Analyse
Bas les masques, et vive la liberté
Israel Adam Shamir
Israel
Adam Shamir
Dimanche 5 juillet 2020
Homo homini
lupus est, disait Plaute: l'homme
est un loup pour l'homme. Nos nouveaux
maîtres ont battu le vieil auteur de
comédies romain à son petit jeu en
instaurant l' "Homo homini toxic est"
comme la nouvelle norme. Ils nous ont
appris à avoir peur les uns des autres,
à porter des masques, à garder nos
distances, ou mieux encore, à rester
chez nous. Ils préfèrent qu'il en soit
ainsi, que nous soyons enfermés, mis à
l'écart, à commander des choses par
Internet et à nous laisser confisquer
nos logements au profit des agents de
recouvrement numériques. Un junkie se
séparerait plus vite de sa
seringue qu'ils ne lèveraient leur
verrouillage mondial. Pendant un temps,
nous avons nourri l'espoir qu'ils
puissent mettre fin à leur préoccupation
morbide pour notre santé au bout d'un
mois ou deux. Maintenant, nous y voyons
plus clair. Même s'ils décident
que le Covid-19 a été éradiqué, ils ont
déjà le prochain virus sous le coude. Il
existe un candidat digne de ce nom, une
nouvelle souche de
grippe porcine appelée G4, et ils
ont bon espoir qu'elle puisse déclencher
une pandémie. Si ce virus échoue au test
(comme tous ses prédécesseurs), ils en
trouveront un autre, ne vous inquiétez
pas. La loi de l'offre et de la demande
est de leur côté. Il y a tant de virus,
et tant de personnes crédules qui sont
pathologiquement incapables de douter de
ce que dit le New York Times, que
cette petite musique ne s'arrêtera
jamais.
La première vague,
c'est de l'histoire ; la deuxième vague
plane sur nos têtes, et tout du
long on va nous garder à l'isolement,
avec de petites pauses pour prévenir la
saturation. Les Chinois, les pères de
l'enfermement (ils l'ont inauguré fin
janvier) ont déjà remis le couvercle sur
Pékin. La Californie est de nouveau
assiégée, pour Moscou on y reviendra à
l'automne. Israël prépare un nouveau
bouclage pour justifier auprès des
colons d'avoir remis à plus tard
l'accaparement des terres, annoncé à
grand tapage. Les Français doivent
porter des masques, tout comme les
New-Yorkais. L'Angleterre a moins de
morts que jamais en juin, mais les
enfants anglais pensent maintenant que
la distanciation sociale est normale ;
ils ont appris que les hommes sont
toxiques les uns pour les autres. La
Turquie a perfectionné l'idée en
laissant les gens travailler en semaine
pour mieux les enfermer chez eux le
week-end. Aux États-Unis, les émeutes
qui ont lieu pendant les accalmies entre
les périodes d'enfermement sont censées
nous convaincre que rester à la maison
vaut mieux pour tous.
Il y a de bonnes
raisons pratiques à cette stratégie, et
elles n'ont rien à voir avec les
épidémies. Ce qui est en jeu c'est la
révolution numérique, comme je
l'écrivais au mois de mai dernier,
et un tel processus de transformation
prend beaucoup plus de temps que
quelques mois. En effet, l'indice
Bloomberg Silicon Valley High Tech
croît régulièrement, promettant un
rendement annuel de 42 % (à comparer
avec un taux négatif sur les dépôts en
espèces). Le confinement (et non la
maladie) c'est la catastrophe dont le
capitalisme catastrophe a besoin
pour s'épanouir. Le confinement, c'est
une version américanisée de la Doctrine
du choc, explique
Mike Whitney.
Les structures
étatiques, les agences de renseignement
et la sécurité l'apprécient également,
car la panique pandémique leur permet
d'introduire un système de surveillance
totale. Ils le font subrepticement, en
prétendant qu'ils ne nous espionneront
plus lorsque le danger sera passé ; mais
comme tous les smartphones sont déjà
équipés d'applications pertinentes, le
réseau de surveillance se resserre de
plus en plus. Ils soutiennent le
verrouillage pour contrôler notre
société.
