Syrie
Un mot au temps du Coronavirus
Père Elias Zahlaoui
Père Elias Zahlaoui dans son bureau à
l’Eglise Notre Dame de Damas © Nadine
Zelhof
Jeudi 7 mai 2020
Père Elias Zahlaoui
Damas, le 25 mars
2020
Source:
Arretsurinfo.ch
On parle beaucoup
du Coronavirus. Certains ont insisté
pour avoir mon opinion, en dépit de mon
ignorance des questions médicales et
scientifiques. Enfin, je me décide à la
donner, dans l’espoir d’apporter à
quelques-uns, un peu de lumière, et
beaucoup de certitude.
Quelle que soit
l’origine de ce virus, quel que soit le
volume de ses victimes et de ses
retombées, et quelle que soit la vérité
de ce qu’on en dit, il me semble qu’il
faut reconnaître qu’il a placé le monde
entier devant un dilemme sans précédent.
Ce dilemme, personne n’aurait pu
l’imaginer. Il s’agit du cauchemar de la
mort, certaine et rapide, suspendue
désormais au-dessus de la tête de toute
personne sur terre.
Tel est le
dilemme !
Y a-t-il une
issue ?
Naturellement, tôt
ou tard, on lui trouvera un remède.
La Chine l’a déjà terrassé. Cependant le
remède médical ne peut d’aucune façon
signifier que l’humanité ait échappé au
grand danger, qui la menace dans son
existence même. Ce danger, le virus l’a
mis brutalement à nu, et d’une façon
qu’il n’est plus possible désormais de
méconnaître.
Pour ma part, je me
dois d’avouer que je vois dans cette
crise, un aspect lumineux, que beaucoup
risquent de ne pas voir, ou refusent de
voir.
Que la mort affiche
désormais sa présence dans la vie de
tout être humain, j’en rends grâce à
Dieu.Elle semble nous dire :
« Désormais,
menez une vie digne, tant pour vous que
pour tout être humain autour de vous, et
jusqu’aux confins du monde. Sinon,
vous ne méritez pas de vivre, car la
mort fait partie intégrante de la vie.
Si donc elle ne vous apprend pas à mener
une vie digne de tout être humain, cela
signifie que vous ne méritez pas de
vivre. »
Ici, deux grands
versets me viennent spontanément à
l’esprit. L’un est du Christ qui dit : «
que sert à l’homme de gagner l’univers,
s’il perd son âme ? ». L’autre est
du Coran. Le voici : « Tout y est
éphémère. Seule reste la Face de ton
Seigneur, toute de majesté et de dignité
».
Certains
chercheraient à minimiser l’importance
de ce grave dilemme, et à interpréter
ces deux versets, de manière à éliminer
leur portée profonde. À ceux-là, je
dirai tout crûment que ce dilemme, vu à
la lumière de ces deux versets, dit à
quiconque entend, voit et comprend :
La vie est pour
toi, et pour autrui… L’amour est pour
toi et pour autrui… La dignité est pour
toi et pour autrui… Il en est de même
pour la paix, la joie, la santé, la
nourriture, la science, l’argent, la
liberté, la parole… Tout cela est pour
tous.
Si tu comprends
cela et agis en conséquence, alors et
alors seulement, ta vie et celle de tout
être humain, deviendront amour, dignité,
joie et sérénité.
Oui, tel est pour
moi, l’aspect positif et lumineux, de ce
sombre dilemme mondial.
Ici, naturellement,
gît la grande difficulté, au point
qu’elle peut atteindre les limites de
l’impossible, pour l’immense majorité
des hommes.
En effet, qu’y
a-t-il d’étonnant à ce que les milliards
de laissés-pour-compte à travers le
monde, disent : Où est la vie ? Où
est l’espoir ? Où est la joie ?
Où… ? Où… ? Voire où est
Dieu ?
Oui, telle est
notre pitoyable condition au niveau du
monde entier.
