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Algérie Résistance

Ali Haddad, Ahmed Ouyahia : fermez-la !

Mohsen Abdelmoumen

Lundi 1er février 2016

Il n’y a rien de plus fatigant que d’évoquer à longueur d’articles la clique corrompue qui s’est accaparé le pouvoir en Algérie et qui nous plonge dans un véritable cauchemar : Saïd Bouteflika « le sado-maso«  qui tire les ficelles tapi derrière le fauteuil à roulettes de son frère momifié, la famille Bouteflika qui vivait des terfas (truffes) à Oujda, Ahmed Ouyahia « la chkara », qui se délecte de toutes les sales besognes qui lui sont confiées comme s’il dégustait du yaourt,« le mgemmel » Ali Haddad « les-deux-brouettes » qui éructe des borborygmes en se persuadant qu’il prodigue des cours d’économie tout en jurant ses grands dieux qu’il ne fait pas de politique alors qu’il reçoit des ambassadeurs et parle des orientations économiques du paysl’hippopotame Tliba qui transbahute sa montagne de graisse dans les Assemblées, « le drabki «  Saïdani qui, du statut de danseuse du ventre et de percussionniste a endossé le rôle de coryphée, bien qu’il ait disparu du devant de la scène temporairement, l’autre danseuse du ventre Ouyahia animant la scène actuellement, le maître marionnettiste choisissant le casting des intermittents du spectacle. Quoi qu’il en soit, la derbouka est muette pour le moment et Saïdani est relégué au placard. Tous ces voyous squattent les espaces vitaux de l’Algérie indépendante comme des conquérants arrogants alors qu’ils ne sont que de vulgaires gredins sans envergure. La vision d’une charrette royale habitée par un fossile incontinent et marmottant nous donne la nausée. Ces fripouilles sont le cancer de l’Algérie, je persiste à le dire et je signe des deux mains. Quand donc cette malédiction qui pèse sur notre peuple se lèvera-t-elle ? On se le demande. Néanmoins, on continue à subir cette calamité et à écrire encore et encore jusqu’à ce qu’enfin ces vauriens corrompus, illégitimes et antinationaux disparaissent dans les égouts qui les ont vomis. Tant que ces canailles occuperont les places qu’ils se sont appropriées en agressant notre fibre patriotique, je continuerai à dénoncer leurs exactions à travers mes écrits, et pas seulement auprès du lectorat algérien, mais dans le monde entier. Chacun sur cette planète doit savoir que ces gens sont une gangrène qui doit être éradiquée de notre pays pour que celui-ci puisse s’extraire de la fange dans laquelle cette bande de mafieux l’a embourbé.

Ces bougnoules colonisés nous ont enfin livré leur torchon qui tient lieu de « Constitution », annoncée depuis des lustres, et dans laquelle ils ont osé attaquer la diaspora algérienne, comme s’ils étaient en mesure de rédiger une Constitution et de gouverner un pays. « El Makyoud ma ya kid » (le guidé ne peut pas guider), comme on dit dans le chaâbi. Ces esclaves du colonialisme veulent perpétuer le Deuxième Collège et la colonisation via des textes ségrégationnistes qu’ils ont pondus sans avoir mal au cul. Il n’y a rien de profond dans leurs textes, sauf peut-être l’insondabilité de leur anus. Et tous ceux qui ont participé à cette tartuferie sont visés, comme le vieillard cacochyme Ould Khelifa, Zemmar Saïdani « le drabki », Ouyahia « le crotale », le kharay Ali Haddad « el Goudrone« , Saïd « Fouette-moi chéri », etc. Les articles 51 et 73 de leur torchon visent-ils aussi les résidents du Club des Pins ? Après seize ans de règne de celui qui n’est plus qu’une momie et qui, malgré sa sénilité, a été reconduit en chaise roulante à un quatrième mandat par ses acolytes pour continuer à piller le pays, lui qui n’a rien apporté à l’Algérie excepté la ruine et une perte de temps, je demande : balisez-vous le terrain pour un cinquième mandat ou bien allez-vous remettre les clés à qui de droit, une bonne fois pour toutes ? C’est une question à laquelle je vous invite à répondre via, par exemple, les causeries « religieuses » d’Ouyahia, chaque samedi, devant les stagiaires d’une presse malade, atteinte du mildiou comme la patate. Car tout est malade en Algérie, et à tous les niveaux. Dites-nous si vous allez rempiler pour un cinquième mandat, même avec un président à la morgue ou enseveli dans le mausolée de la grande mosquée qu’il s’est payée pour 1.3 milliards d’euros. Allez-vous institutionnaliser aussi les visites guidées du tombeau de Bouteflika IV, voire V ? L’idéal voudrait que vous poussiez l’imitation de l’époque pharaonique jusqu’à vous faire ensevelir tous, tant que vous êtes, en même temps que votre président gâteux. Faites-vous construire une pyramide, au point où nous en sommes, nous ne nous préoccupons pas d’un milliard supplémentaire. Je vous promets en tout cas des gardes pour veiller sur votre sommeil, pour être bien sûr que vous n’en sortiez jamais. Mercredi 2 février, à la convocation de leur fakhamatouhoum la momie, les députés vont lever les mains et les pieds pour entériner le torchon de la soi-disant « Constitution », et vous êtes tous conviés à ce spectacle pathétique. Il s’agit de la seule Constitution au monde où le peuple n’a pas eu voix au chapitre.