En examinant de
plus près le désastre qui se déroule,
nous constatons que les fonctionnalités
sont davantage conçues pour inculquer la
paranoïa, bien plus que le profit et
l'espionnage ne devraient l'exiger. Si
vous écrivez "Covid" en lettres
hébraïques et que vous le lisez de
droite à gauche, comme on lit les mots
hébreux, vous obtiendrez דיבוק,
"Dibouk", le démon des cabalistes,
l'esprit maléfique susceptible de
pénétrer et de posséder une personne
souffrant d'une "intensification
émotionnelle", a noté
Bogdan Herzog, le mystique roumain
de Timisoara. Le Dibouk est une figure
populaire du folklore juif, qui fait
l'objet de pièces
de théâtre et de
films. L'analyse de Herzog se
poursuit : peut-être l'analogie avec la
possession démoniaque n'est-elle pas
superficielle mais profonde. Et si le
COVID relevait plus de la psychologie
que de la biologie ? Peut-être que par
l'induction d'une peur extrême
("intensification émotionnelle"), les
gens se comportent "comme si" ils
étaient possédés par le Dibouk... De
fait, ils semblent bien agis, comme
s'ils étaient hypnotisés, obéissant sans
réfléchir aux injonctions
contradictoires des autorités et
acceptant des limitations sans précédent
de la liberté individuelle.
Tout cela sent déjà
assez mauvais, mais Herzog va plus loin
: Peut-être que le problème n'est pas de
nature psychologique mais spirituelle,
comme l'assènent les cabalistes juifs,
et que le seul remède possible est une
sorte d'exorcisme ? C'est peut-être pour
cette raison que les églises ont été des
cibles privilégiées pendant notre
détention "préventive" ? En effet, les
églises ont été fermées à l'Est comme à
l'Ouest pour la toute première fois,
même si les magasins étaient ouverts.
L'Église luthérienne de Suède a gardé
ses églises ouvertes pour les services
religieux, mais la fonction la plus
importante, la communion, a été
suspendue. Il s'agit d'une attaque
spirituelle des plus mortelles, car le
sacrifice divin continu de l'Eucharistie
est quelque chose qui soutient
l'existence même de la société. "Est-ce
la vraie raison pour laquelle
l'Eucharistie a été interdite pendant le
confinement ?" - se demande Herzog. Si
les églises étaient restées ouvertes et
que la communion ait continué à se
pratiquer, le méchant Dibouk aurait
disparu.
(Il se trouve que
le seul pays chrétien orthodoxe à avoir
communié à Pâques dernier était le
Belarus, un petit État d'Europe de l'Est
dirigé par l'indomptable Alexandre
Loukachenko, alias le "dernier dictateur
d'Europe". Il y a quelques années, j'ai
été accusé de lui avoir fourni des
secrets concernant l'ingérence
américaine dans les élections
biélorusses. C'était faux, mais il est
bien connu que les Américains et les
Russes se sont immiscés en Biélorussie,
considérant Loukachenko comme trop têtu
et férocement indépendant pour eux. Les
Russes et les Américains voulaient
piller la Biélorussie, acheter ses
industries et accaparer son agriculture
; Loukachenko leur a dit non. La
Biélorussie est le seul État
ex-soviétique qui n'a pas été
désindustrialisé, privatisé et démantelé
; le seul qui n'a pas envoyé de vagues
de réfugiés économiques travailler à
l'étranger. On a dit que Poutine était
jaloux, quand Loukachenko a osé
communier à Pâques et qu'il a organisé
son défilé militaire pour le jour de la
Victoire, tandis que Moscou suivait les
conseils de l'OMS en fermant les
églises, en reportant le défilé et en
verrouillant la ville ; cependant, la
semaine dernière, Poutine et Loukachenko
se sont débrouillés pour inaugurer et
dévoiler ensemble le
Mémorial aux soldats soviétiques à Rzhev,
le "Verdun de la Seconde Guerre
mondiale").
