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Opinion

Venezuela (Présidentielle) :
Encore raté, Chavez réélu avec... brio !
Allain Jules


Hugo Chavez

Lundi 8 octobre 2012

Viva el Comandante !

Ils ont prié. Ils ont espéré. Ils ont menacé. Ils ont menti. Ils ont diffamé. Ils ont trituré le trait à outrance. Ils ont truandé la vérité au profit de l’immoralité qui leur sied à merveille. Ils ont accusé. Ils l’ont traité de tous les noms d’oiseaux. Mais, Hugo Chavez a été réélu avec brio, force et conviction d’un peuple qui s’est levé comme un seul homme pour dire oui à son Comandante. Le président socialiste du Venezuela Hugo Chavez, avait voté dans une école, Manuel Fajardo Palacio, dans le quartier populaire situé dans l’ouest de Caracas, où il avait été accueilli par une foule en délire. C’était un signe.

A 10 heures du matin heure locale, selon des informations d’abord véhiculées par The Huffington Post, le président actuel Hugo Chavez était en tête du scrutin, avec 55,8% des voix contre 43% pour Henrique Capriles, le candidat de l’Occident, la soubrette de la finance internationale, et 1,2% pour le reste, les petits candidats. Les sondages téléphoniques donnaient une avance encore plus confortable à Hugo Chavez puisqu’il recevait 56,1% des suffrages (42,6% pour Capriles) lors de sondages aléatoires et 61% (38,2% pour Capriles) sur un sondage représentatif des catégories socio-professionnelles.

Basée sur le vote électronique, cette présidentielle que certains désignaient comme le grand défi d’Hugo Chavez, plutôt, avec le souhait de le voir perdre, en sont pour leur frais. La « révolution bolivarienne »se poursuit. La mort dans l’âme, voici ce que les mainstream disent ce matin:

Sur 90% des bulletins dépouillés le président socialiste remporte 54,42% des voix contre 44,97% pour Capriles, candidat d’une vaste coalition, la MUD (la Table de l’Unité Démocratique) allant des déçus du chavisme à la droite. Élu pour 6 ans de plus, il sera en 2019 depuis 20 ans à la tête du pays. Immédiatement des feux d’artifice explosent dans le centre de Caracas, les bruits des klaxons envahissent la ville.

Avec une participation élevée de près de 80,94 %, il est grand temps que ces gens se taisent. La popularité de Chavez qui ne s’est jamais démentie est effective. Washington pleure. Paris crie. Les autres n’arrivent pas à cacher leurs larmes. Qui a dit que Chavez était un dictateur ? Encore eux. Et comment se fait-il que dans une dictature il y ait une élection libre et sans fraude ? Henrique Capriles Radonsky a immédiatement reconnu sa défaite.

Taisez-vous maintenant !

Publié le 8 octobre 2012 avec l'aimable autorisation d'Allain Jules

 

 

   

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Source : Allain Jules
http://allainjules.com/...

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