Est-ce que la « Constitution Bougnoule » sert à quelque chose ? La réponse est non. Ce qui est important, c’est de remettre les clés à qui de droit. Normalement ce devrait être au peuple, mais cette « Constitution » qui ne ressemble à rien n’a pas été présentée au peuple pour lui demander son avis. En attendant, nous, les patriotes, nous continuerons à combattre les usurpateurs, pilleurs, voleurs, coopérants, colonisés, traîtres de la nation qui méritent tous d’être jugés et pendus. Surtout, qu’ils ne croient pas qu’ils bénéficieront de l’impunité lorsqu’ils seront déchus. Tout Algérien a le droit de les poursuivre en justice et de les punir, tous tant qu’ils sont. Rendez les clés et fichez le camp, bande de voleurs ! Et pas de diversion pour gagner du temps ! Tout le monde vous voit et se moque de vous. Il n’y a que votre autosuffisance qui vous empêche de voir la réalité. L’Algérie doit impérativement trouver un nouveau souffle et renouer avec les valeurs de la vraie politique qui vous sont totalement étrangères. Vous devez partir pour éviter que le pays ne s’écroule, c’est une exigence, et vous n’êtes garants de rien du tout, c’est l’armée qui est la seule garante de la stabilité du pays. D’ailleurs le seul bilan valable qui a été présenté, c’est celui de l’armée qui est en train d’éliminer des terroristes. Quant à vous, vous n’êtes utiles à rien, vous n’êtes indispensables qu’à vos familles qui se sucrent avec l’argent du peuple que vous dilapidez, et votre obéissance aux Français a permis que vous cassiez nos services de sécurité. Vous avez frappé la cohésion au sein de l’armée notamment avec l’opération Zéralda concoctée par Saïd Bouteflika et Bernard Bajolet. Vous n’êtes pas un facteur de stabilisation, bien au contraire, vous êtes l’antithèse de cette stabilité. Votre bilan est catastrophique et votre mépris du peuple vous a définitivement disqualifiés. Et vous vous croyez supérieurs, vous les bougnoules colonisés qui vous agenouillez devant n’importe quel maire venu de France et de Navarre ? Quand j’évoque le mouvement national et les débats multiples qui avaient lieu naguère, je sais de quoi je parle. Les écrits de Ben M’hidi ou d’Aït Ahmed dans les années ’40, – ce dernier ayant rédigé un texte extraordinaire en 1948 pour le congrès du PPA et dont je vous recommande la lecture pour vous éloigner de la médiocrité de cette époque de disette intellectuelle – de Hadjerès et d’autres, les différents mouvements politiques qui existaient, témoignent de la vie politique qui palpitait à cette époque. L’Algérie d’aujourd’hui ne ressemble plus à rien, et pire, les gangsters qui pullulent dans la sphère du pouvoir se permettent de juger la diaspora algérienne qui vit dans des pays aux traditions politiques très anciennes et qui n’accepterait jamais de participer à la corruption et à la gabegie qui sévissent en Algérie. Pensent-ils vraiment que nous allons nous précipiter pour venir vivre dans un pays où des Haddad, Takhout, Tliba et Cie s’adonnent à leurs combines en toute impunité et où les hommes de valeur sont mis en prison ? Libérez le général Benhadid qui a eu le courage de vous dénoncer, le général Hassan qui a le mérite d’avoir combattu le terrorisme et le général Medjdoub qui connaît vos manigances à Zéralda ! Pourquoi croyez-vous que les jeunes préfèrent se noyer dans la Méditerranée plutôt que de vous subir ? Roma wa la N’touma (Rome plutôt que vous). Ces jeunes préfèrent être bouffés par les asticots en Méditerranée plutôt que de vivre chez vous. Allez leur parler de votre Constitution !

Les gesticulations récentes d’el mgamel Ali Haddad, le voleur de sable, concernant ses activités et ses soi-disant contributions à l’économie algérienne ne sont que de piètres mensonges s’inscrivant dans une tentative de jeter de la poudre aux yeux. Il n’est même pas fichu d’aligner trois mots sans faire une bourde, comme lors de la dernière assemblée du FCE « … dans l’année qui vient de s’écrouler« . À ce stade, ce n’est pas Ali Haddad et son FCE ou son assemblée à la con qui vont s’écrouler comme son lapsus le révèle, mais c’est toute l’Algérie qui risque de s’effondrer. J’ai fourni des preuves émanant du Registre de Commerce espagnol stipulant que ce personnage pratique l’évasion fiscale et qu’il est dans le transfert illicite de devises algériennes à l’étranger. Quand j’ai demandé une enquête sérieuse de la part du fisc algérien pour étudier les transferts de devises de cet énergumène qui s’accapare des biens à l’étranger, personne n’a levé le petit doigt. Ali Haddad peut continuer à gesticuler et à sortir ses boniments, il n’en est pas moins le symbole de la faillite du système politique algérien qui a fait naître des gens comme lui. Il nous affirme qu’il n’est pas le diable. Qu’il se rassure, personne ne le soupçonne d’être le diable, il n’a ni l’envergure ni l’intelligence nécessaires pour incarner Lucifer. Il n’a aucune chance de figurer dans la hiérarchie infernale, même à l’échelon le plus bas. Il est juste un pouilleux opportuniste, un mgemmel, un kharay qui sera peut être chargé de transporter des brouettes de charbon pour alimenter les feux de l’enfer. Quand cet individu se met à défendre le projet de la « Constitution », il faut vraiment que ce régime ou système politique, – peu importe le nom, car il n’a rien de structuré, c’est juste du grand n’importe quoi – soit stupide pour déléguer un personnage haï par la population dans le but de faire la promotion d’un chiffon rejeté par tout le monde. À la grâce du seigneur, ça se passe comme ça, maintenant, en Algérie. Ce n’est même pas de l’amateurisme, parce que l’amateurisme a ses qualités, or, on ne trouve aucune qualité à la horde sauvage qui a fait main basse sur le pouvoir en pratiquant un véritable holdup. J’ai fait intervenir divers acteurs algériens, universitaires, économistes, politiciens, pour qu’ils expriment leur avis et éclairent de leur intelligence ce monde des ténèbres dans lequel évoluent les Ali Haddad, Ahmed Ouyahia et Saïd Bouteflika, ce dernier étant auparavant dans l’intelligence artificielle mais le résultat est que dans son cas, l’artificiel et la ruse ont dominé l’intelligence. Ali Haddad le kharay, est l’artificiel dans toute sa nullité, mais on sait bien qu’il n’est qu’un prête-nom, un Khalifa bis. Wayne biha ? Où comptez-vous aller avec « ça », avec des Ouyahia et Haddad qui défendent une « Constitution » sans queue ni tête qui instaure les Deux Collèges en s’attaquant à la diaspora ? Depuis quand des ânes bâtés ont-ils besoin d’une Constitution ? Dans les États qui se respectent, la Constitution est inviolable ! C’est ça le chantier de « l’État civil » du dieu vivant Bouteflika, chantée sur tous les tons par son barde le zemmar Saïdani ? Quelques lignes qui ne veulent rien dire et qui ne ressemblent à rien ? Où allez-vous avec le mgemmel Haddad qui insulte le peuple algérien en le traitant de fainéant ? Pour qui te prends-tu, bâtard pouilleux ? Tu crois que tu peux continuer à déverser des insultes sans que personne ne te réponde, khmaj ? Moi, je te réponds. Tu n’es même pas fichu de parler correctement le français, espèce d’âne.

