La ville, trois fois sainte, est, peut-être, aujourd’hui la réalité la plus complexe au monde. Il y a la vieille ville, un dédale de rues d’où surgissent la basilique du Saint-Sépulcre, le Mur des Lamentations et l’esplanade des Mosquées (en arabe : الحرم الشريف al-Ḥaram aš-Šarīf). Les trois monothéismes trouvent leurs racines, dans cet espace minuscule. Et puis, il y a les autres Jérusalem. Il y a Jérusalem-Ouest (Qods-Ouest), construite, après 1948, (année de l’exode palestinien, commémorée comme la Nakba - arabe: النكبة‎, an-Nakbah, littéralement «désastre» ou «catastrophe»).
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C’est Martin Nesirky, le Porte-parole du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, qui l’a réaffirmé, mercredi. En réaction à la multiplication des cas de violation de l’espace aérien libanais, par le régime sioniste, M. Nesirky a noté que les Nations unies sont bien «conscientes des préoccupations soulevées par le gouvernement libanais, à cet égard», ajoutant qu’à ce propos, la FINUL a «fermement protesté, auprès des forces israéliennes, en leur demandant de cesser les survols».
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Plus d’un sait que les intérêts américains signifient les intérêts d’une poignée « d’élites ». Plus d’un sait aussi que ces « élites » sont en majorité ces cartels multinationaux, économiquement parlant. Et politiquement parlant, ce sont les lobbys sionistes. Plus d’un sait qu’"Israël" est une représentation parfaite de tous ces intérêts. Quiconque croit que les Américains peuvent venir en Palestine pour y installer la démocratie, non pour servir leurs intérêts, en conséquence, ceux d’"Israël", n’a qu’à regarder l’exemple irakien. L’Iraq à l’époque de la démocratie américaine.
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Selon des témoins oculaires , plus de 15 mécanismes militaires et véhicules de colons ont pris d’assaut la région d’Ein Sara et la rue de Ras al-Jura, au nord de la ville d’Al-khalil ; où les colons ont mené des actions provocatrices, ainsi qu’ils ont tiré, accompagnés de soldats, des balles vers les maisons et les jeunes de la région, ce qui a conduit au déclenchement d’affrontements, où les citoyens ont répondu en jetant les pierres et les bouteilles vides.
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Selon les informations envoyées par le "Shen Bet" aux médias israéliens, il a pu en coopération avec l'armée israélienne d'arrêter les membres de cette cellule, au cours du mois janvier et marcs 2013, en accusant deux d'entre eux devant le tribunal militaire.
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Des manifestants, à Khan Younes, dans le Sud de la bande de Gaza, se sont rassemblés, à l'appel du Front populaire pour la libération de la Palestine, pour manifester leur soutien à la Syrie. Les manifestants brandissaient les portraits de Hassan Nasrallah et des banderoles, qui dénonçaient le soutien de la Ligue arabe au régime sioniste.
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Le président syrien Bachar al-Assad a décidé combattre les Israéliens en faisant appel au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), qui est sponsorisé par Damas et lui est subordonné.
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Cette localité constituait un véritable noeud stratégique, par où de grosses quantités d'armes s'acheminaient vers Alep, en provenance de la Turquie. Tal al-Assafir est importante, d'autant plus qu'elle se trouve sur la route menant à l'aéroport d'Alep.
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Le Qatar vient d'être expulsé du dossier syrien, selon le journal "Al-Arab", qui cite le secrétaire général de la Coalition des opposants syriens, Mustapha Sabagh. Ce sont les Qataris, eux mêmes, qui l'ont signalé à Dabagh et ont justifié cette expulsion humiliante, en ces termes : "Nous sommes pris en tenaille, de la part des Américains et de leurs alliés, pour renoncer à notre rôle, dans le dossier syrien, et nous en sommes démis" ! Toujours, selon le journal, "une délégation composée de dirigeants des rebelles est, récemment, partie, à bord d'un avion de ligne saoudien, à Riyad, où elle a rencontré le chef des services du renseignement saoudien, Bandar Sultan, et le ministre des A.E Saoud al-Fayçal".
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