Cette idée d'un
ennemi spirituel m'est venue il y a 20
ans, lorsque [dans un article devenu
légendaire: "Apocalypse
Now"]
"Depuis deux
cents ans ou plus, la chrétienté a
essayé de vivre sans Dieu. Certains ont
nié son existence, d'autres non, mais
les croyants comme les non-croyants ont
expliqué nos problèmes existentiels sans
faire appel à la présence de Dieu dans
l'Univers. Ils observaient les règles du
rasoir d'Occam : Ne pas multiplier les
entrées au-delà du strict nécessaire".
C'est pourquoi nous ne faisons
généralement pas appel aux catégories
spirituelles lorsque nous expliquons des
événements mondains, c'est pour nous
superflu.
Alors que nous
nous détendons dans notre monde
totalement matériel, un autre principe
de la logique médiévale, la Loi de la
manifestation, nous prépare une
embuscade. Cette loi décrète que "toute
entité existante finira par se
manifester". Une entité qui ne se
manifeste pas pourrait aussi bien être
qualifiée d'inexistante, sans dommage.
Théoriquement,
un croyant devrait être prêt à observer
une manifestation du monde spirituel, de
Dieu et des forces du mal. En pratique,
nous refusons de croire à une telle
possibilité. Mais en nous détournant de
la présence de Dieu, et en l'écartant de
notre vie, nous avons donné un coup de
pouce à son adversaire sur l'échiquier.
Aujourd'hui, son influence et ses plans
sont devenus palpables. Ce qui se
déroule sous nos yeux, en matière
d'histoire humaine, la destruction
gratuite de la nature et la guerre
contre l'esprit, rien de cela ne saurait
s'expliquer de façon plausible par des
causes matérielles rationnelles. Au-delà
des silhouettes trop humaines des
grandes entreprises, au-delà de la
cupidité capitalisée, au-delà du
paradigme de la domination, le
Destructeur sans visage a fait son
apparition en tant que Lord Dark Vador
sur la planète captive".
Aucun besoin d'être
un savant à tendance mystique pour
arriver à des conclusions similaires. Il
existe un groupe d'érudits
interministériels basé à Moscou qui
s'occupe des aspects avancés de la
guerre moderne. (Ce groupe a été créé
par les disciples de
Vladimir Lefebvre, un homme
remarquable qui a travaillé à la fois
pour le ministère russe de la défense et
pour le Pentagone. Je l'ai rencontré il
y a quelques années lors d'une réunion
exotique sur une île grecque). Le chef
du groupe en question me l'a dit : "Vous
pouvez considérer le Covid comme une
fausse pandémie, mais c'est un véritable
fléau psychogène à l'échelle biblique.
Ce n'est pas nous qui l'avons fabriqué,
mais il y a quelqu'un qui est aux
manettes".
Un "fléau
psychogène" , c'est simplement une
hystérie de masse à une échelle sans
précédent. La danse de la Saint Guy, ou
chorémanie, en est un exemple, et on
la guérissait par l'exorcisme. Elle
était apparue au Moyen-Âge, mais depuis
lors, il y a eu de nombreuses épidémies
de
IMP (maladie psychogène de masse),
bien qu'aucune ne soit universellement
reconnue comme telle. Pourtant, nous ne
comprenons toujours pas le
fonctionnement de cette maladie.
Certains symptômes de l'infection à
Covid sont identiques aux symptômes de
l'IPM ; ils correspondent également aux
symptômes d'une légère intoxication au
chlore que l'on peut contracter dans un
espace récemment désinfecté. À Moscou,
où la mairie a ordonné la désinfection
au chlore des immeubles d'habitation et
des espaces publics deux fois par jour,
bien des gens se sont plaints de
maux de gorge, d'irritations des yeux et
de difficultés à respirer. On les a
généralement amenés aux hôpitaux
spécialisés dans le Covid et ils ont
renfloué les statistiques du Covid. Les
mêmes symptômes sont habituels pour
l'IPM. Cela pourrait expliquer pourquoi
les tests ont été si peu probants. L'OMS
recommande que les personnes présentant
de tels symptômes soient "présumées
positives". La présence de tout
coronavirus (et il existe de nombreuses
sortes de ces virus généralement
inoffensifs tout autour de nous) est
maintenant considérée comme une preuve
irréfutable de la présence du Covid.
