Algérie en phase
avec le mouvement du monde
La rage des médias occidentaux contre
Poutine :
La bataille de la vérité
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Vendredi 23 décembre 2016
«L'armée russe
met très longtemps à sceller sa monture,
mais ensuite plus aucune armée au monde
ne peut l'arrêter.»
Citation d'un général prussien
Depuis quelques jours nous sommes
confrontés à une deuxième bataille qui
est celle de la fausse information
diffusée en boucle par tous les médias
qui n'arrêtent pas de raconter des
mensonges sur la réalité de la situation
à Alep. Le camp occidental dans sa
version obamienne et hollandaise livre
une ultime bataille, celle de désigner
la Russie comme bouc émissaire et de
désigner le gouvernement légitime de la
Syrie comme bourreau de son peuple. Un
constat: les médias se déjugent sans
fausse honte, mais ont des difficultés à
prendre les virages de la réalité. On
aurait voulu présenter des cohortes de
hères mourant de faim, de froid et que
voit-on des cars où les réfugiés montent
calmement, des voitures avec des enfants
qui ne semblent ni mourir de faim ni de
froid faisant même en riant le V de la
victoire en face de la caméra
occidentale qui aurait voulu capter
autre chose. N'ayant rien à se mettre
sous la dent, les médias recrutent des
journalistes «libres» qui sont payés
proportionnellement au déversement de
fiel sur le pouvoir.
En
fait et comme entendu sur la chaîne LCI,
le journaliste qui sévit avec sa phrase
élimée: «Ainsi va le monde» interviewant
un expert sur la situation de
l'après-Alep comme il la voyait, «les
Français dit-il ne voulant pas de Bachar».
Cette phrase m'a intrigué, elle dénote
du fait que le logiciel colonial est
toujours ancré dans la tête de ces
«saigneurs». Les gueux, les faibles
n'ont pas à discuter les ordres de
l'Occident symbolisé par l'Empire et
justement les vassaux qui -on l'aura
compris- font les matamores avec les
faibles, mais sont toujours ser(viles)
avec l'Empire.
Cette
fin de l'année 2016 a vu la fin de
l'Empire dans sa version dicteur de la
norme. On a beau arguer que le monde a
changé, que les peuples relèvent la tête
et ont une égale dignité. Le coup de
baroud est donné par l'acharnement sur
Poutine tout en faisant preuve d'un
silence quasi religieux s'agissant de
Mossoul où les coalisés ne savent pas
comment s'en sortir - c'est-à-dire en
définitive faire coup double, sauver
Daesh et lui permettre de prospérer en
Syrie- eux qui avaient prévu de donner
une porte de sortie aux combattants de
Daesh pour qu'ils aillent sur Raqqa. Les
brigades chiites irakiennes ont vite
verrouillé cet accès et la situation
semble s'éterniser depuis quatre mois.
Les
officiers de l'Otan faits prisonniers à
Alep : Le double jeu de la coalition
«On
apprend que plus de 110 officiers de
l'Otan ont été capturés dans un bunker
des terroristes Al-Nosra à Alep. Selon
des rapports concordants sortant d'Alep
ce 16 décembre 2016, au moins 14
officiers militaires de la coalition de
l'Empire anglo-sioniste ont été capturés
par les forces spéciales syriennes ce
matin dans un bunker terroriste
d'Al-Qaïda/Al-Nosra à Alep Est. Mais
selon Veterans ToDay, le nombre
d'officiers capturés serait supérieur à
110. VT donne les chiffres suivants:
Américains 22, Britanniques 16, Français
21, Israéliens 7, Turcs 62.» (1)
La
liste est très incomplète. Que
devaient-ils faire avec des terroristes
qu'ils ont «officiellement dénoncés?».