Qui paie l’orchestre choisit la musique

Vous êtes tous des usurpateurs. Pour votre gouverne, l’Étoile nord-africaine est née en France, et pas dans le hammam de la mère d’Abdelaziz et de Saïd Bouteflika. Nier l’apport de l’immigration algérienne, que ce soit dans la libération du pays ou dans sa construction, est criminel. Envoyer vos Haddad et Ouyahia, bref votre clientèle habituelle pour justifier l’injustifiable ne sert qu’à grappiller du temps. Bien sûr, Saïd Bouteflika choisit la musique puisque c’est lui qui paie l’orchestre, et Haddad n’est jamais qu’un membre de la troupe, certainement pas le plus talentueux. On se demande d’ailleurs comment un tel olibrius a pu émerger du mortier dans lequel il pataugeait hier avec ses brouettes pour représenter aujourd’hui « l’économie » algérienne auprès des instances internationales. Et quelle économie ! Haddad a beau chanter le refrain de Saïd, ce n’est pas suffisant pour persuader tout un peuple de le reprendre en chœur. Cet énergumène d’Ali Haddad essaie d’épater les gens en leur disant qu’il est au forum de Davos et qu’il peut, quand il le veut, emprunter 100 milliards de dollars pour l’Algérie auprès de l’Arabie saoudite ou de l’Allemagne. « Rani khayfa manich mwalfa wa kharja men lhfafa«  (j’ai peur, je viens de sortir de chez la coiffeuse et je n’ai pas l’habitude). C’est une petite phrase qui circule dans le milieu algérois que j’ai connu lorsque j’étais dans Alger Républicain et qui se moque de ceux qui veulent impressionner leur auditoire. Cause toujours, tu m’impressionnes. Nous aussi, nous avons nos gens au forum de Davos, et pas seulement là-bas, mais dans des États sérieux, ce qui n’est pas le cas de l’État algérien squatté par une bande de mafieux qui ridiculisent notre nation : Assemblée, Sénat, Gouvernement, vous êtes tous illégitimes. Ce qui est impressionnant, c’est que vous persistiez dans votre sottise en nous sortant votre mouture de « Constitution » dont les frères Dalton… pardon, les frères Bouteflika sont les auteurs avec la complicité de leur larbin Ahmed Ouyahia. Le président va « consulter » pour faire un gouvernement ? Où a-t-on vu ça ? Dans les États qui se respectent, le Gouvernement est constitué par ceux qui remportent les élections, mais pas en Algérie où sévit un régime hyper présidentiel et, comble de l’absurdité, sans président ! Parce qu’on ne sait toujours pas dans quel état se trouve Abdelaziz Bouteflika. Que le président fasse un discours devant son peuple ! Mais non, il en est incapable. Donc, ce président n’a pas à diriger le pays. Il doit passer le flambeau, et ce n’est pas à Ali Haddad d’épouser un rôle qui n’est pas le sien. Il n’est rien d’autre que le président d’une association patronale parmi d’autres, de quoi se mêle-t-il quand il parle de Constitution ? Où a-t-on vu cette aberration ailleurs qu’en Algérie ? Il s’attaque à l’opposition alors qu’il ne pèse rien dans les faits. Il ose dire qu’il paie ses impôts alors qu’il ne les paie pas. Rebrab, deuxième contributeur après Sonatrach, les paie, lui, et on sait ce qui lui est arrivé. J’ai les preuves de ce que j’avance et je mets Haddad au défi de me démentir. Qu’il le fasse donc au lieu de parler de moi en petit comité dans les salons feutrés algérois.