On pourrait
considérer la pandémie de Covid comme
une IPM à l'échelle mondiale, reposant
sur une infection virale modérée. Son
"succès" peut s'expliquer par les
multiples forces qui ont saisi
l'occasion pour s'exprimer, parmi
lesquelles des forces infernales. Dieu
unit les gens dans son Église ; le
diable veut séparer les gens les uns des
autres et de Dieu. La pandémie de Covid
est un grand séparateur : depuis des
mois, les gens vivent séparés de leurs
proches ; les vieillards vivent et
meurent seuls sans pouvoir recevoir les
sacrements, et sont enterrés sans rites
funéraires. Peut-être la capacité
récemment acquise par les militaires
d'induire la peur et de provoquer une
IPM à grande échelle fait-elle partie
d'un plan démoniaque.
Il y a des gens qui
pensent que nous nous en tirons trop
bien. Ils pensent que nous n'avons rien
fait pour mériter notre haute
civilisation. Ils pensent que nous ne
devrions pas avoir les moyens de nous
nourrir, d'avoir un toit au-dessus de
nos têtes et d'autres biens. C'est le
point de vue de certaines personnes très
riches. Ils sont consternés de voir
Jean, Pierre ou Jacques aller à Acapulco
et manger au restaurant, au lieu d'être
à leur disposition. Ils veulent faire
baisser nos revenus et augmenter le coût
de la vie. Ils sont prêts à financer
tous ceux qui réclament plus
d'austérité.
Aujourd'hui, ils
soutiennent le confinement à tout bout
de champ, affirmant que c'est le
meilleur moyen de lutter contre la
maladie. Hier, ils nous demandaient
d'éliminer l'industrie afin de "sauver
la planète" et de vaincre le climat.
Aujourd'hui, ces mêmes personnes
essaient encore de nous réduire à la
pauvreté, cette fois-ci sous prétexte de
Covid. Greta Thunberg et ses partisans
se félicitent du confinement parce qu'il
obligera les gens à vivre dans la
faillite et la pénurie.
Si les riches
malthusiens soutiennent cette avancée
vers l'austérité, tous les participants
au mouvement ne partagent pas ou ne
comprennent pas leurs objectifs. La
nature humaine comporte des poussées de
nobles sacrifices, et beaucoup de
disciples de Greta s'y livrent. La
mortification de la chair, le jeûne et
le refus de la satisfaction sont aussi
humains que l'hédonisme.
Andrew Joyce nous a récemment
rappelé les Flagellants, le mouvement
masochiste qui a connu des hauts et des
bas avec les épidémies médiévales. Les
musulmans chiites pratiquent encore la
flagellation à un rythme annuel. Dans la
société européenne normale, le Grand
Carême avant Pâques suffisait à
satisfaire ce besoin de souffrance, mais
aujourd'hui, alors que le Carême
s'efface, ce besoin psychologique
insatisfait fait le jeu des partisans
autodestructeurs du confinement.
La Chine est un cas
à part. Les Chinois ont été les premiers
à pratiquer le confinement pour lutter
contre leurs infections en 2009 et en
janvier 2020. Leur exemple était
essentiel pour donner le ton. Cependant,
les mœurs chinoises sont différentes des
nôtres. Dans leur système de bouclage,
ils ont scellé les portes des
appartements et même soudé les portails.