En attendant, un silence assourdissant
des médias sans honneur sur la Syrie et
ce sujet en dit long sur le côté
explosif de l'affaire si elle se
répandait plus largement... Les médias
enragés quand il s'agit de diaboliser
sans preuve Assad se font d'un silence
assourdissant quand il s'agit de
signaler la présence illégale des
officiers de l'Otan et même de l'Arabie
saoudite et du Qatar dans un bunker à
Alep et si tout le tintamarre était de
faire exfiltrer ces mercenaires qui ne
peuvent pas invoquer la convention de
Genève sur les prisonniers de guerre.
Ils serviront vraisemblablement de
monnaies d'échange et on peut penser que
la réunion du Conseil de sécurité à huis
clos va débattre aussi de cela, car
mettre de l'humanitaire comme s'entête à
le demander Obama par Hollande interposé
est irréalisable pour l'ambassadeur
russe aux Nations unies.
Poutine: l'âme damnée de Obama
Vladimir Poutine reste l'homme le plus
puissant du monde, devant Donald Trump
et Angela Merkel, selon le classement
2016 du magazine Forbes. A 64 ans, le
président russe remporte le classement
du magazine américain pour la quatrième
année consécutive. «Depuis son pays
natal jusqu'en Syrie en passant par les
élections américaines, le dirigeant
russe continue à parvenir à ses fins»,
estime Forbes. (2)
Le
moins que l'on puisse dire est que
Poutine dérange les dirigeants
occidentaux. On se souvient comment il
avait fait la leçon à Sarkozy au dernier
G8 auquel il a participé: Morceaux
choisis: «Dans un documentaire diffusé
ce jeudi, le journaliste Nicolas Hénin
raconte les coulisses d'une rencontre en
2007 entre Nicolas Sarkozy, et Vladimir
Poutine. Un face-à-face au cours duquel
l'homme fort de la Russie aurait si
violemment humilié son homologue
français que celui-ci était apparu
chamboulé lors de son point presse.»
«Vladimir Poutine userait de méthodes
d'intimidation face à ses homologues, ne
se privant pas de les remettre à leur
place quand leur attitude lui déplaît,
voire de les humilier. L'homme qui en
fait les frais dans cet extrait est le
nouveau président français d'alors,
Nicolas Sarkozy.» «Selon le compte rendu
que dresse le journaliste Nicolas Hénin
d'un tête-à-tête en 2007 entre les deux
dirigeants dans Le mystère Poutine, le
chef de l'Etat français, qui à l'époque
a pris ses fonctions depuis peu,
commence par expliquer sur un ton assuré
à Vladimir Poutine qu'avec lui, «on va
parler des sujets qui fâchent». Les
centaines de morts en Tchétchénie?
«Inadmissible», lâche le locataire de
l'Elysée. Anna Politkovskaïa, la
journaliste russe assassinée?
«Inadmissible». D'après les sources de
Nicolas Hénin, le président russe aurait
d'abord répondu par un silence. Malaise
dans la pièce. L'homme fort de Moscou
aurait ensuite entrepris de rappeler à
Nicolas Sarkozy de ne pas trop jouer les
insolents.» (3)
««Bon
alors je vais t'expliquer. Tu vois, ton
pays, il est comme ça», lui aurait-il
dit, mimant un petit écart avec ses
mains. «Mon pays, il est comme ça»,
aurait-il poursuivi, écartant cette fois
largement ses bras. Alors maintenant, de
deux choses l'une, ou bien tu continues
sur ce ton et je t'écrase. Ou alors tu
arrêtes de parler comme ça et tu verras.
Tu viens juste de devenir Président de
la France mais je peux faire de toi le
roi d'Europe», lui aurait-il lancé, dans
un discours ponctué d'insultes et de
propos humiliants. Selon le journaliste,
Nicolas Sarkozy serait ressorti
complètement «éberlué» de cette
rencontre. Comme «K.-O. debout». Choqué
au point de paraître encore tout
chamboulé, bien que souriant, lors du
point presse.» (3)
On reproche à Poutine pourquoi il a tenu
tête à la normalisation voulue par
l'Empire après la reddition en rase
campagne de Gorbatchev à qui on a donné
le hochet du prix Nobel. C'est un fait
que les Etats-Unis de Fukushima
pensaient que c'était la fin de
l'Histoire, notamment en installant
Eltsine qui a achevé de dépecer la
Russie en la confiant aux oligarques.
