L’occupation
emprisonne 681 Palestiniens durant le mois dernier…
et les prisonniers vivent dans des conditions totalement désastreuses
dans les centres de détention sionistes
RAMALLAH-CPI
Les
forces de l’occupation sioniste ont capturé, durant le mois de
Septembre dernier, 681 palestiniens, dont la plupart étaient des
cadres, responsables et supports stratégiques du mouvement de résistance
islamique « Hamas », et cela a amené le nombre de
prisonniers dans les centres de détention sionistes à près de dix
mille palestiniens, vivant dans des conditions de détention réellement
mauvaises.
Et
ce nombre est utile pour le rapport mensuel du centre médiatique
des prisonniers, qui rapporte aussi que la plupart des Palestiniens
emprisonnés durant ce mois dernier sont issus de la Cisjordanie
exclusivement, sauf un petit nombre de travailleurs vivant dans la
bande de Gaza et travaillant dans les terres occupées depuis 1948.
Ce rapport montre aussi que la région la plus touchée dans ses
habitants par cette vague d’emprisonnement est la région
Al-Khalil, alors que les autres villes comme Bethléem, Toulkaram,
Qalqilia ou Selfit se partagent un nombre de prisonniers
sensiblement constants.
Ce
rapport soutient le fait que le nombre de prisonniers n’a cessé
d’augmenter les derniers cinq jours de Septembre, dans lesquels
plus de quatre cents prisonniers ont été capturés, la totalité
venant de la Cisjordanie. Ce sont les cadres, les responsables et
les chefs dirigeants du mouvement Hamas qui ont été visés, en
particulier ceux qui participèrent aux élections ; et dans ce
chaos, le rapport nous éclaire sur un point important : non
seulement les jeunes ont été touchés par cette vague, mais les
personnes âgées, les responsables religieux, les imams, les
muezzins, les hommes d’ affaire, les responsables d’organisation
de charité, les responsables de centres sociaux et surtout
certaines personnes s’ étant présentées aux élections locales
et régionales. Le rapport cite deux personnages-clés du mouvement
Hamas capturés : Hassan Youssef et Mohammed Gazal.
Un
autre point important traité par le rapport : la violence et
l’humiliation auxquelles ont été exposés les prisonniers ce
dernier mois aussi bien dans les centres de détention que dans les
prisons sionistes se sont intensifiés. A cela s’ajoute
l’ouverture d’un nouveau dossier par les Sionistes : celui
des lois concernant les prisonniers de la bande de Gaza après le
retrait des forces sionistes de cette terre.
Les
emprisonnements au cours de Septembre
1.
Le nombre de
personnes emprisonnées durant le mois de Septembre a atteint les
681 personnes, et il a été remarqué que la plupart des
Palestiniens emprisonnés durant ce mois sont issus de la
Cisjordanie exclusivement, sauf un petit nombre de travailleurs
vivant dans la bande de Gaza et travaillant dans les terres occupées
depuis 1948. D’autres ont été emprisonnés parce qu’ils
travaillaient sans en avoir fait la déclaration.
2.
Ce rapport montre
aussi que la région de la Cisjordanie la plus touchée dans ses
habitants par cette vague d’emprisonnement est la région
Al-Khalil, alors que les autres villes comme Bethléem, Toulkaram,
Qalqilia ou Selfit se partagent un nombre de prisonniers
sensiblement constants.
3.
Ce rapport
soutient le fait que le nombre de prisonniers n’a cessé
d’augmenter les derniers cinq jours de Septembre, dans lesquels
plus de quatre cents prisonniers ont été capturés, la totalité
venant de la Cisjordanie.
4.
La plupart des
personnes emprisonnées appartenaient à des tendances très différentes
: non seulement les jeunes ont été touchés par cette vague, mais
les personnes âgées, les responsables religieux, les imams, les
muezzins, les hommes d’affaire, les responsables d’organisation
de charité, les responsables de centres sociaux et surtout
certaines personnes s’étant présentées aux élections locales
et régionales.
