MADANIYA
L’idylle insolite de Donald Trump, artisan du
«Muslim Ban» avec la dynastie
wahhabite: 1/2
René Naba
Samedi 1er juin 2019
Récit d’une singulière lune de miel à
l’origine de la «transaction du siècle».
Pur hasard ou
fâcheuse coïncidence qui masque une
intention provocatrice ?
Traditionnelle
ritournelle de la diplomatie américaine
à l’égard des Arabes (1), la transaction
du siècle, le règlement au rabais de la
question palestinienne, devrait être
révélée après la fin du mois de Ramadan
2019, soit vers le 5 juin, une date
coïncidant avec la date de la défaite
arabe lors de la 3ème guerre
israélo-arabe de juin 1967.
Si cette date était
confirmée, elle constituerait une
nouvelle illustration de
l’instrumentalisation du calendrier
comme fonction traumatique à l’ égard
des Arabes, comme en témoigne la
décision de Donald Trump d’ordonner le
transfert de l’ambassade américaine à
Jérusalem, le 15 Mai 2018, à la date
anniversaire de la proclamation de
l’indépendance de l’Etat hébreu.
Nullement une vue
de l’esprit ou une interprétation
relevant d’une psychose complotiste,
l’intention provocatrice n’est pas à
exclure compte tenu de l’usage constant
du calendrier comme fonction traumatique
fait par les Israéliens en vue de
contraindre les Arabes à intégrer leur
infériorité, à la manière des zoos
zoologiques de l’époque coloniale.
Pour aller plus
loin sur cet aspect de la guerre
psychologique menée par Israël contre
les Arabes, ce lien:
https://www.renenaba.com/du-calendrier-comme-fonction-traumatique/
52 ans après la
défaite de juin, 35 ans après l’invasion
israélienne du Liban, –deux événements
intervenus un 5 juin–, la transaction du
siècle, par la négation des droits
nationaux du peuple palestinien qu’elle
implique, s’apparente à l‘ «arnaque du
siècle» (2), à en juger par ses
principales dispositions révélées par la
presse arabe et internationale.
Toutefois, cet
échafaudage patiemment construit pour la
pérennisation au pouvoir de
l’ultra-droitier Benyamin Netanyahu et
la réélection de Donald Trump pourrait
s’effondrer, tel un château de cartes,
du fait de la psychorigidité israélienne
et de l’impasse gouvernementale y
afférente, illustration pathologique des
dérives de la puissance américaine et du
délire de ses servants aussi bien Arabes
qu’Américains qu’Européens.
L’objectif
sous-jacent: La Palestine contre la
Syrie
A l’arrière-plan de
l’accentuation des sanctions économiques
contre l’Iran, le chef de file de la
contestation anti occidentale dans la
zone, l’objectif sous-jacent de la
transaction du siècle est la promotion
d’un nouvel ordre régional qui se
substituerait à l’ordre ancien établi
par les anciennes puissances coloniales
européennes, dans la perspective d’un
monde post occidental et la montée en
puissance de l‘Eurasie. En somme un
accord Trump-Poutine qui se
substituerait aux accords Sykes-Picot.
Cent après les
accords Sykes-Picot (1916), les Etats
Unis, en phase de reflux au Moyen
orient, viseraient à remodeler la zone
en fonction des nouveaux rapports de
force dégagés par la séquence dite
du «printemps arabe»: Une
désarticulation du Monde arabe par
l’aménagement d’un glacis stratégique de
l’Otan cimenté par une alliance
judéo-sunnite (Israël et les
pétromonarchies sunnites), en
contrepartie de la reconnaissance du
primat de la Russie sur le front nord
anti-israélien: Iran, Syrie, Irak,
Liban, adossés à la Russie et la Chine.
Schématiquement:
Troquer la phagocytose de la Palestine
par Israël en contrepartie de la
reconnaissance de la prééminence
russo-chinoise sur la verticale
Téhéran-Bagdad-Damas-Beyrouth et son
prolongement, le Sud Liban et Gaza.
