Accueil Luc Michel Dossiers Auteurs Communiqués Agenda Invitation à lire Liens Ressources
Dernières mises à jour Les rapports du CPI Le Hamas Les vidéos BDS Ziad Medoukh Centre de la Paix Gaza Université al-Aqsa Gaza Qui? Pourquoi?

Google
sur le web sur Palestine Solidarité

 

 
Centre Palestinien
d'Information



WAFA


 
Invitation à lire





BDS



Solidarité



Produits palestiniens



Eurasie-Afrique


 
En direct d'Iran



Agence syrienne



Agences Russes




 
Radio Chine

Internationale
 
Palestine Solidarité
sur Facebook



Palestine Solidarité
sur VKontakte



 


   


Al Manar

Raids contre la Syrie : l’inaction des S-300, la position
de Moscou et la diatribe anti iranienne d’Israël

Leila Mazboudi

Mercredi 23 janvier 2019

L’inaction des S-300 face aux raids israéliens contre la Syrie soulève bien des questions. Livrés à la Syrie le mois d’octobre dernier, après le crash de l’Iliouchine russe via une manœuvre israélienne sournoise, ces systèmes antimissiles et antiaériens qui devrait protéger la majeure partie du territoire syrien n’ont à aucun moment été utilisés depuis.

Le journal russe Kommersant a tenté un éclaircissement : la formation des forces de l’armée syrienne par des officiers russes au maniement de ce système n’est pas encore terminée. Elle devrait l’être le mois de mars prochain et à ce moment-là ces systèmes deviendront opérationnels.

D’ici là, d’autres questions seront soulevées. Entre autre : le gouvernement syrien pourrait-il l’utiliser à sa guise, sans avoir à prendre un feu vert de la part de la Russie.

A en croire le journal russe, pas question que les officiers russes manient ces systèmes pour défendre le sol syrien.
Selon le ministère russe des affaires étrangères, la récente offensive israélienne contre la Syrie n’enfreint pas les lignes rouges qu’elle a fixées. Celles-ci sont a fortiori dictées par l’engagement russe à l’égard de la Syrie, de sa sécurité et de la lutte contre le terrorisme. Exclusivement.  Et non à l’encontre des autres aspects qui façonnent la crise dans ce pays, un pilier de l’Axe de la résistance. Dans ce conflit où s’affrontent ses alliés à Israël, Moscou veut rester à l’écart.

La frénésie anti iranienne perçue dans le discours israélien serait elle aussi en lien avec ces lignes rouges. Quand bien ce sont des sites de l’armée syrienne qui sont bombardées, les accusations israéliennes vont vers l’Iran. Idem pour les ripostes anti-israéliennes, Tel Aviv les attribuent à Téhéran. Et quand les Israéliens reprochent quelque chose à Damas, c’est d’abriter l’Iran.

Ce discours devrait aussi faire l’affaire des régimes arabes. Impliqués dans la destruction de la Syrie,en ayant soutenu les groupes terroristes, ils renouent avec Damas, sous prétexte de vouloir contribuer à sa construction.  On peut facilement imaginer qu’ils lui poseront comme condition, pour obtenir les centaines de milliards de dollars qu’ils arguent être prêts à lui accorder, de couper les ponts avec Téhéran.

Pour les Israéliens, les Américains et les régimes arabes, l’enjeu principal est sans aucun doute de sortir l’Iran de la Syrie. Moscou aussi devrait avoir elle aussi son mot à dire.

Source : Divers

 

 

   

Le sommaire de Leila Mazboudi
Le dossier Syrie
Les dernières mises à jour



Source : Al Manar
http://french.almanar.com.lb/...

Abonnement newsletter: Quotidienne - Hebdomadaire
Les avis reproduits dans les textes contenus sur le site n'engagent que leurs auteurs. 
Si un passage hors la loi à échappé à la vigilance du webmaster merci de le lui signaler.
webmaster@palestine-solidarite.org




Ziad Medoukh

Analyses et poèmes
 
Toumi Djaidja

Analyses

René Naba

Analyses
 
Manuel de Diéguez

Analyses

Hadassah Borreman

YECHOUROUN

Bruno Guigue

Analyses

Chems Eddine Chitour

Analyses

Mikhaïl
Gamandiy-Egorov

Afrique-Russie
 
Luc Michel

Analyses

Karine Bechet-Golovko

Analyses
 
Robert Bibeau

Analyses
 
Salim Lamrani

Analyses
 
Manlio Dinucci

Analyses
 
Mohsen Abdelmoumen

Analyses