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Dieudonné : « Tous les combats pour la justice me passionnent »

Entretien réalisé par Silvia Cattori le 13 septembre 2005

 

http://www.lesogres.org/

« La vérité finira par se savoir » disait Dieudonné lors d’un premier entretien (1). Mais pour que cette vérité finisse par émerger, Dieudonné n’en a pas moins dû énormément trimer et souffrir. Connu hier comme un des comiques les plus aimés de France, Dieudonné allait de succès en succès. Il aurait pu en rester là. Sensible à l’injustice, Dieudonné a toujours été de tous les combats sans rencontrer de problèmes ; jusqu’au jour où il a dit le mot de trop : « Israël ». C’était le 3 décembre 2003. Dès lors, toute la famille pro-israélienne qui s’active autour du CRIF, de la LICRA, de l’UEJF, entre autres, s’est déchainée contre lui. En butte depuis bientôt deux ans à des calomnies et poursuites judiciaires, il est temps de demander à ces organisations communautaires - qui sont là pour jeter de l’huile sur le feu et créer un état de guerre partout où des voix critiques se lèvent – de cesser de le harceler. Si Dieudonné a pu tenir bon jusqu’ici, parviendra-t-il à résister encore longtemps aux attaques continuelles de ces intervenants, qui, en France, paralysent tout débat politique avec le chantage de « l’antisémitisme et du négationnisme » et veulent sa mort artistique ? S.C.

S. Cattori : On vous a interdit de médias, on vous a interdit de spectacle, on a dénaturé vos propos, on vous a agressé physiquement, on vous a attaqué en justice ; et quand les tribunaux vous ont lavé de l’accusation « d’antisémitisme » les médias n’en ont pas pipé mot. Que ressentez-vous là devant ?

Dieudonné : On s’habitue à tout. L’essentiel pour moi est de pouvoir continuer de jouer mes spectacles.

S. Cattori : Tout personnage médiatique victime d’une accusation « d’antisémitisme », a généralement de la peine à revenir à une vie normale. Or vous, vous êtes toujours là. Ils n’ont pas réussi à vous faire disparaître !?

Dieudonné : Je pense qu’ils ont fait une erreur avec moi. Les tribunaux l’ont dit, je n’ai jamais incité à la haine ni à la violence. Tout mon travail aurait pu passer inaperçu s’il n’y avait pas eu cette réaction démesurée de la part de ces mouvements ultra communautaires comme le CRIF, la LICRA, etc, qui m’ont violemment agressé. Ils se sont excités sur un leurre. Mon image médiatique n’était que le simple résultat de mon travail d’humoriste. Je n’étais pas un personnage politique au départ, je ne représentais aucun danger. Finalement, par leurs réactions disproportionnées ils ont mis en lumière tout ce qui était caché : tout l’arsenal médiatique quasi militaire dont ils disposent. Ils m’ont jeté dans une guerre. Les médias de ce pays n’avaient pas à faire écho avec cette violence et cette ampleur à un simple sketch d’humoriste. Je pensais sincèrement qu’il existait une intelligence. Je me suis trouvé en présence d’une bestialité féroce.

S. Cattori : Etes-vous fâché contre tous ces médias qui se sont fait l’écho de tant de calomnies et de mensonges ?

Dieudonné : Les médias sont allés trop loin. Je n’ai fait que caricaturer un colon juif. Cela dit, nombre de médias sont des entreprises privées. On ne peut pas leur reprocher de boycotter Dieudonné dans la mesure où celui-ci ne correspond pas à la ligne éditoriale du responsable de l’entreprise. C’est une histoire de gros sous. Pour moi, les médias libres c’est Internet. Ce qui est regrettable est que, dans le service public, on en  arrive à  ce que le présentateur Marc Olivier Fogiel, (2) qui m’a vilipendé au lendemain d’un sketch, ait des comportements qui le conduisent à être condamné pour injure raciale par la justice.

S. Cattori : L’idée de laisser cette lutte à d’autres et de redevenir un des comiques le plus aimés de toute la France ne vous effleure-t-elle pas ?

Dieudonné : De cette confrontation directe avec le sionisme – suite à mon sketch sur un colon juif israélien - j’ai tiré le spectacle « Mes excuses ». Aujourd’hui je suis passé à un autre sujet : la laïcité. C’est d’elle que je parle dans « 1905 ». De la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui consiste à laisser dans la sphère privée des organisations comme le CRIF, l’église catholique, les mouvements musulmans.