Peut-on imaginer
l’existence de quelques centaines de
millions, exclusivement occidentaux, sur
les sept milliards qui emplissent la
terre, outre quelques centaines de
ʺrichards occidentalisésʺ, venus des
pays sous-développés ? Ils
semblent ignorer complètement, dans le
concret de leurs vies et de leurs
relations, la vérité de la mort, en tout
ce que cette vérité possède d’exigences
capables d’amener les hommes, à mener
une vie de droiture, avec leurs frères
humains et avec Dieu, sur terre et dans
l’éternité ? Ils en sont venus à
mener un style de vie qui laisse croire
que Dieu est bel et bien mort pour eux –
en dépit de quelques manifestations de
religiosité chez l’un ou l’autre – et
qu’ils seront seuls à vivre
éternellement sur terre. C’est
pourquoi, ils se permettent,
consciemment ou inconsciemment, de
pourfendre toute légitimité et toute
valeur, et piétinent tous les hommes,
tous les peuples, toute la nature, sans
se laisser assouvir !
Aujourd’hui, il est
devenu patent que le monde se divise en
deux parties, l’une, petite
numériquement, mais d’une arrogance
illimitée, l’autre se constitue de
l’immense majorité de la population
mondiale,qui essaie de toutes ses
forces, de résister, pour s’assurer le
minimum d’une vie acceptable.
Quant à nous, en
Syrie, nous étions en vérité, durant
plus de neuf ans, et restons au cœur de
ce combat cosmique. Nous
défendions la survie, non seulement de
la Syrie, mais de toute l’humanité.
Puis vint le jour béni où, au cœur de
l’enfer des combats, s’est constitué un
front de résistance mondiale, groupant
la Russie, la Chine, l’Iran et le
Hezbollah libanais, outre quelques
petits pays. La Syrie est au cœur
de ce front, par suite de sa situation
et de sa résistance légendaire.
C’est pourquoi, au
milieu de ce dilemme du Corona, je dis
spontanément, sans aucune affectation :
Béni soit le jour
où, grâce au virus du Corona, tous les
hommes, du ʺplus fortʺ au ʺplus faibleʺ,
du ʺplus richeʺ au ʺplus pauvreʺ, se
tiennent tremblants, dans leurs
ʺpalaisʺ, ou dans leurs immenses
ʺhaciendasʺ, ou dans leurs ʺmaisonsʺ, ou
dans leurs taudis, ou sous les ponts des
rivières, ou au-dessus des bouches de
métros, dans les villes d’Europe, des
États-Unis, du Canada, d’Australie, ou
dans le dénuement le plus total,
redevenus ainsi tous égaux dans la peur
de la mort.
Désormais, cette
nouvelle réalité constitue vraiment, un
évènement qu’il n’est pas permis de
méconnaître, et qui exige du monde
entier, d’en faire une ligne de
démarcation, au niveau de l’humanité
entière, entre présent et avenir, avant
qu’il ne soit trop tard.
Il est patent
qu’aujourd’hui, le monde entier est
placé devant un carrefour et un dilemme,
et donc devant un choix : c’est soit un
sursaut rapide et honnête, afin de
trouver un Nouvel Ordre International,
qui garantisse la sécurité et la
justice, et en conséquence la paix pour
tous, soit l’anéantissement total, tôt
ou tard.
Je sais, bien sûr,
que de tels propos soulèveront
spontanément des réactions, qui
m’accusent de me laisser emporter par
des rêves ʺimpossiblesʺ. Elles ne
manqueront pas d’affirmer que l’humanité
a affronté des problèmes aussi graves,
qu’elle en est sortie, et qu’ensuite
tout s’est retrouvé comme par le passé.
Il se peut que
cette objection paraisse vraisemblable,
au prime abord. Mais elle ignore
la différence essentielle entre la
nature de la crise actuelle du Corona,
et ce qu’elle risque de provoquer de
crises nouvelles, et la nature de toutes
les crises précédentes sans exception.
C’est
qu’aujourd’hui, la mort, présente et
imminente, plane au-dessus de tout un
chacun. Elle pose une double question,
qui condense le sort de l’humanité
présente, et qui n’a jamais été posée
par aucune des crises précédentes.
