Syrie, 3-17 octobre
2015
La volière
de Mar Yakub
Marie-Ange Patrizio
Mardi 10 novembre 2015
« Un jour j’ai vu passer la mort / elle
n’était pas à cheval / elle criaillait
comme les hirondelles le soir autour de
Santa Maria Maggiore / c’est
triste une telle mort / je le dis
sérieusement au cas où quelqu’un ne
saurait pas à quel point une telle mort
est triste »
Je dis
ça parce que je l’ai vue / elle faisait
Peine ou pitié cette mort aux cochers
aux chevaux
Doux au milieu du jour / mort sans goût
/seule / malheureuse / couleur vieux /
sans
Ailes / sans fil dans ses petits pieds /
hurlante
Au milieu de la place
Quand
elle finit de passer j’eus peur
Je ne veux plus jamais voir cette mort
Du fond du cœur je ne veux plus jamais
la voir
Surtout pas le
jour de ma mort »[1]
Mercredi 7
octobre 2015. Vers Qâra et le monastère
de Mar Yakub (Saint Jacques le Mutilé).
Nous avons quitté le village en début
d’après-midi, pour voyager de jour, en
direction de Homs et de l’autoroute
(M5). On sortira de l’autoroute un peu
plus loin pour revenir en sens inverse
afin de contourner un endroit dont notre
chauffeur a été prévenu (téléphone)
qu’il vaut mieux l’éviter, combats en
cours : assez grand détour pour
retrouver l’autoroute plus loin et
reprendre en direction du sud. Il me
semble que sur le bord de l’autoroute,
il y a plus de petites échoppes qu’il y
a 4 ans. Le tronçon qu’on a évité est
peut-être celui où j’avais vu la statue
monumentale de Hafez el Assad, car je ne
l’ai pas vue cette fois. A moins que des
opposants, ni démocrates ni modérés, ne
l’aient faite sauter depuis…
Des gens en vélo ou mobylette circulent à contresens sur la bande d’arrêt
d’urgence, avec quelques voitures
parfois, à contresens aussi. Le trafic
routier n’est pas intense mais quand
même nettement plus dense que je
n’imaginais ; pourquoi, depuis la
France, n’imaginais-je ces routes que
désertes ? Elles ne le sont pas (pas mal
de camions et quelques cars) et c’est
tout à fait rassurant quand on y
circule. Plus difficile de tomber dans
un guet-apens quand il y a de la
circulation, ça ferait un embouteillage.
Après Homs on s’est engagé dans la plaine centrale entre, à droite, le
Jabal Lubnan ash Sharqi (Monts de
l’Anti-Liban) qu’on va longer jusqu’à
Qâra, et à gauche la steppe vers Tadmur
(ville à côté du site archéologique de
Palmyre). Il y a des points chauds
-combats ou bombardements- de chaque
côté de la route, à quelques dizaines de
kilomètres ; on va éviter. Et on
commence à voir en bord de route des
édifices apparemment bombardés, ou
endommagés par des explosions :
premières traces très visibles de la
guerre. Depuis le village jusqu’à une
station service après Homs sur
l’autoroute, nous avons franchi 7
barrages militaires en 2h11 de trajet
(peut-être une soixantaine de
kilomètres). A chaque fois contrôles
sérieux, examen et relevé de nos
identités : pour pouvoir
localiser nos dernières traces si
on disparaît (!). Aucun bakchich ici.
Dans tout notre séjour, à aucun autre
endroit que vers la frontière nord du
Liban, nous n’avons été confrontées à
cette affaire du (petit) bakchich. Et
ici, les combats sont proches, violents,
et les risques de voitures piégées plus
importants.
Le trajet est beau. Montagnes pelées et nuages qui portent leur ombre sur
elles : un nuancier de toutes les
teintes du beige au noir. On ne peut pas
s’arrêter –inutile de s’attarder- pour
faire des photos. La prochaine fois.