S. Cattori : Ne jouer pratiquement que dans votre théâtre (3) est-ce assez ?

Dieudonné : C’est vraiment un plaisir de jouer dans une petite salle de 200 places. C’est le boulot que j’aime : être le soir sur scène et jouer mon spectacle. Au-delà, on quitte une dimension humaine, on va vers quelque chose qui me dépasse. C’est l’industrie des médias, ce n’est pas mon métier. Pouvoir m’exprimer dans mon théâtre me donne une liberté, me permet un style de création différent. Mais il m’arrive aussi de jouer devant des milliers de spectateurs : je vais jouer le 22 décembre au Zénith mon dernier spectacle « 1905 ».

S. Cattori : Pensez-vous que les choses vont repartir ?

Dieudonné : Je pense que je vais rester encore pendant un certains temps cette sorte de diable que l’on a fabriqué.

S. Cattori : A votre sortie victorieuse du tribunal, le 7 septembre 2005, vous aviez affirmé votre désir de tourner la page. Mais est-ce que vos détracteurs vont la tourner ?

Dieudonné : J’ai dit en effet vouloir passer à autre chose ! Leur réponse a été une lettre recommandée ce matin : la Licra et autres organisations sectaires n’ont pas accepté la décision du tribunal et se pourvoient en cassation.

S. Cattori : Que veulent-ils obtenir en s’acharnant sur vous de la sorte ?

Dieudonné : Je pense qu’au travers des lynchages qu’ils organisent, ils veulent montrer à tous les noirs, que ceux-ci doivent rester à leur place, et que, s’ils se hasardent à marcher sur des chemins interdits, ils seront brimés. Malcom x, Martin Luther King, Lumumba, Jean-Marie Jibao, n’ont-ils pas démontré que, quand la libre pensée est exprimée par un homme à la peau noire, il devient un homme à abattre ?

S. Cattori : Comptez-vous poursuivre en justice ceux qui vous ont porté préjudice ?

Dieudonné : Oui, il va y avoir toute une série de procès. Je vais notamment m’attaquer à ceux qui se sont répandus en calomnies qui m’ont porté gravement atteinte ; comme le site de Proche-Orient Info qui a divulgué des fausses informations, ou Bernard-Henri Lévy qui m’a traité de « fils de Le Pen » et a qualifié mon public « d’antisémite ».

S. Cattori : Est-ce pour ne pas devoir payer des dommages que Proche-Orient info a fermé son site ?

Dieudonné : Ce n’est pas exclu.

S. Cattori : Alors, contre qui les juges pourront-ils statuer ?

Dieudonné : Contre la journaliste Elisabeth Schemla.

S. Cattori : Quand vous avez dit « pornographie mémorielle » les réactions ont été d’une extrême violence ! Mais même là, vous avez su garder votre sang froid !?

Dieudonné : Oui c’était très violent. Mais vous savez que je n’ai jamais placé ces deux mots dans le contexte que les animateurs du site Proche-Orient info lui ont attribué. C’était une manipulation de leur part. Ils devront répondre de cela devant le tribunal. Entre temps, ils ont fermé leur site.

S. Cattori : Tous ces procès ne sont-ils pas épuisants ?

Dieudonné : Oui, d’autant que je me déplace ; je suis présent lors de chaque audience.

S. Cattori : N’êtes-vous pas ruiné par ces procédures ?

Dieudonné : Si, mais comme je n’ai pas un grand niveau de vie, c’est supportable.

S. Cattori : Ces polémiques n’ont-elles pas pesé également sur votre vie de famille ?

Dieudonné : Je ne peux pas dire qu’il n’y a pas eu de répercussions négatives. En particulier à la suite de l’agression que j’ai subie de la part de quatre soldats israéliens, en Martinique, en mars 2005. Cela a été dur. Mais j’ai cette chance de savoir transformer l’adversité en création. Je crois pouvoir d’ores et déjà dire que c’est une expérience qu’il vaut la peine de vivre !

S. Cattori : A ce point ?

Dieudonné : Oui. J’ai fait là une expérience humainement passionnante ! Ce n’est pas courant pour un comique de se trouver dans une pareille situation et de pouvoir la dédramatiser, transcender par le rire tant de gravité, en puisant dans son propre vécu !

S. Cattori : Vous avez un tempérament combatif !

Dieudonné : Tous les combats pour la justice me passionnent.

S. Cattori : Vous sentez-vous concerné pas la négrophobie ambiante ?

Dieudonné : C’est inquiétant. On a pu voir les conséquences dramatiques de ce racisme lors du cyclone Katrina, en Louisiane, où rien n’avait été prévu pour protéger ces quartiers habités par des noirs. On a pu le voir également chez nous, lors des incendies d’immeubles insalubres où des dizaines de noirs ont perdu la vie.

S. Cattori : Faut-il s’attendre à des affrontements ?

Dieudonné : Je pense que l’affrontement a déjà commencé. Il a été provoqué, dès avril 2004, par les déclarations négrophobes d’Alain Finkielkraut, notre théoricien de « l’islamophobie » qui parle de race blanche, de « peuple élu » ; il stigmatise la population noire, qualifie les Antillais d’assistés qui filent un mauvais « coton » idéologique.