La voici :
Nous autres
humains, voulons-nous que notre
existence sur terre, soit limitée à la
terre seule, de sorte que le fort dévore
le faible à l’infini, ou voulons-nous
revenir à notre raison et à notre
Créateur, lesquels sont notre suprême
recours, pour vivre sur terre la vie que
notre raison nous dicte, et pour être
tels que Dieu nous a voulus : frères
égaux en tout, cherchant à reconstruire
notre Terre, de façon à plaire à Dieu,
et à rendre tout homme heureux ?
Or il me semble que
l’immense Sagesse de Dieu a devancé les
supplications des opprimés, incapables
de changer quoi que ce soit à leurs
conditions. Elle nous a surpris
par un évènement extraordinaire, qui
échappait à toutes les sciences
humaines. Elle a de par ailleurs
voulu que Damas soit, à l’exception de
toutes les villes du monde, le lieu
privilégié de cet évènement sacré.
Pour ma part, je
vois un lien secret, mais réel, entre,
d’un côté, cet évènement religieux
extraordinaire, et la guerre infernale
menée contre la Syrie, et, de l’autre,
la crise actuelle provoquée par le
Corona.
À l’époque,
personne, en dehors de l’administration
américaine, ne pouvait imaginer le
volume de ce qui avait été planifié
contre Damas, et à partir de Damas,
contre le Monde Arabe, enfin contre le
Monde entier. Seuls pouvaient le
savoir, ceux qui se cachaient derrière
ce que publiait un article de 12 pages,
intitulé
ʺStratégies d’Israël dans les années
80ʺ, signé par le stratège
Oded YINON, dans le No de
février 1982, d’une revue
israélienne, qui porte le nom de ʺKévonimʺ
(qui signifie ʺorientationʺ), et qui
paraît à Jérusalem.
Est-il nécessaire
de rappeler ce qui s’est passé, depuis
ce jour, en réalisation de ce Plan
déclaré au grand jour, au niveau de
toute la région, outre ce qui avait été
réalisé, et est en cours de réalisation
en Palestine, depuis la décision de
partage de 1947 ?
Quant à cet
évènement religieux, connu depuis sous
le nom de ʺSoufaniehʺ, il survint dans
les derniers jours de Novembre 1982, à
quelques mois de l’article de la revue ʺKévonimʺ.
Cela tient-il du
hasard ?
Je pose cette
question ʺspontanéeʺ, avec l’assurance
de celui qui sait que les multiples
aspects de cet évènement religieux
inhabituel, confirment une intervention
divine hors norme, aux dimensions
religieuses mondiales, qui a fini par
imposer sa présence dans presque toutes
les églises du monde, en particulier au
Vatican. Tous les scientifiques,
médecins et théologiens, venus pleins de
doute, et certains de refus, ont fini
par l’adopter, l’enseigner même dans les
Universités, en Allemagne, en France, et
aux États-Unis, le défendre dans leurs
écrits, en en reconnaissant
l’authenticité, l’importance et sa
délicate ponctualité.
Ceux qui ont suivi
cet évènement ont eu, à partir de
l’unité des multiples aspects de cet
évènement, la conviction absolue, durant
les nombreuses années qui ont précédé la
guerre et pendant cette guerre, en dépit
de son horreur et de sa longueur, qu’en
Syrie, nous n’étions pas seuls à
affronter le monde entier presque, en
tout ce qu’il avait de malice
démoniaque, d’intelligence
planificatrice, de science meurtrière,
d’armes monstrueuses, d’argent
corrupteur, et d’êtres humains, qu’on
nous avait envoyés par centaines de
milliers, des différentes régions et
prisons du monde, après qu’on leur ait
arraché ce qui fait l’homme : la
raison !
Oui, je le dis sans
l’ombre d’un doute : en Syrie, nous
avions l’évidence absolue que nous
n’étions pas seuls. Dieu était
avec nous, quand les chefs de
l’Occident, et tous leurs valets
scandaient, ivres de certitude, que la
chute de la Syrie était imminente, d’un
jour à l’autre.