Contreforts AntiLiban
On voit des garnisons
de temps en temps, des usines (une très
grosse centrale électrique -pas celle
que la Coalition étasunienne a fait
sauter à Alep une semaine plus tard,
sous prétexte qu’elle pouvait être prise
par les « rebelles » ; usine de la
National Sugar Company, etc.), et des
petits magasins ; on s’arrête à un
moment après un barrage, et Georges
notre chauffeur traverse l’autoroute
pour aller chercher des provisions en
face.
Arrivés à Qâra, le soldat du poste d’entrée dans la ville prend nos
papiers d’identité et va téléphoner :
« au général » nous dit-il après, pour
vérifier qui nous sommes.
Je suis très émue d’arriver au monastère, quatre ans après mon séjour en
novembre 2011. Je savais que je
reviendrais mais je n’aurais jamais cru
qu’il aurait fallu attendre si
longtemps. Georges nous amène jusque
devant la porte du bâtiment. Pas la
grande porte qui a été murée après le
bombardement. Il y a des sacs de sable
et des barbelés sur les toits et sur la
tour. Moins riant qu’il y a quatre ans.
Des digues de terre ont été levées
autour du monastère pour barrer
l’horizon vers la ville, la plaine et la
montagne de l’autre côté : ou plus
exactement pour barrer l’horizon et la
voie à toute velléité terroriste. Al
Qaeda et même l’Etat islamique arrivent
souvent jusque devant la porte du
monastère. On en reparlera.
Retrouvailles avec la communauté qui
sort joyeusement nous accueillir,
bonheur de se revoir vivants, tous…[2]
Rebecca-Rafqa est une des premières à venir à notre rencontre : c’était
une des trois petites souris[3], mais
maintenant elle est plus grande que moi.
Et elle est bilingue, grâce à Soeur
Claire-Marie qui apprend le français à
tous ceux qui veulent dans cette
communauté très internationale. Les deux
autres petites souris sont retournées
dans leur famille. La présence de
Rebecca-Rafqa rappelle la vie des
communautés médiévales, où des gens de
tous âges vivaient à côté des religieux
à l’intérieur des couvents.
Des oiseaux traversent le patio couvert, à toute vitesse, en criaillant
; c’est la première chose que je
remarque en entrant dans le monastère.
De ce fait, le patio a aussi maintenant
une allure de grande volière, et c’est
un élément qui s’intègre bien dans le
cadre de Mar Yakub.
« Elle criaillait comme les
hirondelles autour de Santa Maria
Maggiore » et la Cantate Suertes
m’accompagnera pendant tout mon séjour
au monastère.
Les oiseaux pénètrent
par le trou fait dans la verrière par
l’un des obus et missiles tirés sur le
monastère en 2013 et 2014, par l’Armée
syrienne comme par al-Qaeda ou l’Etat
islamique. Nous reviendrons plus tard
sur cet épisode, avec le récit des
témoins directs.
Peu de temps après nous, sont arrivées Mère Agnes-Mariam de la Croix et
Soeur Carmel, inattendues comme
d’habitude pour des raisons de sécurité.
Tout le monde est en émoi ; Agnès-Mariam
vient très rarement au monastère, car sa
présence mettrait en danger le reste de
la communauté, depuis qu’elle est
menacée de mort par les « rebelles »
(modérés ou pas). Elle restera moins de
24 heures.
Le soir à la fin du repas, Mère Agnès parle à sa communauté, comme elle
le fait quand elle est là : nous sommes
à table, on s’attarde après avoir
débarrassé le couvert, chacun peut aller
et venir mais quasiment tout le monde
reste, et prend part à la « causerie ».
Ce soir Agnès-Mariam répond à la demande
d’une moniale qui n’avait pas encore
visionné le film Matrix et qui
désirait le faire en communauté avec la
présence de la Mère. Mais il s’avère
être tard. Pour compenser cela
Agnès-Mariam fait une introduction à ce
film, le premier de la série : « il
exprime bien le projet de
déshumanisation et de réduction en
esclavage au service de tout système
d’hégémonie à la manière du "meilleur
des mondes" d’Aldous Huxley, qui
malheureusement fait école avec
l’eugénisme, le manipulation génétique,
le lavage de cerveau médiatique et la
manipulation des masses avec l’écart
artificiel grandissant entre les
"élites" et les pays pauvres ».
