Rahm Emmanuel
Mercredi 6 octobre 2010
http://www.rebelnews.org/opinion/americas/...
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Même si nombreux sont ceux – malades, ce
qui est fort compréhensible, de voir de puissants intérêts juifs
creuser leurs tunnels de leurs dents voraces jusqu’aux plus
hautes instances du pouvoir tant en Amérique que dans le monde
entier – qui se réjouissent, n’en doutons pas un instant, de la
nouvelle du départ annoncé de Rahm Emmanuel (qui quitte son
poste de chef du personnel de la Maison Blanche), il y a sans
doute de fortes raisons de prendre en considération ce
développement de la dernière heure avec plus d’appréhension que
de soulagement.
Installé à son poste de chef de la Maison
Blanche de Barak Obama immédiatement après que celui-ci fut élu,
Emmanuel (qui est le fils d’un terroriste de l’Irgoun dont la
seule participation à nos forces armées fut entièrement
consacrée au service d’un pays étranger, Israël) est
effectivement devenu les yeux et les oreilles d’une puissance
étrangère hostile acharnée à détruire l’Amérique en l’impliquant
dans une série de guerres dévastatrices et économiquement
ruineuses. En tant que tel, son installation à un poste aussi
sensible représente l’opération la plus efficiente de
surveillance et de flicage d’un président américain en exercice
de toute l’histoire, Emmanuel jouant en quelque sorte le rôle
d’une éponge informationnelle suivant pas à pas le Président
américain à chaque instant de sa vie éveillée. L’on peut être
certain qu’avec lui à un tel poste, il n’y a pas eu un seul
bâillement, une seule quinte de toux ni un seul éclaircissement
de gorge présidentiels qui n’aient trouvé finalement leur chemin
jusqu’au QG du Mossad à la fin de chaque journée. La dernière
fois où Israël avait eu quelqu’un d’aussi « intimement »
impliqué que Rahm Emmanuel dans la surveillance des moindres
faits et gestes à l’intérieur du Bureau Ovale fut lorsqu’une
gente demoiselle juive nommée Monica Lewinski jouait le rôle
d’ « assistante personnelle » de William Jefferson Clinton…
Aussi le simple fait qu’Israël puisse être
enclin à passer par pertes et profit une source aussi
inestimable de renseignement de première main qu’Emmanuel ne
peut signifier autre chosde que le fait que de grandioses plans
sont sur le bureau et que, comme l’Amérique ne l’a que trop bien
appris en raison de son demi-siècle de relations
indiscutablement toxiques avec la Compagnie du Crime, aucun de
ces grandioses plans ne saurait être de bon augure.
Ce qui rend ce dernier développement
particulièrement inquiétant, c’est le fait qu’Emmanuel n’est pas
le seul VIP [Very Important Person] au sein des intérêts
sionistes organisés à partir ainsi. Peu après l’annonce
d’Emmanuel, le monde politique a été secoué d’entendre coup sur
coup – littéralement à moins de deux jours d’intervalle – que
deux collègues d’Emmanuel, à savoir David Axelrod (principal
conseiller politique d’Obama) et Larry Summers (premier
conseiller en matière économique) annoncer qu’ils quittaient eux
aussi l’exécutif. Le fait que ces annonces soient intervenues à
un tel rythme indique non seulement une coordination entre tous
les acteurs concernés, mais aussi la forme de coordination la
plus détestable qui soit, à savoir la collusion. Il faut aussi
ajouter que tant Axelrod que Summers, bien que se trouvant
assurément à des positions ne leur assurant certainement pas une
« vue d’aigle » aussi avantageuse pour Israël que celle
d’Emmanuel, étaient à des postes d’écoute importants vis-à-vis
des travaux internes de la Maison Blanche d’Obama et que,
partant, leur absence doit représenter, elle aussi, une grande
perte pour l’Etat juif en termes de renseignement humain.
A cela, il faut ajouter l’absence remarquée
d’Israël dans le discours prononcé par Obama à l’Assemblée
générale de l’Onu au cours de la troisième semaine de septembre
– un événement sans précédent en tant que tel – ainsi que le
message, envoyé à Obama, si fortement que même un sourd, dans un
concert de Led Zeppelin, aurait pu l’entendre se faire reprocher
que « Nous, peuple juif, nous vous tournons le dos, M. le
Président, et nous nous en allons ».
