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Les 7 du Québec

L'expansion de la classe prolétarienne

Robert Bibeau

Mercredi 18 mai 2016

http://www.les7duquebec.com/...

Notre définition de prolétaire est concise : « Est prolétaire celui qui n’a que sa force de travail à mettre en marché et à monnayer. » C’est une définition large, elle inclut pratiquement tout le salariat (excluant les cadres), les chômeurs, les sans-travail non recensés en quête d’emplois. C’est une définition à la fois sociale et économique. Si tout travailleur productif est salarié, en revanche tout salarié n’est pas un travailleur productif. Certains salariés sont même des exploiteurs, dès lors qu’ils administrent le système d’exploitation de l’homme par l’homme, les cadres et leurs sous-fifres attachés à la gouvernance par exemples (1). Marx a écrit « Par rapport au capitaliste financier, le capitaliste industriel est un travailleur, travailleur en tant que capitaliste, c’est-à-dire un exploiteur du travail d’autrui » (2).

Qu’est-ce qu’un prolétaire productif, c’est-à-dire, qu’est-ce qu’un créateur de plus-value ? « Pour distinguer le travail productif du travail improductif, il suffit de déterminer si le travail s’échange contre de l’argent proprement dit ou contre de l’argent-capital (des moyens de production) ». À partir de cette définition, Marx donne l’exemple du littérateur prolétaire de Leipzig et de la cantatrice travaillant pour un patron, ils deviennent tous les deux des travailleurs productifs en ce qu’ils valorisent le capital ; il dira la même chose dans une note du tome I de son livre Das Kapital sur un enseignant qui travaille dans le secteur privé.

En effet, on a trop souvent cette idée que seul le prolétariat industriel est créateur de plus-value parce qu’il crée des marchandises commercialisables. Marx, et c’est tout l’objet du Capital, démontre que seul « est productif le travail qui valorise directement le capital et ainsi produit de la plus-value ». À contrario, un artisan qui confectionne un bout d’étoffe, qu’il troquera contre une hache, effectue un travail utile, mais, du point de vue du mode de production capitaliste il n’effectue pas un travail productif, c’est-à-dire un travail valorisant le capital générateur de plus-value (3). De même pour un enseignant, qui réalise un travail utile, former la prochaine génération de travailleurs salariés-exploités, mais ce travail n’est pas productif – il ne produit pas de plus-value. L’enseignant, l’infirmière, le secrétaire sont des travailleurs salariés socialement utiles mais non producteurs de plus-value. Leur salaire origine du surtravail spolié aux prolétaires productifs.

Ainsi, l’industrie de l’armement produit des biens qui ne sont pas des marchandises parce que ces produits ne contribuent en rien à la reproduction du capital. Ces biens – ces « valeurs » ne servent pas à valoriser le capital, d’où ce secteur industriel est considéré comme parasitaire, non productif, vivant au crochet du travail salarié productif. Au contraire, l’industrie militaire absorbe et détruit de la valeur marchande (valeur d’échange) et contribue à approfondir la crise économique systémique. Si la classe capitaliste mondiale maintient un important dispositif militaire parasitaire, ce n’est pas pour le plaisir de faire la guerre, ou pour se distraire, ou pour faire des profits, profits qu’elle spolie aux autres secteurs industriels. C’est que la classe capitaliste parasitaire n’a pas d’autres choix en prévision du jour où ses concurrents monopolistiques multinationaux tenteront de s’emparer de ses espaces d’extraction des ressources, de ses marchés, ou de ses zones d’exploitation de la plus-value. Elle devra alors les terroriser grâce à son infrastructure militaire. En prévision du jour également où la classe prolétarienne paupérisée tentera de secouer le joug de son aliénation en quête d’émancipation. Il faudra bien, ces jours pas si lointains, que le plein poids de la loi bourgeoise, de la mitraille et de la répression étatique capitaliste s’abattent sur le dos de cette classe en révolte.

Un évènement historique gigantesque

Au cours des années 1990, un phénomène capital s’est produit à l’échelle internationale avec l’entrée sur le marché mondial concurrentiel de la grande bourgeoisie chinoise, indienne, et de celle de l’ancien bloc soviétique, ce qui a conduit à doubler en quelques années la force de travail en concurrence sur le marché du travail salarié (4). En termes d’économie politique et en termes de lutte de la classe prolétarienne, cet évènement fut le plus important depuis la nuit des temps. Pourtant, peu d’analystes en ont apprécié l’incroyable portée. Par cette expansion des moyens de production, sans commune dimension dans l’histoire du mode de production du capital, l’impérialisme complétait l’aménagement de la totalité des territoires et des forces productives dans le monde et assurait leur incorporation aux rapports de production capitalistes hégémoniques. Par cet évènement incommensurable, l’impérialisme terminait sa phase d‘expansion (un siècle après le pronostique des bolchéviques) et l’impérialisme ne pouvait alors qu’amorcer sa phase déclinante n’ayant plus aucune « terre nouvelle » (sic), plus aucune nouvelle force de travail à spolier pour valoriser le capital déprécié (5). Le mode de production capitaliste n’a pas fini d’en ressentir les effets qui mèneront certainement à sa destruction.

