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Algérie en phase avec le mouvement du monde

Le TPI pour les faibles :
L'impunité encore et toujours pour les puissants

Chems Eddine Chitour


Le Pr Chems Eddine Chitour

Mardi 12 juillet 2016

«We came, we saw, he died!» «Nous sommes venus, nous avons vu, il [Kadhafi] est mort!» Déclaration de la secrétaire d'État des États-Unis Hillary Clinton, en riant à CBS paraphrasant Jules César «Veni, Vedi, Vici».

Cette phrase dite sur le ton de la désinvolture, il s'agit de l'assassinat abject d'El Gueddafi, fait froid dans le dos! Cependant, d'une façon tout à fait paradoxale, mais peut-être c'est comme cela que l'Occident fonctionne, on apprend, et cela nous fait chaud au coeur, que la justice rattrape les criminels de guerre tôt ou tard. Certes, nous avons fait notre deuil des grands massacres de l'humanité, massacres où la nation de la Destinée manifeste prenant la suite des nations européennes, a éradiqué les tribus indiennes premières occupantes de l'Amérique du Nord; l'exemple a été pris pour la «période récente», après ce qu'il est convenu - à tort d'appeler les grandes découvertes par la doxa occidentale- nous avons vu alors les Empires portugais et espagnol subjuguer des peuples; il n'est que de se souvenir comment l'appât du gain mâtiné de religion a mis en coupe réglée des peuples faibles.

La relève mortifère a été prise par la France et l'Angleterre qui ont tué, pillé, volé, violé à qui mieux mieux ce que Victor Hugo appelait les brigands après le sac du Palais d'hiver en Chine. Nous étions à l'époque aux premières loges et avons connu dans notre chair, les Saint-Arnaud; les Rovigo, les Herbillon dont les soldats s'amusaient à fracasser les têtes des enfants contre les arbres, les Pélissier, les Bugeaud- à telle enseigne que les mamans faisaient peur à leurs enfants en les menaçant: si tu n'es pas sage, je vais appeler Bouchou un monstre protéiforme qui terrorisait l'imaginaire des enfants- Bref, la douleur on sait ce que sait et de voir que la condamnation même symbolique est nécessaire pour tenter de faire le deuil, est un premier pas vers la vérité.

Les erreurs de Tony Blair sur la guerre d'Irak

Ce qui s'est passé avec le Rapport accablant contre Tony Blair l'acolyte de Bush dans la destruction brutale de l'Irak en 2003 après, il faut le souligner, la famine organisée par les Nations unies qui s'est soldée par la mort de 500.000 enfants irakiens qui, semble-t-il «n'est pas cher payé pour faire partir Saddam Hussein» d'après Madeleine Albright.
«Après sept années d'enquête, écrit Thomas Cantaloube de Médiapart, la commission Chilcot a remis un rapport très négatif sur la manière dont le gouvernement britannique a engagé le Royaume-Uni en Irak en 2003 aux côtés des États-Unis: renseignements défectueux, manipulation politique, impréparation militaire... (...) Alors que beaucoup d'observateurs envisageaient un rapport un peu mou, qui ménagerait le pour et le contre et renverrait dos à dos les critiques et les avocats de l'invasion de l'Irak, le rapport Chilcot est étonnamment affirmatif, en déposant ses conclusions au pied du Premier ministre de l'époque, Tony Blair. Ce dernier, juge-t-il en effet, est le principal responsable d'un désastre qui a provoqué la mort de 179 soldats britanniques, d'au moins 125.000 Irakiens, la plupart des civils, et abouti à la situation inextricable d'un pays aujourd'hui divisé et en plein guerre civile avec l'État islamique.» «Nous avons conclu que le Royaume-Uni a choisi de se joindre à l'invasion de l'Irak, avant que toutes les options pacifiques pour un désarmement [de l'Irak] ne soient épuisées. L'action militaire à ce moment-là n'était pas un dernier ressort.» Autrement dit, tout le discours de rationalisation de la guerre développé à l'époque par le tandem George W. Bush-Tony Blair est mis à bas. Le document le plus incriminant est sans doute un mémorandum «secret et personnel» adressé par le chef du gouvernement britannique à son homologue américain. Rédigé huit mois avant le déclenchement de l'invasion, Blair écrit: «Je serai avec vous quoi qu'il en soit. (...) Se débarrasser de Saddam Hussein est la bonne chose à faire. Il est une menace potentielle.» (1)

«Par ailleurs, John Chilcot s'en prend également à l'attitude du gouvernement britannique durant cette période, qui a «miné l'autorité du Conseil de sécurité des Nations unies»»:
«Mr Blair et Mr Straw [le ministre des Affaires étrangères] ont accusé la France d'être à l'origine de l'impasse du vote à l'ONU, (...). En l'absence d'une majorité au Conseil en faveur de l'action militaire, nous estimons qu'en fait, c'est le Royaume-Uni qui a miné l'autorité du Conseil de sécurité.» (1)