De fil en aiguille elle en arrive au Groupe Bilderberg, clé actuelle du
système de domination. Il se trouve que
j’ai un exemplaire dans ma chambre du
livre que je viens de traduire à ce
sujet pour les Editions Delga[4] ; je
vais le chercher et le pose sur la table
devant elle. On rit de la « chute »
aussi inattendue que providentielle de
l’ouvrage, trait d’union ici entre
« ceux qui croyaient au ciel » et « ceux
qui n’y croyaient pas »[5].
Suit l’évocation du vide créé par la société actuelle pour le remplir de
besoins artificiels - voire toxiques et
stupéfiants- qui aliènent l’individu.
« En opposition au vide prôné par le
poète mystique Jean de la Croix qui
laisse la place à une plénitude
transcendante » dit Mère Agnès. J’ajoute
quelques mots pour évoquer le
commentaire du Dr Lacan, avec le concept
psychanalytique du manque. La discussion
ne surprendrait que ceux qui ne
connaissent pas Mar Yakub. On part de
Matrix et on arrive, tranquillement,
aux mystiques modernes (post-1452) puis
à Lacan et Bilderberg ; chacun apportant
son grain de sel, du plus âgé au plus
jeune, questions et échanges spontanés,
dans le sérieux et les rires de la
dispute. L’ex petite souris est
allée chercher de quoi faire ses devoirs
dans un coin de la table. Micha demande
à chaque personne, une à une, si elle
veut de la tisane.
Mère Agnès
parle aussi de Staline et de l’URSS,
« qui se sont battus, eux, contre le
nazisme » ; le Père Daniel (belge) donne
le nombre de millions de morts russes ;
Mère Agnès : « ils ont persécuté les
chrétiens mais ils ont beaucoup de
valeurs communes avec nous » : « le bien
commun, le sens communautaire,
l’identité nationale ». Et pour ponctuer
sur les « valeurs, hypocritement
arborées par un système financier sans
foi ni loi » elle montre un billet :
« One dollar » « IN GOD WE TRUST ». Mère
Agnès a aussi le sens de la mise en
scène : les soirées sont plus animées
qu’à la télé.
Pas de notes prises (ni enregistrement) de ces échanges. Chacun peut
parler, les interventions sont souvent
très documentées, parce que personne ici
n’imagine savoir. On ne se coupe
pas la parole, on sait que le temps et
l’attention seront partagés. Des
friandises fabriquées par Soeur
Claire-Marie circulent (pâtes de fruits
avec des pistaches, tout est fait maison
avec les produits du jardin et des
vergers, ou presque) ; tisane (mélanges
uniquement de simples du jardin) pour
ceux qui veulent, que Micha nous sert
avec le bonheur de contribuer à la
discussion. Les jeunes Frères (Jean,
Belge, et David, Etasunien) ont leur
portable sur les genoux où ils vont
chercher des compléments d’infos sur ce
qui se dit (Internet fonctionne, parfois
très lentement pendant les coupures
d’électricité, mais quasiment sans
interruption) ; ils viendront plus tard
me demander de développer cette affaire
du Groupe Bilderberg, en attendant de
lire le livre ; qu’ils ont maintenant.
Ça sert les clés USB (avec l’accord de
l’éditeur).
J’oubliais : au monastère, les coupures d’électricité sont très
régulières : on sait qu’il y aura du
courant d’environ 18h30 à 8H30, et une
heure en milieu de journée. Ça permet de
s’organiser. Les Frères ont installé un
atelier de production de bougies. Ils
doivent en livrer 24 000 à Alep, quand
la route aura été ouverte par l’AS (elle
l’est depuis jeudi 5 novembre) : pour
les habitants assiégés dans les
quartiers dits -par les médias français-
« gouvernementaux ». De fait ceux qui
résistent aux groupes armés depuis
quatre ans ; privés notamment
d’électricité, depuis des mois. Voir
toutes les Lettres d’Alep du Dr
Nabil Antaki et des Frères maristes[6]
et [7].
