Algérie en phase
avec le mouvement du monde
Discours temporel sur une religion
atemporelle :
Trump et l'islam
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Jeudi 25 mai 2017
«Many people are
saying it was wonderful that Mrs. Obama
refused to wear a scarf in Saudi Arabia,
but they were insulted.
We have
enuf enemies»
«De nombreuses
personnes disent que c'était merveilleux
que Mme Obama refuse de porter un
foulard en Arabie, mais [les Saoudiens]
ont été insultés. Nous avons déjà assez
d'ennemis»
Donald Trump 29
Janvier 2015
Une habitude des
hommes politiques occidentaux de donner
leur vision de l’Islam une religion qui
est l'espérance de plus d'un milliard
d'humains. Même, le pape Benoît XVI en
son temps s'était autorisé lui aussi,
a donner sa vision de l'islam avec, en
creux , expliquer d'une façon prosélyte
les dangers de l'islam. Le monde avait
besoin de souffler après la tornade Bush
et sa croisade assumée, sa lutte entre
le bien et le mal. Autant de
termes bibliques qui contribuent à
élargir le fossé. On se souvient aussi
du «beau discours» de Obama à
l'université du Caire où avec des
envolées lyriques peut-être sincères, il
appelait à la paix avec beaucoup de
respect envers les musulmans. Ce fut
huit ans de haine de mort, violentes,
avec en prime la création ex nihilo de
Daech EI…que l’on combat d’un côté
et que l’on soutient de l’autre. La
fameuse phrase de Laurent Fabius à
propose d’une organisation terroriste
crée par les occdentaux pour diaboliser
l’Islam et au passage détruire la Syrie
« Al Nosra fait du bon boulot »
raisonne encore dans nos têtes !!! Résultat des
courses: un prix Nobel fut attribué
à Obama, et ses deux mandats ont vu
aussi les pires dérives, notamment les
attaques ciblées «d'ennemis de la nation
américaine» principalement des pays
musulmans. Les attaques par drones
firent beaucoup de dégâts ce qu'un
euphémisme désigne par dommages
collatéraux. Entendons par là la mort,
le deuil et les traumatismes à vie de
ceux qui en réchappent. Là encore nous
fûmes d'une certaine façon, déçus
d'Obama qui tergiversait - il tenait
toujours la canne par le milieu- Il
annonça lui-même la mort de Bin Laden et
avait laissé Hillary Clinton faire sa
guerre en Libye avec comme cadeau sa
fameuse phrase à l'annonce du lynchage
du dirigeant musulman: «Je suis venu,
j'ai vu... Il est mort.» Bref,
l'élection de Trump contre toute attente
avait permis naïvement de faire naître
des espoirs chez les musulmans et les
autres, «Tout sauf Clinton disait-on au
vu de son comportement va- t-en guerre
contre l'islam et son alignement éternel
sur Israël.
La doxa
occidentale et la faute originelle
Il est convenu dans
les pays occidentaux que chaque fois
qu'il y ait un attentat, sans aucune
réserve on désigne l'islam comme bouc
émissaire. L'attentat de Charlie Hebdo
attribué immédiatement aux islamistes ne
s'avère pas aussi juste, il y aurait
dans le coup des services de gendarmerie
qui auraient été en relation avec un
indic qui serait partie prenante du
transport des armes qui ont servi au
massacre...
D'autre part, sans
faire dans la concurrence victimaire,
tous les attentats réalisés par des
terroristes dits islamiques avec des
armes vendues par les Occidentaux se
sont soldés par la perte de près de 500
vies. De l'autre côté du curseur,
l'unité de référence est différente. Il
faut multiplier par 100 pour avoir une
idée des pertes de vies humaines. Nous
l'avons vu avec Andres Breivik, nazi qui
s'assume et qui a tué près d'une
soixantaine d'enfants et à qui on trouve
des circonstances atténuantes. Le
criminel a fait un procès à l'Etat
norvégien du fait que la lumière crue de
la cellule le gêne. Il a gagné son
procès!