Et dans ce qui suit, la situation des prisonniers est plus
amplement décrite, à travers ce qu’ils subissent comme pression,
attaque psychologique, privation de leurs droits élémentaires, et
ce dans la totalité des prisons.
Les
centres de détention : « Hadarem », « Ohly
Kidar » (région des sept puits), et les prisons coloniales :
« Al-Ramla », « Nafha », « Hasharon ».
La prison « Hadarem » est la première accusée
de maltraitance envers les prisonniers palestiniens, dont le
traitement n’est pas humain. Le prisonnier Tamer Alrimaoui,
habitant la région de Beit Rima, proche de RamALLAH, nous raconte
que son état de santé est critique, et qu’il a besoin d’une
radiographie de son crâne depuis quatorze mois déjà. Il dit aussi
que dans la prison de « Jalbour », l’état sanitaire
est inimaginable. Le cas du prisonnier Riyad Zakariya Rasila,
habitant Jérusalem occupée, et condamné à la perpétuité plus
cinq ans, est particulièrement parlant : trois de ses dents
sont tombées suite aux coups subis ; il souffre de maux aux
dents et a besoin de placer de nouvelles dents, mais il nous dit
qu’il n’ y a aucun soin donné en prison, et qu’un dentiste ne
peut être consulté qu’à l’extérieur de la prison.
De
même, la direction des centres de détention sionistes a privé le
prisonnier Souhail Mahmoud Houssein Abed, habitant la ville de
Qalqilia, des visites de sa famille ; il raconte qu’il subit
aussi les fouilles de manière continuelle pour des raisons sans
fondement, le traitement non humain des gardes et de toute l’équipe,
la vie dans des locaux tels des placards, et se plaint enfin du désintéressement
total des organisations humanitaires et des droits de l’Homme à
la situation de cette prison.
L’ensemble
des prisonniers ont affirmé : « il n’ y a qu’un médecin
pour toute une prison, qui nous répond toujours que le seul remède
efficace contre toutes les maladies est le Kamol. De plus,
l’ophtalmologue, par exemple, ne passe qu’une fois tous les
trois mois. »
La
diffusion de maladies de la peau dans la prison est aujourd’hui un
phénomène tellement important que la vie des prisonniers est en
jeu. Le prisonnier Naji assure que les responsables de la prison
n’ont fait que très peu pour ces malades-là, et que le médicament
donné aux prisonniers n’agit pas contre cette infection.
Les
prisonniers malades souffrent de conditions très difficiles, même
dans les prisons disposant de centre de soin interne, comme El-Ramla,
et un chaos général y règne ; ceux qui nécessitent un séjour
à l’ hôpital n’y sont pas conduits, même dans les hôpitaux
«israéliens».
Les
prisonniers surnommés les lions courageux de la prison de « Hasharon »
souffrent de la vie dans de petites cages en guise de chambre,
d’isolation du monde extérieur. Plus de quatre-vingt prisonniers
sont logés dans le même département de cette prison !
Les
prisonniers précisent qu’il faut lutter pour que des vivres de
base soient introduits dans la prison « Hasharon », et cela
prend un temps très long, pendant lequel les prisonniers souffrent
du besoin de ces vivres indispensables. Il faut en plus, nous disent
les prisonniers, que les responsables fassent pression pour que ces
éléments arrivent jusqu’ à eux.
Des
membres du groupe « Nakhshon » ont réussi à pénétrer
dans certaines chambres de la prison « Almaskoubiya » à
Jérusalem occupée, et ont roué de coups les prisonniers. Le
prisonnier Ayed Houchiyya, âgé de 34 ans, habitant la ville de
Bethléem et emprisonné le 25 Juillet 2005, raconte qu’une
cellule de « Nakhshon » a encore blessé quinze prisonniers,
en les rouant de coups, les frappant au visage et en les jetant hors
de leurs cellules.
