P.A.S.
L’armée française se rebelle
Parti Anti Sioniste
Dimanche 1er mai 2016
Vives inquiétudes concernant le
devenir de la France. En effet, les
langues des hauts gradés de l’armée
française tels que les généraux Soubelet,
Tauzin et Piquemal commencent à se
délier. Il semblerait que ces derniers
ont du mal à supporter ce lourd passé au
service de l’armée française ; c’est la
raison pour laquelle ils se confessent
chacun à leur manière.
Notamment le général Bertrand
Soubelet qui publie un livre en
partie motivé par les attentats de
2015, dont le titre est révélateur :
« Tout ce qu’il ne faut pas
dire », dans lequel il y
explique le harcèlement moral qu’il
a subi : « Des pressions ont
été exercées sur moi pour me faire
quitter la gendarmerie qui a été ma
vie pendant trente-cinq ans. »
Il en explique la raison en ces
termes : « Moi,
Bertrand Soubelet, général de corps
d’armée, directeur des Opérations et de
l’Emploi de la gendarmerie, j’ai été
écarté pour avoir dit la vérité : la
sécurité dans notre pays n’est pas
assurée comme elle le devrait.
»
Se défendant de toutes considérations
politiques, Bertrand Soubelet s’en prend
à nouveau au système judiciaire et
s’interroge : « Comment
expliquer, dans un État de droit, que
des règles juridiques empêchent de
poursuivre des délinquants et que des
victimes ne puissent pas obtenir
réparation ? »
En décembre 2013, le général Soubelet,
anciennement numéro trois de la
Gendarmerie nationale, avait été
auditionné dans le cadre de la mission
d’information relative à la lutte contre
l’insécurité sur le territoire. Cette
dernière était lancée par la Commission
des lois de l’Assemblée nationale. Lors
de cette dernière, il a expliqué, sans
aucune retenue, que «
la sécurité dans notre pays n’est
pas assurée comme elle le devrait.
» C’est la raison pour laquelle il
avait déclaré que « les
gendarmes sont inquiets, car on prend
plus soin des auteurs [d’actes
délictueux] que des
victimes »,
insistant sur le fait que : « les
auteurs d’atteintes aux biens
[cambriolages, vols…], les plus
importantes numériquement, bénéficient
d’un traitement pénal qui leur permet de
continuer à exercer leurs activités. »
« Désormais, personne ne peut
m’opposer un pseudo devoir de réserve.
D’où ce livre. Mon diagnostic est simple
: la sécurité est l’affaire de tous. Il
est temps de réagir, grand temps. Il y a
urgence. Notre société est en danger.
Jamais le danger n’a été aussi menaçant
», poursuit
le militaire.
En ce qui concerne le général Tauzin,
il a quitté l’armée et envisage de se
présenter à la prochaine élection
présidentielle avec l’ambition de «
refonder la politique comme service
de l’homme et du citoyen. »
Quant à Christian Piquemal, ancien
commandant de la Légion étrangère, il a
ému le peuple lorsque les caméras ont
filmé son arrestation lors d’une
manifestation de Pegida à
Calais.
On peut imaginer que du côté de
l’Élysée et de Matignon, ça commence à
s’agiter pour stopper cette révolte des
hauts gradés francais. Effectivement,
Bertrand Soubelet a été démis de ses
fonctions et Christian Piquemal se
retrouvera devant un juge le 12 mai.
L’avenir nous dira si ces divulgations
pousseront d’autres militaires à jouer
avec les limites du droit de réserve.
Dans un article du Parti Anti
Sioniste parut le 04 février 2016,
intitulé : «
Destruction de l’armée française en
faveur des États-Unis et de l’OTAN »,
nous avions souligné que «
l’armée française n’appartient plus à la
France », mais qu’elle est
entre les mains des États-Unis et de
l’OTAN.
« En d’autres termes, sous
l’impulsion maladive de Hollande,
sous-préfet de Washington en France, le
projet de loi officialise discrètement
le retour des militaires de l’OTAN sur
le sol français, cinquante ans après que
la France ait quitté cette organisation
et que les militaires de l’OTAN
aient été expulsés par le général de
Gaulle du sol français. »
Par leurs actions, ces généraux
cherchent à utiliser leur notoriété afin
de réveiller le peuple français sur le
futur qu’il souhaite pour leur pays.
Ils rejoignent l’appel lancé, depuis
maintenant plusieurs années et avec
insistance, par le Parti Anti
Sioniste : « Il
est temps de réagir ! »
L’inquiétude de hauts gradés d’un
pays n’est pas à prendre à la légère, il
est vraiment temps de passer à l’action
pour le bien-être de notre pays, et de
ne pas voter UMPS lors des élections de
2017.
Parti Anti Sioniste
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