Avec Poutine qui a une haute idée de la
grande Russie de Pierre le Grand, de
Catherine II celle qui avait pensionné
Voltaire venu se ressourcer.
Comme
l'écrit Merzak Tigrine journaliste au
journal Liberté: «Pour sa
dernière sortie médiatique à la
Maison-Blanche, le président Barack
Obama a mis en garde son successeur
républicain, Donald Trump, contre
l'intention de Vladimir Poutine
d'affaiblir les États-Unis comme il fait
avec l'Europe. Vladimir Poutine est au
centre des préoccupations de la
Maison-Blanche, notamment après que le
FBI a conforté la CIA dans ses
conclusions sur une intervention de la
Russie dans l'élection américaine. C'est
ce qui ressort des déclarations de
Barack Obama lors de sa conférence de
presse vendredi soir en sa qualité de
président des États-Unis. Il a promis
d'envoyer un ´´message clair´´ à la
Russie après les cyber-attaques qui ont
perturbé l'élection américaine. (...) »
« La
Russie poursuit Obama, ´´est un pays
plus petit, un pays plus faible´´, a
lancé Barack Obama dans une formule qui
devrait à coup sûr faire bondir son
homologue russe, ´´mais ils peuvent nous
affecter si nous oublions qui nous
sommes´´, a-t-il ajouté.´´M. Poutine
peut nous affaiblir, comme il tente
d'affaiblir l'Europe, si nous commençons
à admettre l'idée qu'il est acceptable
d'intimider la presse, ou d'enfermer les
dissidents´´, a souligné le président
américain. (...)Dans la foulée, il a
aussi révélé avoir demandé directement
en septembre, en marge d'un sommet du
G20 en Chine, à Vladimir Poutine de
´´cesser´´ les cyberattaques, au risque
de ´´conséquences sérieuses s'il ne le
faisait pas´´. Réagissant à ces
accusations, Moscou a riposté par la
voix du porte-parole du Kremlin, Dmitri
Peskov, en marge du déplacement de
Vladimir Poutine à Tokyo. ´´Il faut soit
cesser d'en parler, soit apporter enfin
des preuves. Sinon, tout ça est plus
qu'indécent´´, a-t-il déclaré (4).
Le
sacerdoce de Poutine pour un monde
multipolaire
Dans
cette affaire, d'écoute et de
manipulations des élections personne ne
parle des méfaits de la NSA qui espionne
tout le monde, à commencer par les
portables des vassaux (Merkel). Les
grands électeurs ne se sont pas trompés
en dégonflant cette nième manipulation
visant à décrédibiliser le président
Trump pour intelligence avec l'ennemi,
entendons par là Poutine encore et
toujours. Poutine a une haute opinion de
son pays et il veut lui faire retrouver
sa place . La Russie que l'Occident
pensé avoir reduit à sa plus simple
pression - notamment en la charcutant et
en admettant les pays satellites baltes
et la Pologne - demande sa place rine
que sa place et toute sa place ; Elle en
a les moyens- crise ou pas- ,Elle est
dirigée par un homme déterminé qui dit
ce qu'il fait et qui fait ce qu'il dit.