Dans ces conditions
où pour l'Occident il n'y a pas de
bénéfice du doute qui ne peut être
dissipé qu'après une enquête minutieuse,
la messe est dite concernant l'Islam;
«Ce n'est pas toi c'est donc ton
frère!». Si en plus même au sein de la
«oumma» islamique, plus atomisée que
jamais, des guerres hégémoniques pour le
leadership divisent encore plus l'unité
du monde musulman, les Occidentaux ont
beau jeu de dresser les uns contre les
autres surtout si en plus cela rapporte.
C'est le cas de la haine viscérale d'une
monarchie moyenâgeuse qui exporte le
terrorisme salafiste responsable des
malheurs actuels, avec la bénédiction de
l'Occident qui veut stopper l'Iran
qu'elle accuse de vouloir étendre le
chiisme. Pour cela l'Arabie saoudite
s'associe avec Israël et les Etats-Unis
qu'elle appâte.
Donald Trump en
Arabie Saoudite : soutien politique
contre mégacontrats
Il y a un an, la
monarchie saoudienne avait réservé un
accueil assez glacial à son
prédécesseur, Barack Obama, critiqué
pour avoir amorcé un début de
rapprochement avec l'Iran. Justement, la
visite de Trump le 20 mai en Arabie
saoudite qui aurait coûté près de 60
millions de dollars pour son
organisation! samedi 20 mai. L'Arabie
saoudite ne demande qu'à intensifier ses
relations avec les États-Unis, pour cela
il y a un prix à payer. D'autant que les
relations étaient dégradées par Barack
Obama car il avait renoué le contact
avec l'Iran. Donald Trump a reçu de la
main même du roi Salmane, une des
distinctions les plus importantes du
pays. Des accords commerciaux pour un
montant de 380 milliards de dollars. Sur
l'ensemble de ces contrats, un tiers
concerne la vente d'armement. «La valeur
des investissements dépasse les 380
milliards de dollars», a déclaré le
ministre saoudien des Affaires
étrangères Adel Al-Jubeir lors d'une
conférence de presse avec son homologue
américain Rex Tillerson.
Le commerce des armes
La signature de
très gros contrats. Outre les rencontres
bilatérales, dont celle avec le roi
Salmane, Donald Trump a consacré la
première de ses deux journées à Riyadh
aux investissements, avec l'annonce
d'une série de contrats gigantesques.
«C'était une journée formidable», a
lancé samedi le président républicain.
«Des centaines de milliards de dollars
d'investissements aux Etats-Unis et des
emplois, des emplois, des emplois.»
L'agence officielle saoudienne SPA a
fait état de 34 accords dans des
domaines de la défense, du pétrole et du
transport aérien. Le porte-parole de la
Maison-Blanche, Sean Spicer, a pour sa
part évoqué des contrats militaires
d'une valeur de près de 110 milliards de
dollars, présentés comme «l'accord
d'armements le plus important de
l'histoire des Etats-Unis». Ils ont pour
but de «soutenir la sécurité à long
terme de l'Arabie saoudite et de
l'ensemble du Golfe face à la mauvaise
influence iranienne et aux menaces liées
à l'Iran qui existent aux frontières de
l'Arabie saoudite», a assuré Rex
Tillerson. C'est donc coup double pour
les Etats -Unis: des contrats
mirobolante avec en prime la
diabolisation de l'Iran ce qui n'est pas
pour déplaire à Israël.
Justement, le professeur Jules Dufour
nous explique le commerce des armes. «Le
commerce mondial des armements est
florissant. Des guerres qui se
prolongent s'avèrent un condiment
parfait pour les industries de guerre
des pays occidentaux. Depuis le début du
siècle, les monarchies du Golfe
utilisent les dividendes générés par les
exportations de pétrole en étant parmi
les plus actifs dans l'importation
d'armements. Il s'agit d'une escalade
dans ce recours au matériel de défense.