Quant à nous,
enfants de Soufanieh – tel est le nom du
modeste quartier, où se déroulaient ces
faits extraordinaires – notre certitude
de la Présence de Dieu au milieu de
nous, reposait sur la succession de ces
faits eux-mêmes, et plus
particulièrement sur les messages
célestes, que la Sainte Vierge a d’abord
délivrés, à partir de la nuit du
18/12/1982, et que le Christ a délivrés,
à partir de l’après-midi du jeudi
31/5/1984.
M’en tenant aux
limites de mon sujet, je laisse de côté
la position des gens à Damas et
ailleurs, vis-à-vis de cet évènement. Je
m’en tiens à certains de ses messages,
qui ont enraciné en nous la certitude de
la présence du Ciel avec tous ses
enfants de Syrie. Mais je trouve qu’il
n’est pas inutile de signaler une chose
importante, particulière à cet
évènement. J’entends par là le fait que
la Sainte Vierge et le Christ, ont,
durant tout cet évènement, utilisé la
langue arabe. Et cela est une
première dans l’Histoire.
Quant à ces
messages, je me limite aux plus
importants qui touchent à notre sujet.
Dans la nuit du
18/12/1982, la Sainte Vierge a ainsi
commencé son premier message :
« Mes
enfants,Souvenez-vous
de Dieu
car Dieu est
avec nous… »
Le matin du
vendredi 4/11/1983, la Sainte Vierge a
dit aussi, mais en arabe dialectal :
« … Mon cœur
s’est consumé sur mon Fils Unique.
Il ne va pas se consumer sur tous mes
enfants. … »
Je me dois de
reconnaître qu’en ce jour, nous avons
compris, étouffés par l’angoisse, que
quelque chose de terrible se préparait
contre la Syrie, et qu’il tuerait, comme
Son Fils a été tué, un grand nombre
d’entre nous, mais pas tous ! Et
voici que dans Son message fulgurant,
Elle proclamait l’égalité entre Son Fils
Jésus et ceux qu’Elle considérait comme
Ses fils, en Syrie, eux qui La
considèrent comme leur Mère.
Ce jour, nous avons
eu la certitude que nous marchions vers
une épreuve très grave, mais que nous la
vaincrons, grâce à Dieu, en dépit de ce
qu’elle nous coûtera de douleur atroce,
et de prix fort élevé.
Il convient de
souligner que la Sainte Vierge est déjà
apparue dans de nombreux endroits à
travers le monde, et qu’Elle y a délivré
dans la langue locale, des messages
importants, mais qui toujours appelaient
les hommes à revenir à Dieu, à aimer les
autres, ainsi qu’à la prière. Mais on ne
remarque dans aucune de Ses apparitions
nombreuses, reconnues par les Églises
tant catholiques qu’orthodoxes, qu’Elle
ait prononcé quelque chose qui approche
ce qu’Elle a délivré dans ce court
message à Damas.
Cinq mois passèrent
dans la prière. Subitement, se produisit
la première manifestation du Christ, au
cours de laquelle Il dit en arabe
littéraire :
« Je suis le
Commencement et la Fin.Je suis la
Vérité, la Liberté et la Paix.
Ma Paix je
vous donne. … »
Un tel message
a-t-il besoin d’explication ?
Puis les messages
du Christ se sont succédés, denses et
forts, jusqu’au Samedi-Saint, 10/4/2004,
où Il nous a dit, devant un groupe
imposant de médecins, de théologiens et
de journalistes, venus du monde entier :
« Mon dernier
Commandement pour vous :Revenez,
chacun chez soi,
mais portez
l’Orient dans vos cœurs.
D’ici a de
nouveau jailli une lumière,
dont vous
êtes le rayonnement,
pour un monde
séduit par la matière, la sensualité et
la célébrité, au point qu’il en a
presque perdu les valeurs.
Quant à vous,
Gardez votre
orientalité.
Ne permettez
pas qu’on aliène votre volonté, votre
liberté et votre foi, dans cet Orient. »
Sept ans après, se
déchaînait cette guerre horrible.
