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Rapport

Dans le mois sacré de Ramadan,
Marj Ben Amer prend vie

CPI


Photo: CPI

Mardi 14 juillet 2015

Jénine – CPI

Quelque cinq mille ouvriers palestiniens mettent tous leurs efforts pour la cueillette du concombre dit printanier, dans la vallée de Marj Ben Amer, à l’ouest de la ville de Jénine, au nord de la Cisjordanie, défiant la chaleur estivale accentuée, pendant ce mois béni de Ramadan. Ils font tout pour apporter quelque chose à mettre sous la dent de leurs enfants.

Mahmoud Khamaysa se réveille tôt le matin pour rejoindre les milliers de saisonniers qui vont assumer cette besogne difficile, dans une journée longue et chaude, l’échine courbée sous un soleil de plomb.

La saison du concombre est un temps vital de l’année pour des centaines de familles ; il n’est pas question de remettre la cueillette à plus tard, après le mois sacré de Ramadan.

Justement, Ramadan est le mois de la patience ; on y travaille même au milieu de l’été ; on a l’habitude, dit-il.

Puis, travailler fait partie de la religion ; alors travailler et jeûner, la récompense sera doublée, souligne-t-il.

Essaims d’ouvriers

Comme des essaims d’abeilles, s’activent des milliers d’hommes, de femmes et même d’enfants, sur les terrains de Marj Ben Amer, sur quelque trois cents hectares, travaillant environ dix heures par jour, dans ces journées les plus longues et les plus chaudes de l’année.

L’agriculture est un métier spécial ; elle ne connaît pas de répit. Ce n’est pas l’homme qui choisit le moment de travailler. Ce sont les saisons de l’année qui imposent leurs prérogatives ; il faut faire avec, souligne l’ouvrier agricole Jaradat.

Dans le secteur du bâtiment, depuis quelques années, on travaille le soir, après la rupture du jeûne, après avoir retrouvé la force et l’eau. On peut continuer de cette manière jusqu’à l’aube, bien que certains se plaignent de certains tapages nocturnes ; mais on n’a pas le choix.

L’agriculteur Aymen Marï envie les ouvriers de la construction. Il se plaint : « Nous, les ouvriers de l’agriculture, souffrons le plus, pendant le mois sacré de Ramadan ; eux, au moins, peuvent reporter leur besogne la nuit ».

Notons enfin qu’à Marj Ben Amer, il y a les terrains les plus fertiles de la Palestine. C’est une grande vallée de plusieurs centaines kilomètres qui va jusqu’à la ville de Haïfa, à l’intérieur des territoires occupés en 1948. Ses bourgades vivent de l’agriculture, en plus de leur importance historique et archéologique.

 

 

   

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Source : CPI
http://french.palinfo.com/...

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