Jeudi 8 octobre. Nous
allons travailler à ce que Carmel a
demandé aux moniales hier soir : nous
choisissons d’émonder des amandes
qu’elle doit amener à la communauté où
elles sont réfugiées au Liban. Et
effeuiller les branchettes d’origan,
pour les tisanes. Quand on en a marre,
on change, ou bien on va faire un tour.
Dans le patio, au bout d’un moment, on
se met à chanter comme souvent quand on
fait à plusieurs un travail domestique,
s’il n’exige pas de concentration. Comme
on est dans un couvent on commence par
des chants de circonstances : de Chez
nous soyez reine, chanté la
veille à la chapelle, anniversaire de la
bataille de Lépante contre les Ottomans,
à l’Adeste Fideles[8].
Oui Adeste, fideles : vous
n’avez pas eu d’éducation religieuse
populaire, ou un père croyant qui avait
une belle voix de ténor ? Vous
comprendriez que c’est ce qui vient,
logiquement. Si on laisse venir, comme
on le fait en psychanalyse. Et, parce
que dans le fond c’est une suite
révolutionnaire possible, Debout les
damnés de la terre. Sotto voce,
n’exagérons pas. Et puis, selon qui
entonne : chants traditionnels syriens,
ou des émigrants frioulans il y a un
siècle etc.
L’après-midi on va continuer les amandes au soleil, dans le jardin clos,
à l’abri des tirs possibles de
snipers. Rebecca nous rejoint en
revenant de l’école ; elle apporte ses
trésors pour nous les montrer et fait
des photos avec mon appareil. Cette
jeune adolescente est vive et dégourdie.
Mais il faut reconnaître que la vie au
monastère n’a rien à voir avec l’ennui
et le vide (et addictions
réactionnelles) ravageurs de nombreuses
familles « occidentales ». Soeur Marie-Majd,
chilienne, fait ses exercices de chant
de l’autre côté du mur (à l’abri elle
aussi).
Le monastère est aux “confins” des zones contrôlées
par les deux parties (terroristes et
Armée syrienne) et il est en danger ; il
a reçu des tirs et des bombes des deux
côtés puisqu’il est au milieu (20
missiles air-sol des hélicoptères
de l’armée Syrienne et plusieurs
obus de chars puis des mortiers de la
part de al Qaeda, lors de la bataille du
Qalamoun) ; et des tirs de mortiers ou
de canons gros calibres de la part de l’Ei,
stationné dans les contreforts de
l’Anti-Liban qui surplombent le plateau
où est situé Mar Yakub. Parfois, lors
des incursions à la faveur du brouillard
qui peut soudain rendre nulle la vision,
les terroristes de l’Ei peuvent
s’approcher jusque moins d’un kilomètre
de l’enceinte du monastère.
Mais on peut dire qu’en général il est épargné, peut-être pour son
engagement au service du peuple syrien
qui souffre, sans aucune discrimination
d’origine, religion ou parti politique.
Il rend de grands services à la
population civile de la région dont une
partie a des hommes, époux, frères ou
enfants, militant avec les groupes
rebelles ou même terroristes retranchés
dans la montagne. Préparer la
réconciliation en dehors des clivages de
la politique internationale désastreuse.
Pour le moment, la communauté religieuse se trouve dans une région sous
le contrôle du gouvernement et protégée
par l’Armée syrienne et le Hezbollah
fortement présent dans le Qalamoun.
Ces jours-ci, ce ne sont plus des incursions mais une véritable invasion
qui s’est opérée en direction des
villages antiques de Sadad et de Hafar,
d’obédience syriaque orthodoxe. Les
combats ont repris très violemment de
l’autre côté de l’autoroute
par laquelle nous sommes arrivées à Qâra
: Mahin est tombée aux mains de l’Ei.
Les terroristes sont arrivés de Tadmur
pour couper l’axe Homs-Damas et aussi
rétablir une voie directe leur
permettant de rejoindre l’enclave
sunnite de Ersaal, au Liban, qui demeure
le meilleur refuge pour eux. Où
s’approvisionner, ou bien se mettre à
l’abri en attendant que leurs patrons
les envoient massacrer ailleurs. Les
villes de Sadad et de Hafar sont en
grand danger et, après
elles…Qâra. 15 000 civils
auraient pris la fuite pour se réfugier
à Homs ou ailleurs. Plusieurs
familles ont été accueillies au
monastère.