S. Cattori : Pensez-vous que votre couleur de peau a également sa part dans la violence des accusations qui vous visent et non pas seulement votre critique d’Israël ?

Dieudonné : Je crois que tout est parti du dossier de la traite négrière, de mon idée de réaliser un film sur le Code Noir. Dès que l’on ouvre ce dossier, c’est là que les problèmes commencent, car on touche à la responsabilité de chacun. Suite au débat que j’ai soulevé, le journaliste du Nouvel Observateur Askolovitch, a fait un dossier où il nie la participation de trafiquants juifs dans ce commerce. Or les instances juives n’ont pas l’intention de laisser ternir leur réputation de « peuple élu » en reconnaissant la vérité historique ; ils préfèrent réécrire l’histoire. Des livres, comme celui de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, minimisent la traite négrière. Les articles de journalistes comme Askolovitch la nient. Or aujourd’hui, avec Internet, il n’est plus possible d’étouffer la vérité.

S. Cattori : Mais, quand Bernard-Henri Lévy a appelé à boycotter vos spectacles n’était-ce pas votre critique de l’Etat d’Israël qui le motivait ?

Dieudonné : Pourquoi devrait-il m’interdire de travailler parce que je soutiens la cause des Palestiniens ? Moi je n’ai pas empêché BHL, Bernard Kouchner, et toute cette équipe de soi-disant « sauveurs » qui tire en grande partie sa popularité du malheur des gens, d’aller par exemple se faire prendre en photo au milieu des Somaliens ?! Je leur laisse cette liberté là de faire carrière et business sur la souffrance des Algériens, des Africains, des Afghans. Je ne vois pas pourquoi, moi, je ne pourrais pas parler de la souffrance des Palestiniens et me sentir humainement proche de leur combat. Les Palestiniens se battent pour la justice et la liberté. Je les trouve courageux : c’est mon droit de me sentir plus proche des familles des résistants que des familles des soldats de l’armée israélienne qui détruisent leurs maisons et leurs vies.

S. Cattori : Comment avez-vous ressenti le fait que toute la classe politique de gauche comme de droite a participé à votre lynchage médiatique ?

Dieudonné : Les Français ont dit NON à toute cette classe politique là. Et c’est rassurant ! Un NON qui n’était pas un refus de l’Europe. Mais clairement un NON à l’adresse de Jacques Chirac, de François Hollande, etc. Tous ces personnages qui, dans les partis et les associations, m’ont accusé d’antisémitisme, montrent qu’il n’y a plus aucune moralité ni aucune éthique de leur part.

S. Cattori : N’êtes-vous pas fatigué de vous battre contre tant d’adversité ?

Dieudonné : Je suis arrivé à un moment de mon parcours où il faut savoir se déterminer par rapport à une éthique. La liberté de chaque individu est d’évoluer dans un univers de vérité. On ne peut pas vivre dans le mensonge. Ce serait une vie étouffante. La mort est préférable à une vie de rampants. L’histoire du peuple dont je suis issu - même si je ne suis pas communautaire et je rêve d’universalité et d’humanisme - a été travestie. Je veux simplement offrir à mes semblables un message de justice et leur dire : « soyons conscients de nos droits ».

S. Cattori : Des millions d’admirateurs ne savent plus ce que vous êtes devenu. Ne craignez-vous pas de vous couper d’eux ?

Dieudonné : C’est vrai, une grande partie des gens ne savent pas ce qui s’est passé. Mais je fais mon boulot. Ce qui a changé est que je ne suis plus dans « l’industrie » du spectacle. Je pense être plus en contact avec la réalité que ceux qui sont à l’intérieur du système et qui, finalement, sont paralysés par les intérêts croisés des uns et des autres. C’est une histoire, un parcours qui me convient ; le résultat d’une volonté artistique. Je vis de ce travail, encore aujourd’hui, tout à fait convenablement. Je nourris mes enfants. Je suis libre de tout intermédiaire, dans une relation directe avec le public. Je n’ai plus d’intermédiaires parce que je joue dans mon théâtre. Que puis-je demander de plus ? De passer chez Drucker ou Ardisson ? En général, l’industrie médiatique nuit à la créativité artistique. Moins on est en contact avec le milieu du show business, et mieux on peut accomplir son travail d’acteur et d’interprète. Mon style est celui de la libre pensée. De n’avoir pas d’intermédiaires entre moi et le public, me permet une création qui n’est influencée que par mon propre regard.

