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Théopolitique

Le monothéisme local d'Israël
et la géopolitique

Manuel de Diéguez


Manuel de Diéguez

Vendredi 18 avril 2014

1 - Une rétrospective
2 - Quels sont les premiers résultats de ma recherche ?
3 - Les dieux immanents au monde
4 - La revanche de la zoologie
5 - Les malheurs de Jahvé
6 - Les nouveaux embarras du "connais-toi"
7 - La guerre des dieux
8 - Le messianisme démocratique
9 - Un furoncle providentiel

1 - Une rétrospective

J'inaugure ce mois-ci la quatorzième année de mon site d'anthropologie critique. Je saisis cette occasion d'en préciser une fois de plus la nature et les finalités. La science historique et la politologie du XXIe siècle ont rendez-vous avec une assise méthodologique plus étendue et une problématique plus profonde que celles dont, depuis Pétrarque, la redécouverte du monde antique avait fait de nous les héritiers superficiels.

Qu'est-ce à dire? Pendant les dix-huit premiers siècles du christianisme, la seule anthropologie ayant autorité et pignon sur rue était celle qui condamnait l'humanité à se connaître et à se comprendre à l'école d'une divinité divisée entre plusieurs confessions. L'anthropologie mythologique regroupait trois théologies monothéistes aux doctrines changeantes au gré des siècles et des climats. Mais quand la science a tenté d'initier l'humanité à la capacité de s'observer de ses propres yeux, elle a cru décrypter l'animal onirique à seulement le regarder réfléchi dans le miroir d'un raison en soi.

Du coup, l'anthropologie "expérimentale" s'est ingéniée à ignorer qu'elle passait outre à l'autre moitié d'une connaissance rationnelle de la bête, puisqu'elle oubliait d'observer le statut fabuleux qu'elle se construisait d'un siècle à l'autre, donc d'analyser la cohérence imaginaire qui l'attachait à se forger sans relâche des interlocuteurs fantastiques, à les loger dans le vide du cosmos, à se mettre à leur écoute et à en recevoir des directives plus ou moins durables.

L'anthropologie critique ambitionne d'inverser cette dialectique: elle observe des solitaires du cosmos terrorisés par leur abandon dans le vide et qui dressent des répliques idéalisées d'eux-mêmes dans le néant aux fins d'exorciser toute véritable connaissance d'eux-mêmes.

2 - Quels sont les premiers résultats du nouveau socratisme ?

En premier lieu, il faut constater que la démocratie mondiale n'a nullement fécondé sur notre astéroïde l'alliance, qui paraissait pourtant si prometteuse, entre la science politique et la connaissance anthropologique de l'humanité: feu la monarchie de droit divin avait mieux réussi que le culte des "droits de l'homme" à terrasser du moins l'histoire évangélisante. Secondement, il est évident que la science du sacré ne conquerra jamais le statut d'une science rigoureuse et que ses constructions théorisées perpétueront seulement les tautologies d'une discipline artificielle aussi longtemps que notre humanisme infirme ne disposera en rien d'une analyse des fondements psychogénétiques des mythes religieux et de leur origine dans la zoologie. Il nous faut donc non seulement une psychobiologie des cosmologies mythiques fondée sur la connaissance de la spécificité de notre singulière espèce, mais il faut, de surcroît, que cette science soit placée à la source de troutes nos "sciences humaines".

Au cours des trois derniers lustres, quatre plaques telluriques se sont déplacées en direction d'une connaissance nouvelle et moins paraplégique de l'humanité.

Premièrement, l'Amérique s'est révélée un empire démocratique classique, mais doté, à ce titre, des armes d'une expansion mythologique propre à une religion inconnue des Grecs: des idéalités séraphiques traversent maintenant le ciel de la Liberté. L'humanité assiste à l'avènement triomphal de meurtres pilotés par des abstractions évangélisées en sous-main; et l'on voit des rédemptions plus sanglantes qu'autrefois enfanter des vocables angéliques. Une sotériologie laïcisée et pourvue de concepts délivreurs rend verbifique l'apostolat d'une parole justicière de type démocratique.

Secondement, l'Angleterre a retrouvé la vocation psychobiologique de l'isolement insulaire qui caractérise cette nation depuis la Guerre des Gaules.

Troisièmement, le centre de gravité de la politique mondiale court à toute allure vers la Russie, la Chine, l'Inde et les pays émergents de l'Amérique du Sud.