Vous n’êtes rien, Ali Haddad. Vous êtes la crasse de l’Algérie, un minable voleur de sable qui vit des commandes publiques et fait de la surfacturation. Je vais contacter mes amis de Podemos en Espagne concernant l’hôtel que vous avez acquis à Barcelone et je vais vous couler. Malgré les preuves de vos malversations que j’ai fournies, vous continuez à insulter le peuple en lui disant qu’il se lève à midi par paresse, mais que vous, vous êtes tôt au travail. Mais qui êtes-vous donc ? Vous ne produisez rien en termes de valeur ajoutée et vous vivez des commandes publiques, et vous ne déclarez pas votre personnel. Vous vous prenez pour un capitaine d’industrie alors que vous n’êtes qu’un begar. Alors quand vous parlez d’emprunter pour l’Algérie, vous postulez que nous sommes tous des idiots à votre image. Vous voulez emprunter pour vous-même et vos maîtres, et c’est le peuple algérien qui réglera l’ardoise. L’Algérie n’est pas votre hôtel de passe Le Marin, Ali Haddad. Vous allez nous dire que vous avez rencontré le général Touati ? Et alors ? On s’en fout ! Chacun doit être à sa place et vous n’êtes pas à la vôtre. L’incongruité du quatrième mandat, c’est que personne n’est à sa place. Je persiste et je signe : le système politique actuel est un danger imminent pour l’État algérien et la nation. Prenons le cas d’Ahmed Ouyahia. Je connais des gens qui vous ont fréquenté, Ouyahia, lorsque vous étiez au lycée Idrissi à Alger. Je vous connais depuis votre jeunesse, je sais tout de votre parcours. Idem pour Mohamed Betchine qui représente la mafia politico-financière. Vous avez oublié, Betchine, quand, dans la villa de Sidi Mabrouk à Constantine, le capitaine que vous étiez alors était interdit d’entrer dans le salon où se tenaient le colonel Abdelghani, chef de la Ve Région, et le conseiller de Boumediene, Mohieddine Amimour, et que vous étiez chargé de distraire les enfants, mes propres neveux, au jardin ? Ki ghabet toyor gat el hamma tdour (quand les aigles sont absents, les chouettes font la loi). Jouons donc cartes sur table. Depuis les années ’90, vous proclamez que vous détenez un dossier brûlant comportant des secrets d’État qui pourraient compromettre diverses personnes. De quels secrets parlez-vous ? Celui relatif à l’usine de faïence à Oued Segen? Celui du marché des trottoirs de Constantine que vous avez raflé ? Quant à Saïd qui a approché Betchine, il faut qu’il intime l’ordre à ses chiens de garde de la fermer. Y compris Ahmed Ouyahia qui devrait nous expliquer pourquoi son ami Takhout a démissionné du FCE et a rejoint la confédération de Yousfi. Conflit d’intérêts ! Voilà ce qui se passe dans le « Gouvernement » actuel où le ministre du Commerce ne s’entend pas avec le ministre de l’Industrie. Ahmed Ouyahia sera probablement nommé Premier ministre très bientôt, parce qu’il est le profil parfait de l’austérité. On devrait d’ailleurs l’appeler Ahmed Austérité. Dites-nous donc quelle élection vous avez gagnée, Ahmed Ouyahia ? Comment va votre fils qui a fait une overdose ? Et comment va votre ami Sedik Chihab qui a tronqué sa couette lors de sa grève de la faim à la Maison du Peuple de l’UGTA pour un costard Smalto ? C’est nous qui l’avons aidé sans savoir qu’il allait devenir aussi pourri que vous. Voulez-vous que je parle des membres de votre parti qui sont connus sur la place publique ? Vos députés, vos sénateurs, vos ministres gavés à la chkara et qui ne sont pas différents de ceux du drabki Saïdani, disparu des radars ces derniers temps ? Si vous continuez à l’ouvrir à tort et à travers, je vais poursuivre le grand déballage de vos turpitudes.

La succession se prépare en catimini à l’intérieur du clan sur fond de diversions

Aujourd’hui, plutôt que de regarder l’avenir, l’Algérie se tourne vers les cimetières et la mort. On attend chaque jour un décès pour commémorer, au lieu de se diriger résolument vers l’avenir. Rester dans le culte des morts n’est pas un signe de bonne santé. Pourtant, l’Algérie regorge de ressources présentes et à venir, mais elles ne doivent surtout pas émerger de la boue dans laquelle le système politique plonge le pays. Il est impératif de vivre au présent et de faire face aux différents dangers immédiats : sécuritaire, politique et économique. Au lieu de cela, on reste dans le déni, avec un Ouyahia ou un Haddad, les pires outils jamais conçus d’un pays qui est en train de programmer son effondrement. Ceux qui sont en train de chercher des repères dans les cimetières, allez donc y tenir des congrès et des assemblées générales. Pourquoi s’arrêter à Aït Ahmed, dont la mort a été récupérée politiquement par les uns et les autres, offrant un spectacle indigne reflétant la maladie du pays, interpelez donc l’émir Abdelkader ou El Mokhrani ! Le deuil décrété suite au décès d’Hocine Aït Ahmed vous a davantage disqualifiés, parce qu’il s’agissait d’un politicien aux antipodes de votre pratique de la politique de la chkara. Aït Ahmed et ses compagnons avaient des projets de société et des visions politiques, ce qui dépasse votre entendement. Vous avez essayé de récupérer sa mort et on a vu le cirque que cela a donné lorsque vos représentants officiels se sont fait chasser par la population, symptôme d’une rupture épistémologique entre un peuple et ceux qui sont « là-haut ». Car c’est ainsi qu’il faut vous qualifier : « les gens de là-haut » bien que vous voliez au ras des pâquerettes, car vous n’êtes pas un gouvernement et vous n’êtes pas représentants de l’État non plus. Comme nous sommes loin de l’Algérie de Ferhat Abbas, de Ben Boulaïd et de Ben M’hidi… Je paraphrase les propos de Ferhat Abbas, un grand homme de la politique algérienne qui, lorsque Boumediene lui a fait demander s’il était d’accord avec le coup d’État de 1965, a rétorqué : « Faites un État d’abord ». Et vous, les Bouteflika, Ouyahia, Saïdani, Haddad, Bouchouareb et consorts, avez-vous fait un État ?

