Des centaines de personnes meurent de
tuberculose !
Cela, parce que les crachats répandent
cette maladie.
Ne crachez pas ! Demandez aux autres de
ne plus cracher !
Association contre la tuberculose de la Virginie.
Avant-hier, le quotidien israélien de
droite Jerusalem Post
a
publié une information au sujet de la tendance (croissante)
qu’ont les juifs orthodoxes de Jérusalem à cracher sur leurs
voisins chrétiens (‘Mouths
Filled with Hatred’, By Larry Derfner The JPost, Nov. 26, 2009).
Le Père Samuel Aghoyan, un important clerc
de l’Eglise orthodoxe arménienne de la Vieille Ville de
Jérusalem a ainsi déclaré au
Jerusalem Post s’être
« fait cracher dessus par de jeunes Harédis (des juifs religieux
craignant Dieu) et par des juifs orthodoxes ‘environ quinze ou
vingt fois’ au cours des dix années écoulées ». Le Père Aghoyan
a ajouté : « Tous les prêtres de cette paroisse se sont fait
cracher dessus ; cela se produit tous les jours – et même la
nuit ! »
De la même manière, le Père Athanasius, un
moine franciscain d’origine texane qui dirige le Centre
d’Information Chrétien, dans la Vieille Ville de Jérusalem, a
indiqué s’être fait cracher dessus par des juifs orthodoxes
« environ à quinze reprises au cours des six derniers mois ».
Ces juifs glavioteurs ne sont certes pas
une information sensationnelle. J’ai moi-même étudié cette
question plus d’une fois. Le regretté professeur israélien
Israel Shahak avait
étudié la haine juive à l’encontre du christianisme et de
ses symboles, suggérant que « le fait de déshonorer les symboles
religieux chrétiens est un devoir religieux ancestral dans le
judaïsme ». D’après le professeur Shahak, « cracher sur des
croix, en particulier sur le Crucifix, et cracher parterre (pour
un juif venant à passer devant une église) sont des obligations
faites aux juifs pratiquant strictement leur religion depuis
environ le deuxième siècle de l’ère chrétienne.
De manière piquante, l’on sait que ces
crachats juifs ont eu un impact y compris sur l’espace
urbanistique européen, comme en réfère un « Guide de voyage en
Europe juive » [a Travel Guide for Jewish Europe] :
« Au milieu du Pont Charles, à Prague, nous
explique ce guide, le visiteur pourra observer un grand
crucifix, surmonté de grandes caractères hébraïques dorés à l’or
fin, qui sont les paroles de la sanctification traditionnelle
juive « Kadosh Kadosh
Kadosh Adonai Tzvaot » : « Saint, Saint, Saint est le
Seigneur des Armées ». D’après divers commentateurs, cette œuvre
d’art (stigmatisant les juifs) a été installée là parce
qu’autour de l’an 1609 un juif avait été accusé de profaner le
crucifix. La communauté juive de Prague fut alors contrainte de
cotiser afin d’ajouter audit crucifix cette inscription en
lettres d’or. Une autre explication, bien différente, celle-ci,
dit qu’un juif ayant craché sur la croix, ayant été condamné à
mort pour cette raison et ayant supplié le roi de lui accorder
la vie sauve, le roi, soucieux de maintenir ses bonnes relations
avec les juifs, aurait décrété que la communauté juive pragoise
devait faire un geste afin de laver l’offense… » (pour plus de
détails, cliquer ici :
Travel Guide for Jewish Europe, p. 497).
Le professeur Shahak affirme dans ses
ouvrages que par le passé, à l’époque où l’hostilité antisémite
était réelle, les juifs pieux se voyaient ordonner par leurs
rabbins soit de cracher de manière à ce que leur raison pour ce
faire reste inconnue, soit de cracher sur leur propre poitrine,
et non pas réellement sur une croix ou, de manière flagrante,
sur le sol, en passant devant une église ».
Mais les temps sont en train de changer.
Dans l’Etat juif, la plupart des inhibitions juives semblent
s’être dissipées. En Israël, les juifs peuvent cracher tout leur
saoul sur qui et sur ce qu’ils veulent. Comme nous l’avons vu,
dans l’Etat juif, ce ne sont pas seulement les symboles
chrétiens qui se font cracher dessus, ce sont carrément les
Goyim, de manière générale. Plus inquiétant, il ne s’agit même
plus simplement de salive cachère. Non : c’est désormais tout ce
qui peut leur tomber sous la main : salive, balles réelles,
bombes, missiles, armes de destruction massive, phosphore blanc.
Tu veux un truc ? Tu n’as qu’à demander : aussi sec, ils te le
crachent !
De fait, glavioter n’est pas le problème.
