Opinion
Présidentielles
2012 :
François Hollande s'engage à combattre
l'antisionisme !
Yahia
Gouasmi
Richard
Prasquier, président du CRIF et François
Hollande,
candidat PS à l'élection présidentielle
Vendredi 3
février 2012
Les ambitions s’aiguisent en vue de
l’élection présidentielle de 2012.
Bien-sûr, le Parti Socialiste (que
beaucoup appellent « Parti Sioniste »)
se voit déjà à l’Élysée, utilisant le
mécontentement justifié des salariés
pour mieux les tromper et les trahir
ensuite… En témoigne le défilé des
politiques de droite comme de gauche sur
le site de Lejaby à Yssingeaux
(Haute-Loire), vendredi 27 janvier.
Quant au candidat socialiste à
l’élection présidentielle, François
Hollande, il ne s’est pas fait attendre
pour répondre au CRIF (Conseil
Représentatif des Institutions Sionistes
de France), qui au lendemain des
primaires socialistes déclarait attendre
de lui une « compréhension
empathique vis-à-vis de l'Etat d'Israël
» : « Le CRIF, qui connaît de longue
date le profond attachement de François
Hollande au respect des individus dans
leur diversité, espère qu'il fera valoir
au cours de sa campagne présidentielle
les sentiments d'amitié pour la
communauté juive de France et de
compréhension empathique vis-à-vis de
l'Etat d'Israël qu'il a toujours
manifestés jusqu'à maintenant ».
Et bien, c’est chose faite. La
campagne officielle n’a pas encore
commencé que François Hollande a déjà
prêté allégeance à l’entité sioniste et
à son lobby en France. En effet le 25
janvier 2012, une forte délégation du
CRIF conduite par son président Richard
Prasquier a été reçue au QG de campagne
du candidat socialiste à l’élection
présidentielle, avenue de Ségur dans le
7ème arrondissement de Paris. Selon le
communiqué du CRIF daté du 30 janvier, «
François Hollande a souligné que si
Israël est l’objet de tant de critiques
c’est qu’il constitue une grande
démocratie » ! Et pour rassurer
Richard Prasquier, M. Hollande a
promis d’être ferme « contre les
actes antisémites et antisionistes
». Il compte mener des actions
énergiques dans les domaines de
l’éducation, de la pédagogie et de
l’information : « Je ne laisserai
rien passer », a-t-il déclaré.
C’est une insulte de plus à la
souffrance palestinienne que de décrire
l’entité sioniste (système d’apartheid
et de domination) comme « une grande
démocratie ». Cela montre bien de
quel côté se trouve, comme toujours, le
PS français : aux côtés du sionisme. De
plus, la volonté de M. Hollande de
combattre l’antisionisme, en faisant
délibérément l’amalgame entre
antisémitisme et antisionisme, démontre
une fois de plus la totale soumission du
socialisme au lobby sioniste. Cette
allégeance du candidat socialiste à
l’entité sioniste et à son lobby en
France serait incomplète sans sa
rencontre, mardi 31 janvier, avec le
représentant de l’entité sioniste en
France : Bernard-Henri Lévy.
Aujourd’hui, voter socialiste
c’est voter pour Tel Aviv, pour le
sionisme, pour son colonialisme et ses
crimes de guerre. Et quand François
Hollande déclare « Si Israël est
l’objet de tant de critiques, c’est
qu’il constitue une grande démocratie
», nous lui rappelons que non loin de
chez nous, l’Allemagne nazie était
également une grande démocratie…
Le Parti Anti Sioniste
continuera à dénoncer le PS (Parti
Sioniste), en particulier quand celui-ci
essaie, auprès des couches sociales les
plus touchées par la politique de
Sarkozy, de dissimuler son alignement
sur Tel Aviv derrière un programme «
social » qui ne fait guère d’illusions.
Nous appelons tous les hommes libres à
prendre acte de telles déclarations, et
à ne voter ni pour le candidat PS ni
pour le candidat UMP, les deux faces
d’une même pièce. A ceux qui ne
comprennent pas notre message, nous
disons que 2012 sera là pour leur
rappeler la triste réalité !
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