Opinion
Corruption : La magistrature genevoise
et le lobby juif
Franck Brunner
Vue du
Palais de Justice de Genève
Samedi 18 octobre 2014
Depuis janvier 2009, époque de
la guerre de Gaza, les dirigeants de la
Coordination intercommunautaire contre
l’antisémitisme et la diffamation
(CICAD), une organisation sioniste
opérant depuis Genève, ont engagé, à mon
encontre, des poursuites judiciaires,
dans le but de m’intimider, d’obtenir la
fermeture du site interet-general.info,
et de me discréditer en tant que
journaliste, puisque j’étais notamment
accusé de diffuser « de la propagande
antisémite » et de calomnier les
plaignants.
Suisse
Au cours de la procédure qui s’en est
suivie et qui a duré quatre ans, les
dirigeants de la CICAD ont multiplié les
plaintes, renouvelant leurs accusations
pour ainsi dire chaque fois que
j’écrivais un article à propos des
agissements du lobby juif. Certaines
plaintes me reprochaient d’avoir pris la
défense des historiens révisionnistes et
fait connaître leurs arguments.
Ces plaintes successives reposaient
sur des fragments d’articles privés de
leur contexte et systématiquement
présentés comme étant mensongers, voire
calomnieux. La mauvaise foi des
dirigeants de la CICAD était telle
qu’ils n’ont pas hésité à nier
l’existence du lobby juif -alors même
que leur organisation en fait partie-,
affirmant que toute référence à ce lobby
relèverait d’une « théorie du
complot » assimilable à de la
« propagande antisémite ».
Les magistrats successivement saisis
du dossier, loin de chercher à établir
objectivement la vérité, se sont, au
contraire, systématiquement efforcés de
l’occulter, afin de soutenir les
hypocrites allégations de la CICAD
qu’ils reprenaient à leur compte sous
forme de copier-coller, lesquels étaient
ensuite présentés comme le résultat
d’une instruction impartiale…
En réalité, l’instruction s’est faite
exclusivement à charge. Au lieu de me
donner l’occasion de prouver la véracité
des textes litigieux –ce que je n’aurais
eu aucune peine à faire-, on tenait pour
acquis que toutes les allégations de la
CICAD étaient fondées et que j’étais
donc coupable.
En présence des dirigeants de la
CICAD, les magistrats rivalisaient de
servilité, tandis que, lors des
auditions, on me coupait continuellement
la parole. Ainsi, par exemple, lors
d’une audition dans le bureau de la juge
d’instruction Linda Chabal, comme je
protestais contre ces procédés, elle m’a
rétorqué : « Vous vous taisez ou vous
sortez ! »
L’une des procureures chargées du
dossier, Laurence Schmid-Piquerez, dans
le but de me faire apparaître comme un
individu violent, n’a pas hésité à
affirmer, dans un procès-verbal
d’audience, que j’aurais quitté son
bureau en claquant la porte, alors qu’il
s’agit d’une porte probablement blindée
et beaucoup trop lourde pour pouvoir
être claquée…
Cette même Laurence Schmid-Piquerez,
lors d’une perquisition à mon domicile,
a saisi, à titre de « pièce à
conviction », un couteau de survie sans
rapport avec cette affaire,
vraisemblablement dans le but de me
faire apparaître comme un individu
dangereux (les dirigeants de la CICAD me
dépeignant quasiment comme un
génocidaire).
A l’occasion d’une audition, comme je
m’indignais de sa flagrante partialité
et que, sous le coup de l’indignation,
je haussais le ton, Laurence
Schmid-Piquerez a saisi ce prétexte pour
suspendre l’audience, appeler des
policiers, prétendre que je l’aurais
menacée, me faire enfermer pendant une
heure dans un cachot et m’imposer une
fouille à nu. A mon retour dans le
bureau de Laurence Schmid-Piquerez,
révolté par sa mauvaise foi et
l’humiliation qu’elle m’avait infligée,
je lui ai craché au visage. Elle en a
profité pour me faire emprisonner
pendant une journée et m’inculper pour
« opposition à un acte de l’autorité »,
car ce crachat la contraignait à se
dessaisir du dossier, ce qui retardait
le déroulement de la procédure.
Par la suite, à l’insu des personnes
présentes dans son bureau au moment de
l’incident, Laurence Schmid-Piquerez et
sa greffière ont rédigé une sorte de
« rapport » selon lequel j’aurais crié,
voire hurlé de plus en plus fort, et que
je me serais levé de ma chaise pour
m’avancer d’un air menaçant vers le
bureau de la procureure, laquelle aurait
redouté que je saute sur son bureau… Or,
en réalité, non seulement je n’ai ni
crié, ni hurlé, mais j’étais toujours
assis sur ma chaise au moment de
l’arrivée des policiers. C’est en vain
que j’ai demandé que ces policiers
soient entendus en qualité de témoins et
que soit établi le caractère calomnieux
des accusations de Laurence
Schmid-Piquerez, y compris à propos de
la porte de son bureau que j’aurais
prétendument claquée. La plainte pénale
que j’ai déposée contre Laurence
Schmid-Piquerez a été classée sans qu’il
soit procédé à la moindre enquête.
