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Rapport

Le spectre d’une troisième Intifada ébranle l’occupant

CPI


Photo: CPI

Mercredi 14 octobre 2015

Palestine – CPI

Un état de panique ébranle toute la société sioniste, suite à une série d’opérations de résistance, aussi bien en Cisjordanie que dans la ville sainte d'Al-Quds. Les chefs de l’occupation essaient par tous les moyens d’éloigner le spectre d’une nouvelle Intifada dont les conséquences seront inconnues.

Les occupants sionistes utilisent tous leurs moyens afin de maîtriser la situation, de calmer le jeu, de baisser les pertes, en vain.

La direction de l’armée de l’occupation sioniste a décidé de se procurer dix mille gilets par balle, d’une somme de quatre-vingt mille shekels. C’est la plus grande quantité depuis la deuxième guerre menée contre le Liban en 2006.

Et pendant sa visite du lieu de l’opération d’Itmar, Benyamin Netanyahu, le premier ministre de l’entité sioniste, a ordonné à la direction de l’armée et des services de sécurité de mettre des caméras pour contrôler les carrefours de la Cisjordanie occupée, des caméras reliées à un QG pour suivre la situation et éviter les opérations de résistance.

Fortifications fragiles

Il n’est pas impossible que cette vague de violence soit suivie d’attaques venant de la bande de Gaza, a rapporté le journal hébreu Maariv.

Par ailleurs, le ministère de la sécurité sioniste prépare un projet destiné à construire des murs entourant douze groupes résidentiels, vers les frontières avec la bande de Gaza.

Et la septième chaîne de télévision sioniste a dévoilé que le ministère de la sécurité intérieure a accordé aux policiers qui font leur service à l’est de la ville d'Al-Quds une prime de dix mille shekels par an.

Et le ministère des affaires étrangères, ajoute la chaîne, tente de contacter Facebook et Tweeter afin de retirer toute vidéo provocatrice contre les sionistes.

Fuir la responsabilité

La situation sécuritaire est très inquiétante ; le premier ministre s’est trouvé obligé d’annuler son voyage vers Berlin, selon le journal hébreu Maariv.

Les responsables ont commencé à se jeter la pierre. Le ministre de l’armée de l’occupation sioniste a accusé les ministres du parti Beit Juif de pratiquer des provocations ; et ce sont ces provocations qui enflamment la situation ; il faut arrêter les provocations, car « les activités militaires ne suffisent pas, toutes seules, à faire face à la vague de terreur, selon lui.

Il a appelé les ministres et les parlementaires à arrêter les slogans appelant à la commutation de la défense à l’attaque. De tels slogans poussent les civils israéliens à appliquer leur propre loi.

Perturbation des mesures sionistes

Les occupants sionistes ont recours à des mesures particulières ; ces mesures reflètent un état d’incapacité de maîtriser la situation. Ils laissent aller cette situation jusqu’à prendre des décisions des plus difficiles.

Les primes données aux policiers, dans la ville d'Al-Quds, reflètent la réticence d’un certain nombre de ces policiers de travailler dans l’ancien bourg d'Al-Quds, ayant peur des opérations de résistance.

Il est désormais facile de mettre la main sur les armes de la police et des colons pour les blesser ou tuer avec, à l’instar des opérations menées par les jeunes Mohanned Al-Halabi et Amjed Al-Joni.

L’analyste de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) se moque de ces échanges entre les responsables sionistes concernant la responsabilité du développement des événements. La plupart des dirigeants de l’occupation font porter aux colons la responsabilité de ce qui se passe ; ce sont eux qui ont mis le feu au poudre, en commençant par brûler vif le jeune Abou Khodair et par leurs provocations contre les habitants de la ville d'Al-Quds.

L’analyste attire l’attention sur le rôle joué par les médias de la résistance, surtout sur les réseaux sociaux. Ils mettent sous la lumière du jour les assassinats commis contre les Palestiniens avec sang-froid. Cela a poussé les occupants sionistes à faire tout pour interdire ces sites.

La peur de l’occupant n’est pas seulement sécuritaire, mais aussi économique, selon notre analyste.

En fait, prendre des mesures sécuritaires supplémentaires ajoute des fardeaux économiques sur le budget de l’entité sioniste. Puis le tourisme recule, conséquence de la mauvaise situation sécuritaire.

Notons enfin que toutes les mesures prises par l’entité sioniste ne pourront empêcher un jeune palestinien décidé à répliquer aux provocations des colons sionistes, à leur violation des lieux saints et leurs habitants.

 

 

   

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Source : CPI
http://french.palinfo.com/...

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