«La même presse britannique qui a encensé Tony Blair quand il était au pouvoir, en le félicitant pour l'expédition, se retourne contre lui. Elle fustige Tony Blair après la publication du rapport Chilcot sur la guerre en Irak. Rattrapé par l'actualité, l'ancien Premier ministre travailliste britannique Tony Blair a été vivement critiqué par la presse britannique jeudi 7 juillet. (...) La plupart des tabloïds britanniques ont publié des 'unes'' au vitriol contre l'ancien Premier ministre. 'Une arme de manipulation massive'', titre The Sun avec une photo de Tony Blair, en référence à l'argument très discuté avançant la présence d'armes de destruction massive en Irak.» (2)

Gageons que tout rentrera dans l'ordre il n'y aura même pas de procès même de mascarade. C'est de fait un faux débat, avec une culpabilité de façade qui laissera intacte la tragédie irakienne qui continue encore avec 300 morts lors d'un attentat le jour de l'Aïd. Si on devait faire le bilan honnête des exactions de Saddam au regard de la tragédie irakienne après 1991 il n'y a pas de commune mesure d'autant que la paix en Irak n'est pas pour demain.

La mise à mort d'El Gueddafi et le chaos libyen

On pourrait penser naïvement que l'invasion de l'Irak après celle de l'Afghanistan donnerait à réfléchir à ceux qui gouvernent le monde pour les amener à plus de retenue. Il n'en fut rien, l'expédition libyenne est là pour nous rappeler la tragédie du peuple libyen et la mort atroce du leader Mouamar El Gueddafi de la main toujours des dirigeants occidentaux, je veux nommer deux d'entre eux qui étaient en premier ligne, Nicolas Sarkozy et son conseiller Bernard-Henry Lévy, et David Cameron pour le Royaume Uni. Sarkozy s’attribuant à lui seul le mérite d’avoir bombarder la Libye et mis à mort d’une faon abjecte, un chef d’Etat qu’il avait accueilli avec déférence et accepté qu’il plante sa tente à Paris, contrats oblige a été recadré par Barack Obama qui a tenu à préciser que l'essentiel du job est américain.

Naturellement on ne parle pas de justice si ce n’est par des initiatives des sociétés civiles sans grand impact sur le cours des choses. On apprend ainsi que dans le cas de la Libye, la société civile s'organise pour rendre la justice. «Les Clubs 'Penser la France'' ont lancé une pétition internationale pour faire passer Nicolas Sarkozy devant la Cour pénale internationale (CPI). Les Clubs 'Penser la France'' travaillent actuellement à réunir l'ensemble des éléments susceptibles d'être portés à la connaissance du procureur près la CPI. Ils ont décidé de réunir un collectif d'avocats français et étrangers en vue d'étudier un dépôt de plainte devant la Cour. Ils incluent dans cette démarche l'intervention des troupes françaises en Côte d'Ivoire, à l'instigation de Nicolas Sarkozy, rappellent-ils.» (3)

La frustration de Hollande qui avait prévu de punir la Syrie

Dans le même ordre de la mise à mort des faibles, Hollande en redresseur de tort des faibles se veut en maître absolu capable de juger du bien et du mal. Le prétexte? L'attaque au gaz sarin où il y eut plusieurs centaines de mort à La Ghouta, un quartier de Damas. Comme un seul homme à la suite de Barack Obama qui annonce que les fils rouges ont été dépassés par al Assad, les vassaux en l'occurrence la France et le Royaume-Uni ont crié au scandale!

«Quand Le Monde a révélé, écrit Franz Oliver Giesbert, l'attaque chimique de la Ghouta, qui a fait plusieurs centaines de morts, rien ne prouvait qu'elle avait été perpétrée par le régime d'Assad, il est vrai capable de tout, surtout du pire. Damas en a pourtant été accusé par le journal, le gouvernement français et les services secrets américains, ce qui permettait de justifier les frappes à venir. Or un long rapport scientifique du Massachusetts Institute of Technology (MIT) établi par Richard Lloyd, un ancien inspecteur de l'ONU, assure, que les tirs ne pouvaient provenir que des zones rebelles(..) Bien sûr, on a mis un mouchoir dessus: circulez, y a rien à voir, a décrété notre bonne presse. De même, quand le grand journaliste Seymour Hersh a découvert que le groupe djihadiste Front al-Nosra disposait de gaz sarin, c'est à peine si l'information a été relayée.» (4)