Cet évènement est la raison fondamentale pour laquelle le début du XXIe siècle est une période marquée par le déclin économique et politique, et, conséquemment la décadence sociologique et idéologique du capitalisme. Marquer aussi par un grand pessimisme traumatique qui voit surgir en Occident des théories fumeuses telles : « La fin de la classe ouvrière ; la mort du Marxisme ; l’apogée des luttes de libération nationale et anti-impérialistes bourgeoises (sic) ; l’émergence d’une soi-disant classe moyenne ; l’embourgeoisement de l’aristocratie ouvrière stipendiée (sic) ; l’émergence d’une nouvelle gauche démocratique, citoyenne et républicaine (sic) ; les théories complotistes et mystiques de fin du monde civilisé ; la guerre des civilisations ; la fin de l’histoire » et autres fadaises idéalistes reflets du déclin de la classe bourgeoise occidentale devant la montée en puissance du capital monopoliste multinational venu d’Orient et la croissance du contingent oriental et du contingent africain du prolétariat international.

Cette croissance de la classe prolétarienne s’est produite en très peu de temps. Si la montée en puissance de l’impérialisme américano-atlantique a nécessité deux guerres mondiales et presque un siècle d’expansion (1890 – 1975), l’entrée en scène de la dernière phase de l’impérialisme corporatistes-capitaliste n’aura nécessité qu’une cinquantaine d’années (1975 – 2020) et une guerre mondiale (à venir !) À l’évidence, l’histoire du mode de production capitaliste s’accélère. On peut anticiper qu’en 2020 environ, la Chine aura remplacé la première puissance impérialiste mondiale (USA) et que son déclin sera déjà amorcé au milieu d’une crise économique, systémique et permanente, et parmi des guerres régionales en cascades, jusqu’à et y compris une possible troisième guerre mondiale catastrophique. Mais avant d’aborder ces questions, examinons les données en ce qui concerne les effectifs du prolétariat international.

L’expansion de la classe prolétarienne dans le monde

« Ces jalons posés nous pouvons maintenant voir ce que représente au niveau mondial le prolétariat dans son ensemble, le prolétariat salarié (en soustrayant les chômeurs) et le prolétariat créateur de valeur (ce qui est plus compliqué, les statistiques mondiales à ce sujet étant difficiles à obtenir). Par élimination nous allons essayer de donner une vision plus large que les statistiques du Bureau international du Travail (BIT) et de l’Organisation internationale du Travail (OIT), et pour la France du Tableau de l’économie française de l’INSEE qui est plus précis » atteste Gérard Bad (6). Mais attention, ces différents documents ne tiennent pas compte du fait que, selon l’OCDE, plus de la moitié de la population active mondiale travaille au noir (le travail au noir – clandestin – est source de plus-value absolue). Les États bourgeois complices de l’évasion fiscale de leurs patrons milliardaires et des multinationales monopolistes sont grandement préoccupés par l’évasion fiscale des petits salariés, les serveuses de restaurants et les journaliers. Prenez note toutefois, que nous retrouvons dans ces emplois sous-payés – non déclarés –  une importante contre-tendance à la baisse du taux de profit à laquelle il faut ajouter les 168 millions d’enfants asservis et comptabilisés dans le monde. Également, il ne faut pas oublier que l’agriculture est le premier pourvoyeur d’emplois, soit 40 % de la population active mondiale classés « travailleurs autonomes » (sic). Il y a forcément dans ces 40 % d’exploités du servage agraire une part importante de travailleurs agricoles qu’il faudrait normalement ajouter aux statistiques du prolétariat mondial.

Les données de l’OIT permettent d’estimée le salariat à l’échelle mondiale. Dans les zones « avancées » il a progressé d’environ 20 % entre 1992 et 2008, et il stagne depuis l’intensification de la crise systémique du capitalisme. Dans les zones « émergentes », il a augmenté de près de 80 % sur la même période (graphique 1).  On retrouve des données analogues, mais encore plus marquées, pour l’emploi dans l’industrie manufacturière. Entre 1980 et 2005, la main-d’œuvre industrielle (productrice de plus-value) a augmenté de 120 % dans les régions « émergentes » et diminuées de 19 % dans les régions dites « avancées » (7).

