioura participe au cortège funèbre de ses victimes
As-Safir, 14 novembre 2006
Ce qui s'est passé la veille ne passera pas ainsi sans conséquence... C'est le sentiment général qu'en retire le camp de l'opposition après la réunion du conseil des ministres, sous la présidence de Sanioura, qui a ignoré la démission des ministres du Hizbullah et du mouvement Amal, ainsi que de Ya'kub Sarraf, passant par-dessus la position du président de la république.
Pour le Hizbullah, ce qui s'est passé est un coup d'état contre les accords de Taef . Il déclare : "comme nous les avons surpris par notre démission, nous les surprendrons par d'autres mesures". Il a critiqué les paroles du député Saad al-Hariri qui a encore une fois de plus évoqué un plan syro-iranien, considérant que ces paroles sont une grave accusation contre toute une confession, sachant que "l'Iran contre laquelle Hariri se démène, a aidé le Liban suite à la guerre israélienne, alors que les Etats-Unis, alliées de Hariri, ont offert à Israël les bombes ayant servi à détruire le Liban."
 
 
Al-Akhbar, quotidien
Une protection française pour Sanioura
La présence d'éléments de la sécurité étrangers à l'entrée du siège du conseil des ministres a suscité des questions sur une intervention étrangères dans les affaires internes libanaises. Qui sont ces éléments et pourquoi sont-ils là ?
Trois éléments de la sécurité vêtus autrement, mais avec des insignes sur la poitrine de "la République libanaise" portaient, après enquête, la nationalité française. Ils appartiennent au corps de la gendarmerie française, et sont spécialisés dans la défense des individus. Ils ont pour mission de former et d'améliorer les actions des gardes du premier ministre libanais.
Un diplomate européen a expliqué que le premier gendarme français est arrivé le 30 octobre dernier, suivi par les autres. Leur mission était décidée dès l'année 2005. D'autres gendarmes français sont attendus pour former les forces de la sécurité libanaise à protéger le premier ministre et ses divers convois.
Le président du parlement libanais n'est pas protégé, car "il ne l'a pas demandé", mais le président de la république a été protégé en 2004, mais la protection fut enlevée suite aux rapports tendus entre le président Lahoud et le président français Chirac. Le 19 novembre prochain, arriveront à Beirut trois éléments du service de la protection des hautes personnalités pour former les éléments de la sécurité générale.

Traduit par Centre d'Information sur la Résistance en Palestine

 


Source : Cirepal


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