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Livre

Le Qui ça Errant, déjà ?? (II)
Une étude de la politique juive identitaire
Gilad Atzmon

 

Zero Books, 2011-11-16
202 pages
ISBN 978-1-84694-875-6

Adaptation en français : Marcel Charbonnier

 

IDENTITE  vs IDENTIFICATION

[15]

Chapitre 1 - Le droit à la disputation

A Londres, dans ce que j’appelle souvent « mon exil auto-imposé », je compris qu’Israël et le sionisme ne sont que des sous-parties constituantes d’un problème beaucoup plus vaste, à savoir le problème juif.

Israël, c’est l’Etat juif (c’est tout du moins ce qu’Israël revendique être). Israël est largement soutenu institutionnellement, financièrement et spirituellement par la juiverie mondiale. Le sionisme et Israël sont désormais les identifiants symboliques du juif contemporain. Et pourtant, bien qu’Israël soit l’Etat juif et bien qu’il soit très largement soutenu par les lobbies juifs du monde entier, il n’y a pratiquement aucun commentateur qui soit assez courageux pour se demander ce que signifie le mot ‘juif’. Cette question, semble-t-il, reste taboue, en Occident.

Dans ce livre, je m’efforcerai de détricoter cet embrouillamini. Je présenterai une critique impitoyable de la politique et de l’identité juive. Néanmoins, il est crucial de mentionner, avant d’aller plus avant, qu’il ne s’y trouvera nulle référence aux juifs en tant qu’ethnie ou en tant que race. Dans mes écrits, je fais la différence entre les juifs (les gens), le judaïsme (la religion) et la judaïté (l’idéologie). Ce livre ne traite pas des juifs en tant que peuple ou en tant qu’ethnie. S’il y a une chose que mes études sur ce sujet tendent à démontrer, c’est bien que les juifs ne forment aucune espèce de continuum racial. En résumé, ceux qui sont en quête d’une interprétation du sionisme fondée sur le sang ou sur la race devront aller la chercher dans les livres d’un autre auteur que moi.

Dans mon travail, je m’interdis, par ailleurs, de critiquer le judaïsme, la religion juive. Je me contente de confronter entre elles différentes interprétations du code judaïque. Je m’occupe de l’idéologie juive, de la politique identitaire juive et du discours politique juif. Je pose la question de savoir ce que cela implique que le fait d’être juif. J’en recherche les connotations métaphysiques, spirituelles et sociopolitiques.

J’entreprendrai cette exploration en posant une question relativement simple. [16] : qui sont les juifs ? Autrement dit : que veulent dire les gens qui se définissent eux-mêmes en tant que juifs ?

En ce qui concerne cette auto-perception, ceux qui s’appellent eux-mêmes juifs peuvent être répartis entre trois catégories principales :

1 – ceux qui suivent les préceptes du judaïsme ;

2 – ceux qui se considèrent comme des êtres humains dont il se trouve qu’ils sont d’origine juive ;

3 – ceux qui placent leur judaïté au-dessus de tous les autres traits de leur personnalité.

Les deux premières catégories correspondent à un groupe de personnes inoffensives et innocentes.

Nous avons tendance à penser que les personnes religieuses sont généralement inspirées par leurs croyances et que l’on peut s’attendre à les voir obéir à une forme ou à une autre de système de valeurs spirituelles ou éthiques particulièrement élevées. En conséquence, le judaïsme peut être vu comme un système éthique de croyances (3). Le judaïsme a été l’identifiant symbolique des juifs depuis au moins deux millénaires, il est donc particulièrement lucide et cohérent. En dépit du fait que de nos jours, de plus en plus de crimes sont commis au nom de la Torah, le judaïsme, en tant que religion universelle, peut être défendu en suggérant l’idée que le messianisme nationaliste juif n’en est qu’une des interprétations possibles.

La deuxième catégorie est constituée de personnes parfaitement innocentes : en effet, personne n’est en mesure de choisir son origine. Des esprits portés à l’éthique admettront que les gens doivent être traités et respectés avec égalité, quelle que soit leur origine ou leur appartenance raciale et ethnique.

La troisième catégorie, en revanche, est problématique. Sa définition pourra sembler polémique à certains. Et pourtant, très bizarrement, c’est la formulation donnée, à la veille du vingtième siècle, par Chaim Weizmann, une personnalité éminente du sionisme commençant, qui devint par la suite le premier Président d’Israël : « Il n’existe pas des juifs anglais, français, allemands ou américains ; il n’existe que des juifs vivant en Angleterre, en France, en Allemagne ou en Amérique ». En ces quelques mots, Weizmann a réussi à définir de manière catégorique l’essence de la judéité. C’est fondamentalement une [17]  « qualité première ». Vous pouvez être un juif résidant en Angleterre, un juif qui joue du violon, voire un juif antisioniste, mais, avant toute chose, vous êtes un juif. Et c’est exactement cette idée que véhicule la troisième de nos catégories.