« Nakhshon »
est un mouvement nazi-sioniste. Une de ses brigades spéciales a réussi
à pénétrer le centre de détention central de « Askalan »,
qui contient huit cents prisonniers palestiniens, en donnant comme
raison la provocation suivante : « ils n’ont pas fêté le
retrait « israélien » de la bande de Gaza »…
La
direction de la prison coloniale « Aoufar », située au
Sud de RamALLAH, a ordonné le déplacement de cinquante prisonniers
vers le centre de détention « Al-Naqab » situé dans le
désert. Les prisonniers précisent que les nouveaux prisonniers ont
été répartis dans toutes les parties de la prison, ce qui a rendu
encore plus petit l’espace personnel dont dispose le prisonnier.
Les tentes spéciales qui servent de cellules dans cette prison du désert
contenaient vingt-deux prisonniers, et aujourd’hui, il y a plus de
trente prisonniers qui se partagent l’espace disponible dans une
unique tente.
La
direction de la prison sioniste « Talmud » a perpétré
une série de crimes barbares à l’ encontre des prisonnières détenues
ici, et a décidé de prendre des mesures injustes à leur égard,
ce qui a poussé les détenues à faire des actes de protestation médiatiques
comme les grèves de la faim pour se faire entendre et faire
pression sur la direction de la prison. Elles ont aussi menacé
d’en faire une révolte généralisée si les choses restaient
comme elles le sont.
La
prisonnière Rahida Mohammed JadALLAH, habitante de Naplouse,
raconte que les responsables de la prison font tout pour semer la
discorde entre les prisonnières, et qu’ ils n’hésitent pas à
lancer du gaz dans la cour si des tensions sont senties chez les
prisonnières. L’utilisation du gaz a provoqué la suffocation
d’un nourrisson de deux ans dans les bras de sa mère…
Les
forces de l’occupation ont capturé le confrère journaliste Nael
Mahmoud Nakhla, âgé de 29 ans, alors qu’il était chez lui, dans
le village de Shakaba, à l’ouest de RamALLAH et de Bira en
Cisjordanie. Des témoins oculaires ont vu l’armée détruire sa
maison et l’emmener sur des terres inconnues.
Notre
confrère Nakhla travaille au centre médiatique des prisonniers et
aussi pour le journal local « Al-Qods » (Jérusalem),
pour la chaîne d’informations internationale « Al-Jazeera »
et pour quelques sites internet arabophones.
La
Cour Suprême de Justice de l’armée (israélienne) a condamné à
de peines injustes six prisonniers de la région d’« Al
Khalil », au Nord de la Cisjordanie. Le procès s’est fait
dans la prison d’« Awfar », à l’ Ouest de RamALLAH.
Les condamnés sont Mohammed Said Atiyya Alnajar, âgé de 21 ans,
Rastam Jihad Alkhatib,
âgé de 19 ans, Mouhannad Romal Alhammouz, âgé de 19 ans, et
Mohammed AtaLLAH Altiti, âgé de 23 ans. Ils viennent tous du camp
« AlFawwar ».
La
Cour a condamné la prisonnière Ghazlan Souleiman Houssein Hajja,
âgée de 25 ans et habitant la région de Dora, à une peine de dix
mois de prison et à une amende de quatre mille shekels.
Le
prisonnier Maher Ahmad AbdALLAH Almeshni, habitant la région d’Alshouyoukh,
a été condamné à l’emprisonnement administratif pour une période
de six mois.
La
Cour de Justice militaire (israélienne) a dernièrement condamné
à vingt mois de prison et à une amende de mille shekels le
prisonnier Khairi Borhan Draghimah, âgé de 19 ans, habitant la
ville de Tobass au Sud de la Cisjordanie.
La
situation juridique des prisonniers
L’avocat
Jamil Sarhan, du centre « la balance des droits de l’homme »,
dit : « L’état actuel juridique de la bande de Gaza
après le retrait «israélien» n’a pas changé car la
colonisation est encore effective sur ces terres, à travers le
contrôle total des voies de communication, des passages stratégiques,
des sources et courants d’eau, de l’espace aérien et de la main
mise sur la vie des palestiniens. Et en tout cela, il y a des
preuves que la situation juridique de la bande de Gaza est la même.
