Opinion
L'Occident, les Musulmans et la pulsion
de mort:
Essai de décryptage
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Lundi 28 mars 2016
«Dieu a dit,
il y aura des hommes blancs, des hommes
noirs, il y aura des hommes grands, des
hommes petits. Il y aura des hommes
beaux, des hommes moches et tous seront
égaux, mais ça ne sera pas facile.»
Coluche
Le monde occidental vit un moment
crucial par manque de projet et, après
avoir malmené en tous sens le reste du
monde, il découvre l'effet boomerang.
J'ai bien conscience que cette analyse
peut être partiale et sûrement
partielle. En fait, quand je parle de
l'Occident je ne fais pas cas des
peuples véritables, variables
d'ajustement de stratégies qui les
dépassent et, à bien des égards, les
besogneux du monde occidental subissent
les mêmes violences que leurs
équivalents au Sud (pour ceux qui ont un
travail), la violence est double car au
nom de la productivité de la libre
entreprise on envoie à l'abattoir des
cohortes de personnes qui basculent du
jour au lendemain dans la précarité.
Mieux encore, au nom d'une fausse
démocratie, d'une fausse liberté- celle
du retard dans le poulailler - des
purges douloureuses sont chaque jour
ânonnées et pour les faire passer rien
de tel que de faire diversion, d'allumer
des contre-feux et si l'islamisme
n'existait pas, il aurait fallu peut
être l'inventer... C'est peut-être cela
qui est arrivé. L'Europe nous dit-on est
en guerre contre un ennemi invisible qui
en veut au mode de vie à l'occidental.
Mais quel est ce mode de vie occidental
chanté sous tous les tons? celui du
besogneux laissé pour compte qui n'en a
rien à cirer d'aller sur la terrasse des
cafés voire déambuler les gens, lui le
travailleur en apesanteur qui se tient
le ventre?
Quel est ce mode de vie imposé par
une oligarchie qui, tenant toutes les
rênes de la finance, aux médias dicte la
politique aux politiques tétanisés par
la peur de perdre leurs privilèges?
Quels sont ces valeurs qui au nom d'une
modernité débridée détricotent
consciencieusement des équilibres
sociologiques qui vont de la famille au
vivre ensemble proposant à la place un
laxisme débridé des moeurs?
Si au moins ce modèle n'était valable
qu'intra-muros, mais non, l'Occident
veut exporter sa démocratie son
occidental way of life partout, de
mille façons, soit d'une façon hard et
pourrait-on dire aéroportée.
Naturellement, les récalcitrants ont en
face d'eux, la force (Otan) et la
justice la CPI pour les récalcitrants
et, plus grave par création ex nihilo de
zombies, de monstres qui arrivent à lui
échapper. Pendant ce temps, ceux qui
gouvernent réellement le monde se
portent bien, la mondialisation et la
macdonalisation de la culture se portent
comme un charme. Différents mécanismes
sont mis en place pour écumer les
faibles, c'est le FMI, la Banque
mondiale, l'OMC... Ce qui est sûr c'est
que cette façon de faire a montré ses
limites.
Ce qui est paradoxal est le fait que
l'Occident n'assume pas, il contribue au
chaos mais s'en lave les mains. Il en
est ainsi depuis la disparition de
l'Union soviétique, l'Empire avait
besoin d'un carburant pour continuer son
expansion. Souvenons-nous d'une phrase
célèbre Project for New American Century
(Pnac): «(...) De plus, le processus de
transformation, même s'il apporte un
changement révolutionnaire, risque
d'être long, en l'absence de quelque
événement catastrophique et catalyseur
tel qu'un nouveau Pearl Harbor. (...)»