Celle-ci consiste à voir dans la judéité l’élément clé et la caractéristique fondamentale d’un juif. Toute autre catégorie ne peut être que secondaire. C’est exactement là le message que les premiers sionistes voulaient faire passer. Pour Weizmann, la judéité était une qualité unique en son genre qui empêchait les juifs de s’assimiler ou de se fondre dans la masse. Un juif serait à jamais resté un aliène.

Cette ligne de pensée apparaissait dans la plupart des textes sionistes. Jabotinsky alla même plus loin. Il était catégorique : l’assimilation était impossible en raison d’un conditionnement biologique. Voici ce qu’il disait, au sujet des juifs allemands : « Un juif élevé au milieu d’Allemands peut certes adopter les coutumes allemandes et le parler l’allemand. Il peut devenir totalement imbu de ce fluide germanique, mais il restera toujours un juif, parce que son sang, son organisme et son type racial, sur le plan corporel, sont juifs ». (Vladimir Jabotinsky, « Lettre sur l’autonomie », 1904).

Ces idées racistes sont antérieures au nazisme. Jabotinsky n’était pas seul à penser cela : même le juif marxiste Ber Borochov, qui attribue la condition juive aux circonstances historiques et matérielles, suggérait un remède particulier à l’usage du peuple juif : le nationalisme juif. Il s’agissait d’une idéologie dans laquelle les juifs pratiqueraient certes une activité prolétarienne, à savoir la production, mais tout en conservant leurs symptomatologie nationale et culturelle.

Borochov met les juifs à part de la révolution prolétarienne internationale. Pourquoi fait-il cela ? Parce que les juifs sont des gens à part, ou, tout au moins, c’est ce que les sionistes ont tendance à penser.

Le sioniste est avant tout et principalement un juif. Il ne peut être simplement un citoyen britannique ordinaire, par exemple, qui se trouve être d’origine juive : il est nécessairement un juif vivant en Grande-Bretagne. Il est un juif parlant l’anglais, il est un juif qui bénéficie des services médicaux du NHS [National Health Service], il est un juif qui conduit du côté gauche de la route [18]. Mais bien que britannique de par sa naissance, il est aussi « intrinsèquement autre », de par l’Election.

Agent sioniste

Cette troisième catégorie de juifs n’a nul besoin d’aller s’installer en Palestine. Vivre à Sion n’est rien de plus qu’une possibilité qui lui est offerte par la philosophie sioniste. Pour devenir un bon sioniste, vous n’avez nul besoin d’errer. Il vaut même mieux, parfois, pour vous, de rester là où vous vous trouvez.

Lisons ce que Victor Ostrovsky, un ancien agent déserteur du Mossad, nous dit au sujet de la fraternité juive. « Le lendemain, Ran S. fit une conférence devant les sanayim, ces éléments uniques en leur genre, très importants pour les opérations du Mossad. Les sanayim (les assistants)  doivent être juifs à cent-pourcent. Ils vivent à l’étranger et bien qu’ils ne soient pas citoyens israéliens, beaucoup sont contactés via certains de leurs parents vivant en Israël. Ainsi, par exemple, un Israélien ayant un parent en Angleterre peut se voir demander d’écrire une lettre expliquant que la personne qui la détient représente une organisation ayant pour principal objectif de sauver les juifs de la diaspora. Ce parent britannique pourrait-il apporter son concours de quelque façon que ce soit ?... Il y a des milliers de sanayim de par le monde. Rien qu’à Londres, il y en a deux mille qui sont actifs, auxquels s’ajoutent les noms de cinq milles sanayim potentiels. Ils jouent des rôles très variés. Ainsi, un sayan de l’automobile, par exemple, qui dirige une agence de location de véhicules, peut aider le Mossad à louer une voiture sans avoir à remplir les fiches de renseignement habituelles. Un sayan de l’immobilier trouvera une résidence sans soulever le moindre soupçon, un sayan ‘banquier’ pourra vous obtenir de l’argent, si vous en avez besoin au beau milieu de la nuit, et un sayan médecin soignera une blessure par balle sans en informer la police, et ainsi de suite. L’idée, c’est que le Mossad dispose d’un pool de personnes disponibles lorsque cela s’avère nécessaire, des personnes susceptibles de produire des services, mais qui resteront discrets à ce sujet, par loyauté à la Cause (ceux-ci ne sont pas rémunérés ; ils sont uniquement dédommagés de leurs frais » [4] 

Les sanayim appartiennent à la troisième de nos catégories. Ce sont des gens qui se considèrent juifs par essence. Un sayan est quelqu’un qui est prêt à trahir la nation dont il est un citoyen par dévotion [19] à une notion de fraternité clanique.

