Accueil Luc Michel Dossiers Auteurs Communiqués Agenda Invitation à lire Liens Ressources
Dernières mises à jour Les rapports du CPI Le Hamas Les vidéos BDS Ziad Medoukh Centre de la Paix Gaza Université al-Aqsa Gaza Qui? Pourquoi?

Google
sur le web sur Palestine Solidarité

 

 
Centre Palestinien
d'Information



 
Invitation à lire





BDS



Solidarité



Produits palestiniens



Eurasie-Afrique


 
En direct d'Iran



Agence syrienne



Agence Russe


 
Radio Chine

Internationale
 
Palestine Solidarité
sur Facebook



 


   


Rapport

La solidarité des captifs du Hamas
au moment de la rupture du jeûne !

CPI


Photo : CPI

Dimanche 25 juin 2017

Naplouse – CPI

Les souffrances des captifs palestiniens, internés dans les prisons de l’occupation sioniste, sont multiples. Les captifs palestiniens essaient cependant par tous les moyens de s’adapter à toutes les conditions, de dépasser leurs souffrances, de garder un moral d’acier, collectivement, surtout dans le mois sacré de Ramadan.p>

L’ex-captif Ahmed Bitawi raconte comment les captifs du mouvement du Hamas essaient de contrarier les bourreaux de l’occupation sioniste et leurs agissements dans la prison d’Ofer.

« Nous entrions dans les cellules à six heures. Certains récitaient le saint Coran, d’autres écoutaient la radio ou regardaient la télévision, d’autres préparaient le repas, d’autres le dessert », dit-il. 

Les membres du Hamas s’occuperaient de la cuisine. Un captif prépare à manger, goûte la casserole et dose le sel et l’épice. Un autre prépare la salade, un autre l’eau froide, un autre les dattes ou la soupe, explique-t-il.

Une bonne cuisine

Certains d’entre eux sont de vrais chefs cuisiniers, dit-il. Ils préparent tout avec perfection, toutes sortes de plats. 

Tous les prisonniers faisaient tout pour être dans leurs cellules. Le grand cheikh Hassen Youssef a fait partie de ces chefs. Il préparait les meilleurs des plats, tout seul, et il refusait toute aide. Il choyait les fidèles de toutes ses forces, allant jusqu’à mettre la nourriture dans leurs bouches, en rigolant.

Loin de la famille

Al-Bitawi ajoute que pendant le mois béni de Ramadan, les cellules s’échangent des cadeaux et des donations, aussi petits soient-ils. Un plat de soupe. Une cannette. Un kilo de riz. Un kilo de dattes.

C’était un temps difficile, mais plein de spiritualité, plein d’entraide collective. Rassemblements. Lecture. Souvenirs.

Les bruits de la fin

Al-Bitawi donne quelques détails sur les soirées du mois de Ramadan vécues dans la prison. Après la séance spirituelle collective, chaque détenu s’isole derrière une sorte de rideau où il fait ses invocations. Puis, au moment de la rupture du jeûne, les captifs se ruent sur la nourriture. Et on n’entend que les petits bruits des cuillères, des bouches qui respirent la soupe et mâchent la nourriture, pour laisser les plats désespérément vides.

Une équipe de plongeurs s’occupe ensuite de nettoyer la vaisselle comme il faut et rendre la cellule collective comme elle était, sans pouvoir éviter quelques dégâts. Durant le nettoyage et le rangement, on ne pourra empêcher à un peu de vaisselle de tomber et de faire un peu de bruit. Tout cela dans une ambiance bon enfant, défiant les souffrances imposées par les occupants sionistes et leurs bourreaux.

 

 

   

Les rapports du CPI
Les dernières mises à jour



Source : Centre Palestinien d'Information
https://french.palinfo.com/...

Abonnement newsletter: Quotidienne - Hebdomadaire
Les avis reproduits dans les textes contenus sur le site n'engagent que leurs auteurs. 
Si un passage hors la loi à échappé à la vigilance du webmaster merci de le lui signaler.
webmaster@palestine-solidarite.org


Ziad Medoukh

Analyses et poèmes
 
Toumi Djaidja

Analyses

René Naba

Analyses
 
Manuel de Diéguez

Analyses

Fadwa Nassar

Analyses et traductions

Bruno Guigue

Analyses

Chems Eddine Chitour

Analyses

Mikhaïl
Gamandiy-Egorov

Afrique-Russie
 
Luc Michel

Analyses

Robert Bibeau

Analyses
 
Salim Lamrani

Analyses
 
Manlio Dinucci

Analyses
 
Mohsen Abdelmoumen

Analyses