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Parti antisioniste
L'écrivain français
Céline censuré par le lobby sioniste !
Parti Anti Sioniste
Mardi 25 janvier 2011
Serge Klarsfeld, le
célèbre « chasseur de nazis » (dont le plus jeune a aujourd’hui
plus de 90 ans), a exigé – et bien entendu obtenu – que le
célèbre écrivain français Louis Ferdinand Céline (décédé en
1961) soit rayé de la liste des célébrations nationales en 2011.
Cette liste, établie par le ministère de la Culture, contient
les noms de célébrités dont on souhaite se rappeler à l’occasion
du 50ème anniversaire de leur disparition.
Médecin de profession, Louis Ferdinand Céline est devenu dans
les années 30 un grand écrivain immédiatement reconnu. Auteur
français le plus traduit et diffusé dans le monde après Marcel
Proust, il a écrit, avant guerre, des pamphlets dits «
antisémites ». Son attitude pendant la seconde guerre mondiale
et son départ en Allemagne en 1944 lui ont valu des poursuites,
ainsi qu'une condamnation bénigne vers 1950. Par la suite,
notamment après sa mort, il n’a cessé d’être étudié et apprécié
par les plus grands universitaires du monde spécialisés en
littérature française. Bref, il s’agit d’une personnalité
littéraire incontestée, dont les prises de position politiques
prêtent à discussion, ce qui est tout à fait normal en
démocratie.
Ce qui est beaucoup moins normal en revanche, c’est qu’il soit
rayé d’une liste officielle déjà établie par le gouvernement
français, et ce à la demande d’un lobby qui prétend représenter
une communauté. C’est en effet à la demande du lobby sioniste
que toute cette affaire a éclaté. L'intervention de ce lobby
fait suite à l’interdiction – à sa demande – d’un colloque à
l’École Normale Supérieure de Paris, auquel devait participer M.
Stéphane Hessel, ancien résistant et ancien déporté, militant
contre les crimes sionistes d'Israël en Palestine (voir notre
article «
Le CRIF fait annuler un colloque de soutien à Stéphane Hessel !
». Cette intervention fait également suite à l'interdiction, par
la mairie de Marseille, d’une réunion à laquelle devait
participer Madame Leïla Shahid, déléguée de l’Autorité
palestinienne auprès de l’Union européenne (voir notre article
« A
qui appartient Marseille ? Aux Marseillais ou au lobby
sioniste ? »). Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin,
avait alors motivé sa décision par la crainte de « troubles
» et pour des « raisons de sécurité »… Bref, la mairie
de Marseille avait en réalité dû céder, elle aussi, à la
pression du lobby sioniste et de ses milices, le Bétar et LDJ (Ligue
de « Défense » Sioniste).
Il s’agit donc d’une offensive en règle, bien organisée,
destinée à faire taire dans le monde de la culture et de la
pensée, tous ceux qui, à des degrés divers, ne se soumettent pas
– ou pas assez – à l’entité sioniste en Palestine et à son lobby
en France. Il s’agit pour le CRIF (Conseil Représentatif
d'Israël en France) et ses satellites de montrer que le
temps des débats est passé, et que celui de la censure (la
vraie, celle qui ne se cache pas derrière des pressions
discrètes) est arrivé. Le lobby sioniste en France fait ainsi
clairement savoir qu’il régente la vie culturelle française !
C’est donc lui qui doit décider des réunions autorisées ou pas,
et du calendrier des célébrations nationales. Bien entendu, dans
le cas de L.F. Céline, le ministre de la Culture a obtempéré,
puis s’est répandu en excuses auprès de Serge Klarsfeld et de
ses amis du CRIF. Il n’est pas inutile de savoir que ledit
ministre n’est autre que Frédéric Mitterrand. Nous connaissions
déjà ses goûts touristiques lors de ses voyages en Thaïlande. La
révolte du peuple tunisien et la fuite de son ami Ben Ali nous
ont également permis d’apprendre que le dictateur tunisien lui
avait accordé la nationalité tunisienne. Pourquoi, et pour quels
services rendus ? Mystère... Mais une chose est claire,
c'est le même ministre qui hier encensait le dictateur Ben Ali,
et qui aujourd'hui obéit aux ordres du lobby sioniste en France.
La boucle est bouclée !
Revenons à la reprise en main du monde culturel français par le
lobby sioniste. Il y a longtemps que le sionisme exerce son
contrôle sur les médias et sur l’édition. Mais ces derniers
temps, sous la pression des faits, de plus en plus de voix
indépendantes se sont faites entendre. Il est vrai qu’il est
difficile de parler à tout bout de champs de « droits de
l’homme », sans voir les dix mille détenus politiques
palestiniens en Israël, les massacres de populations civiles à
Gaza, les menaces de frappes sur le Liban ou sur l’Iran (parce
que leur régime déplaît à Tel Aviv)… Et malgré la prudence de
nos intellectuels quand il s’agit d’Israël et du lobby sioniste
en France, il arrive toujours un moment où certains abandonnent
leur peur et se décident enfin à dénoncer les crimes sionistes,
en attendant d’en dénoncer l’idéologie qui les sous-tend. C’est
justement pour endiguer ce mouvement d’opinion (lent, hésitant,
mais en marche), que la police sioniste de la pensée a décidé de
frapper au coup par coup. Il s’agit d’intimider, avec le soutien
du pouvoir, tous ceux qui seraient tentés de rejoindre une
critique de fond du sionisme et de ses lobbies.
Mais en agissant ainsi, le lobby montre sa vraie nature. Israël
doit rester au-dessus de toute critique, sinon les interdictions
et les procès suivront, sans parler d’autres sanctions – plus
discrètes mais plus insidieuses – touchant au déroulement de
carrière. Beaucoup d’intellectuels ont déjà commencé à réagir.
Il faut que ce mouvement s’amplifie, et que la résistance aux
diktats du CRIF et de ses amis s’organise. Le sionisme doit être
dénoncé pour ce qu’il est : une idéologie raciste et
colonialiste, qui prend en otage la communauté juive de France,
et s’est emparé des principaux leviers de l’État…
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