Quatrièmement, Israël a pris rendez-vous avec les premiers pas de l'anthropologie critique. N'a-t-il pas fait un pas de géant dans une direction qui condamne désormais les Etats-Unis à se demander - avec soixante ans de retard - si la nation d'Abraham Lincoln joue sur le véritable échiquier de l'histoire ? Faut-il poursuivre des négociations diplomatiques sans issue au Moyen-Orient ou bien les prémisses d'une politologie abyssale commenceraient-elles de poser les jalons d'une véritable science des religions et de leurs relations avec l'esprit des nations? La science pratique et à courte vue des chancelleries demeure aussi éloignée de la connaissance spéléologique de l'homme qu'exige notre temps que la théologie du Moyen-Age avait à guérir de son abasourdissement de ce que les Incas ne fussent pas des chrétiens en attente de la révélation de la Croix. Myopie ou complicité, cécité ou "servitude volontaire"?

3 - Les dieux immanents au monde

L'animal n'a pas conscience de la scission originelle qui sépare son "esprit" du monde extérieur; il vit et respire en symbiose et en connexion adamiques avec son habitat naturel. L'homme, en revanche, se distingue des bêtes en ce que tantôt la médiation, tantôt la barrière de ses langages diversifient son psychisme et lui enseignent l'évidence qu'il se trouve séparé de l'inerte par un espace à franchir à l'école de ses voix. Mais si ce bipède n'accède au monde qu'avec le secours d'un outil sonore et immatériel - la parole - cet instrument se révèle plus efficace à sa manière que les griffes et les crocs. Comment se fait-il que cette arme échappe à l'appel patient de la grammaire et des dictionnaires?

Et pourtant, les premiers dieux témoignaient du besoin inconscient du détoisonné des forêts de reconquérir son statut zoologique. Comment retrouver la jonction et la conjonction originelles qui permettaient à Poséidon de faire corps avec les étendues marines, à Chronos d'épouser le temps, à Hélios de faire briller le soleil, à Gaïa de féconder la terre?

Le polythéisme illustrait le rêve perdu d'une bête inconsolable de se découvrir soudainement amputée du monde physique et orpheline de la confusion rassurante avec la nature dont bénéficient les autres animaux. Quoi de plus frustrant que de choir dans sa transcendance! Certes, le langage s'est révélé un harpon efficace; mais il atteint désormais une cible rendue fuyante et à jamais inaccessible, tandis que les dieux complices de la forêt primitive réalisaient une fusion sylvestre entre leur corps et leur signification : ils personnifiaient leur essence et incarnaient leur quintessence.

4 - La revanche de la zoologie

Par malheur ou par bonheur, non seulement l'alliance physique entre les dieux et les choses est demeurée inextinguible, mais la dilution officielle du polythéisme d'Etat s'est révélée illusoire. Le désir de la bête de sceller un pacte originel avec son environnement arboricole est réapparu au cœur même d'un monothéisme chrétien faussement triomphant. La vie en partie double des Vierges de Fatima, de Medjugorge, de Lourdes, de la Salette, de Czestochowa a pris la place de la vie dédoublée d'Apollon à Delphes ou d'Aphrodite à Ephèse. Mais les innombrables statues de saints localisés ne sont que des rappels de l'ambiguïté native qui faisait parler les dieux de l'Olympe à la fois sur les pentes de l'Hélicon et dans tous leurs temples.

De nos jours encore, la science physique est réputée parler tout ensemble dans les têtes et parmi les atomes, parce que les signifiants sont censés consubstantiels à leurs supports: l'expérience scientifique passe pour constater cette fusion. Mais observez avec des yeux d'anthropologue la marche d'Othon le suicidaire contre Vitellius le goinfre. Tacite nous raconte que ce dernier avait pris la tête des légions rebelles de Germanie et que les deux généraux rendaient un culte aux dieux locaux échelonnés sur leur chemin. On appelait leur alignement ininterrompu l'enchainement des génies du lieu.

Les premiers disciples du Nazaréen disaient encore fièrement: "Je suis fait pour marcher sur la terre, non pour l'adorer". Mais Jean-Paul II baisera le sol de tous les pays du monde. C'est que la terre et la langue de la Pologne, sa patrie, faisaient à nouveau corps avec un christianisme en guerre avec l'empire soviétique. L'athéisme marxiste n'avait pas de territoire sacré à labourer: son seul temple, disait-il, était le cœur de la classe ouvrière mondiale. Mais, en 1943, Staline lui-même a appelé la Russie à revenir au christianisme orthodoxe, parce qu'il fallait redonner ses entrailles à la nation - et seule la religion était en mesure d'y pourvoir.

La catastrophe de l'effondrement de l'empire romain avait enfanté une l'humanité désespérée. Comment demeurer debout alors que le ciel inébranlable des ancêtres s'était enfui ? Le traumatisme fut immense - il allait se révéler inguérissable. Saint Augustin passera vingt ans à reconstruire une "cité de Dieu" reléguable dans l'au-delà et à la peindre sous des traits désirables, mais à jamais hors de portée des vivants. Le ciel des hommes demeure inconsolable du sac de Rome en 410.