Sauf qu’étant donné le harcèlement qu’Obama
a dû endurer ces deux dernières années en ce qui concerne Israël
et ses partisans de tous poils en matière de colonies et de ses
cris de guerre incessants contre l’Iran, il n’est pas douteux
que le Président américain accueillerait avec satisfaction un
tel développement promettant la grande paix intérieure qu’un tel
abandon représente, ou plus exactement aurait représenté s’il
s’était agi d’un événement de one-man-show dénué de
répercussions.
Toutefois, comme tous ceux qui ont étudié
cette question ne le savent que trop bien, dès lors qu’il est
question d’Israël, des intérêts juifs et de la politique du
pouvoir, les « non-répercussions » sont inconnues au bataillon.
S’agissant d’un peuple dont le leitmotiv est « n’oublie jamais »
et qui insiste toujours pour avoir le dernier mot dans n’importe
quel discussion, nous pouvons supposer que cette « rebuffade »
et ce « traitement silencieux » en train d’être dirigé
directement vers la présidence Obama valent déclaration de
guerre. Enoncée dans un dialecte particulier du gangstérien
visant à éviter la clarté là où la clarté représente une gêne,
ce à quoi visent les parties intéressées dans cet exode, c’est
cette forme de subtilité qui en dit des tonnes instantanément,
comme une tête de cheval placée sous les couvertures du lit ou
un poisson mort emballé dans un gilet pare-balles.
Au mieux, cet « exode » à partir de la
Maison Blanche d’Obama indique que les mêmes intérêts juifs qui
voient en Obama « leur homme » sont en train de planifier
d’ouvrir les portes du placard laissées jusqu’ici
stratégiquement closes et d’ouvrir les vannes du flot bien
préparé de squelettes embarrassants (voire potentiellement
accusateurs) devant les yeux du monde entier, quelques semaines
seulement avant les élections de mi-mandat au
Congrès. De la même manière que Bill Clinton avait dû
faire face à un tsunami de bruit médiatique embarrassant au
sujet de sa gaudriole avec l’agent israélienne déjà citée Monica
Lewinsky (un bruit médiatique conçu afin de le contraindre à
céder aux exigences israéliennes), Obama risque lui aussi
d’avoir à faire face à ses propres problèmes dès lors qu’Israël
lui mettrait la pression afin de tenter de l’amener à dire
« OK » au sujet d’une guerre contre l’Iran.
Au pire, toutefois, et nous ne saurions
écarter cette hypothèse ne serait-ce qu’une minute, étant donné
la propension d’Israël à la violence sous toutes ses formes –
réelles ou théoriques – ce que tout cela pourrait indiquer
serait le fait que les mêmes intérêts juifs qui ont été
responsables depuis un demi-siècle d’une myriade d’attentats
attribués à d’autres, d’assassinats et d’actes de terrorisme
contre les Etats-Unis pourraient être en train de planifier
quelque chose d’encore plus dramatique. En tête de liste
figurerait la démolition contrôlée de l’économie américaine en
des temps où le pays des hommes libres et la patrie des hommes
courageux respire à-peine et se trouve sous perfusion financière
à la suite de l’effondrement financier de septembre 2008, une
démolition dont les hommes bien placés dans le District of
Columbia et à New York connaissent les détails, mais dont ils ne
parlent jamais. Pire encore, toutefois, pourrait être le fait
qu’un nouvel attentat terroriste contre l’Amérique, voire un
assassinat présidentiel, risque d’être déjà dans les tuyaux.
Les observateurs quelque peu curieux de ce
film de gangsters contemporain mettant en scène Israël se
souviendront que dans les derniers jours de la présidence de
Bush, celui-ci avait été reçu très froidement lors d’une visite
en Israël par des rabbins étroitement liés à des éléments
ultraviolents de la droite israélienne, qui lui avaient soumis
une liste d’exigences. Ces dix commandements d’un genre nouveau
baptisés du nom hébreu de « Megillat Bush » avaient été rédigés
sur un parchemin spécial conçu de manière à le faire apparaître
écrit personnellement par quelque prophète tout feu et cendres
tout droit sorti de l’Ancien Testament. Aussi typique du ton
exigeant, menaçant, obséquieux et condescendant universellement
connu pour être aussi intrinsèque à l’Etat juif que les pâtes et
la sauce tomate le sont à la cuisine italienne, ce décret
commençait ainsi : « A George Bush… venu à Jérusalem, capitale
éternelle de notre pays, joie de la Terre entière…
(…)
Si vous désirez sincèrement la paix et si vous souhaitez être
compté au nombre des authentiques Justes, nous vous exhortons à
déclarer au monde entier ce qui suit :
« Moi, George Bush, je déclare que la Terre
d’Israël a été promise à la nation d’Israël par le Créateur du
monde, c’est Lui qui a donné cette terre à Son peuple, Israël,
le peuple éternel. C’est pourquoi j’appelle toutes les nations à
se sauver d’une perdition certaine et à reconnaître que cette
terre est l’héritage légitime exclusif du peuple d’Israël.
