Accueil Luc Michel Dossiers Auteurs Communiqués Agenda Invitation à lire Liens Ressources
Dernières mises à jour Les rapports du CPI Le Hamas Les vidéos BDS Ziad Medoukh Centre de la Paix Gaza Université al-Aqsa Gaza Qui? Pourquoi?

Google
sur le web sur Palestine Solidarité

 

 
Centre Palestinien
d'Information



 
Invitation à lire





BDS



Solidarité



Produits palestiniens



Eurasie-Afrique


 
En direct d'Iran



Agence syrienne



Agences Russes




 
Radio Chine

Internationale
 
Palestine Solidarité
sur Facebook



 


   


Rapport

L’enfance palestinienne dans le collimateur de
l’occupant : violence corporelle et humiliation morale !

CPI


Photo : CPI

Lundi 8 janvier 2018

Al-Quds occupée (Jérusalem) – CPI

Le droit international considère l’arrestation des mineurs comme un crime. L’entité sioniste fait cependant fi de toutes les lois, toutes les conventions, toutes les traditions. Elle renferme plus de trois cents mineurs palestiniens dans ses prisons.

Cette information est confirmée par le journal hébreu Haaretz. Dans un article, la journaliste Omira Has remarque qu’environ 64% des mineurs palestiniens interpellés ont été plus ou moins agressés, frappés. 

L’auteur de l’article dit que deux tiers de ces soixante-dix mineurs palestiniens interpellés en 2017 ont été frappés, confirment les rapports du bureau du contrôle des tribunaux militaires. Ce n’est qu’un échantillon.

Violence corporelle

Le rapport évalue la moyenne des mineurs violentés en 2013 à 64%.

Le rapport donne d’autres détails. 51% des mineurs (de 12 à 17 ans) disent qu’ils ont reçu des gifles, 19% des coups de pied, 9% qu’ils ont été frappés par des outils, 1% qu’ils ont été obligés de s’assoir dans des positions difficiles et douloureuses, sans parler des violences verbales, des menaces de toutes sortes, des violences illégales aux yeux des organisations des droits de l’homme.

L’UNICEF a aussi publié un rapport quant à l’arrestation des enfants palestiniens. Le rapport confirme que le mauvais traitement des enfants interpellés est devenu monnaie courante, des actes systématiques, depuis l’arrestation jusqu’à la prononciation du jugement.

Arrestations nocturnes

Souvent, les forces de l’occupation sioniste arrêtent les mineurs durant la nuit, les yeux bandés, interdits de rencontrer leur famille et leurs avocats, avant et pendant les interrogations.

Après la publication de ce rapport, les représentants sionistes ont promis d’améliorer la situation. Le procureur général militaire a fait une publication ordonnant au commandant de la force d’arrestation de s’assurer que la personne arrêtée ait de l’eau, de la nourriture, la possibilité de faire ses besoins et qu’elle ne soit pas le sujet d’une violence corporelle ou verbale.

Après le rapport de l’UNICEF, on remarque une petite amélioration dans certains domaines, mais pas partout. A titre d’exemple, 21% des mineurs ont pu discuter avec des avocats en 2017, contre 0% en 2013. 

L’auteur de l’article résume enfin que ces cinq dernières années, 540 mineurs, 14% des mineurs palestiniens arrêtés durant cette période, ont été questionnés. Et d’après les données du service israélien des prisons, 318 mineurs se trouvaient encore dans les prisons israéliennes en juin 2017.

 

 

   

Les rapports du CPI
Le dossier Hamas
Les dernières mises à jour



Source : Centre Palestinien d'Information
https://french.palinfo.com/...

Abonnement newsletter: Quotidienne - Hebdomadaire
Les avis reproduits dans les textes contenus sur le site n'engagent que leurs auteurs. 
Si un passage hors la loi à échappé à la vigilance du webmaster merci de le lui signaler.
webmaster@palestine-solidarite.org




Ziad Medoukh

Analyses et poèmes
 
Toumi Djaidja

Analyses

René Naba

Analyses
 
Manuel de Diéguez

Analyses

Hadassah Borreman

YECHOUROUN

Bruno Guigue

Analyses

Chems Eddine Chitour

Analyses

Mikhaïl
Gamandiy-Egorov

Afrique-Russie
 
Luc Michel

Analyses

Fadwa Nassar

Analyses et traductions
 
Robert Bibeau

Analyses
 
Salim Lamrani

Analyses
 
Manlio Dinucci

Analyses
 
Mohsen Abdelmoumen

Analyses