Ariane
Walter résume magistralement à la fois
les combines de l'Occident devant ce
personnage qui ne veut pas rentrer dans
le rang et dans le mouvement, elle
décrit avec délice les avancées de
Poutine et sa méthode pour éviter les
pièges. «Je dois avouer écrit-elle, que
je reste assez stupéfaite de ce que j'ai
vu, en consacrant quatre longues heures
de ma soirée, à deux documentaires sur
Poutine. 'Le mystère Poutine'' et
'Poutine, le nouvel empire''. Après les
évènements d'Alep et le concert de
pleureuses hystériques made in Soros, on
pouvait s'attendre au pire, mais non. La
grâce du sujet a dépassé les lourdeurs
d'une intention propagandiste qui n'a pu
tenir ses promesses.» (5)
Ariane
Walter nous décrit comment les médias
ont traité l'itinéraire de Poutine
L'enfance du héros. (..) Poutine, comme
Macron, a eu une institutrice dévouée
qui, nous dit-on, l'a sauvé des mauvais
quartiers, mais il ne l'a pas épousée ce
qui détermine deux destins très
différents! L'émission explique comment
cet être, au demeurant fade et soumis,
finit par être remarqué pour ces deux
qualités et placé au pouvoir par les
oligarques qui comptaient en faire leur
marionnette. Surprise. Poutine mouche un
oligarque et lui demande de lui rendre
son stylo! Le présent du dictateur. On
l'attendait, on l'a. La Tchétchénie avec
cette accusation non prouvée du rôle de
la FSB dans trois attentats à Moscou,
les médias muselés et fermement, les
assassinats de journalistes, les
témoignages à charge. Main de fer dans
un gant de velours. Ceci existe. C'est
une réalité. Mais le documentaire a
l'honnêteté de montrer comment Poutine a
sauvé la Russie du marasme Eltsinien».(5)
"«Poutine le nouvel empire» va alors
être la divine surprise. D'une part par
la qualité de ses intervenants, en
particulier Hubert Védrine et Hélène
Carrère d'Encausse, et surtout par son
propos: de l'Histoire et non de la
propagande de basse Amérique. Avec cette
étude passionnante d'un destin tellement
inattendu, forgé par les circonstances.
Passionnant d'apprendre comment cet
homme, favorable à l'Union européenne au
début de sa carrière, va être traité
comme une merde par le cartel
capitaliste et, sentant la menace
infinie de l'Otan, entamera, le couteau
sous la gorge, pour ne pas devenir un
nouveau Kadhafi, une partie d'échecs qui
le place très haut dans l'Histoire de
notre monde. J'ai un peu l'impression
que Védrine et d'Encausse sont amoureux
de Poutine..!» (5).
"Poutine, poursuit, est entré dans
l'Histoire des débuts d'un autre monde
au moment où Hollande, notre clown de
service, s'apprêtait à aller bombarder
la Syrie. De graves accusations étaient
portées contre Assad, que la suite a
révélées fausses: l'utilisation de gaz
sarin contre sa population. Le fil rouge
avait été franchi! Et c'est là que
Poutine, soutenu par le pape (!) a fait
cette proposition: qu'Assad se
débarrasse de tout son arsenal chimique!
Proposition acceptée par les Etats-Unis
dans un monde de menteurs où tout est
ruse et trahison. C'est à ce moment-là
que pour beaucoup d'entre nous, Poutine
est sorti de son armure de dictateur
infréquentable pour devenir un sauveur.
Merci Poutine. En face de lui, une
clique qui avait laissé faire le 11
septembre pour ne pas dire, ce qui sera
révélé demain, qu'elle l'a organisé. Et
ce n'était sans doute pas le premier
crime auquel l'Etat profond mettait la
main à la pâte. N'est-ce pas JFK?» Le
peuple et les faiseurs d'argent qui font
plus leur beurre en temps de paix qu'en
temps de guerre. Sans oublier les
États-Uniens qui, comme Snowden, au FBI
et ailleurs, connaissaient le dessous
des cartes et en avaient assez d'être
dirigés par des fous!» (5).
«(...)
Le petit blondinet conclut Anne Walker,
de Saint-Petersbourg a brusquement
sorti de son sac des armes qui
prouvaient qu'en cas de conflit
nucléaire il ne resterait pas grand
chose, en quelques minutes, des plus
grandes villes des États-Unis. (...)
Cette année le Père Noël ne va pas se
fatiguer pour ses cadeaux. Nous avons
déjà reçu le Brexit, la fin de Ceta et
de Tafta, la défaite de Clinton,
l'élimination de Hollande, de Juppé, de
Sarkozy, de Renzi, la victoire d'Alep!!!