Comme martelé par les Bernard Lewis, les
Samuel Huntington, pas besoin d'aller
loin, l'Islam peut et doit servir de
Satan de rechange. Dans une tribune
hypocrite, Bruno Tartrais, expert dit-on
en politique internationale, s'interroge
faussement: «Comme à chaque attentat,
des voix vont s'élever après la tragédie
de Bruxelles pour dire que les racines
du terrorisme sont à chercher dans les
politiques occidentales. Nous, pays
occidentaux, avons une extraordinaire
capacité à nous juger coupables de tous
les malheurs du monde.» ‘(1)
Naturellement, il cite Pascal
Bruckner dont on connaît les positions
sur la repentance à géométrie variable
ad vitam aeternam quand il s'agit des
massacres du IIIe Reich, à l'endroit des
juifs, mais aussi des tsiganes, mais le
reniement de la repentance concernant
les crimes coloniaux, tel qu'il l'a
martelé à Sarkozy dans un ouvrage «la
tyrannie de la repentance». Pour lui:
«Ya bon la colonisation» reprenant les
mêmes clichés colonialistes d'un Rudyard
Kipling dans «The White man burden» (Le
fardeau de l'homme blanc). Bref, Bruno
Tartrais s'en remet à Pascal Bruckner
comme Le Sanglot de l'homme blanc, à
propos de la colonisation, qui serait
ainsi responsable de tous les malheurs.
Il fait sans le vouloir son mea culpa:
«Européens et Américains seraient
largement responsables du chaos
moyen-oriental, sous prétexte qu'ils ont
soutenu des dictateurs qui ont fini par
être renversés par leurs peuples, et
qu'ils sont intervenus à tort et à
travers dans la région. Ils porteraient
ainsi une lourde responsabilité dans
l'émergence d'al-Qaîda, puis du
pseudo-État islamique, et le terrorisme
serait une forme de revanche contre
leurs politiques moyen-orientales. Et
que dire de la Russie de Vladimir
Poutine! L'Occident serait au fond
coupable du revanchisme russe actuel,
faute d'avoir tenu compte de la
sensibilité de ce pays, du fait de
l'élargissement de l'Otan et de l'Union
européenne, et à force d'avoir
'humilié'' Moscou depuis la fin de la
Guerre froide. Dernier avatar de cette
culpabilisation occidentale: le
réchauffement climatique serait la cause
profonde de certaines des crises
majeures des dernières années. Les
sécheresses auraient suscité des
déficits de ressources, des migrations
internes, et un mécontentement de la
population, et seraient ainsi à
l'origine du conflit du Darfour, mais
aussi des révoltes arabes. Cette
tendance à «nous» voir responsables de
tous les désordres contemporains relève
peut-être du masochisme ou de la haine
de soi». (1) Rien à ajouter.
Les racines
du terrorisme
Tout ce qui a été dit est imputable
sans rajout ni retrait à l'Occident qui
a toujours deux fers au feu. Ils parlent
de droits de l'homme chez eux, mais ce
sont eux qui ont formé les terroristes
en vendant des armes en armant des
illuminés qui n'ont pas peur de mourir.
Toute l'histoire de l'hégémonie
occidentale anglaise et française
d'abord, puis américaine ensuite est
jalonnée «d'incidents» qui furent le
point de départ d'une guerre de conquête
pour s'approprier des territoires.
Le XXe siècle est assurément «A
Beastly Century», «un siècle
bestial» terme, utilisé par Margaret
Drabble, pour le décrire. Il y eut en
effet, environ 231 millions de morts en
100 ans de guerres et conflits. Les
Etats-Unis ont été en guerre 93% du
temps de leur existence depuis leur
création en 1776, c'est-à-dire 222 des
239 années de leur existence. Dans ce
cadre, un véritable gouvernement mondial
qui ne dit pas son nom est imposé au
reste du monde. Un «gouvernement
occidental du monde» qui a profondément
structuré l'après-l'an 2000.
C'est ainsi que graduellement, la
mondialisation s'est emparée du monde,
elle lamine les économies, casse les
barrières douanières au profit des
produits manufacturés de l'Occident. La
politique mondiale des Etats-Unis et de
ses vassaux est de s'assurer avant tout
des sources d'approvisionnement pérenne
en énergie. Peu importe le prix que les
faibles auront à payer, même s'ils se
chiffrent par centaines de milliers de
morts. N’est ce pas Madeleine Albright
que 500.000 enfants irakiens morts des
suites d’un embargo inhumain, : « Ce
n’est pas cher payé , si c’est le prix à
payer pour faire partir Saddam Hussein »
Semer la mort, provoquer des Etats
faibles, affamer des peuples, soutenir
des dictateurs contre leurs peuples,
avoir une politique de deux poids deux
mesures concernant le conflit
israélo-palestinien , ne peut que
contribuer à une sédimentation de la
haine du désespoir et du besoin d’en
finir à tout prix avec cette vie
terrestre et s’en remettre à l’au-delà.