Alors qu’en ses prémisses le sionisme se présentait comme une tentative d’amener la juiverie mondiale à Sion, dans les trois dernières décennies, il est devenu de plus en plus clair pour la direction sioniste qu’Israël tirerait profit de la juiverie mondiale, et en particulier de l’élite juive, pour peu que les juifs restent exactement là où ils se trouvent. Paul Wolfowitz (5), Rahm Emmanuel (6), Lord Levy (7) et David Aaronovitch (8) ont démontré qu’ils sont beaucoup plus efficaces, dans leur promotion de la cause sioniste, en restant là où ils vivent.

Le sionisme, un réseau mondial

Le sionisme, ça n’est pas un mouvement colonialiste ayant des intérêts en Palestine, contrairement à ce que suggèrent certains spécialistes. Le sionisme, en réalité, c’est un mouvement mondial qui est alimenté par une solidarité tribale sans équivalent entre membres de notre troisième catégorie de juifs. Etre sioniste, cela signifie admettre que plus que tout, vous êtes avant tout un juif. Ostrovsky poursuit : « Vous avez à votre disposition un système de recrutement absolument dénué de risque qui vous fournit ni plus ni moins un pool comportant des millions de juifs prêts à espionner pour vous au-delà de vos propres frontières nationales. Il est beaucoup plus facile d’opérer avec les agents qui sont déjà disponibles sur place, et les sanayim offrent un soutien pratique incroyable absolument partout dans le monde (9).

Que voyons-nous, ici ? Nous voyons un degré de solidarité incroyable. Mais les juifs sont loin de constituer une seule race, il ne s’agit donc pas de solidarité raciale en tant que telle. Qu’est-ce donc qui incite des sanayim à risquer plusieurs années de prison ? Qu’avait à l’esprit l’espion israélien Jonathan Pollard (10) quand il a trahi son pays ? Qu’ont à l’esprit ces sanayim, à Londres, dont on estime qu’ils sont au nombre de deux milliers, lorsqu’ils trahissent leur Souveraine et leurs voisins ? Qu’avait en tête Paul Wolfowitz lorsqu’il a convaincu son pays d’adopter une stratégie consistant à démolir les dernières poches de la résistance arabe à Israël ?

Je considère que le témoignage d’Ostrovsky est crédible. Comme nous le savons, le gouvernement israélien a recouru à tous les moyens imaginables pour empêcher la publication de ses livres.

Lors d’une interview à la radio, Joseph Lapid, qui était alors un éditorialiste israélien de grand renom, avait dit ce qu’il avait sur le cœur ; il avait révélé au monde entier ce qu’il pensait [20] d’Ostrovsky : « Ostrovsky est le juif le plus félon de toute l’histoire juive moderne. Il n’a pas le droit à la vie, sauf s’il est prêt à rentrer en Israël et à y affronter la justice (11) ».

Valérie Pringle, la journaliste qui l’interviewait au téléphone, demanda alors à Lapid : « Pensez-vous que vos propos constituent une déclaration raisonnable ? »

Lapid : « Certainement, je dis les choses exactement comme je les pense. Malheureusement, le Mossad ne peut pas s’en charger, parce que nous ne pouvons pas mettre nos relations avec le Canada en danger. Mais j’espère qu’il y aura un juif honnête, au Canada, qui le fera pour nous ».

Pringle : « Vous espérez cela ? Vous pourriez vivre sans problème avec le sang d’Ostrovsky sur vos mains ? »

Lapid : « Oh non. C’est-à-dire… Non, simplement, je n’aurai pas son sang sur les mains. Cela ne serait que justice pour un homme qui fait la chose la plus horrible à laquelle un juif puisse penser, à savoir vendre l’Etat juif et le peuple juif à nos ennemis, pour de l’argent. Il n’y a absolument rien de pire qu’un être humain puisse faire, si tant est qu’Ostrovsky puisse encore être qualifié de la sorte ».

Lapid, qui allait faire partie du gouvernement de Sharon, met les points sur les « i » : être juif, c’est avoir un engagement qui outrepasse de très loin tout ordre légal ou moral. Manifestement, pour Lapid, la judéité n’est pas une position spirituelle ou religieuse : c’est un engagement politique, c’est une vision du monde qui s’applique jusqu’au dernier des juifs vivant sur notre planète. Comme il le dit lui-même : le Mossad ne peut pas aller jusqu’à liquider Ostrovsky ; il incombera donc à un « juif honnête vivant au Canada » de faire le boulot.