Le fait de cracher ainsi n’est qu’un symptôme de ce rejet
catégorique culturellement ancré de toute « altérité », qui
distingue Israël en sa qualité d’Etat criminel. C’est d’ailleurs
ce même rejet de l’altérité qui empêche les Israéliens et leurs
séides de par le vaste monde de comprendre le niveau du
ressentiment qui est en train de monter contre toute forme de
nationalisme juif.
La haine est une forme de cécité. La haine
juive, qui est une haine culturellement, religieusement et
spirituellement orientée, est, de surcroît, une forme de
surdité. Cela peut expliquer les conséquences tragiques dans
lesquelles les nationalistes juifs échouent irrémédiablement à
internaliser les critiques qui sont formulées à l’encontre de
leur politique et de leur culture. Cela peut expliquer la raison
pour laquelle les juifs sont incapables de comprendre quelle est
la cause première du soi-disant « antisémitisme ». Bien loin de
réfléchir et de se livrer à l’introspection, le juif
nationaliste ne cesse d’asséner que le problème se trouve dans
tous les cas ailleurs que là où sa cause réside en réalité.
Aussi curieux que cela paraisse, le
sionisme fut la seule tentative collective juive des temps
modernes d’amender sérieusement les anomalies culturelles
inhérentes à la culture juive. Le sionisme précoce a pris la
critique antijuive au sérieux : il s’est donné pour mission de
produire une personne juive civilisée et éthique. Le sionisme, à
l’évidence, a totalement échoué. Pourtant, jusqu’aux années
1980, certaines voix timides, au sein du « sionisme humaniste »,
des gens qui voulaient voir les juifs s’installer dans une
nation paisible vivant parmi d’autres, étaient encore audibles
en Palestine occupée. Cela peut aussi expliquer la raison pour
laquelle les voix les plus radicales et les plus efficaces à
dénoncer le sionisme et le nationalisme juif sont en réalité
celles de gens qui sont de purs produits de l’éducation sioniste
(Israel Shahak, Israel Shamir, Shlomo Sand, Avraham Burg, et
quelques autres).
A la fin des années 1970, un jeune
mouvement de dissidence emmené par un refuznik israélien, Gazi
Elgazi, protesta contre le service militaire dans les
territoires palestiniens occupés. « L’occupation corrompt ! »,
disait-il. Elgazi connut la prison à plusieurs reprises. Avec
ses partisans, il affirmait que le fait de contrôler un autre
peuple finirait par avoir un impact dévastateur sur l’Etat juif
et sur sa moralité. A l’évidence, c’était bien vu. Au fil des
années, Israël est devenu un collectif criminel complice de
génocide. Avec 94 % de sa population apportant leur soutien aux
exactions de l’armée israélienne à Gaza, il n’y a plus aucun
espace pour le doute : Israël n’a pas de place parmi les
nations. Mais, comme si cela ne suffisait pas, le niveau de la
criminalité à l’intérieur d’Israël tutoie les sommets. Le taux
de crimes homicides s’y accroît rapidement et il semble que
personne, dans ce pays, ne sait de quelle manière régler ce
problème. Les prédictions d’Elgazi s’avèrent prophétiques :
l’occupation s’est, en effet, retournée contre l’occupant.
De manière hautement significative, il n’a
pas fallu longtemps avant que la haine culturelle des juifs à
l’encontre des non-juifs (les goyim) et de leurs symboles se
retourne vers l’intérieur et mûrisse en une guerre juive
intestine, dans laquelle des juifs se crachent mutuellement
dessus. La tension à l’intérieur des communautés juives monte de
jour en jour, qu’il s’agisse de l’augmentation rapide de la
pauvreté ou de l’aggravation des inégalités sociales entre les
diverses communautés juives israéliennes. Apparemment, il existe
une tension croissante, non-solutionnée, entre les juifs laïcs
et les juifs orthodoxes en Israël. Aussi grande soit la haine
des juifs envers les goyim, rien ne saurait être comparé à la
manière dont ils se méprisent mutuellement entre eux.
La courageuse chaîne de télévision
britannique, Channel 4, qui avait dénoncé il y a une dizaine de
jours le lobby juif multiparti opérant au Royaume-Uni, vient de
repasser le plat. Son documentaire intitulé
The Battle for Israel’s Soul [La bataille pour l’âme
d’Israël] expose la lutte intestine entre communautés juives
d’Israël [1]. Tout comme dans le cas de l’occupation, qui a fini
par se retourner contre les Israéliens, la haine contre les
Goyim a fait des Israéliens un collectif vindicatif.
Et, comme de juste, il n’a pas fallu bien
longtemps avant que les Israéliens se mettent à… se cracher
dessus !
Regardez ce document :
De fait, mon message à l’intention des
Palestinien sera tout simple : donnez du temps aux Israéliens :
ils n’ont pas besoin d’ennemis ; avec le niveau de mépris pour
eux-mêmes qui est le leur, leur totale implosion n’est plus
qu’une simple question de temps…
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