Les 7 du Québec
Partis et mouvement prolétariens
vs
révolution prolétarienne
Robert Bibeau

Mercredi 24 octobre 2018
Notre webmagazine a
publié un texte réflexif du groupe
Nuevo Curso, traduit et
commenté par le
Groupe
International de la Gauche Communiste
et portant sur le « Parti
communiste en devenir ». (1)
Dans l’optique de contribuer à ce débat
important pour le mouvement prolétarien
révolutionnaire le webmagazine
Les7duquebec.com présente ici son point
de vue. Nous invitons tous ceux que le
sujet intéresse à partager leurs
commentaires sur notre webmagazine http://www.les7duquebec.com
Nous ne ferons pas
usage ici des expressions gauche,
droite, social-démocrate, socialisme,
marxisme-léninisme, maoïsme, anarchisme
ou parti communiste, autant de mots
galvaudés, dénaturés, qui sèment la
confusion parmi les militants
prolétariens. Pour un militant
prolétarien, ce n’est pas le Parti qui
est le sujet et l’objet fondamental,
mais ce sont la classe et la révolution
prolétarienne. Nous insistons, la
révolution que nous préparons chacun à
notre façon ne sera ni réformiste, ni
socialiste, ni communiste, mais
essentiellement prolétarienne du nom de
son protagoniste principal.
Le ou les Partis
de la classe prolétarienne surgiront de
la révolution
Nous, du
webmagazine
Les7duQuébec.com, sommes une portion
de la classe prolétarienne, une portion
révolutionnaire de cette classe
révolutionnaire, mais nous ne sommes pas
son avant-garde formelle, ni son
directoire détaché de la classe et de
son historicité. Le fait de développer
une conscience plus claire de la mission
historique du prolétariat nous confère
un devoir et des responsabilités envers
notre classe – qui est la source de
notre conscience de classe – et ne nous
autorise aucun privilège d’encadrement
des militants, de gestion des caisses du
mouvement, ou d’administration de l’État
bourgeois que nous répudions
complètement. La tâche politique des
prolétaires révolutionnaires n’est pas
de conquérir électoralement ou autrement
l’appareil d’État bourgeois, mais de le
détruire. D’ici là, laissons aux
bourgeois la gestion de l’État
capitaliste périclitant. (2)
C’est le
développement du mode de production qui
produit les classes sociales
antagonistes et, contrairement à
Bordiga, nous ne croyons pas
que : «Les travailleurs se
constituent «en classe, et donc en parti
politique» quand leurs propres luttes
indépendantes de toute fraction de la
bourgeoisie les convertissent en sujet
politique propre.»(3) Une classe
sociale existe objectivement, de par son
activité dans le procès de production,
indépendamment des organisations de
classe – partis politiques ou
associations –. La lutte de classe ne
dépend ni de la volonté ni de la
conscience d’une classe sociale. La
lutte de classe est comme les fonctions
vitales de l’organisme humain, elle ne
disparaitra qu’avec les classes sociales
elles-mêmes et donc avec les modes de
production fondés sur l’exploitation
d’une classe par une autre.
Ce sont les
classes sociales qui génèrent leurs
organisations de lutte de classe
Ce ne sont jamais
les partis politiques qui produisent ou
« cristallisent » les classes sociales
ou les luttes de classe. Ainsi, tout
militant aura noté que lorsque la classe
prolétarienne répudie et déserte les
organisations sociales-démocrates,
menchéviques, bolchéviques, socialistes,
communistes, marxistes-léninistes,
gauchistes, maoïstes, syndicales, etc.
ce n’est pas la classe qui s’effrite et
disparait, mais ce sont ces
organisations qui, ayant perdu leur
utilité historique suite à la décrue du
mouvement prolétaire, se disqualifient
et se pétrifient, ou alors elles
s’agitent en périphérie des luttes sur
le front économique, ou encore, ces
organisations anémiques rallient les
organisations politiques de la
bourgeoisie sur les banquettes du
crétinisme parlementaire.
