Actualité
Israël face à sa destruction
imminente
P.A.S.
Mardi 7 août 2018
Chacune des bombes
larguées par l’aviation de l’armée
criminelle sioniste sur le sol de la
Palestine occupée fait l’effet d’un
tremblement de terre, détruisant tout
sur son passage.
Inutile d’expliquer
la terreur et le désarroi éprouvés par
les civils palestiniens lorsque des
dizaines de ces engins de mort sont
déversés sur leurs quartiers
d’habitation, leurs écoles, ou leurs
hôpitaux.
Une sensation que
pourraient bientôt connaitre les colons
sionistes, face à la menace d’un
séisme majeur qui pourrait prochainement
frapper l’entité criminelle israélienne.
En effet, selon le
journal Haaretz, les autorités
militaires et de sécurité israéliennes
se préparent à la possibilité d’un
puissant tremblement de terre qui
causerait des pertes massives et des
dégâts considérables aux infrastructures
et aux biens.
Cette crainte est
réapparue récemment lorsqu’une série de
séismes a secoué la région de Haïfa et
le nord de l’entité coloniale.
Selon les
sismologues, un tremblement de terre
majeur dans cette région géologiquement
active est attendu environ tous les
80-90 ans. Les deux derniers remontent
respectivement à 1837 et 1927, quand un
séisme, d’une force de 6,2 sur l’échelle
de Richter, avait causé la mort de 500
personnes dans la Palestine mandataire.
« La menace d’un
tremblement de terre est à mes
yeux, la plus grande menace qui pèse sur
l’État d’Israël », a déclaré le
géologue Ariel Heimann, ajoutant que «
si nous avons un tremblement de terre
comme celui-ci, il fera des milliers de
morts et des centaines de milliers de
personnes devront quitter leur foyer.
Les maisons seront détruites, il y aura
des dommages économiques massifs ».
« Il n’y a aucun
doute qu’Israël sera touché à un moment
donné par un grand tremblement de terre.
La question est quand.»
explique également
Amotz Agnon, professeur en géologie et
océanographie à l’université hébraïque
de Jérusalem.
Pour l’entité
sioniste criminelle, la question de
la prédiction d’un «Big One»
cataclysmique, semblable à celui attendu
en Californie, est capitale. D’une part,
le réacteur nucléaire est situé à Dimona
dans cette région à risque, et d’autre
part, la plupart du bâti israélien n’a
pas été conçu pour résister à de telles
secousses.
En 2012, le
major-général à la tête du commandement
du Front intérieur, qui organise chaque
été des exercices de réaction à un tel
scénario, considérait qu’un «tremblement
de terre serait plus dangereux pour
Israël qu’une guerre». Dans un rapport
livré à la Knesset l’année suivante, les
experts ont estimé qu’un séisme d’une
magnitude de 7,5 sur l’échelle de
Richter tuerait environ 7 000 personnes
et détruirait au moins 370 000 foyers.
De ce fait, les
autorités prennent cette menace très au
sérieux. C’est la raison pour laquelle
le ministre de la Défense et criminel de
guerre, Avigdor Liberman, a
annoncé début juillet qu’un nouveau plan
pluriannuel, visant à protéger l’entité
contre les tremblements de terre, serait
présenté au cabinet dans les prochaines
semaines.
En attendant, les
exercices se multiplient, comme en juin
dernier, où le commandement du front
intérieur a simulé un entrainement en
réponse à un tremblement de terre,
pour évaluer les dommages possibles qui
pourraient être causés lors d’un tel
événement. L’exercice tablait sur un
séisme de magnitude 7,1 qui aurait causé
des milliers de morts et l’évacuation de
150 000 personnes.
Parmi les options
examinées pour les préparatifs figure la
construction d’un certain nombre de
complexes résidentiels temporaires dans
diverses régions du pays qui pourraient
accueillir plus d’un million de
personnes évacuées pendant trois ans.
Ces installations comprendraient des
services communautaires, tels que des
cliniques d’urgence et des écoles
temporaires.
Le ministère
israélien de la Guerre a récemment
demandé des informations aux
fournisseurs sur la faisabilité d’un
vaste programme d’absorption pour faire
face à un tremblement de terre.
Des informations ont
été demandées sur les complexes
résidentiels déjà existants. Les
installations doivent inclure
l’infrastructure, y compris les routes
d’accès, l’électricité, l’eau, les
égouts et les services de lutte contre
les incendies. Le ministère envisage une
série de composés de ce type qui, si
nécessaire, pourraient fournir des
logements à plusieurs centaines de
milliers de familles.
Mais derrière ces
manœuvres ne se cacherait-il pas en
réalité une série d’exercices
préparatoires en vue d’une guerre
dévastatrice que l’entité sioniste
pourrait subir très prochainement face
aux forces coordonnées de
l’Axe de la Résistance ?
La menace de ce « big
one » apocalyptique ne viserait alors
qu’à détourner l’attention de la
population afin d’éviter la panique face
à cette « dernière bataille » qui
aboutirait certainement à la destruction
de l’entité criminelle.
Tous les scénarios
sont possibles avec ce régime qui a
érigé le crime, le mensonge et le
complot en véritable art de vivre, y
compris envers les siens.
Quoiqu’il en soit,
guerre ou catastrophe naturelle, il
semble clair que l’entité criminelle
soit arrivée au terme de son existence
et que ses dirigeants en ont désormais
pleinement conscience.
Le
Parti Anti Sioniste attend
patiemment, mais activement, la fin
imminente de cette tumeur cancéreuse
israélienne, afin que cessent enfin les
exactions dont la barbarie sioniste se
rend quotidiennement coupable.
Ce qui est
certain, c’est qu’il y aura bel et bien
un séisme qui secouera les cœurs et les
corps des colons assassins d’enfants. Un
séisme dont l’origine, qu’elle soit
naturelle ou l’œuvre des forces
libératrices de l’Axe de la Résistance,
déferlera pour anéantir cet État
terroriste et imposer enfin la justice
et la paix, non seulement sur cette
terre bénie de Prophètes et de Saints,
mais également dans le monde entier….
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