Cependant, je
déclare devant Dieu et le monde entier,
sans hésitation aucune, mais avec
l’humilité du croyant :
Nous étions tous,
enfants de Soufanieh, parfaitement en
paix, face aux horreurs qui se
commettaient, bien qu’écrasés par les
souffrances et les peines.
Ce fut ensuite, le
Jeudi-Saint de la Semaine
Sainte,17/4/2014, qui se trouvait être
le jour de la Fête Nationale en Syrie,
que le Christ nous délivra ce message
inattendu :
« Les
blessures qui ont saigné sur cette
terre,sont
celles-là mêmes, qui sont dans mon
corps.
Car la cause
et l’auteur sont le même.
Mais soyez
assurés que leur sort ressemble au sort
même de Judas. »
Depuis deux mille
ans, le Christ n’avait jamais tenu un
langage semblable à celui-ci, ni de
près, ni de loin.
En ce jour, notre
sérénité atteignit en nous les limites
de l’impossible.
Car celui qui parle
au monde en général, et aux Syriens en
particulier, c’est le Christ-Jésus,
Enfant de la Syrie. Et le Christ
signifie toujours ce qu’Il dit. Ses
paroles nous ont rappelé ce qu’Il avait
dit à Ses disciples, quelques heures
seulement avant Sa crucifixion :
« Ayez
confiance : J’ai vaincu le monde ! »
Ici aussi, je
demande : de telles paroles, ont-elles
besoin d’explication ?
Ces paroles du
Christ, ne signifient-elles pas que le
monde s’achemine vers une nouvelle
étape, pareille à celle qui a accompagné
Sa crucifixion, Sa mort, et qui a suivi
Sa résurrection ?
N’est-ce pas là la
signification de Ses dernières paroles :
« Mais soyez
assurés que leur sort ressemble au sort
même de Judas » ?
Oui, laissez-moi
terminer.
De Syrie, j’annonce
aux dominateurs du monde, que leur sort
est en voie de disparition, tout comme
le sort de Judas.
N’y a-t-il pas,
dans ce qui se passe au niveau du monde,
à cause du Coronavirus, les signes
avant-coureurs de la montée d’un monde
nouveau ?
Voici cet Occident,
bardé d’armes jusque dans l’espace, noyé
dans des mers rouges de la monnaie des
armes, possédé par la folie d’une
hégémonie totale sur le monde, qui
s’effondre devant son incapacité
médicale scandaleuse, dans certains de
ses pays les plus influents, États-Unis,
Grande-Bretagne, France, Italie, à
affronter un virus qui décime ses
enfants par milliers. Par contre,
les pays ʺMauditsʺ, comme la Chine, la
Russie et Cuba, font face à ce virus, le
terrassent et volent au secours de ces
mêmes occidentaux dominateurs.
Oui, un nouvel
ordre mondial surgira immanquablement,
par suite de l’expansion de l’épidémie
du Coronavirus, et changera totalement
le cours de l’humanité entière, pour
mettre fin à une injustice précédente,
et pour s’épargner la catastrophe
atomique en cours.
Certes, il n’y a
plus d’autre choix pour l’humanité
aujourd’hui, que la ʺRésurrectionʺ d’un
NOUVEL ORDRE MONDIAL, qui a commencé par
la crucifixion de la Syrie, et que rien
ne peut arrêter la lumière de Sa
Résurrection sur la Terre entière.
Père Elias Zahlaoui
Damas, le 25/3/2020
Le père Elias
Zahlaoui, prêtre de Syrie à l’église
Notre-Dame de Damas, est connu de nos
lecteurs. Ses écrits exposent
inlassablement les mensonges relayés par
les médias occidentaux sur la Syrie,
plus grave, leur ignominieuse complicité
avec les groupes terroristes. Avancé en
âge, souffrant pour son peuple massacré
depuis 2011 par ces groupes extrémistes
[considérés à tort comme des « rebelles
pro démocratie » y compris par les
médias traditionnels suisses] Elias
Zahlaoui n’a jamais cessé depuis 2011
d’en appeler à revoir la politique
criminelle engagée, notamment en France,
par les présidents Sarkozy et Hollande
contre le peuple syrien. [Silvia
Cattori]
Le
dossier Syrie
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