Un journaliste israélien, futur ministre de la Justice israélien, exprime ici les opinions les plus scandaleuses. Il encourage un coreligionnaire juif à perpétrer un assassinat au nom de la fraternité juive. Bref : non seulement Lapid confirme les révélations d’Ostrovsky sur le monde invisible des sanayim, mais il confirme également l’opinion de Weizman selon qui, d’un point de vue sioniste, il n’existe pas de Canadiens juifs, mais uniquement des juifs résidant au Canada. Toutefois, Lapid affirme aussi qu’un juif vivant au Canada devrait se comporter en assassin, au service de ce qu’il considère être la cause juive. Aux yeux des sionistes, [21], la judéité est une opération spéciale menée par un réseau international

Dans son bouquin, Ostrovsky qualifie cela de solidarité raciale. Personnellement, j’appelle cela la fraternité de la troisième catégorie et Weizmann appelle ça sionisme. Mais tout cela signifie la même chose. Il ne s’agit de rien d’autre que d’un engagement, un engagement qui pousse des juifs de plus en plus nombreux à entrer dans une confraternité obscure, dangereuse et anti-éthique. Apparemment, le sionisme n’a rien à voir avec Israël. Israël n’est rien d’autre qu’un atout territorial volatile, protégé au moyen de la violence par une force composée de juifs hébraïsants de la troisième catégorie. De fait, l’entreprise juive n’a pas de centre géographique. Il est quasi impossible de déterminer où les décisions sionistes sont prises. Est-ce à Jérusalem ? Est-ce à la Knesset, dans le bureau du Premier ministre israélien, au Mossad, ou bien peut-être est-ce dans les bureaux de l’Anti-Defamation League, en Amérique ? Cela pourrait tout aussi bien être dans le bureau de Benie Madoff ou n’importe où ailleurs, à Wall Street.

L’Organisation

Bien entendu, il est possible qu’il n’y ait pas de centre de décision du tout. Il est plus que vraisemblable que « les juifs » n’ont aucun centre mondial ni aucun quartier général. Il est plus que probable qu’ils n’ont pas conscience du rôle particulier qui est le leur à l’intérieur de l’ensemble du système, de la même manière qu’un organe n’est pas conscient du rôle qu’il joue dans la complexité d’un organisme (14). Nul opérateur particulier (nulle opératrice particulière), à l’intérieur du collectif, n’est totalement familiarisé avec le mode opératoire collectif ; il (ou elle) n’a conscience que de son rôle personnel, limité, de sa fonction ou de ses devoirs à l’intérieur dudit collectif. C’est probablement en cela que réside la plus grande force du mouvement sioniste : il a transformé le mode de fonctionnement tribal juif en un système collectif redoutablement efficace.

Le fait de voir dans le sionisme un organisme doit nous conduire à un changement majeur dans la perspective que nous nous faisons des problèmes auxquels le monde est confronté aujourd’hui. Ainsi, par exemple, les Palestiniens ne sont pas simplement les victimes de l’occupation israélienne ;  ils sont, de fait, les victimes d’une identité politique mondiale unique en son genre, à savoir celle de notre troisième catégorie, celle de gens qui ont transformé la Terre Sainte en un bunker juif. Les Irakiens doivent plutôt être vus comme des victimes d’infiltrés de cette troisième catégorie au sein des administrations [22] britannique et américaine, des infiltrés qui ont réussi à transformer les armées britannique et américaine en une taskforce sioniste. Le monde musulman doit être vu comme la victime de la tentative de notre troisième catégorie pour faire de l’idéologie de l’« interventionnisme humanitaire » [ndt : ang. : moral interventionism] la nouvelle Bible expansionniste de l’Occident. Les Américains et les Britanniques, ainsi que, de manière générale, l’ensemble de l’Occident, sont tous en butte, aujourd’hui, à des turbulences économiques connues sous le nom de « credit crunch ». On pourrait tout aussi bien y voir un « Zio-punch ».

Le livre The Wandering Who? de M. Gilad Atzmon est en cours de traduction; il sera publié prochainement en français par les Éditions Demi-Lune, www.editionsdemilune.com dans la Collection Résistances. http://www.editionsdemilune.com/resistances-c-3.html 

Il devrait être disponible fin février ou dans le courant du mois de mars 2012.

Deux autres livres sur la Palestine sont déjà disponibles dans cette collection,
Yasser Arafat, Intime :
http://www.editionsdemilune.com/yasser-arafat-intime-p-29.html de la journaliste Isabel Pisano,
et
Chroniques de GAZA, 2001-2011 : http://www.editionsdemilune.com/chroniques-de-gaza-20012011-p-38.html du chirurgien français Christophe Oberlin.
Voir ici :
http://www.editionsdemilune.com/offre-speciale-internet-GAZA-et-ARAFAT-p-39.html

 

 

   

Partie III
Partie I
Le sommaire de Gilad Atzmon
Les dernières mises à jour



Source : Marcel Charbonnier

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