Il a fallu attendre un millénaire entier pour qu'un paganisme romain essoufflé revînt bivouaquer sous son déguisement chrétien dans les rues, les maisons et les temples. Mais aussitôt la Réforme est venue bousculer pour la seconde fois les campements locaux du sacré si péniblement reconstruits. Du coup, Dieu est allé se lover dans les nations: le protestantisme américain est un christianisme patriotique - toute la population du Nouveau Monde est devenue l'élue du ciel de Calvin sur la terre.

5 - Les malheurs de Jahvé

Il est vrai qu'Israël avait tenté de couper la poire en deux. Mal lui en a pris: Jahvé s'est révélé le premier Céleste à claudiquer sur quelques arpents. Cet unijambiste de l'absolu se caractérise de sautiller sur un pied en Palestine. Il a divinisé une minuscule région du globe terrestre et l'a donnée définitivement au peuple hébreu. Ses fidèles sont devenus des possédants à l'abri de toute expropriation, puisqu'ils s'agrippent désormais à un cadastre intouchable par nature et par définition. Mais le divin n'a pas réussi à divorcer d'avec le profane. Certes, les autres dieux ont purement et simplement cessé d'exister.

Et pourtant, le seul survivant est fort à plaindre: la question de savoir à qui appartient maintenant tout le reste de la mappemonde le taraude. Seuls les juifs possèdent des lopins garantis - et c'est assurément un grand avantage; mais le revers de la médaille les fait camper dans le désert. Le cosmos est tombé en déshérence d'Allah et du Dieu en trois personnes des chrétiens, tandis que les dieux de Galba, d'Othon et de Vitellius sont descendus, eux aussi, au sépulcre.

Et les malheurs du primate ne faisaient que commencer: il avait installé une déesse plus universelle que toutes les précédentes dans le cosmos, la Causalité, dont la progéniture était tellement abondante qu'on avait tenté de parquer sa descendance entre quatre royaumes bien séparés, celui de la cause première, puis de la cause finale, puis de la cause formelle, puis de la cause matérielle ou efficiente. Il aura fallu attendre la fin du XVIIIe siècle pour qu'un philosophe allemand découvrît que les causes refusent décidément de se placer sous la lentille des microscopes et qu'elles ne campent que dans nos têtes. Et depuis lors, Dame Causalité est à la recherche de son mari, le cosmos; et tous les dieux anciens se sont donné le mot pour se rire de nous, qui nous demandons sans relâche où ils ont bien pu se rendre.

6 - Les nouveaux embarras du "connais-toi"

Depuis 1789, les démocraties ondoyées dans les vasques de l'abstrait sont officiellement demeurées croyantes - au sens psychobiologique du concept de "religion", puisque ce vocable renvoie au verbe relier, religere. Il sera donc bien impossible de jamais placer les négociations israélo-palestinienne en première ligne sur les fonts baptismaux d'une raison du monde devenue dérélictionnelle à l'échelle du cosmos, parce que, longtemps encore, les évadés partiels de la zoologie trembleront des pieds à la tête à la seule idée de se trouver privés de domicile fixe dans une immensité inhabitée.

Quand, en 70 de notre ère, le peuple juif s'est trouvé tout soudainement privé non seulement d'une terre inaliénable, mais réputée, de surcroît, se confondre avec une divinité campée sur quelques hectares, il s'est consolé de son abandon à se procurer des béquilles: des signes et des symboles lui ont fourni des appuis subalternes, mais payants. La panoplie collatérale des rituels, des liturgies, des tabous alimentaires et des couvre-chefs distinctifs a longtemps permis à la diaspora de substituer une signalétique tribale et tangible à l'évanouissement des premiers anatomistes du monothéisme. Mais maintenant, la consubstantialité originelle de Poséidon à la mer ou de Gaia à la terre a définitivement fait son temps.

Le peuple juif et son monothéisme local ont beau avoir retrouvé en 1948 une parcelle du coin de terre réputé leur avoir été remis en mains propres et à titre imprescriptible par le créateur du cosmos. Certes, ce fait bien établi aux yeux des huissiers du ciel des nations pourrait aider la géopolitique contemporaine à se convertir à une anthropologie de l'inconscient politique des religions, donc ambitieuse de rendre compte de la généalogie cérébrale d'un mammifère rendu schizoïde par un malheureux verdict de la nature. Mais la politologie moderne n'en demeurera pas moins privée des fondements de toute connaissance de l'humanité digne de se qualifier de rationnelle si la science de la mémoire n'abordait pas la question centrale, celle de la problématique anthropologique imposée par la chronologie. Sinon le XXIe siècle ressemblera à celui des chrétiens du XVIe siècle évoqués plus haut, qui projetaient sur les Incas la grille de lecture qui pilotait leur mythe du salut.