Le magistère
dixit qui n'est plus un magistère moral
En fait aucun pays n’est épargné , au
plus c’est un vassal et on le voit avec
la politique de suivisme des pays
européens contre le gré de leur peuple,
au pire c’est un ennemi qu’il faut
réduire . Comment expliquer
l'acharnement de l'Occident à dicter sa
norme à des pays arabes en déshérence au
nom de la lutte contre l'islamisme
sachant que c’est lui l’architecte du
chaos ?. Dans le même ordre des méthodes
mises en œuvre par l'Empire et ses
vassaux pour garder le leadership coûte
que coûte après la Russie qui n’arrête
pas d’être diabolisée , la Chine n'est
pas en reste, tout est fait pour la
neutraliser. Pourtant, et comme nous
lisons dans la contribution, l'une des
plus grandes réussites de l'humanité à
la fin du XXe siècle est passée
quasiment inaperçue en Europe: les
Chinois mangent pratiquement tous à leur
faim. Actuellement 1,2 milliard de
Chinois sur 1,3 ne connaissent plus la
famine, dans un pays où les terres
cultivables sont très limitées et où les
problèmes liés à l'eau représentent un
véritable défi...Or, si cette réussite
est ignorée de l'opinion publique
occidentale, c'est qu'elle leur a été
cachée. Comment ne pas discerner
derrière l'arrogance des médias
occidentaux la nostalgie d'une époque
où, pour les impérialismes, la Chine
n'était qu'un gâteau à découper?» (2)
«L'Occident saura-t-il résister à
l'ascension économique vertigineuse de
l'Asie? L'Asie n'a nulle intention de
dominer l'Occident, elle y puise
simplement les solutions qui lui
permettront de tourner définitivement la
page de la pauvreté. l'Occident devra à
son tour renoncer à sa domination,
notamment sur les institutions
internationales. L'Occident deviendra
alors une simple 'province du monde'',
selon J-C Guillebaud, avec seulement 9%
de la population mondiale en 2025. Le
permettra-t-il?» (2)
D'où vient cette hégémonie qui fait
que l'Occident se veut le seul
dépositaire de sens? Tout serait parti
des grandes découvertes. Prenant la
relève d'un Orient et d'une civilisation
islamique sur le déclin, et au nom de la
Règle des trois C -
Christianisation, Commerce, Colonisation,
la vieille Europe, ancêtre de l’empire
actuel, mit des peuples en esclavage.
Elle procéda à un dépeçage des
territoires au gré de ses humeurs sans
tenir compte des équilibres
sociologiques que les sociétés
subjuguées ont mis des siècles à
sédimenter. Pendant cinq siècles, au nom
de ses «droits de l'homme» l'Occident
dicte la norme, série, punit,
récompense, met au ban des territoires
qui ne rentrent pas dans la norme.
Ainsi, par le fer et par le feu, plus
de 75% des richesses des Sud épuisés
avec 80% des habitants de la planète
furent spoliés et détenus par 20% des
pays du Nord. Kishore Mahbubani,
brillant diplomate singapourien dans un
ouvrage remarquable : « le défi
asiatique » a analyser finement les
fondements de cette condescendance
européenne et occidentale. Il écrit :
«le moment est venu de restructurer
l'ordre mondial», que «nous devrions le
faire maintenant l'Occident est dans
l'incapacité à maintenir, à respecter et
encore plus à renforcer les institutions
qu'il a créées. Et l'amoralité avec
laquelle il se comporte trop souvent
sape davantage les structures et
l'esprit de la gouvernance mondiale.