Et en ce qui concerne le quatrième traité de Genève, qui concerne
les droits acquis des prisonniers, il y a un point important :
les prisonniers du peuple colonisé ont le droit de retourner à
leurs demeures, que le peuple colonisateur se retire ou non des
terres colonisées. Le traité de Genève stipule aussi que « les
prisonniers doivent pouvoir vivre la tête haute, sans être traités
différemment selon leurs caractéristiques personnelles, et choisir
leur mode de vie librement ». Le traité ne manque pas
d’ajouter qu’"Israël" enfreint toutes les lois
internationales dans la pratique de l’emprisonnement administratif
des prisonniers palestiniens, parce qu’il n’est plus possible au
prisonnier de se défendre légalement et d’utiliser le cadre
juridique pour se défendre ». Il ajoute également que
« les forces de l’occupation se sont redéployées autour de
la bande de Gaza, et elles ne se sont donc pas retirées ».
De
son côté, Hisham AbdELRAZZAK, membre du conseil législatif et
ex-ministre des affaires des prisonniers, dit : « Le camp «israélien»
se comporte avec les prisonniers palestiniens en désaccord avec le
traité international et avec le quatrième traité de Genève et
s’est créé son propre système juridique. De plus, le pays «israélien»
et les Etats-Unis soutiennent le fait que les terres occupées après
1967 appartiennent pleinement aux «israéliens» et que donc il
n’ y a pas d’injustice faite lors de l’occupation de ces
terres ».
Un
des responsables du mouvement du Jihad Islamique, le cheikh Nafez
Azam, ajoute également qu’« il ne faut pas étudier les différents
cas des prisonniers palestiniens pour les sortir légalement de
prison mais demander leur libération totale, et particulièrement
dans la bande de Gaza où l’état colonisateur n’a plus le droit
de s’immiscer dans la vie juridique et militaire car il n’a plus
de citoyen propre à protéger ». Il ajoute que « demander la
libération instantanée des prisonniers issus de la bande de Gaza
et du Sud de la Cisjordanie ne signifie pas traiter deux cas différents
de prisonniers mais profiter de cette contradiction juridique pour
faire pression internationalement pour que les prisonniers de Gaza
soient libérés ». Il dit également que la politique
sioniste qui refuse la libération de prisonniers qui ne sont plus
ses citoyens prétend qu’on a besoin de la présence
internationale dans les plus brefs délais pour gérer la bande de
Gaza. En vérité, «Israël» ne se soucie pas des lois
internationales et ne les respecte pas, et joue avec les mots au
sujet des prisonniers alors qu’on la subit toujours, et il faut
dorénavant faire pression de manière violente pour que tous soient
libérés et en premier ceux de Gaza ».
Le
ministre de la communication, de la technologie et de
l’information, le Docteur palestinien Sabri Sidim, soutient cela
et ajoute : « L’état juridique et sécuritaire de la
bande de Gaza n’a pas changé, et ainsi «Israël» contrôle ses
rues, ses espaces aériens et nos enfants dans leurs prisons, et
cela montre que le retrait annoncé ne donne pas le contrôle de sa
terre à l’état palestinien, mais au contraire amplifie la
mainmise colonisatrice sur nos terres et nos vies ».
L’avenir
de la question des détenus
Le
membre du conseil législatif AbdELRAZAK demande à la force
politique ainsi qu’au gouvernement palestinien et aux responsables
internes d’aider à appliquer cette loi : « Travaillons
à l’élaboration d’un programme national concernant ces
prisonniers qui utilisera un réseau médiatique et juridique, et
travaillera sur le plan local et international. Recourrons à la
Cour de Justice Internationale pour prendre des sanctions contre «Israël»
si elle ne libère pas nos prisonniers. Considérons cette démarche
comme une partie de la lutte pour la liberté du peuple palestinien ».