L’aménagement d’une base aérienne russe
en Syrie, doublée d’une plateforme
militaire navale russo chinoise à
Tartous et d’un grand port commercial
russe dans cette ville syrienne de la
côte méditerranéenne, ainsi que la
visite officielle en 2019 à Moscou du
président libanais Michel Aoun, la
première depuis l’indépendance du Liban
en 1943, constituent les prémisses de ce
bouleversement stratégique.
L’Egypte, ancien
chef de file du combat nationaliste
arabe, se cantonnera à son rôle de
passeur de plat de la stratégie
américaine pour la satisfaction des
rêves pharaoniques de son président, le
Maréchal Abdel Fattah Al Sissi; La
Turquie, puissance régionale
incontournable aux capacités limitées,
dans son rôle de nuisance confrérique
réformatrice en direction de la dynastie
wahhabite et son jeu de bascule entre
Russie et Amérique.
Retour sur cette
forfaiture menée conjointement par les
Etats Unis et l’Arabie saoudite, deux
états voyous par excellence de la scène
internationale, représentés dans
le cas d’espèce par Jared Kushner,
gendre du président Donald Trump,
artisan du Muslim Ban et, le prince
héritier saoudien Mohamad Ben Salmane,
un équarisseur émérite de ses opposants.
Les prémisses
d’une idylle insolite.
Contrairement à
tous les usages, Donald Trump a réservé
à l’Arabie saoudite, son premier
déplacement officiel à l’étranger, en
2017, en sa qualité de président des
Etats Unis. Et dès son atterrissage à
Riyad, il avait d‘ores et déjà mis la
main sur le trésor saoudien.
Mais sa mainmise
sur le pactole saoudien ne résultait
toutefois pas du hasard, ni non plus de
l‘exploit individuel du président
américain.
Le New York Times
en association avec le quotidien
libanais «Al Akhbar» dans un dossier
intitulé «Saudi-Leaks», en date du 6
décembre 2018, révèlent les dessous de
cette idylle insolite entre l’artisan du
«Muslim Ban» et un pays supposé être le
chef de file spirituel du monde
musulman.
Pour aller plus
loin sur le voyage de Donald Trump en
Arabie saoudite, ce lien:
https://www.madaniya.info/2017/05/17/donald-trump-en-arabie-saoudite-ladoubement-de-lartisan-du-muslim-ban-par-le-petromonarchies-sunnites/
L’homme a ainsi
réussi à soustraire des milliards de
dollars au trésor saoudien pour assurer
le plein emploi au bénéfice de
l’économie américaine. Cet homme-là que
la volonté du peuple américain a
propulsé à la tête des Etats Unis a été
redevable de sa bonne fortune politique
à une dynastie, pour être précis à un
seul homme au sein de cette dynastie:
Mohamad Ben Salmane.
Le fils du Roi
Salmane n’a pas hésité un seul instant à
mettre toutes ses cartes sur la table
devant l’équipe de campagne du nouveau
président élu, l’ancien candidat du
Parti Républicain à la présidence des
Etats Unis.
MBS n’a pas été
avare de promesses d’investissements, de
dons en moyens financiers et humains au
point de faire du Royaume saoudien un
instrument affecté au service de la
satisfaction des intérêts et des
ambitions américaines.
Saudi Leaks
constituent un ensemble de documents
secrets saoudiens datant de 2016,
l’année où les regards du monde entier
s’étaient fixés sur cet homme plein de
morgue qui allait gouverner les
Etats-Unis.
«Nul personne au
monde ne peut se dispenser de se poser
la question de savoir ce que pensent les
Etats-Unis», avait prétendu un jour
Zbigniew Brezenski, l’ancien président
du Conseil National de Sécurité du
président démocrate Jimmy Carter
(1976-1980).
Certes, des pays
cherchent à prévoir ou à anticiper les
intentions américaines dans le cadre de
leur compétition internationale ou de la
guerre qu’ils mènent contre la puissance
américaine.