Etant empêché de produire, au cours
de l’instruction, les preuves de la
véracité des textes litigieux, j’avais
expédié ces preuves à mon avocat
d’alors, Pierre Bayenet, afin qu’il les
transmette au Tribunal de police qui
devait juger cette affaire.
Or, un mois avant le procès, Nathalie
Magnenat-Fuchs, la procureure qui avait
succédé à Laurence Schmid-Piquerez,
prenant prétexte d’un nouvel article
critique à l’égard du lobby juif que
j’avais publié, m’a fait emprisonner. Je
me retrouvais donc privé d’accès au
dossier pénal et empêché de réunir des
preuves supplémentaires. Mon avocat
d’alors, Pierre Bayenet, a profité de
cette situation pour s’abstenir de
transmettre au Tribunal de police les
preuves que je lui avais remises, me
plaçant devant le fait accompli après
que le délai pour produire les preuves
soit échu.
Ainsi, le 30 juillet 2013, jour du
procès, on m’a extrait de la prison et
je me suis retrouvé devant le tribunal
sans même une copie du dossier pénal, et
dans l’impossibilité de prouver la
véracité des textes litigieux. C’est
dans ces circonstances iniques que j’ai
été condamné à 6 mois de prison avec
sursis pour « discrimination »,
« diffusion de propagande antisémite »,
« calomnie », etc… Néanmoins, j’ai été
libéré le lendemain.
Afin de « justifier » sa trahison,
Pierre Bayenet a ultérieurement
mensongèrement affirmé, dans un courrier
adressé à la Cour de Justice, que mes
preuves ne visaient qu’à établir
l’existence du lobby juif. En réalité,
elles établissaient la véracité de la
totalité des textes litigieux.
Ce n’est que le 26 mai 2014 qu’a eu
lieu, en appel, une audience devant la
Cour de Justice de Genève. Alors que
j’attendais, dans le couloir, qu’un
huissier m’appelle pour entrer dans la
salle, j’ai vu arriver le procureur
général, Olivier Jornot, en compagnie de
l’avocat de la CICAD. Tous deux se
tutoyaient. Ils sont d’ailleurs repartis
ensemble après l’audience. Ce même
Olivier Jornot s’était précédemment fait
photographier dans les locaux de la
CICAD.
L’audience de la Cour de Justice a
été fort brève. Les juges ont accepté de
verser au dossier deux gros classeurs
bourrés de documents prouvant la
véracité de tous les textes litigieux.
Toutefois, contrairement à ce que
j’espérais, j’ai été empêché de
reprendre, une à une, toutes les
accusations du ministère public en
citant mes preuves pour chacune d’entre
elles. Le code de procédure limitait mon
droit à la parole.
Néanmoins, en quittant l’audience,
j’étais satisfait d’avoir enfin pu
verser mes preuves au dossier et je
m’attendais à ce que les juges
reconnaissent la véracité des textes
litigieux, ce qui devait se traduire par
l’abandon de plusieurs des motifs de ma
condamnation par le Tribunal de police.
La Cour de Justice a rendu son arrêt
en date du 7 octobre 2014. Cet arrêt
comptait pas moins de 51 pages. A ma
stupéfaction, cet arrêt ne tenait
strictement aucun compte des preuves
produites, n’en citait pas une seule, et
persistait à présenter tous les textes
litigieux comme « de la propagande » et
de la calomnie… A croire que les juges
ne s’étaient même pas donné la peine de
prendre connaissance du contenu de mes
classeurs de preuves. Mieux encore, ils
considéraient comme une circonstance
aggravante le fait que je me sois
acharné à vouloir prouver la véracité
des textes litigieux. Il est
manifestement inique de reprocher à
quelqu’un de vouloir prouver la véracité
de ses propos alors même qu’on l’accuse
de mentir et de calomnier.
En ce qui concerne les textes
révisionnistes, l’arrêt refuse
explicitement d’entrer en matière sur
les preuves produites, affirmant
dogmatiquement et fallacieusement que le
génocide des juifs aurait été établi une
fois pour toutes par le tribunal de
Nuremberg. Il s’agit d’ailleurs là de la
jurisprudence de la Cour européenne des
droits de l’homme. En raison de cette
jurisprudence, les révisionnistes n’ont
aucune justice à attendre des tribunaux,
puisque leurs preuves, quelles qu’elles
soient, ne sont jamais prises en
considération. Quant à ceux qui
soutiennent la véracité du génocide des
juifs, des camps d’extermination et des
chambres à gaz, ils ne sont jamais tenus
de prouver quoi que ce soit. On est
vraiment aux antipodes de la justice
telle que la conçoit le sens commun.