Qu’entendrez-vous de tous ces combats
dans nos médias ? A peine quelques mots
sur le désenclavement et ravitaillement
d’Alep par l’Armée syrienne jeudi 5
novembre. La communication « française »
se fait maintenant autour du Charles
de Gaulle, et de la nécessité de
protéger la France en bombardant –couci
couça- certains terroristes en Syrie.
La Russie a communiqué le coût de ses opérations de bombardements. En
France, pour avoir une idée globale du
surcoût que nous valent les dernières
gesticulations affichées par nos
gouvernants à la télé, reportez-vous au
« Compte-rendu (n° 11) de la Commission
de la défense nationale et des forces
armées du 15 octobre 2015 » : « 2,14
milliards d’euros à inscrire dans la loi
rectificative de fin d’année »[9].
Sur le terrain, les soldats syriens et leurs alliés de la Résistance
libanaise se battent dans des conditions
très dures ; ils n’ont pas les
conditions d’engagement des mercenaires,
arrivant de Jordanie et Turquie (et
Israël ?), prêts à toutes les exactions
du fait aussi de bonnes doses de
captagon[10] et autres
stupéfiants fournis par leurs
souteneurs.
Les soldats de l’Armée syrienne partent là où leur gouvernement,
légitime, les envoie ; ils se battent
pour tout leur pays, pas seulement pour
leur région.
Dans les villages assiégés ou investis depuis quelques jours par Al
Qaeda et l’Ei, à quelques kilomètres de
Mar Yakub, les groupes de défense
populaires entraînés par l’Armée
syrienne résistent, pour barrer la route
à ceux que nous avons armés.
« Les compagnons
meurent pour la patrie
Les compagnons meurent pour le soleil
Essayant les armes,
vérifiant les chargeurs / les compagnons
semblent briller immortels ou loin de la
mort / vifs
dans l’effort d’essayer vérifier / sans
penser à la chance adverse
favorable /
Les compagnons ne
parlent pas de la chance / c’est
tout juste
s’ils disent en se quittant « chance »
mais pas comme
souffle éclatant éléphant certitude
seulement
pour dire « reste vivant » c’est-à-dire
« continue à
vivre toi »[11].
m-a patrizio
Marseille, 9 novembre 2015
[1]
« Chances » Cantate Suertes,
Paroles Juan Gelman, musique et
chant de Juan « Tata » Cedron.
[4]
Le groupe
Bilderberg, l’ « élite » du
pouvoir mondial ,
de Domenico Moro, avec une
Présentation au lecteur français
de Bernard Genet (comaguer), Ed.
Delga (2015), 19 euros.
[7]
Vous pouvez offrir des bougies
pour les gens d’Alep, en faisant
une offrande au monastère
déductible de vos impôts :
renseignements sur demande (m-a
p.).
[9]
« L’ensemble
des crédits de la mission "Défense"
doit être au rendez- vous en fin
de gestion 2015 selon le volume
prévu par la loi de finance
initiale, soit 31,4 milliards
d’euros, dont 2,14 milliards de
crédits budgétaires substitués
aux ressources exceptionnelles
qui devront être inscrits dans
la loi de finances rectificative
de fin d’année »
etc. Audition du Général Pierre
de Villiers, chef d’état-major
des armées (CEMA), Commission
présidée par Madame Patricia
Adam (PS), 15 octobre 2015,
Compte rendu n° 11, Présidence
de Mme Patricia Adam (http://www.assemblee-nationale.fr/14/cr-cdef/15-16/c1516011.asp.)
[10]
http://www.voltairenet.org/article183119.html
et
http://francophone.sahartv.ir/infos/actu_d%C3%A9cryptage-i8341-l'emir_du_captagone_aux_mains_du_hezbollah!!!
[11]
Cantate Suertes, Sur
un certain type de mort, et
Chances, Paroles Juan
Gelman, musique et chant Juan
« Tata » Cedron.
>>> Partie 4
>>> Partie 2
>>> Partie 1
Le
dossier Syrie
Les dernières mises à jour
|