Communiqué
Alors que les
Français rejettent en bloc le monde
politique,
les grands médias gardent le
silence sur l’UPR
UPR
Vendredi 15 novembre 2013
Les tout derniers sondages
disponibles – notamment Ipsos-Le Point
ou YouGov-i>Télé – témoignent de
l’accélération de la défiance des
Français à l’égard de l’exécutif, dans
des proportions qui laissent augurer des
troubles sociaux de plus en plus graves.
Ces sondages témoignent aussi d’un
rejet croissant de l’ensemble des
formations politiques connues, y compris
du FN qui chute de nouveau lourdement,
suite aux déclarations scandaleuses
proférées une énième fois par plusieurs
de ses dirigeants.
L’impopularité chronique des pouvoirs
qui se succèdent, la progression
constante de l’abstention à tous les
scrutins et la méfiance à l’égard des
grands relais d’information témoignent
de l’ambiance crépusculaire de la
politique française.
En dépit de ce contexte inquiétant,
les grands médias français continuent de
garder le silence sur la croissance
exponentielle du mouvement de
rassemblement républicain et
démocratique qu’est l’UPR. L’UPR, qui
comptait 707 adhérents fin 2011 et 2 158
adhérents fin 2012, en compte 3 552 au
14 novembre 2013. C’est le parti en plus
forte croissance de la scène politique.
Il se situe largement au-dessus du
Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) ou
du Parti Chrétien Démocrate, formations
dont il est régulièrement question dans
les médias et que tous les Français
connaissent.
Le refus des grands médias français
de rendre compte de l’existence et de la
forte croissance de l’UPR ulcère les
milliers de Français qui ont déjà adhéré
et ceux, bien plus nombreux encore, qui
nous suivent avec un intérêt croissant
sur Internet. Ce silence médiatique, qui
bafoue ouvertement la Déclaration des
devoirs et des droits des journalistes,
signée le 24 novembre 1971 à Munich et
adoptée par la Fédération européenne des
journalistes, s’apparente désormais à un
déni pur et simple de démocratie.
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