Quiconque nie cette vérité met en danger toute vie sur
terre ». »
Cette proclamation, qui n’est pas sans
évoquer d’identiques menaces de damnation et de destruction
proférées par Moïse mettant la pression sur Pharaon il y a de
cela pas mal d’années, continuait ainsi :
« Sinon, ce qu’à Dieu ne plaise, vous
pouvez choisir la deuxième possibilité… c’est-à-dire contribuer
de votre plein gré à votre destruction… Vous savez certainement
ce que le Dieu d’Israël fit à l’Egypte et à tous les ennemis
d’Israël, depuis des temps immémoriaux. Pensez-vous que vous
pourrez échapperez à des guerres en cours en Iran, au Pakistan,
en Arabie saoudite, en Syrie, en Egypte et au Liban simplement
en sacrifiant les juifs qui sont quotidiennement massacrés par
leurs ennemis ? Rappelez-vous notre aïeul Abraham, qui
poursuivit les quatre plus grands souverains du monde afin de
sauver son neveu de l’esclavage. Nous ne pouvons oublier les
hauts-faits de nos patriarches, dont l’exemple nous guide
génération après génération…
... Il faut que vous compreniez bien ceci :
Dieu a stipulé que le rôle de toutes les nations du monde
consiste à renforcer la nation d’Israël. Par conséquent, il vous
incombe de déclarer : « Moi, George Bush, commandant en chef des
armées des Etats-Unis d’Amérique, je donne l’ordre à toutes mes
armées de protéger les droits divins de la nation d’Israël, et
d’en écarter toute menace ». Vous avez le choix : soit vous
méritez la vie éternelle, soit vous êtes marqué pour la disgrâce
éternelle. Votre destin et celui de tous ceux qui sont avec vous
est lié au destin de notre terre… »
Quelques mois seulement après que cette
liste d’exigences eut été remise à Bush, à la mi-septembre 2008,
en seulement deux heures quelque 550 milliards de dollars
s’évaporaient des marchés monétaires américains. D’après une
déposition faite par le Secrétaire de la Réserve Fédérale Ben
Bernanke et le secrétaire du Trésor d’alors Paulson devant le
Congrès, n’eussent les Etats-Unis pris l’initiative de fermer
les marchés monétaires, ils auraient été totalement ruinés à
deux heures de l’après-midi du même jour.
Qu’il se soit agi d’une attaque financière
coordonnée contre l’économie américaine (dont le résultat
planifié était vraisemblablement d’en rejeter entièrement la
responsabilité sur les terroristes islamiques – l’Iran, à n’en
pas douter – afin de ‘justifier’ des agressions militaires
contre ces pays) ne relève en rien d’une quelconque théorie du
complot échevelée et spéculative. Une répétition de cet
événement reste une possibilité logistique, étant donné la
prédominance de l’influence sioniste au sein du secteur
économique américain, n’est en rien une pure hypothèse
théorique. Toutefois, dans la traînée de scandales financiers
impliquant des gens tels que Bernie Madoff, Lloyd Blankfein et
les autres membres du gang, à laquelle s’ajoutent les nombreux
sondages d’opinion montrant que le spectre ancestral associant
les juifs à la rapacité et à l’argent émerge puis plonge
alternativement à l’instar d’un cadavre dont on se serait
débarrassé en hâte en le balançant dans les eaux de la pensée
américaine. Ce que cela indique, c’est que les intérêts
sionistes n’ont peut-être pas besoin, en réalité, d’ « y
aller ».
Il est par conséquent plus plausible que
les mêmes intérêts juifs salivant sur une nouvelle guerre au
Moyen-Orient impliquant l’Iran risquent de recourir à des
mesures plus désespérées en obtenant que la grosse boule de la
roulette continue à tourner, quelque chose plus dans la ligne de
ce qui était arrivé, à Dallas, en 1963, au président américain
d’alors, JF Kennedy.