Le même constat ressort d’une étude récente du FMI qui calcule la force de travail dans les secteurs exportateurs de chaque pays. On obtient une estimation de la force de travail mondialisée, celle qui est intégrée à la chaine de production de valeurs (capital productif et non parasitaire de laquelle il faudrait exclure les travailleurs de l’industrie de l’armement ce qui pénaliseraient encore davantage les pays « avancés »). La divergence est encore plus marquante : entre 1990 et 2010, la force de travail globale, ainsi calculée, a augmenté de 190 % dans les zones « émergentes », mais de seulement 46 % dans les régions développées (graphique 2). Il faut toutefois convenir d’une différenciation qualitative entre ces salariés. Si dans les zones « émergentes » ces salariés s’ajoutent aux forces productives industrielles et manufacturières génératrices de plus-value (même si ce n’est que pour des tâches d’assemblage), dans les zones développées les salariés à haute productivité, produisant des marchandises de haute qualité, s’additionnent aux travailleurs tertiaires des services de proximité et ceux des services parasitaires (petits boulots précaires, temporaires et mal payés, dans la restauration, l’hôtellerie, le transport, l’alimentation, l’entretien et les services de sécurité). Présentement les multinationales du capital « émergent » déploient des efforts pour hausser la productivité du travail salarié et pour assurer la montée en gamme de leur production et de leur consommation. Elles refont en somme, en accéléré, le parcours qu’elles ont fait du temps de leur développement en régions capitalistes « avancées ».

La tendance inéluctable à la globalisation du mode de production (la phase impérialiste du mode de production capitaliste comme l’esclavagisme et le féodalisme en vécurent auparavant) conduit donc à la formation d’un capital mondial, d’où l’importance des circuits bancaires de transferts du capital financier appelés « paradis – Panamas – fiscaux » (8) –; à la consolidation d’un marché mondial, d’où la signature de multiples traités de libre-échange (9), et, conséquemment, à l’expansion d’un prolétariat précarisé et mondialisé dont la croissance se fait principalement dans les régions dites « émergentes ». Ce processus s’accompagne d’une tendance à la salarisation et à l’urbanisation de la force de travail dans le monde entier, ce qui comprend la paysannerie chinoise, indienne et africaine, peu à peu arrachée à leurs terres et à leurs villages et concentrée dans des bidons villes délabrés, contexte urbanisé de leur aliénation de salarié. Ce qu’atteste le taux de salarié (la proportion de salariés dans l’emploi) qui augmente de manière constante, passant de 33 % à 42 % mondialement au cours des 20 dernières années (graphique 3). L’impérialisme moderne, sous le mode de production capitaliste, est bien caractérisé par la mondialisation des rapports de production hégémoniques capitalistes.

Graphique 3: Taux de salarisation dans les pays « émergents »

La dynamique de l’emploi dans le monde, illustré par le graphique 4, peut être résumée ainsi : Entre 1992 et 2012, quasi-stabilité ou faible progression de l’emploi dans les zones capitalistes « avancées » et augmentation dans les régions capitalistes dites « émergentes » : +40%, comprenant un salariat en croissance (salariat : +76 %, autres modes d’emploi : +23 %).

Graphique 4

Pour l’année 2012, les données de l’OIT conduisent à la répartition suivante de l’emploi mondial en milliards d’individus :

Emplois dans les zones «avancées»

0,47

Emplois salariés dans les zones «émergentes»

1,11

Autres emplois dans les zones «émergentes»

1,55

Emploi mondial total

3,13

La classe ouvrière mondiale est très segmentée par catégories, par revenus et par régions géographiques, en raison d’écarts de salaires considérables, et d’une mobilité restreinte, malgré les multiples efforts que déploie le capital pour la poussée sur les sentiers des réfugiés et sur les chemins de l’exil forcé afin de la soumettre aux nouvelles conditions d’exploitation international du capital. Les capitaux quant à eux ont obtenu une liberté de circulation à peu près totale grâce d’une part aux multiples traités et accords de libre-échange, et d’autre part, grâce à une vague sans précédent de fusions, d’OPA et d’agrégation monopolistique des entreprises capitalistes que nous avons illustrées dans les chapitres précédents (10). C’est le propre des fusions-acquisitions qui concentrent et centralisent le capital de restaurer pour un temps le taux de profit moyen en éliminant une pléthore de capitaux non performants (les concurrents les plus faibles). C’est ce qui s’est passé en 2008, quand les fusions-acquisitions, OPA et autres malversations du capital atteignirent 1 600 milliards de dollars US en Europe et 1 800 milliards dollars aux États-Unis. Il en résulta une baisse relative du nombre de travailleurs, les salariés n’étant après tout que la forme variable du capital (Cv). Selon une étude du Bureau international du Travail (BIT), la croissance économique mondiale en 2007 a été de 5,2 %, tandis que celle du nombre de travailleurs n’a été que de 1,6 %, la différence s’expliquant par l’inflation monétaire et par les progrès en matière de productivité (étude citée dans Le Figaro du 24 janvier 2008). Depuis le début de 2014, il y a une nouvelle frénésie de fusions-acquisitions dans le monde, c’est-à-dire une nouvelle vague de liquidation d’une masse de capitaux constants (Cc) – morts – et de travailleurs vivants – capital variable – (Cv) en excès dans le système de production et d’échanges.