Dès sa phase
d’approche avec l’administration Donald
Trump, MBS a paru aller au-devant des
désirs américains, comme s’il voulait
anticiper son asservissement aux Etats
Unis, à une période de l’humanité où la
majorité des peuples de la terre avait
réussi à se débarrasser autant se peut
que faire des chaînes qui les
enchainaient. Par son comportement, MBS
a ainsi privé «son peuple, ses frères
arabes et les Musulmans» de richesses
considérables.
«Chèque en
blanc»
Un «chèque en
blanc»: C’est ainsi que le prince
saoudien s’est présenté en substance à
ses interlocuteurs américains. Mon
argent, mon peuple, ma religion à votre
service, gout sera votre propriété pour
peu que vous y consentiez. Prenez tout
cela pour peu que consentiez à nous
aménager un strapontin dans votre
entourage.
La visite de Donald
Trump en Arabie saoudite avait donc été
minutieusement planifiée. Au prix d’une
entourloupe en ce que la législation
américaine proscrit formellement toute
démarche diplomatique, sans mandat
express du pouvoir exécutif.
Mais le prince
héritier était pressé, allant au-devant
des désirs du président élu, affectant
de gros moyens financiers pour gagner sa
sympathie.
Il a ainsi enrôlé
Kenneth Dobristyne, ancien Haut
fonctionnaire à la Maison Blanche sous
l’ère Ronald Reagan (1980-1988) et s’est
arrangé pour nouer des contacts avec
Jared Kushner, multipliant les messages
via SMS avec le gendre présidentiel
devenu son compagnon de chasse en vue de
fixer la ligne diplomatique du président
élu, au mépris des règles en vigueur au
sein de l’exécutif américain.
L‘offre globale.
En Mars 2016,
Mohamad Ben Salmane avançait une offre
globale politique, économique,
sécuritaire et culturelle. Une offre qui
ne souffrait pas une seconde
d’hésitation et se résumait à la
question suivante: QUE FAUT IL POUR QUE
LE ROYAUME SOIT UN ALLIE DES ETATS UNIS
AU MËME NIVEAUI QU ISRAEL?
Les réformes
étaient déjà incluses dans l’offre. Mais
selon la correspondance officieuse
saoudo américaine, les réformes,
–notamment l’autorisation aux femmes de
conduire leur voiture, la lutte contre
le terrorisme- étaient destinées à
l’opinion américaine et non en faveur
des ressortissants saoudiens.
L‘Islam
L’Arabie saoudite
dispose de deux mille (2.000) penseurs
musulmans en mesure de faire prospérer
les enseignements de la religion
musulmane selon la conception wahhabite
sur l‘ensemble du Monde musulman. Même
notre religion sera au service de vos
projets.
ENSEMBLE NOUS
REGLERONS LE PROBLEME PALESTINIEN et
nous investirons des milliards de
dollars aux Etats Unis.
Zone franche sur
la Mer rouge
Que pensez-vous
d’une zone franche américaine sur la Mer
Rouge (Le projet NEOM 2030), qui fera
office de porte d’entrée des Etats Unis
vers l’Afrique et Moyen orient.
Avec en prime, un
potentiel humain arabe combattant (les
groupements terroristes islamiques) à la
disposition du président américain.
Choisissez ce que bon vous semble. Nous
sommes prêts à satisfaire la moindre de
vos requêtes. Telle était la substance
du message saoudien. Ainsi donc bien
avant l’élection de Donald Trump à la
Maison Blanche, MBS s’était placé à la
disposition du président américain,
donnant le coup d’envoi à ce voyage
d’allégeance absolue au Président le
plus xénophobe de l’histoire américaine.
Du rôle des
centres de recherches et des firmes de
conseils et communications et des
relations publiques.
- Le rôle du
Fonds Général des Investissements
Saoudien et de Yasser Ar Ramyane.
Peu de mois avant
la fin du mandat de Barack Obama
(2008-2016), Mohamad Ben Salmane a
entrepris de conquérir les Etats-Unis.