Chaque militant
prolétarien aura également remarqué que
l’atrophie ou la disparition de ces
organisations « partidistes » (4) ne
font pas disparaitre la mémoire ni
l’expérience de lutte qui sont
conservées dans le subconscient de la
classe pour être actualisées lors des
périodes se résurgences de la lutte de
classe. Par exemple, la mission présente
des organisations du mouvement
prolétarien consiste, non pas à
ressasser les textes « sacrés » du
passé; ni à mesurer le niveau de
conformité des écrits actuels avec les
dogmes sacralisés d’autrefois; ni de
rempiler les effectifs des sectes sous
la gouverne de gourous déjantés. La
tâche présente, au moment où les forces
révolutionnaires prolétariennes
accumulent l’énergie pour un grand
affrontement est de réinterpréter et
d’adapter les acquis historiques
accumulés par la classe à l’aune de la
conjoncture économique, politique,
idéologique, médiatique, sociale et
militaire contemporaine. La guerre de
classe ne se fera pas de la même manière
au XXIe siècle qu’au temps
des Croisés ni qu’au temps des
tranchées.
Comme Marx
dans l’Idéologie allemande
(1845) nous pensons que :
« (…) l’apparition conséquente d’un
parti formel de la révolution
prolétarienne ne pouvait avoir lieu
qu’au cours de la révolution elle-même,
au travers de la lutte classe contre
classe, car ce n’est qu’alors que les
attaches qui enserrent le développement
de la conscience peuvent se détendre
suffisamment pour les rendre possibles. » (5).
Nous ajoutons que ce n’est qu’alors que
les chaînes de l’oppression économique
et de l’autorité politique du capital
sur le travail salarié se brisent,
créant de grands désordres parmi la
classe dominante, et provoquant un
courant insurrectionnel à la faveur de
la résistance.
Le programme de
la classe prolétarienne révolutionnaire
Pour nous, le
programme politique de la classe
prolétarienne ne contient qu’un seul
article que l’on peut ainsi énoncer :
mener toutes les résistances de classe
contre le capital et son État, sur les
fronts économique, politique et
idéologique, hors de toutes
organisations bourgeoises. Préparer
ainsi les conditions objectives et
subjectives de l’insurrection populaire,
et la transformer en révolution
prolétarienne qui sera de longue durée à
n’en pas douter. Les principes et les
méthodes de construction du mode de
production communiste prolétarien ne
sont pas du ressort des organisations
révolutionnaires, mais seront, le temps
venu, la responsabilité du mouvement et
de la classe prolétarienne, probablement
après une longue période de chaos, de
répression, de contrerévolution,
d’essais et d’erreurs.
Les conditions
objectives de la révolution ne sont
pas du ressort de la classe, ni du
mouvement prolétarien, ni de la volonté
d’aucune autre classe sociale. Elles
découlent du développement inéluctable
des contradictions au sein du mode de
production capitaliste ayant atteint son
zénith. Les conditions subjectives
de la révolution prolétarienne découlent
de la maturation des conditions
objectives, qu’exploitent plus ou moins
efficacement les militants dont la
conscience s’affûte par la lutte, et
dont s’empare l’ensemble du mouvement
prolétarien.
Principes et
acquis historiques
Après deux siècles
de lutte de classe entre le capital et
le travail salarié quelques principes
fondamentaux sont désormais des acquis
historiques pour la classe sociale
prolétarienne.
Ce sont :
- Pour un
militant prolétarien, ce n’est pas
le Parti qui est le sujet central ni
l’objet fondamental de son activité
idéologique et politique, mais ce
sont la classe et la
révolution prolétarienne. Nous
insistons, la révolution radicale
que nous préparons chacun à notre
façon, la plus grande de l’histoire
de l’humanité, ne sera ni
réformiste, ni socialiste, ni
marxiste-léniniste, ni communiste,
ni anarchiste, mais fondamentalement
prolétarienne du nom de son acteur
principal. Il faut un prolétariat
très développé, de hautes
technicités et à forte productivité
pour diriger une révolution
prolétarienne moderne.