Dans ces conditions, la mondialisation-globalisation de l’économie requiert de mettre virtuellement en concurrence internationale les travailleurs de tous les pays, mondialisant de ce fait la lutte de résistance du mouvement prolétarien. Cette pression concurrentielle s’exerce autant sur les salariés des pays « avancés » que sur ceux des pays « émergents » concurrents et se traduit par une baisse tendancielle de la part des salaires dans le revenu mondial global (Graphiques 5 et 6). Cette figure démontre que le capital variable – le capital vivant, unique source de plus-value –  prend encore moins d’importance dans la composition du capital par rapport au capital constant – mort – non générateur de plus-value. Preuve s’il en était besoin que le mode de production capitaliste creuse sa propre tombe. Pire, la prochaine étape dans la négociation des accords de libre-échange internationaux visera à obtenir une plus grande mobilité – continentale d’abord, et internationale ensuite – du prolétariat (du capital variable) afin d’accroitre la concurrence salariale et de réduire encore plus son importance relative, ce que l’Union européenne a déjà accompli sur le continent européen, prenant ainsi une longueur d’avance sur les anciennes puissances impérialistes concurrentes (USA, Japon, Canada, Australie, Russie) mais déjà en retard sur les nouvelles puissances émergentes qui constituent des marchés unifiés de grandes importances (Chine 1,3 milliard de consommateurs et 800 millions de salariés éventuels et l’Inde, 1,4 milliard de consommateurs et 850 millions de salariés virtuels). Tout ceci donne une idée du manque de vision des bobos altermondialistes, des réformistes et des gauchistes petits-bourgeois qui s’offusquent de la tombée des barrières tarifaires et législatives (droit du commerce, droit du travail, droit social, droit fiscal, judiciarisation de la répression, militarisation de l’économie, etc.) plaçant tous les moyens de production et toutes les forces productives « nationales » en concurrence internationale. Pas plus qu’il n’est opportun de dénoncer les ouragans et les typhons, il n’est pertinent de quémander des allègements aux conséquences de l’internationalisation de l’impérialisme globalisé qui ne peut qu’avancer, pousser par ses propres contradictions inexorables. Il y a longtemps que le prolétariat affirme que les forces productives ne peuvent s’épanouir à l’intérieur des rapports de production bourgeois trop étroits. Il faudra simplement mettre fin à ce mode de production moribond qui ne peut et ne pourra jamais fonctionner de manière différente qu’il ne fonctionne présentement.

Enfin, les graphiques 5 et 6 marquent le Te Deum de ce mode de production basé sur la valorisation de la plus-value et la reproduction élargie du capital. Alors que la masse totale des salariés prolétarisés augmente constamment, la part des salaires dans le revenu mondial diminue radicalement (11). Gardant en tête le principe qu’une marchandise se vend à son cout de production (ou de reproduction élargie dans le cas de la marchandise force de travail) cette donnée statistique signifie que depuis les années 1970 environ, le moment de l’inversion de la courbe ascendante du mode de production capitaliste globalisé, la force de travail se vend et s’achète en moyenne en dessous de son cout de reproduction social. Voilà le post mortem des théories opportunistes à propos de l’aristocratie ouvrière embourgeoisée et stipendiée ; des classes moyennes lénifiantes ; de la mort de la classe prolétarienne et de la théorie du dépassement du capitalisme (sic). Voici l’acte final de la tragédie capitaliste mondialisée. Quand un mode de production ne permet plus aux forces productives qu’il renferme de se déployer et de faire fructifier les moyens de production, mais qu’au contraire il les entraine vers leur dévalorisation et leur autodestruction, alors, ce mode de production doit disparaitre, sublimer par un nouveau mode de production plus performant. Ce graphique résume à lui seul les forces en jeux dans la révolution prolétarienne à venir.

Graphique 5 :  Part des salaires dans le revenu mondial 1970-2010

En % du PIB. Calculs à partir de Stockhammer, 2013 (12).

Graphique 6

Références

Moyenne des pays suivants :  Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada, Danemark, États-Unis, Espagne, Finlande, France, Irlande, Italie, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède.  Argentine, Brésil, Chili, Chine, Costa Rica, Kenya, Mexique, Namibie, Oman, Panama, Pérou, Russie, Afrique du Sud, Corée du Sud, Thaïlande, Turquie.

 

 

   

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Source: Robert Bibeau

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