Le président
démocrate, premier président afro
américain de l’histoire des Etats Unis
était réservé à l’égard de certains
aspects de la politique saoudienne et
réticent à établir un partenariat avec
le Royaume dans la guerre contre Daech
(l’Etat Islamique), en juin 2016, en
Syrie et en Irak.
MBS a entrepris son
voyage aux Etats Unis alors que les
relations saoudo américaines étaient
caractérisées par une certaine tiédeur
dans la foulée de la conclusion d’un
accord international sur le nucléaire
iranien.
A l’époque l’image
du jeune prince n’était pas souillée de
sang auprès de l’opinion américaine ni
des médias du pays. La guerre du Yémen
ne faisait pas l’objet de critiques,
quand bien même elle constituait un cas
typique de guerre d’agression. La
quasi-totalité des journalistes réputés
couvraient de louanges les reformes du
prince et son audacieuse vision d’avenir
–Le projet NEOM 2030.
Ce concert de
louanges ne résultait pas du fruit du
hasard.
Riyad avait engagé
une vaste offensive de charme auprès des
centres de Recherches, des firmes de
conseils, de communications et de
relations publiques, y allouant des
millions de dollars en vue de façonner
une image positive du Royaume et de son
jeune prince et de faciliter ainsi son
admission au sein des cercles
décisionnaires du pouvoir aux Etats
Unis.
En dépit de la
tonalité positive de la grande presse
américaine, des critiques subsistaient.
Ainsi la revue économique Forbes a mis
en doute la réalité de la Révolution en
cours en Arabie saoudite, soulignant que
la visite de Mohamad Ben Salmane et son
contrat de partenariat avec la firme
UBER ne lui seront pas d‘une grande
utilité pour parvenir à ses fins.
Deux ans après son
voyage américain, force est d’admettre
que MBS est loin d’avoir atteint son
but.
La question qui se
pose est de savoir à quel titre le Fonds
Général des Investissements saoudien
s’immisce dans les affaires politiques,
sauf à servir les desseins politiques de
MBS, à l’aider à creuser son sillon aux
Etats-Unis.
Le câble de
Yasser Ben Ousmane Ar Ramyane, en date
du 18 juin 2016, au chef du cabinet
royal saoudien.
Au printemps 2016,
soit quatre mois avant l’élection
présidentielle qui mettait en
compétition Donald Trump (Républicain)
et Hillary Clinton (Démocrate), un câble
du conseiller du secrétariat général du
gouvernement saoudien Yasser Ben Ousmane
Ar Ramyane, en date du 12/9 1437 de
l‘hégire (18 juin 2918), adressé au chef
du cabinet royal sous la mention «secret
et très urgent» recensait les rencontres
du prince saoudien durant la période du
8 au 18 juin 2016
-Sur la côte Ouest,
visite à la Silicon Valley, le centre
mondial de la technologie de pointe.
Rencontre avec les présidents exécutifs
de Microsoft, d’Apple et de Twitter, de
même que de la firme Uber et Makana
Capital management.
Sur le rôle de
twitter dans la traque des opposants
saoudiens
https://www.les-crises.fr/twitter-a-donne-a-larabie-saoudite-des-informations-ayant-finalement-conduit-a-la-mort-dun-journaliste/
Martin Indyk
-Sur la côte Est,
rencontre avec le chef de la CIA, le
ministre du commerce, le président de la
chambre de commerce américaine ainsi que
de des dirigeants de la banque Morgan
Stanley et du Brookings Institution en
présence du directeur de cette
institution, Martin Indyk, un membre
éminent du lobby juif américain.
Promoteur de la
théorie du double endiguement de l’Irak
et de l’Iran, Martin Indyk, ancien
assistant du secrétaire d’état sous la
mandature de Bill Clinton, a été chargé
de relancer les négociations
israélo-palestiniennes en 2013-2014,
sous la mandature de Barack Obama.
Membre de l’AIPAC, la principale
formation du lobby juif américain,
Martin Indyk est aussi membre du centre
de recherches «Washington Institute For
Near East Policy».