Enfin, «le 4 février 2014, écrit Amin Arefi, Laurent Fabius est invité par l'école de commerce Essec à s'exprimer sur le dossier syrien. Lors de la séance de questions, un jeune homme de l'Agence Info libre interroge le ministre sur un rapport du Massachusetts Institute of Technology (MIT) selon lequel, affirme le journaliste, «Bachar el-Assad ne serait pas à l'origine de l'attaque chimique de la Ghouta», «Pouvez-vous aujourd'hui devant cette assemblée reconnaître que vous vous êtes trompés sur cette situation et présenter vos excuses?» demande alors le jeune homme. «Certainement pas», répond Laurent Fabius.» (5)

Rappelons que c'est le même ministre qui donne un bon point à Al Nosra qui selon lui, ferait du bon boulot. Ce même Al Nosra qui est actuellement combattu comme terroriste...
C'est d'ailleurs aussi l'avis des enquêteurs des Nations unies qui ont réuni des témoignages selon lesquels des insurgés syriens se sont servis de gaz sarin a déclaré dimanche 5 mai 2013 la magistrate suisse Carla Del Ponte. La membre de la commission d'enquête indépendante de l'ONU sur les violences en Syrie.» (6)

Punition comme au bon vieux temps des colonies

«Comme au bon vieux temps des colonies, la France veut punir ceux qui défie l’ordre colonial. Commentant les propos de Hollande «La France est prête à punir ceux qui ont pris la décision infâme de gazer des innocents», le philosophe Philippe-Joseph Salazar, sans doute, frappé par cette persistance de comportement d’un ordre, en théorie révolu, écrit: «L'apparition du champ lexical de la 'punition'' dans les discours politiques est intéressante tout en étant assez inquiétante. Il faut « punir »: la morale revient en politique 'punition'', 'châtiment'', ces mots ont été bannis de tout discours politique depuis des années. C'est un archaïsme qui vient à l'encontre de l'évolution des idées depuis la fin du XXe siècle. Depuis plusieurs décennies, on ne pense plus la justice en termes de correction, mais de réconciliation, de dialogue, de réparation... Et puisque l'on parle de punition, pourquoi ne pas introduire l'idée corrélée de « récompense », de « bons points »? Peut-être que nous en arriverons là. Après 30 ans de réflexion sur le rôle de la justice et son positionnement, ce discours réactionnaire et moralisateur surprend d'autant plus qu'il vient d'un homme de gauche. Si Nicolas Sarkozy avait prononcé ces mots, on aurait compris: c'est un homme de droite. Mais prononcé par François Hollande, le même langage se teinte de morale et devient, de ce fait, encore plus dangereux.» (7)

Justement, la Gauche que l’on nous vend comme humaniste, fait pire que la droite de Sarkozy . Que l’on n’en juge ! Dans l’affaire de la Syrie, la France non contente de s’être coupée du dernier relais qu’elle avait au Moyen Orient , de par la politique équilibrée du général de Gaulle, poursuivi par Chirac, le seul à s’être opposé à l’aventurisme de Bush, Hollande en chevalier sans peur et sans reproche, veut avoir sa part de gloire, après avoir montré ses muscles au Mali , il veut lui aussi participer à la curée en Syrie ! Il était à deux doigts d’y arriver en suivant l’empire qui lui a fait bon Coup de théâtre, alors que tout était prêt, les moteurs des Rafales en marche, les cibles désignées, le Conseil de guerre le doigt sur la gâchette, Obama qui envisageait des frappes en Syrie, décide d'en référer, d'abord au Sénat, et dans le même ordre, le Parlement anglais décide de ne pas autoriser l'aventure; reste la France qui piaffait d'en découdre et d'aller bombarder la Syrie . Cette même Syrie qui l'attendait en vain, de pied ferme à en croire le ministre syrien des affaires étrangères .

Vincent Jauvert du Nouvel Observateur explique dans un long article que nous résumons, es attentes du feu vert américain qui ne vient pas, le branle bas français et le rétropédalage de François Hollande. Il explique les atermoiements américains et la déconvenue française:
«Les frappes sont pour ce soir.» Le samedi 31 août, au matin, les plus hauts responsables français, civils et militaires, sont convaincus que le président de la République va déclencher le bombardement punitif de la Syrie la nuit suivante. Les Rafales étaient prêts à décoller, les cibles choisies et les communiqués déjà rédigés. Mais au tout dernier moment, François Hollande a dû annuler l'opération.»(8)

On le voit: avec les mêmes protagonistes c'est un remake, l'expédition du canal de Suez sous Guy Mollet. Les Américains étaient peu enclins à se plonger dans un conflit complexe et on peut dire que Poutine a sauvé la paix. Pour Hollande, le vieux syndrome de la canonnière (façon Guy Mollet pour récupérer le canal de Suez) resurgit mais sans les Anglais.

A quoi sert la Cour pénale internationale?