Ouyahia, surnommé par les jeunes « moul el kirane » (le patron des bus), allusion à son monopole du transport universitaire à Alger via son associé Tahkout, tantôt exhibe la casquette du RND, tantôt celle du chef « des cabinets » à la présidence, tout en léchant les bottes de Saïdani. Tout le monde est maqué à tout le monde, sauf que Saïdani ne veut pas d’un « mariage pour tous » avec Ouyahia. Il préfère Bajolet et Tliba, les goûts et les couleurs ne se discutant pas. La bataille que se livrent le RND d’Ouyahia et le FLN de Saïdani n’est qu’un des aspects de la lutte féroce entre les clans au pouvoir. Peuple algérien, faites vos jeux, vous avez l’embarras du choix entre la peste et le choléra, c’est-à-dire entre les noms de Saïdani ou Tliba d’un côté, ou bien Ouyahia, Haddad ou Bouchouareb de l’autre. Y a-t-il un nom valable parmi ces compradores pour la succession de Bouteflika ? Aucun ! Où est le charisme parmi ces begara honnis par le peuple ? Nulle part ! On a plutôt l’impression que ces gens font tout ce qu’ils peuvent pour faire éclater le pays. Comment un Ouyahia qui a avoué leur échec se retrouve-t-il à la présidence et sera sans doute parachuté Premier ministre ? Il faudrait se munir d’un dictionnaire des antonymes à chaque discours d’Ouyahia pour évaluer la signification de ce qu’il dit. Nous sommes dans la bulle de l’absurde et de la médiocrité, et cette bulle va éclater. Le peuple algérien est patient mais gare ! il a ses limites et il a trop supporté. Sa patience est à bout. Quant à moi, je combattrai ces traîtres tant que je serai vivant pour que le combat de mon grand-père et de tous nos martyrs soit la seule matrice de l’État algérien. La nation algérienne doit être progressiste et ne pourra renaître que par leur disparition à tous, les Bouteflika, Ouyahia, Haddad, et consorts. Il faut un nouveau souffle à la République Démocratique et Populaire algérienne pour laquelle des millions d’Algériens sont morts pendant des siècles de colonisation. Tous ces gens se sont sacrifiés pour l’État algérien, dont le pouvoir actuel est l’antithèse. Marx a raison quand il dit que « les grands événements se produisent toujours deux fois, la première fois comme une tragédie, la seconde comme une farce ». On a tous les ingrédients des années ‘80 avec en bonus le démantèlement du DRS voulu par Saïd Bouteflika et Bernard Bajolet. Quand je vois le Mickey Mouse Sellal à Berlin, c’est une farce, quand j’entends les sorties d’Ouyahia, c’est encore une farce, et quand j’entends Ali Haddad baragouiner, c’est toujours de la farce. Ils représentent tous la négation de l’algérianité qui est en chacun de nous.