7 - La guerre des dieux

Alors, seulement, une simianthropologie fondée sur une connaissance généalogique irréfutable et dûment vérifiée par l'expérience prendra acte des apories internes auxquelles se heurtera nécessairement la diplomatie de la "communauté internationale" au Moyen Orient. Qu'adviendra-t-il de l'animal onirique dont une autre divinité aura focalisé, elle aussi, sa théologie sur le territoire de la Judée? La logique interne à laquelle obéissent les songes sacrés est implacable. Elle nous enseigne que, depuis seize siècle, Jahvé n'étant plus seul à revendiquer l'occupation des lieux, Jérusalem est devenue une capitale aussi théologique et non moins précieuse aux yeux d'un milliard et demi de musulmans que pour les quinze à seize millions de juifs éparpillés sur toute la mappemonde. Que faire quand deux divinités censées se confondre cérébralement au nom de quelques écrits originels - le temps écoulé les a contraintes à se les partager - se disputent l'ADN de deux peuples au capital chromosomique séparé?

Aussi, la dernière en date des revendications théo-biologiques d'Israël a-t-elle fait l'effet d'une bombe à retardement dans le monde arabe tout entier. Ce peuple demande maintenant à l'humanité - et en toute logique bio-religieuse - de faire déclarer inattaquables des titres de propriété garantis par le ciel de l'endroit. Mais le droit international actuel n'est plus qualifié pour légitimer des textes bibliques. Que faire d'un " Etat juif ", donc d'une divinité à la fois chromosomique et censée validable parmi les héritiers du droit romain que nous sommes redevenus?

8 - Le messianisme démocratique

Une proposition théo-politique aussi anachronique a surpris une diplomatie mondiale semi laïcisée, mais demeurée intellectuellement aussi désarmée que du temps d'Homère et non moins ignorante que Noé des fondements psychobiologique de l'espèce schizoïde - donc de la nature même des songes sacrés que sécrète l'encéphale de cet animal. Pour la première fois dans son histoire, la planète assistera, médusée, au spectacle d'une diplomatie internationale épidermique et frappée d'un retard scientifique remontant à l'âge de la pierre taillée - retard appelé à se perpétuer, puisque la pratique de chancellerie des religions frappera longtemps encore de paralysie et d'acéphalie politique le bipède dichotomisé entre le ciel et la terre.

Aussi les démocraties pseudo-humanistes qui caractérisent notre second Moyen-Age se gardent-elles de seulement tenter d'approfondir quelque peu leur connaissance embryonnaire des rêveries du genre humain. Pourquoi veillent-elles à demeurer à l'abri des explosions ravageuses de leurs mythes religieux? Parce que le christianisme américain illustre une démocratie messianisée à nouveaux frais par le mythe d'une Liberté politique dont la croisade apostolique et sotériologique se trouve désormais finalisée au profit de l'expansion triomphale de la seule nation censée incarner le mythe de la Justice sur la terre. Israël, lui, se collète avec une vocation rédemptrice plus restreinte - Jahvé, le territorialisé du monothéisme, n'est pas appelé à sauver tout le genre humain, mais à assurer le salut exclusif d'Israël.

9 - Un furoncle providentiel

A quand la fondation d'une haute école de l'humain? J'écrivais au début de ce texte que l'humanité moderne est demeurée aussi ignorante d'elle-même que Pizarre devant les Incas ou les Aztèques.

Par bonheur, le Moyen-Orient se révèle un furoncle providentiel. En mars 2001, j'avais seulement six mois d'avance sur le 11 septembre, qui allait illustrer un second débarquement de l'universalisme monothéiste sur la terre et, par conséquent, réveiller une anthropologie dont la problématique en était demeurée à Renan. Treize ans plus tard, toutes les nations de la planète de Cro-Magnon se heurtent à un mur - celui de leur propre refus de reconnaitre que "l'ignorance est la source de tous les maux", comme le disait un certain Socrate, surnommé la Torpille, du nom d'un poisson d'attaque qui pourrait bien s'appeler la pensée. Mais l'histoire est un accélérateur de particules. La collision de ce réacteur avec lui-même s'appelle Jérusalem. La déflagration sera si forte que la bête pilotée par les entrailles des poulets sacrés de la démocratie que j'évoquais la semaine dernière (- Les poulets sacrés de la démocratie, 12 avril 2014 )en recevra une secousse sismique qui brisera l'échelle de Richter en deux tronçons.

Voltaire disait que "les imbéciles n'apprennent que par l'expérience"; mais toutes les civilisations disparues on péri d'avoir refusé les leçons de l'expérience.

le 19 avril 2014

Reçu de l'auteur pour publication

 

 

   

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Source : Manuel de Diéguez
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