Or, en réalité, le tribunal de
Nuremberg n’a jamais établi la véracité
du génocide des juifs. Il l’a tenu pour
établi, ce qui n’est pas la même chose.
En effet, à l’époque, les alliés
(Etats-Unis, France, Grande-Bretagne,
Union soviétique) avaient institué des
commissions militaires. Il suffisait que
l’une de ces commissions militaires,
dans un rapport, affirme que tel ou tel
crime attribué aux nazis était
« notoire » pour que le tribunal, par
ses statuts, soit tenu de considérer le
rapport comme une preuve indiscutable.
Les accusés ne pouvaient pas exiger la
preuve que le crime allégué avait
réellement été perpétré ou qu’eux-mêmes
en étaient réellement coupables. Or, de
nombreux prisonniers allemands ont été
torturés pendant des mois, y compris à
Londres, dans le but de leurs extorquer
de faux aveux destinés à impliquer les
dirigeants nazis. Les Soviétiques n’ont
pas hésité à attribuer aux Allemands
comme un « fait notoire » le massacre de
plus de 4000 Polonais dans la forêt de
Katyn, alors qu’en réalité ce massacre
avait été perpétré par le NKVD sur ordre
de Joseph Staline. On mesure à quel
point est arbitraire cette jurisprudence
qui se réfère au tribunal de Nuremberg
et qui est systématiquement invoquée
pour « justifier » la persécution des
révisionnistes.
L’arrêt de la Cour de Justice de
Genève évoque « la répétition de
paragraphes entiers », dans mes
articles, censée prouver « une
intention de propager une idéologie ».
Pourtant, quand un sujet est traité
fréquemment dans une série d’articles,
il est normal de répéter à chaque fois
le contexte (causes de tel conflit en
cours, par exemple). Cela n’implique
nullement « une intention de propager
une idéologie ».
L’arrêt affirme fallacieusement que
j’aurais développé « la thèse d’une
conspiration juive contre l’Occident ».
Jamais je n’ai utilisé cette formule.
Les activités du lobby juif ne se
limitent pas à l’Occident.
Pour prouver la propagation d’une
idéologie, l’arrêt affirme
fallacieusement que je vise à
« rabaisser et dénigrer systématiquement
les personnes de confession juive ».
En réalité, je soutiens les juifs
antisionistes. Parmi les preuves que
j’ai versées au dossier, on peut lire :
« Ainsi, parmi bien d’autres
exemples, en date du 30 août 2009, le
site interet-general.info a publié un
article de Rue89 intitulé « Terrorisme
intellectuel et répression contre les
pacifistes israéliens ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article12489
En date du 30 septembre 2010, le site
interet-general.info a publié un autre
article de Rue89 intitulé « Campagne de
calomnies contre Charles Enderlin ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article14602
En date du 14 novembre 2010, le site
interet-general.info a publié un article
de Rue89 intitulé : « Campagne de
calomnies contre Stéphane Hessel ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article14820
En date du 14 mars 2012, le site
interet-general.info a publié un article
de Rue89 intitulé : « Agression et
tentative d’intimidation contre Jacob
Cohen ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article16937
En date du 7 juillet 2012, le site
interet-general.info a publié un article
du Clan des Vénitiens intitulé
« Nouvelle agression contre Jacob
Cohen ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article17363
En date du 26 septembre 2012, le site
interet-general.info a publié un article
de Rue89 dénonçant un site internet juif
dédié à la diffamation des juifs qui
critiquent Israël : « Le lobby juif et
sa liste de juifs honteux ».
http://www.interet-general.info/spip.php?article17596 »
L’arrêt affirme fallacieusement que
j’aurais reconnu devant le Tribunal de
police être motivé « par des mobiles
de haine et de discrimination raciale ».
En réalité, je n’ai jamais fait une
telle déclaration.
L’arrêt prétend que j’aurais connu la
fausseté de mes accusations à l’encontre
de la CICAD et de ses dirigeants, alors
qu’en réalité j’ai produit les preuves
de leur véracité. Il s’agit d’un rapport
de 12 pages énumérant des calomnies
avérées des dirigeants de la CICAD que
j’ai relevées dans leurs plaintes
pénales et dans leurs déclarations aux
magistrats. Ceux-ci ont d’ailleurs
systématiquement fermé les yeux sur ces
méthodes. On peut lire le texte intégral
de ce rapport à l’adresse suivante :
http://www.interet-general.info/spip.php?article19855
Encore ce rapport ne porte-t-il que sur
une partie de la procédure.