L’heure des mafieux

Quelle que soit sa casquette, le mafieux notoire Ahmed Ouyahia, lié à divers trafics et larbin du général Betchine, accumule les bourdes au cours des spectacles hebdomadaires qu’il enchaîne les uns après les autres. Ouyahia, créature monstrueuse et symbole de l’immoralité et de tout ce qui est bas dans l’Algérie du règne maudit de Bouteflika, est qualifié de serviteur de la mafia par notre ami et intervenant, l’ancien ministre Ali Benouari. Lors d’une conférence caricaturale comme à son accoutumée, Ouyahia s’est livré à un striptease médiatique en disant de son ami Bouchouareb qu’il n’avait aucun doute que celui-ci allait… vendre l’Algérie ! Était-ce juste un lapsus révélateur ou une vérité sortie d’une bouche d’égout ? Ouyahia confirme ainsi que Bouchouareb, cité dans un document signé d’Obama concernant l’investissement américain sur les jeunes leaders en Afrique, est l’un de ceux, avec Haddad et Kouninef, sur lesquels les USA fondent de grands espoirs. On ne peut pas dire que les États-Unis soient très regardants quant à la capacité de leurs poulains à diriger un pays, à moins bien sûr, que le but visé ne soit de couler une nation. Ces gens font partie d’un schéma global que je combattrai sans répit, ils appartiennent à cette oligarchie et à ce pouvoir mafieux qui a fait main basse sur l’Algérie et qui s’inscrit dans l’élan de la conquête impérialiste. Et je me fous des autres qui n’ont pas compris l’enjeu de ce combat. Ils sont la faillite et l’effondrement de l’Algérie, c’est l’évidence même. Au cours d’une des dernières conférences de presse, le sinistre Bouchouareb était assis à côté du député RND Boudjemaa Torchi, connu dans la région de Mila sous le prénom d’Ahmed et un élément d’Ali Haddad dans la wilaya de Mila. Cette crapule a mis la main sur toute la wilaya en installant les maires, les présidents de l’APW, à coups de milliards de pots de vins et de chkara. Je parle avec les preuves, moi, ya si Hmimid Ouyahia ! L’affaire du milliardaire Torchi est un secret de polichinelle pour toute la police algérienne, pour les services de renseignement et pour Interpol. Ce nom ne vous rappelle rien ? Vous ne vous souvenez pas de l’affaire Torchi Hamid, affairiste mafieux lié à divers trafics et qui a été intercepté par Interpol à Istanbul ? Ce sinistre personnage est aujourd’hui un mafieux d’Alger maqué à Betchine. Cette même famille Torchi connue à Mila pour trafics divers, marchés en gré à gré, détournements, est une véritable pieuvre tentaculaire qui a mis tout le monde dans sa poche alors que leur défunt père vendait des œufs. Y avait-il des œufs d’or dans la poule pour transformer la bassecour en caverne d’Ali Baba ? Tous ces vendus ont fait des affaires avec les terroristes islamistes. On comprend pourquoi Ouyahia a reçu l’assassin Madani « Merguez » Mezrag en tant que personnalité nationale dans « les cabinets » de la présidence pour le consulter en vue de pondre ce torchon de « constitution ». C’est le consensus des assassins de la mafia politico-financière et des terroristes islamistes qui ont des intérêts communs. Cette dialectique fait qu’aujourd’hui nous avons au pouvoir des Ouyahia, des Bouteflika, des Ali Haddad, des Bouchouareb, des Torchi, etc. qui sont les partenaires privilégiés des terroristes. Pendant que le peuple algérien se faisait égorger, ils faisaient des affaires sous l’aile de leur mentor le général Betchine, connu pour avoir été l’amant de Fella Ababsa qui, d’après nos sources, est en train de danser dans les cabarets de Beyrouth. Ali Haddad a payé les groupes islamistes armés pour pouvoir continuer ses chantiers dans la région de Tizi Ouzou. Et Ouyahia ose ouvrir le bec en déclarant que son parti a gagné les élections sénatoriales sans la chkara ? Ben voyons ! Il vaut mieux entendre ça que d’être sourd. Vous avez oublié la chanson que vous a consacré le brave Matoub Lounès, ya si Hmimid ? Toujours dans la wilaya de Mila, lors de la dernière campagne électorale, voyant qu’Ali Benflis remportait un franc succès en attirant les foules alors que les porte-paroles de Bouteflika se faisaient copieusement caillasser, le député Torchi du RND d’Ouyahia et son frère affairiste ont recruté et payé des baltagi pour déclarer dans la chaîne poubelle Ennahar TV d’Anis Rahmani que Benflis leur avait demandé de brûler la station d’essence, la centrale électrique et plusieurs sites publics. On a vu alors que Benflis a été qualifié de terroriste par les bardes de Bouteflika. Ali Benflis est là pour témoigner de mes propos. Les mafieux utilisent toujours les mêmes procédés, ils montent des affaires contre ceux qui les dérangent pour les discréditer voire pour les mettre en prison. Voilà comment ces begarra fonctionnent et conçoivent le fait politique. Ce n’est qu’un échantillon de ce que ces voyous sont capables de faire. Jusqu’à présent, ils n’osaient pas aller trop loin, parce que l’armée et les services sécuritaires les empêchaient de devenir une force efficiente, mais maintenant ils veulent le pouvoir absolu, quitte à tout casser, même l’armée. Quand vous traitez les opposants de fascistes, connaissez-vous la signification des mots que vous employez, si Hmimid ? Et si je vous disais que c’est vous et le pouvoir que vous représentez qui êtes fascistes ? Tous les pays du monde ont des opposants, mais en Algérie on les menace et on les mets en prison, comme le général Benhadid, et vous vous targuez de distribuer des bons et des mauvais points ? Ya Ouyahia el kaboul, vous et vos maîtres êtes dans une situation complètement burlesque qui serait risible si le pays n’était pas en grand danger. Votre congrès à la con servira juste à vous consacrer secrétaire général à la tête de votre parti de la chkara. Quand vous nous annoncez sans rire que le baril de pétrole va remonter jusqu’à 140 dollars, ce ne sont plus des couleuvres que vous essayez de nous faire avaler, mais des anacondas ! La prochaine fois que vous pèterez en public, mettez donc un Pampers comme votre maître remorqué pour éviter d‘empuantir toute l’assemblée. Vous puez tous l’argent sale ! Vous avez massacré notre Algérie, bande de néo-harkis ! Khabith !