- La révolution
prolétarienne ne pourra être menée à
terme avant que la totalité des
moyens de production et des forces
productives, que le mode de
production capitaliste est capable
de valoriser, ait été engagée dans
le procès de production. Marx
soulignait qu’un mode de production
ne disparaît «jamais avant que
soient développées toutes les forces
productives qu’il est assez large
pour contenir». (6) De nos
jours, le système capitaliste a-t-il
atteint ce point de rupture sans
retour (?) voilà une des questions
importantes que les organisations
révolutionnaires prolétariennes
devraient examiner. (7)
- Pendant les
périodes de croissance puis de
stagnation du mode de production, la
lutte de classe dans l’instance
économique est dominante et
déterminante. Ce n’est que pendant
les phases insurrectionnelles
populaires, puis
révolutionnaires prolétariennes
que la lutte dans les instances
idéologique et politique devient
déterminante. Alors, la classe
révolutionnaire saisit son sort, et
celui de toute l’humanité, entre ses
mains et oriente son destin en
construisant le nouveau mode de
production émergeant de l’ancien.
- À l’image de
la globalisation et de la
mondialisation du mode de production
capitaliste la révolution
prolétarienne sera mondiale ou ne
sera pas. Toute révolution locale,
nationale ou régionale sera
subjuguée et anéantie par les restes
de l’ancien mode de production
capitaliste bourgeois. C’est
l’internationalisation de la
révolution prolétarienne qui
assurera sa victoire.
- Si les
conditions objectives de la
révolution et du renversement du
mode de production capitaliste ne
sont pas réunies, les organisations
qui surgiront à l’occasion d’une
insurrection avortée, ou d’une
révolte locale, nationale ou
régionale disparaitront ou se
mettront au service des intérêts de
la classe hégémonique.
- Les
organisations de classe n’engendrent
pas la classe sociale, elles en sont
le reflet. Si les organisations
politiques se disant prolétariennes
passent de la révolution à la
réaction, c’est que les
conditions objectives et subjectives
de la révolution ne sont pas à
maturité et rien ne pourra y
changer. Il faut recommencer comme
l’histoire du mouvement ouvrier nous
là enseigné.
- L’État
est l’appareil administratif de la
classe capitaliste et la structure
de répression de la classe
prolétarienne. Le mouvement
prolétarien révolutionnaire rejette
le réformisme et ne cherche en aucun
cas à conquérir, ou à participer et
se compromettre dans
l’administration de l’appareil
d’État bourgeois, mais à le
détruire. (8)
- La classe
prolétarienne existe en soi et pour
soi – par elle-même, indépendamment
de toute avant-garde, de toute
avancée de la conscience de classe,
et de toute organisation de classe
–. C’est l’exploitation via le
procès de valorisation du capital
qui produit la classe des esclaves
salariés prolétarisés (producteurs
de plus-value). C’est l’instinct de
conservation et de reproduction de
la classe qui produit la lutte de
classe. C’est la lutte de classe qui
sécrète la conscience de classe et
génère les militants apte à la
formaliser.
- Le rôle et la
mission des organisations
révolutionnaires de la classe
prolétarienne sont de « révéler »
(porter à la connaissance) et de
formaliser la conscience de classe
spontanée « en soi » pour l’aider à
se constituer en conscience « pour
soi », consciente de ses intérêts de
classe. La classe prolétarienne est
la seule classe sociale qui porte le
projet de créer un mode de
production sans classes sociales
antagonistes.
10.
L’internationalisme est l’avenir de la
classe prolétarienne tout autant que la
globalisation et la mondialisation sont
le devenir de ce mode de production
jusqu’au moment de son abolition.