Se trouvant dans l'aire immédiate de
l'influence de la Russie et voisins de
l'Iran et d'Israël les pays du Golfe
continueront de s'approvisionner avec
les armements produits en Occident. Il
importe de rappeler que les principaux
exportateurs d'armements de l'UE ont vu
leurs ventes grimper en 2016 et,
notamment, la France qui a atteint un
niveau record de 20 milliards de dollars
avec la vente d'une valeur de 16
milliards d'euros grâce à l'Inde qui a
conclu en septembre 2016 l'achat de 36
avions de combat Rafale fabriqués par le
groupe Dassault, pour environ 8
milliards d'euros. Après des débuts
difficiles à l'exportation, le Rafale a
trouvé pour la première fois preneurs en
2015: le Qatar et l'Égypte ont chacun
acquis 24 appareils. (Le Monde).» (1)
Le
discours sur l'islam : Rien de nouveau
sous le soleil
Dans un discours à
Riyadh, devant les représentants d'une
cinquantaine de nations musulmanes, dont
37 chefs d'Etat ou de gouvernement,
Donald Trump s'est déclaré, dimanche,
porteur d'un message «d'amitié, d'espoir
et d'amour». Il a exhorté les pays
musulmans à n'offrir aucun «refuge aux
terroristes» et a annoncé un accord avec
les pays du Golfe pour lutter contre le
financement du «terrorisme». «Il s'agit
d'une bataille entre des criminels
barbares qui cherchent à éradiquer la
vie humaine et des gens bien de toutes
les confessions qui cherchent à la
protéger», a-t-il déclaré. Invitant les
pays arabes à compter avant tout sur
eux-mêmes, il a estimé que «les nations
du Proche-Orient ne peuvent attendre que
la puissance américaine écrase cet
ennemi à leur place.»
Donald Trump a
appelé tous les pays à «isoler» l'Iran.
«En attendant que le régime iranien
montre sa volonté d'être un partenaire
dans la paix, toutes les nations dotées
d'un sens des responsabilités doivent
travailler ensemble pour l'isoler»,
a-t-il dit en accusant la République
islamique d'attiser «les feux du conflit
sectaire et du terrorisme.»
Pour le Réseau
Voltaire dont les propos sont
curieusement équilibrés, «Contrairement
à ce que rapportent les agences de
presse occidentales et à ce qu'avait
fait le président Obama en Égypte il y a
huit ans, le président Donald Trump n'a
pas prononcé de discours sur l'Islam
lors de son voyage en Arabie saoudite.
Rappelant que son voyage qui débutait en
Arabie saoudite, terre des Lieux saints
de l'islam, se poursuivrait à Jérusalem,
Bethléem et au Vatican, il a appelé à la
pratique de la tolérance et du respect
entre les trois religions abrahamiques.
Centrant son discours sur la lutte
contre le terrorisme, il a fait appel
aux sentiments religieux et humanistes
des responsables musulmans présents pour
leur enjoindre à ne plus coopérer avec
ceux qui sèment la mort. Il les a
invités à participer au Global Center
for Combating Extremist Ideology
(Centre global pour combattre
l'idéologie extrémiste). En voici les
principaux extraits:» (2)
«Nous ne sommes pas
ici pour donner des conférences, nous ne
sommes pas ici pour dire aux autres
comment ils doivent vivre, agir,
apprendre ou adorer. Au lieu de cela,
nous sommes ici pour offrir un
partenariat - basé sur des intérêts et
des valeurs partagés - afin de
poursuivre un avenir meilleur pour nous
tous. (...) C'est un choix entre deux
futurs - et c'est un choix que
l'Amérique ne peut pas faire pour vous.
Un meilleur avenir n'est possible que si
vos nations rejettent les terroristes et
les extrémistes. Mettez les dehors.
Mettez les hors de vos lieux de culte.
Mettez les hors de vos communautés.
Mettez les hors de votre terre sainte.
Mettez les hors de notre terre.» (2)
Curieusement une
fois de plus l’inflexion du discours de
Thierry Meyssan qui avait une
analyse plus lucide, trouve quelques
circonstances atténuantes à ce discours
au point de l’expliciter pour nous
qui n’avons rien compris, semble –t-il
nous dire.