Continuons avec les déclarations hallucinantes d’Ouyahia qui dans son délire en parlant du DRS, a sous-entendu que l’information selon laquelle la structure du DRS est devenue le DSS sous la coordination du général Tartag était une fausse information, ajoutant que le général Tartag n’était qu’un simple conseiller et non pas un ministre d’État comme annoncé. Pour la première fois dans son histoire, l’Algérie n’a pas de services de renseignement ! Vous avez tout sali, la politique, l’économie, et maintenant vous vous attaquez au gros morceau, à savoir l’institution militaire. Ouyahia stupide et ridicule a montré l’affaissement total de l’État algérien, lui qui est chargé « des cabinets » de la présidence. Porte-parole d’une mafia symbolisant la corruption, il s’immisce dans des affaires qui ne le concernent pas et ne nous apporte rien en affirmant que les trois structures qui composaient jadis le DRS sont rattachées désormais aux mains du président alors que tout le monde sait que ces structures ont toujours été sous la tutelle de la Présidence de la République comme le fut le DRS lui-même. Qu’est-ce que ce cinéma d’annoncer la dissolution d’une institution comme le DRS, par décret non publiable – une hérésie ! -, et d’attester la création d’une autre structure qui s’appelle le DSS dont même Wikipédia a cité le nom, sans parler des chancelleries et agences à travers le monde ? D’après nos contacts dans diverses agences étrangères, tout le monde a cru que le DSS était le nouveau nom des services de renseignement algériens. Et voilà qu’on se retrouve avec des structures de renseignement éparses et sans nom ! Unknow, dit-on en anglais. C’est l’aboutissement de l’Opération Zéralda imaginée par Bernard Bajolet et réalisée par Saïd Bouteflika que j’ai évoquée dans plusieurs articles consacrés à ce sujet. Quand ses supérieurs haut-gradés sont mis en prison pour des raisons fallacieuses ou sans raison du tout, que pense le soldat qui garde la frontière face aux terroristes et aux contrebandiers ? Que pense l’agent opérationnel en mission périlleuse quand on dissout le DRS et que les services de renseignement n’ont plus de nom ? À quoi rime cette cacophonie, cet amateurisme, ce jeu qui n’a aucun sens, à part seulement dire qu’on a remballé Toufik et que le bilan de Bouteflika est positif parce qu’il a dissous le DRS ? Stupidité d’un clan aux abois ! Même Gaïd Salah a été roulé dans la farine et n’a rien vu venir. Saïd lui a limé les griffes et arraché les crocs en lui retirant les segments de l’ancien DRS dont il avait hérité après le démantèlement des services de renseignement, auquel il a participé avec enthousiasme d’ailleurs, de là son affirmation qu’un attentat contre lui a été déjoué et qui n’est rien d’autre que de l’intox, une tentative de reproduire l’opération Zéralda, l’information relative à cet « attentat » émanant du média français Mondafrique lié à certains milieux algérois. Gaïd Salah, dont le poste de vice-ministre de la Défense est en soi une aberration, aurait tout aussi bien pu s’écrier « Saïd m’a tuer ». Cela ne tardera pas, car il est le prochain sur la liste des départs et devrait être remplacé prochainement par le général Ben Ali Ben Ali ou le général Taffer à la fonction de chef d’état-major. En tous cas, ce sera un coopté. Voilà ce qui arrive quand on se compromet avec la crasse. Des ânes bâtés à la solde de X et de Y continuent d’affirmer sans aucune source crédible ni information fiable que cette transformation est la résultante de Tiguentourine alors que même Gaïd Salah a affirmé que l’opération était une réussite totale. Le « qui-tue-qui » continuera à sévir tant que notre patrie sera livrée à des crapules et gangsters, des pantins à la solde de Fafa. Preuve supplémentaire à ajouter à la longue liste des courbettes que le pouvoir illégitime pratique à l’égard de la France : la visite de Tayeb Zitouni, ministre des Moudjahidine, s’est effectuée pour la première fois depuis l’indépendance, et ce poltron n’a même pas été fichu de ramener les têtes de nos braves résistants exposées au musée d’histoire naturelle à Paris ! Par contre, la France n’a pas hésité à mettre sur pied une commission ad hoc chargée de rechercher les disparus français en Algérie. Que dire des millions d’Algériens massacrés par le colonialisme français ?

Le bilan de Bouteflika est-il positif quand un Ouyahia sans honneur déclare en utilisant un populisme crapuleux que les 800 milliards dilapidés ont été bien dépensés en les distribuant aux pauvres pour les reloger ou pour acheminer le gaz dans les villages ? Nous n’avons aucun doute que c’est Ouyahia, son ami Takhout, Ali Haddad, Bouchouareb, Torchi, et tous les gredins qui pullulent en Algérie, qui ont dilapidé cet argent. Nous remercions néanmoins Ouyahia d’avoir confirmé que 800 milliards de dollars ont bel et bien été dilapidés, contrairement aux nombreux larbins qui ont émis des doutes par rapport à cette somme, parce qu’ils ont tous bouffé à la mangeoire. Ces voyous ont englouti en quinze ans l’équivalent de quatre fois le plan Marshall qui a servi à reconstruire l’Europe après la seconde guerre mondiale ! Y a-t-il des villes en Algérie qui ressemblent aux villes allemandes ou autrichiennes qui avaient été rasées pendant la guerre et qui ont été reconstruites avec les 200 milliards du plan Marshall ? Idem pour les autoroutes ? Où sont les cinq milliards de dollars que vous avez donnés au FMI ? De quel droit avez-vous effacé les dettes contractées par des pays africains auprès de l’État algérien ? Est-ce que cet argent appartient à vos familles ? Fait-il partie de votre héritage ? Qui va payer le milliard de dollars de dettes d’Arcelor Mittal El Hadjar ? Autre chose, Ouyahia, pouvez-vous nous donner des nouvelles de Taghit, l’ex-PDG de Cosider qui a essuyé les tirs de vos amis mafieux dans un restaurant, pratiquement tout le monde ayant été tué, et rendant ce grand monsieur paraplégique ? Je salue son courage, car ce patriote a refusé d’acheter les ronds à béton radioactifs à la mafia ukrainienne. Je salue aussi le courage de tous les cadres algériens incarcérés par vous, Ouyahia, la crapule du quartier du Clos Salembier, renié par sa propre mère. Je regrette d’avoir été ami avec celui qui vous a ramené en politique, espèce de pourri, exécutant sans aucun honneur, servant des maîtres différents sans rechigner. Vous n’êtes qu’un ronin. Arrêtez de jouer les vierges vertueuses en parlant de chkara et d’argent sale, quand le député Torchi se tient à vos côtés ! C’est lui qui m’a confié un jour comment il était arrivé au RND, il ne savait pas qu’il se confiait à un journaliste doublé d’un patriote. Je mets au défi cette crapule de renier ce qu’il m’a dit, à savoir qu’il est entré tardivement au RND pour protéger ses affaires et pour qu’elles prospèrent. Quant à Betchine, autre crapule, s’il était un homme, il aurait accepté le face-à-face à la télévision proposé par le général Nezzar. Pas de couilles, pas de gloire !