Les
familles des prisonniers : entre espoirs et souffrances
Le
père du prisonnier Raed Hadad, détenu dans la prison de « Nafha »
situé dans le désert, et condamné à quatorze ans, a commencé
son discours ainsi : « Cette victoire symbolisée par le
retrait a abouti après tant de souffrances chez les familles de
prisonniers ». Il ajoute aussi que « la situation
juridique du pays est contradictoire : le décret numéro
dix-sept du traité de Genève stipule que la libération des
prisonniers suite au retrait du pays colonisateur des terres occupées
est un devoir et qu’«Israël» doit libérer les prisonniers de
Gaza et du Sud de la Cisjordanie. Et Alhadad a indiqué que « le
devoir d’«Israël» de libérer ces prisonniers doit être suivi
d’un désaccord palestinien du traité de paix, et du refus de
coopération avec cet état. Car les familles de ces prisonniers
seraient déçus de leur coopération, et sont en droit de demander
des sanctions à la communauté internationale pour éviter cette
injustice. Il faut que nous ayons tous un avis unique sur la
question ».
La
mère des trois prisonnierss Awd, Akram et Souhaib Alsaidi, détenus
dans les prisons de « Nafha », et « AlNaqab »,
nous dit que « le retrait de nos terres ne s’est fait
qu’au prix de notre sang, de sacrifices de la part des prisonniers
et du peuple palestinien, et qu’il faut que le gouvernement
palestinien place ce sujet en tête lors des prochaines négociations
avec «Israël» ». Elle ajoute que « «Israël», après
ce retrait, va essayer de prendre le sujet des prisonniers avec des
pincettes, et qu’il faudra que le peuple palestinien continue sa
lutte jusqu’ à ce que la libération soit totale ».
La
mère des trois prisonniers a demandé aux responsables et aux
dirigeants de rester fidèles à leurs prisonniers et de continuer
la lutte et de demander que plus soit fait, car traiter le cas de
ces prisonniers est un devoir national et moral pour tous.
Le
bonheur du retrait, en attendant la libération plus qu’espérée
« Le
retrait de la bande de Gaza est à la fois complet et incomplet,
parce que les prisonniers de ces régions souffrent toujours dans
les prisons de l’état colonisateur » ; c’est par ces
mots qu’ a commencé le discours du prisonnier Wael Alsharihi,
prononcé dans la prison « AlNaqab » à travers une
communication téléphonique avec le centre médiatique des
prisonniers ; il a ajouté que les prisonniers à l’ intérieur
vivent le bonheur de la libération et de la victoire dans la bande
de Gaza, mais qu’ils se plaignent d’être désinformés en ce
qui concerne le moment de leur libération et si il va y en avoir
une. Il a ajouté que l’administration de la prison a, ces
derniers jours, multiplié ses injustices à l’encontre des
prisonniers, et surtout ceux de Gaza, qui comptent près de six
cents cinquante détenus. Ils ont vu par exemple leurs durées
d’emprisonnement augmenter sous le prétexte de nouvelles lois
administratives, et cela est su par le prisonnier un jour avant sa
libération. Ils sont nombreux à avoir eu cette frustration.
De
plus, Alsharihi ajoute que l’opinion «israélienne» refusant la
libération des prisonniers après la libération de la bande de
Gaza et du Sud de la Cisjordanie ne changera pas car «Israël» ne
donne aucune estime aux accords de Genève et ne suit pas ses décrets
internationalement reconnus, « mais l’espoir reste fort
qu’un jour on puisse forcer la libération de tous les détenus ».
Et
avec la fin du message des prisonniers dans les centres de détention
de l’occupation et de leur situation juridique, ainsi que de leur
situation face au traitement qu’ils subissent de la part des
forces sionistes, les prisonniers et les détenus gardent espoir de
retrouver la liberté, de retrouver leur terre, Gaza et Cisjordanie
Sud, après trente-huit ans de colonisation.
http://www.palestine-info.info/arabic/palestoday/reports/report2005/asra123.htm
Source : Palestine Info
http://www.palestine-info.cc/french/article_6304.shtml
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