Le document de 15
pages mentionne des contacts avec des
centres de recherches, des firmes
spécialisées dans le domaine du conseil,
des communications et des relations
publiques, tant à Washington, qu’à New
York qu’à San Francisco.
Ces rencontres
préliminaires déblayaient en fait le
terrain à la «Révolution de Palais» que
le prince héritier préparait avec la
constitution d’une équipe spéciale sur
les questions ayant trait aux relations
internationale.
MBS avait très tôt
entrepris d’éliminer ses rivaux afin de
dégager la voie à sa monopolisation des
relations bilatérales saoudo-américaines
à son profit exclusif.
A l’aide d’une
équipe dévouée à sa personne, inconnue
des initiés, il a entrepris de
neutraliser les traditionnels centres du
pouvoir saoudien.
Dès l’accession de
son père au trône, en Janvier 2015, MBS
s’est emparé du sceau royal,
théoriquement détenu par son père,
cumulant les fonctions de chef du
cabinet royal, de ministre de la défense
et de président du conseil des affaires
politiques et sécuritaires.
Monopolisant les
postes sensibles, il commença son
travail de sape en vue d’abolir
méthodiquement les obstacles visant à
entraver son intronisation progressive,
comme futur Roi, successeur de son
propre père.
En Avril 2015,
trois mois après l‘accession de son père
au pouvoir, MBS destituait le prince
héritier en titre, Mouqren Ben Abdel
Aziz pour le remplacer par le prince
Mohamad Ben Nayef, un petit fils du
fondateur du royaume, effectuant dans
l‘ordre subliminal un saut générationnel
dans les règles de succession du
pouvoir, régies jusque-là par la loi de
primogéniture, qui consiste à confier le
pouvoir à l’aîné de la génération la
plus ancienne.
La 2eme phase de la
purge a concerné les autres composantes
de la dynastie, aussi bien les fils du
Roi Fondateur que ses petits-fils., avec
une attention particulière pour les
héritiers du Roi Abdallah, le
prédécesseur direct de son père le Roi
Salmane.
MBS évince ainsi
coup sur coup, Saoud Al Fayal,
l’inamovible ministre des Affaires
étrangères pendant 40 ans et fils du Roi
Faysal, et le Prince Mouteb, fils du Roi
Abdallah et chef de la garde nationale,
la garde prétorienne de la dynastie,
constituée exclusivement de tribus
loyales au trône. Dans la foulée, il
supprime douze offices gouvernementaux.
En Mars 2015, MBS
déclenche la guerre du Yémen,
verrouillant le domaine militaire et
sécuritaire.
Un an plus tard, en
Août 2016, à son retour de son voyage
des Etats Unis et à 3 mois des élections
américaines, MBS se proclamait chef
effectif du pays avec son plan de
planification des prospectives de
développement économique du pays pour sa
transition à l’ère post-pétrole;
Ce plan est connu
sous le vocable de «Vision 2030». Sorte
de «Silicon Valley» du désert, Le projet
NEOM 2030 devait drainer des capitaux
juifs américains en joint-venture avec
les Saoudiens et Israéliens et
constituer en même temps un nouveau
paradis fiscal au Sinaï et en mer Rouge.
Le NEOM 2030
devrait remplacer Beyrouth et Dubaï,
mais pas Tel-Aviv. Le projet prévoit sa
jonction avec la place financière de
Londres qui devrait le connecter avec
les différents paradis fiscaux de la
Couronne dont la City de Londres -qui
n’est pas anglaise, mais dépend
directement de la Reine Elisabeth- pour
garantir l’opacité du commerce
international.
1 –La Transaction
du siècle, une ritournelle de la
diplomatie américaine à l’égard des
Arabes
https://www.madaniya.info/2018/12/14/etats-unis-monde-arabe-la-transaction-du-siecle-une-ritournelle-de-la-diplomatie-americaine-a-l-egard-des-arabes/
2 – A propos de
l’arnaque du siècle, cf à ce propos
l’article de René Backman publié sur le
site Mediapart le 9 avril 2019
http://www.ujfp.org/spip.php?article7119
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