Qu’il y ait eu des ruminations allant dans
ce sens est hors de doute. Des informations consensuelles
émanant d’Israël, des Etats-Unis et d’Europe véhiculent le
relent non équivoque de menaces contre la vie du Président en
raison de sa prise de position vis-à-vis de la question des
colonies israéliennes et de sa réticence à élargir l’implication
américaine dans une guerre d’ores et déjà désastreuse dans la
région [du Moyen-Orient]. En Israël, des protestations
puissantes et coléreuses, parfois devant la résidence de
Netanyahu, ont lieu, des foules brûlant des effigies d’Obama,
qu’elles qualifient de « Pharaon noir ». D’autres récits, citant
des ministres israéliens de haut rang, font référence à Obama en
tant que « descendant d’esclaves » qui ne sait pas se tenir à sa
place et mérite une bonne correction. Il ne se passe guère de
semaine où Netanyahu ne prédise un futur apocalyptique au cas où
l’Amérique ne s’affairerait pas incontinent à envoyer des GIs
sur le terrain.
La question qui est posée est de savoir si
Israël irait jusqu’à assassiner un président américain à seule
fin de gagner certains avantages politiques ? D’après l’ex-agent
du Mossad Victor Ostrovsky, la réponse à une telle question est
connue d’avance, car, comme il l’explique dans son ouvrage « The
Other Side of Deception » (L’autre face de la tromperie), Israël
avait planifié d’assassiner le Président George H.W. Bush lors
de la conférence de paix de Madrid, en octobre 1991, afin de
pouvoir faire retomber la responsabilité de son assassinat sur
des « extrémistes arabes ».
« Dès lors que le Mossad avait en main
toutes les dispositions en matière de sécurité, amener les
assassins aussi près qu’ils le désiraient du Président Bush,
puis mettre en scène l’assassinat de ce dernier aurait été pour
lui du gâteau » ; les Israéliens auraient engrangé une victoire
de plus, voilà tout. Grâce à la complicité des assassins, il
aurait été difficile de découvrir où la « faille sécuritaire »
aurait bien pu se trouver, d’autant que plusieurs pays impliqués
dans cette conférence, comme (au hasard…) la Syrie, étaient
considérés comme des pays apportant leur assistance aux
terroristes ».
D’autres indices de la manière dont une
telle opération aurait pu être ourdie sont donnés pour partie
dans un article paru dans le New York Times sous le titre « President
Apostate », sous la plume de l’ultra-sioniste patenté Edward
Lutwak, dont voici un extrait :
« En tant que fils de son père musulman, le
Sénateur Obama est né musulman d’après la loi musulmane telle
qu’on la comprend dans le monde entier. Le fait que, comme le
Sénateur Obama a pu l’écrire, son père ait dit qu’il avait
renoncé à sa religion, n’y change rien. De la même manière,
selon la loi musulmane fondée sur le Coran, l’éducation
chrétienne de sa mère n’a aucune importance. Bien entendu, comme
la plupart des Américains le pensent, le Sénateur Obama n’est
pas musulman ; il a choisi de devenir chrétien et il a, de fait,
écrit de manière convaincante une explication de la manière dont
il en est venu à faire ce choix et à quel point sa foi
chrétienne est importante pour lui. Sa conversion, toutefois,
était un crime, aux yeux des musulmans ; il s’agit d’un ’irtidâd
ou de riddah, un terme arabe signifiant « apostasie », mais avec
certaines connotations de rébellion et de trahison. De fait,
c’est le pire de tous les crimes qu’un musulman puisse
commettre ; l’apostasie est considérée pire qu’un crime.
A de rares exceptions près, les juristes de
toutes les écoles musulmanes tant sunnites que chiites
prescrivent l’exécution de tous les adultes qui abandonnent la
foi (musulmane) sans y être contraints par la torture ; le
châtiment recommandé est la décapitation effectuée par un clerc
religieux. Etant donné qu’aucun gouvernement n’est prêt à
autoriser la persécution du Président Obama, une autre
prescription de la loi musulmane est sans doute plus
pertinente : elle interdit que soit châtié un musulman ayant tué
un apostat et elle prohibe, de fait, toute interférence avec
tout assassinat de cette nature. A tout le moins, cela
risquerait de compliquer les disposition sécuritaires lors de
visites d’Etat du Président Obama dans des pays musulmans, car
le simple fait pour les gardes de sécurité musulmans [d’assurer
la sécurité de cet apostat] pourrait être considéré comme
peccamineux ».