Dans toutes ces affaires d’intervention des pays occidentaux pour imposer un problème moral par la mise en place d’un tribunal international, nous restons sur notre faim quand il s’agit de juger la légitimité d’une invasion décidée par les puissants pour juger les faibles ; A quoi sert la Cour Pénale Internationale si elle ne juge pas tout ceux qui contreviennent à l’ordre moral pas celui décidé par les pays puissants, ? D'après l'encyclopédie Wikipédia: «La Cour pénale internationale est une juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l'humanité, de crime d'agression et de crime de guerre. La loi belge du 16 juin 1993 invoque la notion de 'compétence universelle'' à la justice belge en matière de crimes internationaux et de crimes contre l'humanité et cela quelle que soit la nationalité de la victime ou du criminel. La vaste étendue de cette compétence pose des problèmes diplomatiques à la Belgique (à l'image de la plainte contre George Bush), si bien que la Chambre des représentants abroge cette loi le 1er août 2003.

« L'ONU forte de l'expérience de Nuremberg instaure des tribunaux pénaux internationaux temporaires (TPI). Au total, quatre TPI ont vu le jour: Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie le Ruanda, la Sierra Leone, le Liban». Mais toujours pas pour l'Irak, la Libye, la Syrie ou le Yémen qui attendent justice. Est-il possible de juger certains dictateurs en se fondant sur la compétence universelle?». Il n'y a que les faibles qui doivent être jugés. Un Américain ne peut être jugé que par un tribunal américain c'est-à-dire qu'ils récusent le TPI qu'ils infligent aux autres.

Même la plainte contre Fabius (Al Nosra fait du bon boulot en Syrie) a été classée comme irrecevable, le Tribunal de Paris pour qui «Un Fonctionnaire de l'Etat n'est pas redevable personnellement car il n'applique que la politique tracée par le pouvoir». Qui peut déposer une plainte contre les Etats pour leurs crimes ?

Faut-il faire comme pour la Shoah rendre les crimes contre l'humanité imprescriptibles comme ce fut le cas en Algérie avec son cortège funèbre de génocides perpétuels pendant 132 ans? Quand Omar el Bachir a été jugé pour l’affaire du Darfour, ce fut l’hallali pour le déclarer persona non grata à travers le monde ce que les médias main stream appellent la « communauté internationale ». Après avoir dépecé le Soudan en l’amputant de 1 million de km2, ils ont intronisé un nouveau tyran au Soudan Sud, qui ne veut pas partager le pouvoir, Résultat des courses : en à peine 48 heures cette semaine près de 300 morts sous l’œil indifférent des Nations Unis et du Conseil dit de sécurité. Pourquoi on laisse faire ?

De même la condamnation de Laurent Gbagbo est illégale car ce dernier a été renversé par un coup d’état . Il est seulement coupable de refuser l’ordre imposé par Paris. Il n’y a donc rien de nouveau sous le soleil Rien de nouveau sous le soleil, la justice est toujours dictée par les vainqueurs, et dans ce cas là il est oiseux voire naïf de parler de morale, de dignité humaine A quand un tribunal pour rendre la justice aux damnés de la Terre?

1.Thomas Cantaloube https://www.mediapart.fr/journal/international/060716/un-rapport-accablant-souligne-les-erreurs-de-tony-blair-sur-la-guerre-d-irak

2. http://www.lemonde.fr/international/article/2016/07/07/la-presse-britannique-fustige-tony-blair-apres-la-publication-du-rapport-chilcot-sur-la-guerre-en-irak_4965814_3210. html#xtor=AL-32280515

3. http://reseauinternational.net/execution-de-kadhafi-une-petition-pour-traduire-sarkozy-devant-un-tribunal-international/

4. http://www.lepoint.fr/editos-du-point/ franz-olivier-giesbert/ayons-le-courage-de-le-dire-26-06-2014-1840804_70.php

5.Armin Arefi http://www.lepoint.fr/ monde/attaque-chimique-en-syrie-le-rapport-qui-derange-page-5-19-02-2014-1793755_ 24.php#xtatc=INT-500

6. http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/05/06/les-rebelles-syriens-ont-utilise-du-gaz-sarin-selon-carla-del-ponte_3171289_ 3218.html#KFoOiRKFg1mKCQsz.99

7. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/932288-syrie-hollande-veut-punir-assad-l-inquietant-retour-de-la-morale-en-politique.html

8.Vincent Jauvert http://tempsreel.nouvelobs. com/monde/guerre-en-syrie/20130927. OBS8824/exclusif-comment-hollande-avait-prevu-de-frapper-la-syrie.html

Article de référence : http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/245298-l-impunite-encore-et-toujours-pour-les-puissants.html

Professeur Chems Eddine Chitour

Ecole Polytechnique enp-edu.dz

Publié le 14 juillet 2016 avec l'aimable autorisation de l'auteur

 

 

   

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Source: Chems Eddine Chitour
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