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Rapport

Les occupants sionistes tuent
le captif Ayad Al-Haribat à petit feu

CPI


Photo: CPI

Vendredi 31 janvier 2014

Al-Khalil – CPI

Tout le monde sait maintenant que les occupants sionistes font tout pour liquider la cause des captifs dans le cœur des Palestiniens. Et ils n’épargnent rien pour les liquider physiquement. Les maladies dévorent le corps de beaucoup d’entre eux ; pourtant, ils étaient en bonne santé au moment de leur arrestation.

Plusieurs captifs sont tellement malades qu’ils observent la mort s’approcher d’eux d’un pas rapide. Ayad Al-Héribat, 32 ans, du village de Sikka, au sud de la ville d’Al-Khalil, en est un exemple probant. Depuis quelques mois, il souffre d’une maladie étrange et d’une négligence médicale criminelle.

Fatigue et maigreur

Ayad Al-Héribat, détenu dans les prisons israéliennes, condamné à la perpétuité, souffre de plusieurs symptômes qui ont commencé à dévorer son corps suite à une injection d’un certain produit dans la tête.

Actuellement, il ne peut pas marcher et parle à peine, dit son frère au correspondant de notre Centre Palestinien d’Information (CPI), qui vient de lui rendre visite. Ce sont ses voisins de cellule qui le soutiennent pour ses déplacements.

Le corps de notre captif s’ébranle comme une feuille dans le vent d’hiver, perpétuellement. Il pesait, avant sa maladie, une centaine de kilogrammes, une masse qui allait très bien avec ses deux mètres de hauteur ; il ne pèse maintenant que la moitié. Il est si malade qu’il perd de temps à autre la mémoire, à tel point qu’il n’a pas reconnu sa mère durant sa dernière visite.

L’histoire a débuté le jour où il s’était plaint d’un petit état de fatigue. Les occupants sionistes ont saisi l’occasion pour lui injecter un liquide dans la tête, dans le but de le liquider, croient ses proches.

Son frère souligne qu’il est enfermé dans une cellule individuelle avec onze comprimés qu’il doit avaler chaque jour. Et chaque jour, il a le droit à une injection de certains médicaments qui ne font qu’empirer son cas. De plus, ses frères ne peuvent lui rendre visite qu’une fois par an.

Sa famille a installé une tente pour un sit-in de solidarité afin de dire au monde que son fils est en train de mourir à petit feu et qu’elle ne veut pas le perdre de sitôt.

Les cris d’une mère en détresse

Sa mère, à trois reprises, a eu de mauvaises nouvelles venant de son fils chéri, l’aîné Ayad. La première fois, le jour de son arrestation. La deuxième, le jour de sa condamnation à perpétuité. Et le jour où elle a pris connaissance de sa maladie.

Le fils meurt d’une maladie grave, et la mère meurt d’inquiétude. Il l’a informé que les occupants sionistes sont en train de le liquider et qu’il ne vivrait pas plus que quelques mois. « Je ne veux pas qu’il meure loin de moi, je veux l’embrasser libre à l’extérieur de la prison », dit la mère en larmes aux yeux, l’espoir au cœur.

Elle a l’espoir de voir son fils retourner à la maison comme avant, avec la santé de fer qu’il avait, avec l’esprit d’étudiant permanent. Son fils a fait deux années d’études d’ingénieur avant son arrestation. Dans la prison, il a appris l’anglais, l’hébreu, le russe, les sciences politiques, les relations internationales. Un tel Palestinien n’est sûrement pas au goût des occupants sionistes.

La mère lance des appels de détresse à qui veut l’entendre pour faire quelque chose pour qu’elle le voit libre, sans chaînes, sans murs, sans barbelés, afin de pouvoir l’embrasser, avant qu’il ne soit trop tard.

Les cris de cette mère affligée se mêlent à ceux de tous les captifs palestiniens enfermés dans les prisons sionistes, surtout les malades d’entre eux.  Mais les cris recevront-ils les échos qu’ils méritent ?

 

 

   

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Source : CPI
http://www.palestine-info.cc/...

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