Autrement dit, l’idée qu’Israël est en
train de communiquer à El Presidente est celle-ci : s’il sort du
rang, il sera assassiné et son assassinat sera mis sur le dos
d’un « extrémiste musulman » en colère conter l’ « apostasie »
d’Obama.
Histoire de faire comprendre à Obama
qu’Israël parle sérieusement et qu’il n’est que trop capable de
franchir tous les barrages de sécurité et toutes les mesures
défensives mises sur pied afin d’assurer la protection de
l’homme le plus puissant du monde en amenant quelqu’un dans la
proximité immédiate tant de sa personne que des membres de sa
famille, le 24 novembre 2009, dans un événement qui fit les gros
titres des journaux et occupa la nation des semaines durant,
Tareq Salahi (présenté comme un Palestinien né en Israël) s’est
introduit dans un dîner officiel organisé à la Maison Blanche en
l’honneur du Premier ministre indien et s’est suffisamment
approché du Président pour pouvoir être pris en photo à son
côté, les photos étant affichées par la suite sur Facebook. A
cette fin, Salahi avait dû franchir deux checkpoints de sécurité
des services secrets, dont tous les deux auraient dû vérifier
que son nom figurait bien sur la liste des invités (ce que ni
l’un ni l’autre ne fit) et lui demander une photo d’identité. La
brèche sécuritaire était tellement grave qu’elle entraîna des
enquêtes criminelles tant du Congrès que du parquet, qui
impliquèrent tous les services fédéraux chargés d’assurer la
protection personnelle du Président.
Qu’il puisse ou non être démontré qu’il
s’agissait là d’une opération ourdie par Israël, le fait est que
les médias consensuels américains détenus et/ou gérés par les
juifs en tirèrent un profit maximal en faisant passer à Obama le
message selon lequel « personne n’est intouchable, M. le
Président ! » Les similarités impossibles à ne pas déceler entre
cet événement et l’assassinat de Robert F. Kennedy par le
Palestinien né en Israël Sirhan Sirhan, le 5 juin 1968 en
relation avec la situation politique au Moyen-Orient furent
aussi subtiles que cette tête de cheval dissimulée sous les
couvertures du lit, dans le film
Le Parrain.
Toute la dramaturgie de l’exode du pouvoir
juif de la Maison Blanche sous Obama rappelle point pour point
ces informations infâmantes parues immédiatement après les
attentats du 11 septembre (2001) où l’on apprenait que très peu
d’Israéliens figuraient parmi les morts ce jour-là. Dans le cas
du 11 septembre, le monde a découvert après coup que les
Israéliens avaient été avertis de se tenir à l’écart
via le centre du
système de messagerie instantanée Odigo sis en Israël, alors
que, dans le cas présent, le monde découvre la vérité avant la
date de l’événement planifié. Israël et ses partisans ne veulent
manifestement pas que leurs hommes de main soient « là-bas » au
moment où une quelconque bombe à retardement explosera.
S’il est une chose dont on puisse être sûr, c’est que
pour des individus de l’acabit des Emmanul, Axelrod et autre
Summers, quitter des postes aussi prestigieux et importants non
seulement pour eux, personnellement, mais aussi pour la
continuation du bien-être de leur
home sweet home Israël
est comparable à quelqu’un qui s’éloignerait d’un sac de fric
qu’il aurait trouvé par hasard, de six pieds de haut et six de
large, en renonçant, ce faisant, à tout le pouvoir, aux
privilèges et au prestige qu’une telle trouvaille laisse
présager. En sus de la perte personnelle, il faut prendre en
considération aussi le « poids de l’histoire ». En ce
moment-même, Israël a besoin d’autant d’yeux et d’oreilles que
possible à la Maison Blanche, car il en va de sa propre survie.
Avec des modèles bibliques tels que ceux de Joseph et d’Esther,
qui se rongèrent leur galerie jusqu’aux plus hautes places du
pouvoir à leur époque respective et dans leur pays respectif, le
fait que trois rats de taille XXL quittent le navire de l’Etat
américain en ce moment particulièrement critique de l’histoire
ne peut signifier qu’une seule chose, à savoir qu’à travers
certains moyens extraordinaires, ils savent qu’une torpille est
en train de foncer sur le navire et que celui-ci ne va pas
tarder à couler.