L’internationalisme est dans la nature
de la classe prolétarienne, il est donc
l’unique perspective du mouvement et de
ses organisations de classe.
11. Le nationalisme
fut un passage obligé du mode de
production capitaliste bourgeois. Le
nationalisme est un reliquat bourgeois
qui contamine l’idéologie et la
politique prolétarienne que les
organisations du mouvement prolétarien
doivent œuvrer à extirper de la
conscience de classe afin de permettre à
la perspective internationaliste de
s’imposer, hégémonique. (9)
Historicité
révolutionnaire moderne
De ces principes
que l’histoire de la lutte de classe
nous a légués ils découlent que la
Commune de Paris, la Révolution russe de 1917, les
insurrections populaires européennes
dans les années vingt et trente, la
Révolution espagnole
(1930-1939), la Révolution
chinoise (1949), la Révolution cubaine (1959) et
toutes les Révolutions de libération
nationale dans les pays
sous-développés du tiers-monde féodal
ont été des révolutions démocratiques
bourgeoises visant à assurer le plein
épanouissement du mode de production
capitaliste, c’est-à-dire de ses moyens
de production et de ses forces
productives sociales. La phraséologie
populiste – ouvriériste – dont ont a
affublée ces révolutions a été
superfétatoire, alors que la classe
prolétarienne mondialisée,
industrialisée, mécanisée, informatisée,
numérisée, de haute technicité et à
productivité élevée n’existait pas à
cette époque dans ces pays souvent
arriérés.
Les organisations
faisant partie du mouvement
révolutionnaire prolétarien ne devraient
pas colporter les accusations
dogmatiques de « trahison du
prolétariat », et de
« contrerévolution » que les réformistes
et les opportunistes diffusent à propos
de cette période historique (1870-1990).
Ces élucubrations sectaires et
dogmatiques cherchent à accréditer le
mythe que la Révolution russe,
la Révolution chinoise,
les révolutions espagnole, cubaine,
vietnamienne ou coréenne menées par des
serfs, des paysans sans terre, ou des
moujiks – chair à canon de la
bourgeoisie – auraient pu se
transformer en révolution prolétarienne
mondiale sans prolétariat puissant et
dominant le procès de production (!)
et permettre de construire le mode de
production communiste internationaliste
hypermoderne et productif sur les ruines
du féodalisme décomposé et dégénéré. Ou
encore, ces prétentions tentent
d’accréditer l’utopie qu’il existerait
une voie de transition du mode de
production féodale au mode de production
communiste prolétarien appelé le « socialisme »,
il n’en est rien. L’humanité ne peut
faire l’économie d’une période
historique – ni d’un mode de production.
La Révolution en Russie féodale ne
pouvait accoucher que du capitalisme
libéral ou du capitalisme d’État. Le
Parti bolchévique, qui s’est
substitué à la classe prolétarienne
balbutiante de la Russie tsariste
arriérée, a choisi Lénine,
puis Staline pour ériger
le capitalisme d’État en URSS et ce fut
un grand succès capitaliste comme
l’atteste la victoire soviétique dans la
Grande Guerre Patriotique.
En Chine, après l’échec de Mao
Zedong, Deng Xiaoping
reçut une mission analogue et ce fut un
grand succès capitaliste comme l’atteste
l’émergence de l’impérialisme chinois
contemporain. Pour trahir la
« révolution prolétarienne », il aurait
fallu que le prolétariat soit
majoritaire, sur un pied de guerre et à
la manœuvre dans ces insurrections, et
finalement au pouvoir suite à ces
révolutions nationales, et capables
d’entreprendre la construction du mode
de production prolétarien dans le monde
entier, ce ne fut pas le cas comme
l’histoire l’a démontré. (10)
La révolution en
devenir
La révolution
prolétarienne n’est pas derrière nous
camarades elle est devant nous.