Selon Mahbubani, il «est légalement
vivant» mais spirituellement mort (…)
C'est en définitive, un déclin du sens
et du non-respect des valeurs éthiques
que ce même Occident veut appliquer aux
autres et non pas à soi-même.» (3)
Essai de
compréhension de la genèse de la pulsion
de mort
Les évènements vécus par la France et
la Belgique et, anciennement le
Royaume-Uni et l'Espagne ont un
fondement qui, contrairement à ce qui
est martelé par les médias et les
gouvernements en mal de projet, n’est
pas du à la religion. Quand un jeune
décide un jour de mettre fin à sa vie,
il y a des raisons, les pays européens
mettent en avant le slogan tourné mille
fois en boucle: «Ils nous envient, ils
ne sont pas comme nous, c'est l'Islam
qui est une religion de la haine, ce
sont des bêtes immondes qu'il faut
abattre. On ne convoque même sur les
plateaux de télévision que ceux qui
abondent dans ce sens, bref c'est la
curée.
Personne n'a posé la question des
causes réelles, celle de la mal-vie, des
séquelles du colonialisme, du deux
poids, deux mesures s'agissant du
conflit israélo-palestinien. Ils
oublient de dire que le mot kamikaze est
un mot japonais que bien avant cela dans
la Bible on parle de la forteresse de
Massada. Des membres de la secte
extrémiste des zélotes s'y réfugient
après avoir fait régner la terreur dans
le pays. Ils avaient coutume
d'assassiner leurs compatriotes
suspectés de collaboration Au nombre
d'un millier, ces Zélotes vont résister
pendant trois ans aux Romains. Quand les
assiégeants pénètrent dans la
forteresse, ils découvrent les cadavres
de ceux-ci. Dix des assiégés auraient
tué les autres avant de se suicider
eux-mêmes. Bref ils mettent fin à leur
vie pour une cause qu'ils pensent être
noble.» On dit que Freud a été le
premier à parler de « pulsion de mort ».
Pour lui tout être humain est habité
par la pulsion de mort.»
L'esprit du
terrorisme, par Jean Baudrillard
Jean Baudrillard va plus loin en
analysant une nouvelle donne d'une
guerre asymétrique où le faible rend
coup pour coup. Il prend l'exemple des
tours du WTC: «La condamnation morale,
l'union sacrée contre le terrorisme sont
à la mesure de la jubilation prodigieuse
de voir détruire cette superpuissance
mondiale, mieux, de la voir en quelque
sorte se détruire elle-même, se suicider
en beauté. (...) A la limite, ce sont
eux qui l'ont fait, mais c'est nous qui
l'avons voulu. (...) Cela dépasse de
loin la haine de la puissance mondiale
dominante chez les déshérités et les
exploités, chez ceux qui sont tombés du
mauvais côté de l'ordre mondial. (..)
Pas besoin d'une pulsion de mort ou de
destruction, ni même d'effet pervers.
C'est très logiquement, et
inexorablement, que la montée en
puissance de la puissance exacerbe la
volonté de la détruire. Et elle est
complice de sa propre destruction. Quand
les deux tours se sont effondrées, on
avait l'impression qu'elles répondaient
au suicide des avions-suicides par leur
propre suicide. (..) » (4)
« Eh bien si. L'Occident, en position
de Dieu (de toute-puissance divine et de
légitimité morale absolue) devient
suicidaire et se déclare la guerre à
lui-même. (...) Terreur contre terreur -
il n'y a plus d'idéologie derrière tout
cela. On est désormais loin au-delà de
l'idéologie et du politique. (...) Il y
a une perfusion mondiale du terrorisme,
qui est comme l'ombre portée de tout
système de domination, prêt partout à se
réveiller comme un agent double. Il n'y
a plus de ligne de démarcation qui
permette de le cerner, il est au coeur
même de cette culture qui le combat, et
la fracture visible (et la haine) qui
oppose sur le plan mondial les exploités
et les sous-développés au monde
occidental rejoint secrètement la
fracture interne au système dominant.
(...) Ce n'est donc pas un choc de
civilisations ni de religions, (...)
