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De Gaza

Mémoire saturée de la tragédie de la Nakba

Sarah Ghanem

 

Samedi 30 mai 2015

Un mélange de tristesse et d'amertume domine sur la palestinienne, Fatima Abu Ali (79 ans), quand elle revint des spectacles tragiques ayant eu lieu au cours de la coercition de la sorte de sa ville d'origine, "Al-Jura". En 1948, ce qui est connu comme "la Nakba, Fatima n'avait âgée que treize ans  quand elle fut obligée de se quitter Al-Jura.

Les larmes dans les yeux de Fatima décrivent la nostalgie de la terre palestinienne en particulier sa ville originaire Al-Jura où elle vivait une vie stable et en sécurité au milieu de sa famille qui travaillait dans la pêche.
Al-Jura est un village qui se situe au bord de la mer de sorte qu'elle a été considéré comme lieu de villégiature pour les habitants des villes voisines, sa population avait estimée à 2800 habitants avant l'incidence de la Nakba.
Fatima a raconté l'histoire de la compulsion à la sorte de sa ville avec des mots pleins de douleurs .Quand les gangs israéliens ont commencé l’offensive sur le village en lançant une bataille psychologique à travers la diffusion de rumeurs parmi les citoyens en terme des massacres commis dans les quartiers voisins, certains villageois ont fui de leurs maisons au rythme de bombardement aveugle. En revanche de nombreuses familles sont restées résistantes plusieurs jours.
Tandis que Fatima a été occupée à la préparation du pain pour sa famille dans les premières heures du matin, elle fut surprise que les coquilles arrivaient à son village, par conséquent elle s'est cachée à l'intérieur du four pendant plusieurs heures puis sa mère est venue pour la sauver, elle a constaté que sa famille qui se composait de six personnes n'a pas décidé de sortir immédiatement, ils se sont protégés sous les vignes depuis quelques  jours et par force ils étaient obligés de quitter leurs terres.
Finalement, Fatima refuse absolument quelle compensation de toute taille ou de toute quantité  en échange de la cession du droit du retour. Et en ajoutant que rien dans le monde est égal à un spectacle sous les vignes à côté de la mer.

Sarah Ghanem
Etudiante
Département de français
Université Al-Aqsa-Gaza

 

 

   

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Source : Ziad Medoukh

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