Dans ces pays, les
tentatives d’insurrection populaires
auxquelles le commencement de
prolétariat balbutiant prêta son
concours courageux auront servi
d’apprentissage et deviendront un bagage
expérimental pourvu que les militants
prolétariens révolutionnaires sachent
rompre avec la vision réformiste et ses
suites; qu’ils cessent de s’épancher sur
le passé et sur les textes « sacrés »;
(11) et qu’ils sachent en tirer les
enseignements utiles pour l’avenir de
notre classe et pour la révolution
prolétarienne en devenir. C’est la
classe qui est le facteur dominant et
déterminant, ses organisations et leur
conscience commune en sont le
prolongement. Aussi surement que le
capitalisme a remplacé le féodalisme
aristocratique, le communisme
prolétarien remplacera le capitalisme
bourgeois. (12)

NOTES
-
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/debat-dans-le-camp-proletarien-quest-ce-que-le-parti-nuevo-curso/
- Robert Bibeau
(2017) La démocratie aux
États-Unis. Les mascarades
électorales. L’Harmattan.
Paris. 150 pages.
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/la-democratie-aux-etats-unis-les-mascarades-electorales/
-
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/debat-dans-le-camp-proletarien-quest-ce-que-le-parti-nuevo-curso/
- Qu’est-ce que le parti ? (Nuevo
Curso) (2018)
http://igcl.org/La-classe-comme-parti
- Le Groupe
Nuevo Curso ne dit pas
autrement quand il écrit : «Le
fameux « parti de classe » ne peut
exister que dans les époques
révolutionnaires quand une partie
significative des travailleurs fait
sien le programme historique de
classe comme seule forme
pour que sa lutte continue de se
développer.»
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/debat-dans-le-camp-proletarien-quest-ce-que-le-parti-nuevo-curso/
- Marx (1859)
Contribution à la critique de
l’économie politique.
- Robert Bibeau
(2014) Manifeste du parti
ouvrier. Éditions Publibook. Paris. 225 pages.
http://www.les7duquebec.com/actualites-des-7/le-manifeste-du-parti-ouvrier/
Depuis un siècle deux grandes
Guerres ont laissé croire que le
mode de production capitaliste avait
atteint son zénith et que le capital
détruisait ainsi une partie de ses
surplus afin de réamorcer sa
capitalisation
(valorisation-reproduction élargie).
C’est une erreur, ces deux guerres
furent des moments de partage des
ressources et des zones d’expansion
du mode de production capitaliste
vers l’Asie, et vers l’Afrique, deux
continents colonisés qui demandaient
à être néocolonisés, ce qui fut
réalisé après la Seconde Guerre lors
des mouvements de soi-disant
« libération nationale » bidon.
- Robert Bibeau
(2018). La démocratie aux
États-Unis. Les mascarades
électorales.
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/la-democratie-aux-etats-unis-les-mascarades-electorales/
depuis la social-démocratie de la IIe
Internationale et depuis
l’Eurocommunisme le mouvement
prolétarien connait la ligne de
démarcation entre le réformisme
parlementaire et la révolution.
- Robert Bibeau
(2017) Question nationale et
révolution prolétarienne sous
l’impérialisme moderne
L’Harmattan. 150 pages.
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/question-nationale-et-revolution-proletarienne-2/
- Robert Bibeau
(2014) Manifeste du parti
ouvrier. Éditions Publibook. Paris. 225 pages.
http://www.les7duquebec.com/actualites-des-7/le-manifeste-du-parti-ouvrier/
- Lénine
et Les thèses d’avril, phare de la
révolution prolétarienne sur
le site du CCI :
http://fr.internationalism.org/revorusse/chap2a.htm
- Les
conditions objectives et subjectives
de la révolution prolétarienne.
(Juin 2015)
http://www.les7duqu
ebec.com/7-au-front/les-conditions-de-la-revolution-proletarienne-1/
et
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/les-conditions-de-la-revolution-proletarienne-2/
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