Au coeur de toutes ces victoires,
Poutine. Etudier la savante partie
d'échecs qu'il a menée est un régal.
Comment, boudé, humilié, menacé il a
continué son chemin et fini par faire la
conquête de tous les peuples. Poutine et
la Crimée, Poutine et la Syrie, Poutine
et les élections aux États-Unis. A-t-il
hacké ces élections? S'il ne l'a pas
fait, c'est un imbécile. Et il ne l'est
pas. (...) Seul bémol à ses triomphes,
la présence, en face de lui d'ennemis
faibles, démasqués et haïs. Conquérir
tous les peuples quand on a pour
adversaires Hollande, Merkel, Cameron,
et la clique Obama, c'est quand même
facile.» (5)
Coup de
tonnerre ! L’assassinat de l’ambassadeur
russe en Turquie
Alors
que chacun présageait un apaisement dans
la situation à Alep et partant la
résolution globale du transfert des
habitants d’Alep retenus en otage,
notamment par l’acceptation
conditionnelle de la Russie,
d’observateurs avec le postulat :
« La Syrie une et indivisible avec le
gouvernement actuel légitime, voilà
qu’une mauvaise nouvelle s’abat sur la
communauté humaine, l’assassinat du
diplomate russe Andreï Korlov à Ankara
: Qui a intérêt à mettre de l’huile sur
le feu ? Pour qui roulent les
commanditaires de cet assassinat et on
nous dit que l’assassin a été
abattu Ce qui va compliquer
considérablement l’enquête. Des écrits
se font jour pour rappeler qu’il y a un
siècle à deux années près, l’assassinat
de l’archiduc autrichien à
Sarajevo par un anarchiste serbe
donnait le coup d’envoi de la plus
grande boucherie du XXe siècle . là
encore il est heureux que Vladimir
Poutine « calme le jeu » en
affirmant que cet assassinat ne doit pas
le détourner de son objectif la
recherche de la paix. Pour les citoyens
du monde, et pour avoir démontré jusqu’à
présent son sang froid dans pas mal de
conflits et provocations en tout genre,
le président russe mérite le prix Nobel
de la paix de 90 % de la planète et plus
si on compte aussi tout ceux qui sont
épris de pais dans le monde
occidental
On le
voit, Poutine est le digne héritier des
héros de l'Union soviétique que sont le
peuple et ses généraux, tels que
Guiorgui Joukov l'officier général le
plus décoré de l'histoire de l'Union
soviétique qui réussit à terrasser
l'ordre nazi avec des généraux et non
des moindres comme Von Paulus à
Stalingrad,. Poutine est aussi
l'héritier du maréchal Koutouzov celui
qui battit la grande armée de Napoléon
et amena la Berezina devenue par la
suite une expression signifiant la
débâcle. Le général prussien a mille
fois, raison. Il est à craindre que
l'Occident ne tire pas suffisamment les
leçons de l'Histoire et il n'a pas
compris que le barycentre lui a
définitivement échappé au profit d'un
multilatéralisme de l'apaisement et du
soleil pour tous.
1.
http://numidia-liberum.blogspot.com/2016/12/au-moins-14-officiers-de-lotan-captures.html
2.
http://www.bfmtv.com/international/classement-forbes-poutine-homme-le-plus-puissant-du-monde-devant-trump-1070988.html
3.
http://www.bfmtv.com/international/comment-sarkozy-s-est-fait-humilier-par-poutine-en-2007-au-point-qu-il-semblait-ivre-1071168.html
4 Merzak Tigrine
http://www.liberte-algerie.com/international/obama-met-en-garde-contre-poutine-260629
5.Ariane Walter https://www.legrandsoir.info/poutine-un-ovni-sur-france-2.html
Article de référence :
http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur
_chitour/256518-la-bataille-de-la-verite.html
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole
Polytechnique Alger
Publié le 25 décembre
2016 avec l'aimable
autorisation de l'auteur
Le sommaire du Pr Chems Eddine Chitour
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