Il écrit : «Pour
notre part, écrit-il l'Amérique s'est
engagée à ajuster ses stratégies pour
faire face à l'évolution des menaces et
aux faits nouveaux. Nous éliminerons les
stratégies qui n'ont pas fonctionné et
nous appliquerons de nouvelles approches
éclairées par l'expérience et le
jugement. Nous adoptons un réalisme de
principe, ancré dans des valeurs
communes et des intérêts partagés. (...)
Les responsables religieux doivent
rendre cela absolument clair: la
barbarie ne vous délivrera aucune gloire
- la dévotion envers le mal ne vous
apportera aucune dignité. Si vous
choisissez le chemin de la terreur,
votre vie sera vide, votre vie sera
brève, et votre âme sera condamnée.
(...) Avec l'aide de Dieu, ce sommet
marquera le début de la fin pour ceux
qui pratiquent la terreur et répandent
leur vil credo. Dans le même temps, nous
prions pour qu'on puisse se souvenir un
jour de ce rassemblement comme le début
de la paix au Moyen-Orient - et
peut-être même dans le monde entier.
(...) Je vous demande de vous joindre à
moi, de vous joindre à moi, de
travailler ensemble, et de lutter
ensemble - Unis, nous ne faillirons pas.
Je vous remercie. Dieu vous bénisse.
Dieu bénisse vos pays. Et Dieu bénisse
les États-Unis d'Amérique.» (2) Amen.
Pour ceux qui
espéraient, avec l'élection de Donald
Trump, une politique étrangère
alternative des Etats-Unis, je crois que
c'est raté.: «Guerre du Bien contre le
Mal, des gens sensés contres les
barbares», guerre contre le terrorisme,
diabolisation de l'Iran, de la Syrie, du
Hezbollah et du Hamas, le président
américain a en revanche a été très
obséquieux envers ses hôtes saoudiens,
soulignant qu'ils ont signé pour 400
milliards de dollars de contrat (dont
plus de 100 milliard pour l'armement),
et se réjouissant de l'octroi de
pouvoirs supplémentaires au femmes
saoudiennes d'ici 2030. Point très
surprenant: il appelle tous les pays
arabo-musulmans à chasser les
terroristes hors de leurs frontières (et
par conséquences, à les répandre dans le
monde) là où l'on aurait pu s'attendre
de sa part, à ce qu'il appelle plutôt à
les tuer (ce qui ne serait pas une
solution en soit) ou à les capturer.»
(3)
Il n’a pas parlé de
la dimension spirituelle de la région et
de son apport à la condition humaine,
il est venu le vé des troupes pour
combattre un monstre que l’Occident a
crée et qu’il nomme Etat Islamique. Les
Musulmans qui ont toutes les peines du
monde - exception faite de l’Arabie
saoudite- à prendre leur distance
avec cette idéologie mortifère concoctée
dans les laboratoires des
pays occidentaux qui veulent reshaper le
monde,
Cela nous rappelle
en définitive le discours du bien et du
mal cher à Bush Junior Trump relance la
machine néoconservatrice. Ça a toujours
été le discours des néoconservateurs
depuis Bush, Sarkozy, Blair Hollande,
Fabius, Thierry Meyssan semble vouloir
encore et toujours défendre Trump. C'est
un discours de Tartuffe destiné à
tromper les citoyens de l'Occident (Les
autres de toutes façons ne croient pas
en la civilisation occidentale). Trump
sait bien que le terrorisme mondial est
organisé pas les USA, Israël, les rois
du pétrole dont les Saoudiens, avec la
complicité des gouvernements européens.
Ce n'est pas en jouant les Tartuffes que
Trump va convaincre les Saoudiens
d'arrêter leur guerre terroriste au
Yémen.