S. Cattori : Malgré le fait que vous avez été interdit de médias, vous avez obtenu la reconnaissance et le soutien d’une large partie de la population. Ne craignez-vous pas, cependant, que le mouvement d‘opinion en votre faveur ne fasse demain l’objet d’une instrumentalisation?

Dieudonné : Je sais très bien ce à quoi vous vous référez : la supercherie et les mensonges sur lesquels les partis se fondent pour instrumentaliser les causes qu’ils prétendent défendre ! Ce fut une de mes premières découvertes et une grande déception. Ces instrumentalisations ont commencé dans les années quatre-vingt quand le parti socialiste a créé l’association SOS racisme dans le but de récupérer les « beurs ». L’ex-trotskiste Julien Dray qui en a été le fondateur, Harlem Désir l’animateur, se sont servis de la souffrance des immigrés pour faire carrière mais ils n’ont bien sûr pas combattu le racisme anti-arabe. SOS racisme, comme les associations antiracistes qui ont été créées depuis lors, ont été détournées de leur but et se sont transformées en officines racistes. Elles ont fait la chasse à de faux « antisémites ». Tout cela a créé un très mauvais climat. C’est pourquoi je porte, aujourd’hui, un regard extrêmement critique sur ces partis et groupuscules de gauche qui instrumentalisent les causes à des fins de mainmise politique. Je suis un homme de gauche ; mais de cette gauche qui a un jour envisagé la loi de séparation des églises et de l’Etat ; de cette gauche  des lumières qui avait une réflexion universaliste moderne. Or, quand on voit la gauche, en France, apporter son soutien inconditionnel à l’Etat d’Israël, aller en Israël faire l’éloge du mur de Sharon, on ne peut que la renier. Je suis lucide. Je connais toutes ces pratiques. Je pense qu’il leur sera difficile d’instrumentaliser l’opinion des gens qui me soutiennent et qui se reconnaissent dans l’association « Les OGRES » (Ouverture Géographique Religieuse Ethnique Sociale) ; association née suite au lynchage médiatique qui a commencé en décembre 2003.

S. Cattori : Finalement, par leur acharnement communautariste, ceux qui ont cherché à vous réduire au silence ne vous ont-ils pas rendu communautariste malgré vous ?

Dieudonné : Je suis un homme noir, je ne me ferais ni défriser ni blanchir la peau. Il se trouve que les noirs sont ceux qui sont le plus exposés au racisme et aux humiliations. Le fait d’être métis, d’être noir, me donne une responsabilité par rapport à cette injustice. Il ne s’agit pas d’un combat communautaire. Tous les combats pour la justice me touchent. Les OGRES sont basés sur l’ouverture entre gens de toutes origines et croyances. C’est l’antithèse de ce que les groupes sectaires ont toujours cherché à propager. Nous voulons croire en ce projet égalitaire. Or, qu’avons-nous découvert au travers de cette confrontation ? Le discours de haine, arrogant, cynique, de ce communautarisme religieux du CRIF, va à l’inverse du rêve républicain qui est le mien. Je ne suis qu’un humoriste dont la vocation est de dédramatiser. Il faudrait que ceux qui me font des procès n’y voient rien d’autre que cela. C’était inouï de voir Sarkozy me placer, lui aussi, au centre du débat, alors que je n’avais fait qu’un simple sketch. Ce fait même prouve bien que l’humour est la seule façon qui reste pour aborder l’irrationnel. Je suis un comique et au milieu de ce chaos la seule chose que je veux est de faire rire les gens.

S. Cattori : Ils ont voulu vous faire taire et vous êtes toujours là, fort de vos vérités qu’ils ne veulent pas entendre !

Dieudonné : J’ai mûri, là, au travers. Je pense que tout ce temps était nécessaire, c’était un temps d’apprentissage. Là, je serai bientôt prêt.

S. Cattori : Pensez-vous vous présenter comme candidat à la candidature présidentielle, en 2007 ?

Dieudonné : Je pense que cela pourrait être un moment étonnant. Mais là, c’est un autre métier.

S. Cattori : Vous l’avez déjà fait non !

Dieudonné : Oui, en d’autres temps !

Fin

(1) http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=1515

(2) Suite à la plainte portée par Dieudonné à la suite d'un SMS diffusé à l'antenne dans l'émission « On ne peut pas plaire à tout le monde », Marc-Olivier Fogiel a été condamné par le tribunal correctionnel de Montpellier à 5.000 euros d'amende ; Marc Tessier, à l'époque président de France Télévision, à 4.000 euros ; Laurent Bon, alors rédacteur en chef de cette émission, à 2.000 euros ; Alexandre Gamelin, assistant de production, à 1.000 euros.

(3) Théâtre de La Main d’Or, 15 Passage de la Main d’Or, Paris


Source : Silvia Cattori 171005


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