L'idée de dignité humaine leur est tout
à fait étrangère. Ce sont des gens
formidables à leur manière, mais plutôt
extrêmes, comme le montre leur Campagne
des
quatre nuisibles, une tentative
d'élimination des moineaux, outre rats,
mouches et moustiques. Je ne mettrais
pas cela sur le compte du communisme,
car la Chine anticommuniste (Taïwan) a
été encore plus cruelle que le
continent. Les personnes qui se
plaignent des mauvais traitements
"Chicom" infligés aux Ouïgours (qui sont
extrêmement durs) devraient se souvenir
du génocide du Kuomintang chinois contre
les autochtones de Taïwan.
La reconnaissance
faciale, les bases de données génétiques
et un
système de crédit social pourraient
convenir à la Chine. Étant tout le
contraire d'un néo-détenu, je n'accepte
pas la R2P (le devoir d'ingérence), le
fardeau de l'homme blanc et le devoir de
leur imposer la liberté. Que les Chinois
vivent de la manière qui convient à leur
âme confucéenne, mais j'espère devant
Dieu que je n'aurai jamais à m'intégrer
dans leur système. Pour eux, il est plus
facile de bloquer des millions de
citoyens que pour nos dirigeants
d'augmenter la TVA d'un point. Le
problème, c'est que les agences de
sécurité occidentales aiment le mode de
vie chinois et souhaitent vivement
l'importer comme n'importe quel autre
gadget chinois.
Les confinements ne
sont pas nécessaires. La meilleure
preuve, ce ne sont pas le Belarus ou la
Suède, même si ces deux pays ne se sont
pas mal débrouillés, avec très peu
d'interférences gouvernementales. La
meilleure preuve,
c'est Gaza, l'étroite bande de terre
sur la Méditerranée orientale, qui
abrite deux millions de Palestiniens.
Cette pauvre tranche de Palestine
assiégée n'a eu que récemment sa toute
première victime du Corona, une dame de
80 ans qui est arrivée la semaine
dernière très malade d'Égypte. Et c'est
tout, les amis ! Deux millions de
personnes vivant dans une pauvreté et
une densité malsaines, sans aucun
confinement ni distanciation sociale,
ont vécu la grande fête musulmane de
l'Aïd el-Fitr, et n'ont pas souffert
d'une seule épidémie de covidés!!!
Regardez cette courte vidéo de Gaza
joyeuse à la fête et enviez-les ! Ces
pauvres gens enfermés par les Israéliens
pendant 14 ans sont plus libres que les
Israéliens et les Saoudiens prospères
qui se sont incarcérés volontairement.
Le Covid, c' est
une épidémie de peur. Là où il n'y a pas
de peur, il n'y a pas de Covid.
Cependant, il faut que la réponse soit
une question de choix personnel. Que
celui qui veut s'enfermer, s'isoler et
se retirer de la société, puisse le
faire. Mais nous devons refuser à l'État
le droit de nous enfermer. Les
Américains sont fiers de leur deuxième
amendement, de leur droit à posséder des
armes à feu ; mais leurs armes ont-elles
empêché leurs maires de les assigner à
résidence pour une durée indéfinie, sans
avoir le moindre crime à leur reprocher
? Pour les Russes, les Européens et les
autres nations, c'est aussi le moment
d'interdire les confinements. Si et
quand il y a une épidémie, qu'elle soit
traitée comme elle l'a toujours été. Que
celui qui se considère comme
"vulnérable" décide de ce qu'il doit
faire pour y remédier. Mais aucune
quarantaine, aucun masque, aucune
distance sociale ou autre mesure ne
sauraient être imposés aux personnes
libres.
Tant qu'il y a
encore des élections dans nos pays,
faisons en sorte que ce soit le test
décisif des prochaines campagnes
électorales. Ne soutenons que ceux qui
promettent de ne jamais porter atteinte
aux droits de la personne et rejetons
tous ceux qui exigent que nous soyons
tous incarcérés "pour notre plus grand
bien". Faisons de chaque élection,
partout, à partir de 2020, une élection
sur la liberté individuelle. Peut-être
devrions-nous créer le mouvement mondial
dédié à cet objectif.
Pour contacter
l'auteur:
adam@israelshamir.net
Source:
The Unz Review.
Traduction: Maria Poumier
Le sommaire d'Israël Shamir
Le
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