On nous
enseigne depuis notre plus tendre
enfance que nous avons le privilège de
vivre dans une société démocratique,
dans laquelle le peuple est au pouvoir
et décide en toute indépendance du
chemin qu’il souhaite suivre.
De ce fait, il choisit à l’occasion
des élections, les personnes aptes à le
représenter et à le gouverner. C’est
ainsi que notre Président est élu au
suffrage universel direct, par la
majorité du peuple.
Malgré ce vernis démocratique, on
pressent que tout cela n’est
qu’illusoire et que les choses sont loin
d’être aussi simples. Ce qui nous pousse
à nous poser un certain nombre de
questions à propos de cette façon
d’élire nos représentants, qu’on nous
présente comme démocratique et libre :
Qu’en est-il réellement ? Est
ce vraiment le cas ? Qui peut prétendre
à la candidature à l’élection
présidentielle ? Qui choisit ceux qui se
présentent ? Quels en sont les
critères ?
Lorsque nous commençons à observer
d’un peu plus près le fonctionnement de
nos sociétés modernes, nous constatons
que plusieurs facteurs sont à prendre en
considération.
En effet, différents acteurs et
facteurs, entrent en jeu au cours du
processus démocratique, qui vont ainsi
décider, influencer et orienter les
élections :
Les lobbys et groupes de
pression
Par définition, ils sont créés
spécifiquement pour promouvoir et
défendre les intérêts privés d’un groupe
donné (économique, idéologique,
financier …), en exerçant des pressions
ou influences, sur des personnes ou
institutions publiques détentrices de
pouvoir.
En imposant leur volonté et leur
feuille de route, ils sont le principal
obstacle au bien-être du peuple.
En échange, le candidat obtient
financements, mais aussi légitimité et
reconnaissance.
En obtenant la bénédiction des
lobbies, il peut se présenter en ayant
une forte probabilité de réussite, mais
pour cela, il doit privilégier les
intérêts de ces mêmes groupes, souvent
au détriment de ceux du peuple.
Dans ce sens, le lobby
sioniste constitue incontestablement
l’un des plus actifs dans
l’hexagone.
Passé maitre dans la
manipulation des masses, présent
dans tous les domaines de notre
société, il travaille inlassablement
en faveur des intérêts de l’entité
criminelle Israélienne, et nous
observons quotidiennement,
politiciens, hommes d’affaire, ou
journalistes, en faire l’apologie.
Le fameux « diner du CRIF » (conseil
représentatif d’Israël en France) en est
l’exemple le plus frappant. A cette
occasion, nous voyons les membres des
plus hautes sphères de notre société s’y
presser, afin de prêter allégeance au
régime colonial de Tel-Aviv.
Les médias et instituts de
sondage
En théorie, les médias, qui
constituent normalement le quatrième
pouvoir, devraient être libres et
indépendants. En effet, ils sont censés
être les garants de la démocratie,
n’occultant aucun sujet, ne prenant
partie pour aucun candidat, donnant la
parole à chacun d’entre eux, en les
laissant s’exprimer et s’expliquer sur
leur programme.
Mais dans les faits, cela
n’est clairement pas le cas :
Aujourd’hui, en France, l’outil
d’information est détenu par une
dizaine de milliardaires qui
orientent, influencent et manipulent
l’opinion publique dans le sens de
leurs intérêts
Ils peuvent selon leur bon vouloir
discréditer un candidat ou le favoriser.
Leurs noms sont connus, sauf du grand
public : Martin Bouygues (TF1, LCI),
Vincent Bolloré (Canal plus), Patrick
Drahi (BFM, RMC, L’Express, Libé),
Xavier Niel et Pierre Bergé (Le
Monde), ou encore Lagardère
(Paris-Match, JDD, Europe1), Bernard
Arnault (Les Echos), Serge Dassault(Le
Figaro, Valeurs Actuelles) et François
Pinault (Le Point).
Il faut aussi noter que ces
personnalités, issues du monde des
affaires, sont, pour la majorité d’entre
elles, profondément attachées à la cause
sioniste.
A l’exemple de Patrick Drahi, ce
franco israélien qui est à la tête d’un
empire économique colossal, et qui a
commencé à s’intéresser aux médias à
partir des années 2000, rachetant
Libération, L’Express,
L’Expansion, mais aussi BFM TV et
RMC ou encore I24news.
Fervent défenseur de la
cause sioniste, il affirme avoir
pour mission de redorer le blason de
l’entité criminelle israélienne. Son
empire médiatique se charge donc de
réaliser cet objectif déclaré.
Il est également intéressant de
savoir que Drahi est le principal
soutien de la campagne d’Emmanuel Macron,
mettant à sa disposition tout son
arsenal médiatique.
Il n’est donc pas étonnant d’entendre
chanter les louanges de ce candidat sur
tous les plateaux TV, ou radios,
appartenant au milliardaire sioniste.
De même, les employés-journalistes de
Patrick Drahi ne se privent pas de
discréditer les concurrents les plus
menaçants de Mr Macron, à l’image d’une
Marine Le Pen ou d’un François Fillon
qui, hasard du calendrier, sont
pourchassés depuis le commencement de
leur campagne par de sombres affaires
judiciaires, largement couvertes par les
médias.
De plus ces géants des affaires
possèdent également la plupart des
instituts de sondage, qui alimentent ces
mêmes médias.
Ainsi, à l’aide de ces
deux armes redoutables que sont la
Presse (au sens large du terme) et
les instituts de sondage, ils
orientent, manipulent et influencent
une opinion publique qui ne se doute
de rien (jusqu’à ces derniers temps
…).
Le mode de fonctionnement
Le mode de fonctionnement du suffrage
pose également problème.
En effet, les règles de
participation aux élections
présidentielles ont été élaborées de
telle manière que seuls les
candidats issus des partis les plus
importants peuvent concourir. Cela
leur permet de finalement se
retrouver dans un « entre soit »
permettant de se partager le
pouvoir, avec un faux-semblant
d’alternance.
Il s’agit donc en réalité d’un
système volontairement cloisonné de
l’intérieur.
500 signatures ou parrainages d’élus
sont nécessaires, et cette année, les
règles ont changée dans le sens ou ce
sont les signataires qui envoient
directement leurs parrainages au Conseil
Constitutionnel. Ces parrainages étant
rendus publics, beaucoup craignent des
représailles et sanctions de la part de
leur parti ou des Conseils Régionaux qui
leur accordent subventions et autres
financements.
De ce fait, (peur des pressions
exercées par les lobbies, les grand
partis politiques ou les médias), ils
n’ont d’autre choix que de se soumettre,
en accordant leur parrainage au candidat
choisi au préalable par ces mêmes
groupes de pression.
Ainsi notre futur Président
est choisi non pas pour ses qualités
morales, sa sagesse ou son sens du
devoir envers son peuple et son pays,
mais pour son degré de soumission aux
lobbys, aux multinationales et au
sionisme.
Le Parti Anti Sioniste
appelle les français à prendre
conscience du fait qu’ils doivent
impérativement reprendre en main
leur destinée, en restant éveillé
face aux enjeux que représentent de
telles élections.
Car en fin de compte,
c’est le peuple qui se déplace pour
voter et qui introduit son bulletin
dans l’urne. Il suffit donc que
celui-ci retrouve sa lucidité, pour
balayer tous les stratagèmes mis en
place par ces « illusionnistes » qui
pensent tirer les ficelles.
A l’image du peuple
Américain qui a su bouleverser
l’establishment établi en élisant un
candidat qui était pourtant désigné
par tout l’appareil médiatique,
comme le futur perdant.
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