Vous reniez la diaspora algérienne, on vous pisse à la gueule. La diaspora algérienne a été fondamentale dans la lutte pour la libération du pays, elle n’a pas attendu un cancre au service d’une mafia locale pour faire parler d’elle. Les Algériens de l’étranger vous emmerdent ! Nous resterons des patriotes algériens malgré vous, bougnoules du Club des Pins qui avez transformé l’Algérie en cabaret. Ce ne sont pas ceux qui vivent à l’étranger qui n’ont pas de patrie, c’est vous, dans vos résidences remplies de putes et de pédés, symboles du déshonneur algérien. Des millions de martyrs se sont sacrifiés pour que vous détruisiez le pays pendant que votre président mange sa panade à la cuillère comme un bébé et défèque dans ses couches. Ramenez-le pour un discours de dix minutes devant le peuple algérien, chiche ! Ça ne marchera pas, même si Saïd lui greffe les cordes vocales de Johnny Cash. L’Algérie, c’est nous ! L’Algérie, c’est l’héritage progressiste ! Le petit orteil de ma grand-mère torturée par les paras français vaut dix mille fois votre dieu cloué dans sa chaise roulante. Quant au sang de mon grand-père, il est béni des dieux. Vous avez transformé la sève de nos martyrs en whisky que vous ingurgitez avec vos amants et vos maîtresses, mais l’Algérie de Ben M’hidi triomphera. L’âme de nos martyrs plantera le drapeau de la nation algérienne dans vos bides rempli d’argent sale et l’Algérie des martyrs renaîtra tel le phœnix. Nous vous éradiquerons, comme nous éradiquerons Daech, vos frères d’armes.

Vous avez une fois de plus montré votre bassesse. Offrir de l’argent pour corrompre ne sert à rien. Un de mes diffuseurs, Whatsupic, qui a du mal à s’en sortir économiquement, n’a pas publié mon interview d’Ali Benouari. Saïd Bouteflika et Ali Haddad, sachez que j’écrirai contre vous dans les arbres, dans l’air, sur la tombe de mon grand-père qui a été massacré par les paras français, vos maîtres. Vous faites pression sur un de mes diffuseurs ? D’autres m’offrent de publier mes écrits. J’écrirai partout et les offres ne manquent pas. Vous ne m’arrêterez pas. Mon blog Algérie Résistance diffusera mes publications, ainsi que d’autres supports. Personne ne stoppera mon élan. Je suis soutenu par de nombreuses personnes et personnalités dans le monde, ce qui est loin d’être votre cas. Et on ose s’attaquer aux patriotes ? Personnellement, ils n’arrêtent pas de me porter des coups bas dont on croirait qu’ils proviennent de l’imagination de putes oisives végétant dans un harem. Je n’arrêterai pourtant jamais de vous dénoncer et d’inviter des Algériens intelligents à s’exprimer, que ce soient des ex-ministres, des anciens militaires, des chercheurs, etc. Tous les patriotes sincères sont les bienvenus et je répandrai leurs propos partout dans le monde, chez tous mes amis, dont certains dirigent des pays. Je vous traquerai et dévoilerai vos desseins partout et ce ne sont pas vos mesquineries qui me visent qui vont pouvoir m’arrêter. Vous qui ne connaissez que le tamtam et les signaux de fumée pour communiquer, et n’avez jamais entendu parler des réseaux sociaux, êtes la risée du monde. « Nboul alikoum kima rakoum » (je pisse sur vous tous, ya khamaj). À chaque fois que vous me chercherez, bande de bâtards, vous me trouverez ! Tfouhhhh sur vous ! J’ai risqué ma vie avec ma plume et cette plume vous tourmentera jusqu’à votre disparition.

Le forcing du quatrième mandat a échoué, les pourritures qui l’ont porté doivent songer à dégager. Ce sera soit un départ négocié, soit un départ dans la violence, qu’ils choisissent. Nous ne souhaitons ni la violence ni le chaos, il est donc temps de penser à des élections anticipées. L’ANP doit rendre les clés de la maison au peuple et non pas à la caste de l’argent sale. Il n’y a ni État civil ni rien, tout est clair. L’armée ne peut donner le pouvoir à cette horde sauvage et se retirer ensuite pour regarder le spectacle de l’effondrement de l’Algérie. C’est la mission primordiale de l’armée qui doit restituer les clés de la maison Algérie non pas au clan de l’argent sale représenté par des usurpateurs et des créatures de cirque, mais à de patriotes, et dieu sait qu’il y en a ! Il existe des compétences politiques valables qui peuvent ramener l’Algérie à bon port. Il faut un État fort dirigé par des hommes d’État forts qui existent en Algérie. C’est une question de vie ou de mort.

Mohsen Abdelmoumen

Published in Oximity, February 1, 2015:https://www.oximity.com/article/Ali-Haddad-Ahmed-Ouyahia-fermez-la-1

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Source: Mohsen Abdelmoumen
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