Donald Trump en Israël
Le président
américain est arrivé en Israël, le 22
mai accueilli par le Premier ministre
israélien. Il s'est ensuite rendu à
Jérusalem, ville sainte pour chrétiens,
juifs et musulmans, après avoir affirmé
que la paix apparemment insaisissable
entre Israéliens et Palestiniens était
possible. M.Trump a certes nommé comme
nouvel ambassadeur David Friedman, un
opposant de la solution à deux Etats.
dans un entretien au quotidien Israel
Hayom: il déclare aucun gel des
colonies ne sera exigé par Washington;
aucun plan ou feuille de route ne sera
imposé. Le déménagement de l'ambassade
vers Jérusalem, promis pendant sa
campagne est en attente. Pas de contrat
pas un dollar! Au contraire l'aide
américaine est de 3 milliards de dollars
et les armes américaines aux Israéliens
seront toujours les meilleures que
celles du bas de gamme fourguées aux
Arabes et aux musulmans pour qu’ils
s’entretuent.
La considération
de Trump pour l’Islam
Tout à fait autre
chose en termes d'empathie et de
respect. Donald Trump s'est rendu devant
le Mur des Lamentations, une première
pour un président américain en exercice.
Avant Donald Trump, aucun président
américain en exercice ne s'y était
rendu. Dans cet ordre d’idées, nous
avons remarqué que la première dame
américaine avait les cheveux découverts,
lors de sa visite , comme le fit
Michelle Obama dans les mêmes conditions
ce qui a provoqué le twitt de Donald
Trump du 29 janvier 2015. Twitt dans
lequel il constatait le non respect du
peuple saoudien. L’histoire ne s’arrête
pas là , de passage au Vatican ( à la
fois Etat, et Mecque des Chrétiens,
la femme et la fille de Trump ont mis
des voilettes pour être reçu par le
pape. Cette symbolique à géométrie
variable plus que cent discours la
perception de l’Occident de la
considération qu’il a pour le judaïsme ,
le christianisme et le tiers exclus de
la Révélation Abrahamique
Conclusion
Rien de nouveau
sous le soleil mais Business as usual
En définitive, Trump fait coup double,
il pompe encore les ressources
financières de l'Arabie, et il s'assure
que le job sera fait concernant la
destruction de la Syrie, du Yémen, et
l'Iran. +110 milliards d'armement pour
faire quoi? Tuer en finançant les
groupes terroristes. Pour continuer à
tuer les Yéménites qui ont à faire à une
épouvantable épidémie de choléra? Pour
attaquer un jour l'Iran? Pourtant, il
suffit de 50 milliards de dollars/an
pour éradiquer la faim sur Terre!!!
Le président
américain veut faire pression pour
officialiser la réconciliation Riyadh/Tel-Aviv
afin de relancer un hypothèque processus
de négociation entre Israéliens et
Palestiniens. En cherchant aussi à aider
les Saoudiens à sortir de leur
enlisement au Yémen, le président
américain veut un nouveau partage de
type Sykes-Picot avec la Russie. Il
s'assure de nouveaux alliés. Israël et
l'Arabie saoudite pour redessiner le
Moyen-Orient au grand malheur des
peuples qui y vivent et qui, on l'aura
compris, ne seront pas consultés...
S'agissant de ceux
qui dictent la norme à une religion, il
eut été hautement souhaitable que le
politique se tienne d'une façon
équidistante des religions, car dicter
une norme à une espérance, atemporelle,
c'est peut-être le dernier arrêt avant
l'avènement définitif du
money-théisme...
1.Jules Dufour
http://www.mondialisation.ca/les-ventes-darmements-au-moyen-orient-en-continuelle-expansion/5591253
2.
http://www.voltairenet.org/article
196408.html
3.
http://arretsurinfo.ch/video-trump-en-arabie-saoudite-extrait-dun-discours-tres-preoccupant/
Article de
référence :
http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_chitour/267613-trump-et-l-islam.html
Professeur Chems
Eddine Chitour
Ecole Polytechnique
Alger
Publié le 26 mai 2017 avec l'aimable
autorisation de l'auteur
Le sommaire du Pr Chems Eddine Chitour
Le
dossier religion musulmane
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