L'événement fondamental, c'est que les
terroristes ont cessé de se suicider en
pure perte, c'est qu'ils mettent en jeu
leur propre mort de façon offensive et
efficace, selon une intuition
stratégique qui est tout simplement
celle de l'immense fragilité de
l'adversaire 'Il n'y a pas de solution''
conclut Jean Baudrillard à cette
situation extrême, surtout pas la
guerre, qui n'offre qu'une situation de
déjà-vu. La guerre comme prolongement de
l'absence de politique par d'autres
moyens.» (4)
S’agissant des causes les plus
plausibles du passage à l’acte du
kamikaze, qui , du jour au lendemain
ferme la porte de son avenir terrestre,
Stéphanie Plasse rapporte que 80% des
attaques-suicides depuis 1968 ont eu
lieu après le 11-Septembre, mais,
contrairement aux idées reçues, la
plupart des terroristes ne perpètrent
pas ces actes par fanatisme religieux. :
« Contrairement aux idées reçues, il
semblerait que la plupart des groupes
perpètrent cet acte non pas par
fanatisme religieux, mais pour
contraindre les pays occupants à se
retirer de leur territoire. Le
politologue américain Robert A. Pape
montre dans son étude intitulée
Dying To Win: The Strategic
Logic of Suicide Terrorism ( Mourir
pour gagner : la stratégie des suicides
terroristes ), que la majorité des
attentats-suicides commis entre 1980 et
2003 ont été commis par des
non-musulmans et en particulier par
les Tigres tamouls. «On attribue souvent
ce phénomène à la croyance religieuse,
surtout islamique, mais tout cela ne
tient pas, les attentats-suicides visent
plutôt un objectif stratégique
relativement réaliste, consistant à
contraindre les régimes démocratiques à
retirer leurs troupes d'un territoire
occupé.» En effet, comme l'explique
Pierre Lory: «Le droit musulman condamne
formellement toute forme de suicide,
sous quelque forme que ce soit. Un
hadith raconte que Mahomet prédit la
damnation en enfer à propos d'un
combattant musulman qui, gravement
blessé et ne supportant plus la douleur,
se donna la mort en se jetant sur la
pointe de son épée.» (5)
On le voit le problème n’est pas
simple, faucher des vies par la terreur
est inhumain. Mais peut on parler
d’inhumanité devant le désespoir des
vies fauchés par milliers lors des
bombardements des famines organisées
imputables à cet Occident pervers, laîc
chez lui avec ses souchards , croisé
avec ses allogènes pourtant citoyens
comme les autres, démocrate chez lui ,
tortionnaire à l’extérieur Cette Europe
qui a perdu ses repères moraux avec en
principe un Etat équidistante des
religions, mais qui dans les faits, crée
des territoires où les occupants sont
abandonnés du fait de la malvie, de
l’échec scolaire, du chômage qui sont
autant de catalyseur qui contribuent au
passage à l’acte. Les pays européens
seraient bien inspirés d'appeler à
l'apaisement et à tenter de récupérer
justement ces territoires perdus de la
République par l'aide de ces jeunes à
réussir dans la vie et en faire , enfin
des citoyens à part entière et non pas
entièrement à part
1.
http://international.blogs.ouest-france.fr/archive/2016/03/23/terrorisme-tertrais-frs-tribune-occident-15880.html?ref=yfp
2. Désinformation contre la Chine:
l'enquête sur Apple en Chine entâchée
par un bidonnage
3.Chems Eddine Chitour
http://forumdesdemocrates.over-blog.com/article-declin-de-sens-ou-declin-de-puissance-le-dilemme-de-l-occiddent-75412225.html
4.
http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2007/03/06/l-esprit-du-terrorisme-par-jean-baudrillard_879920_3382.html#GVJ4e9JWvzteBcjM.99
5.Stéphanie Plasse
http://www.slate.fr/story/
72053/pourquoi-attentats-suicides
Article de référence
http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/238368-essai-de-decryptage.html
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique
enp-edu.dz
Publié le 28 mars
2016 avec l'aimable
autorisation de l'auteur
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