L’arrêt affirme que je n’avais aucune
preuve pour étayer les accusations à
l’encontre de la CICAD, alors que ces
preuves ont été remises à la Cour de
Justice. Il s’agit du rapport mentionné
ci-dessus et de plusieurs documents
publiés sur le site internet de la
CICAD.
L’arrêt affirme que je n’avais
« aucune raison pertinente de tenir
[mes] écrits pour licites (…)
». En réalité, tous les magistrats
qui avaient décrété mes textes illicites
partaient de l’a priori selon lequel mes
critiques des juifs auraient été
mensongères ou calomnieuses. Or, me
sachant en mesure de prouver leur
véracité, j’avais des raisons objectives
pour croire qu’on me donnerait gain de
cause une fois les preuves produites.
Selon l’un de mes avocats, Jean-Pierre
Garbade, si certains textes litigieux
étaient illicites, ce n’est pas parce
qu’ils auraient été mensongers, mais
parce que j’avais écrit « les juifs »
au lieu d’écrire « bon nombre de
juifs ». Selon Jean-Pierre Garbade,
en écrivant « les juifs », je
laissais entendre que mes critiques
visaient tous les juifs sans exception.
A la suite de sa remarque, j’ai ajouté
aux textes litigieux un paragraphe
mentionnant explicitement l’existence
d’une minorité de juifs antisionistes
d’ailleurs persécutés par leurs
coreligionnaires. Même ce paragraphe
m’est reproché par la Cour de Justice...
En résumé, on constate que, tout au
long de cette affaire, la magistrature
genevoise a fait étalage d’une flagrante
partialité et d’une évidente
malhonnêteté intellectuelle, se laissant
instrumentaliser avec complaisance par
des agents israéliens dans le cadre
d’une campagne de persécution. Ces
magistrats se sont comportés comme des
complices de la CICAD, exactement comme
s’ils avaient été achetés. Je ne
prétends pas qu’ils auraient réellement
empoché un pot-de-vin, mais il me paraît
évident que leur comportement relève du
trafic d’influence.
Frank BRUNNER
Jacob Cohen a accepté de me
communiquer le témoignage écrit
suivant :
« J’ai pris connaissance de
l’arrêt rendu le 7 octobre 2014 par la
Cour de Justice de Genève contre Frank
Brunner dans la procédure qui l’oppose à
la CICAD. J’ai constaté que cet arrêt
dépeint M. Brunner comme un calomniateur
qui diffuserait de la désinformation à
propos du lobby juif et qui chercherait,
de manière systématique, à dénigrer et
abaisser tous les juifs.
Comme je suis juif antisioniste et
que nous entretenons des rapports
cordiaux depuis plusieurs années,
M. Brunner m’a demandé de témoigner à
propos de ces allégations, ce que je
fais très volontiers.
Etant écrivain, j’ai publié plusieurs
livres dénonçant les activités du lobby
juif et ses rapports avec le
gouvernement israélien. En particulier,
j’ai dénoncé le rôle des sayanim, ces
milliers de juifs qui, dans le monde
entier, collaborent sur demande avec le
Mossad, espionnent pour le compte
d’Israël, oeuvrent partout afin
d’imposer une politique pro-israélienne,
diffusent la propagande israélienne,
propagent des campagnes islamophobes et
mènent des campagnes de calomnies et de
persécution à l’encontre de quiconque
critique Israël.
Cela m’a valu de subir moi-même une
campagne de persécution en France. J’ai
été agressé à plusieurs reprises par des
voyous de la Ligue de défense juive, que
ce soit dans la rue ou pendant des
conférences et des séances de dédicaces
de mes livres. Mes agresseurs ont
toujours bénéficié de l’impunité et les
médias dominants ont passé ces
agressions sous silence. A travers son
site internet interet-general.info,
M. Brunner a été l’une des rares
personnes à toujours dénoncer les
persécutions que je subissais.
Il suffit d’aller sur son site pour
constater que M. Brunner a régulièrement
pris la défense de juifs persécutés par
le lobby juif en raison de leurs
critiques des crimes d’Israël. Il est
donc évident que le comportement de
M. Brunner par rapport aux juifs n’est
pas du tout ce que voudrait faire croire
l’arrêt de la Cour de Justice de Genève.
Non seulement les critiques de
M. Brunner à l’encontre du lobby juif,
telles qu’elles apparaissent dans
l’arrêt de la Cour de Justice de Genève,
sont véridiques, mais de nombreux juifs
antisionistes expriment exactement les
mêmes. Il ne s’agit nullement de
« propagande antisémite ».
L’action du lobby juif dans le monde
entier est foncièrement totalitaire, car
il s’efforce d’imposer partout son
influence, que ce soit par la corruption
ou l’intimidation, sans se soucier de la
volonté de la population locale.
Quiconque s’oppose à ses agissements est
aussitôt accusé d’antisémitisme et tout
est alors entrepris pour détruire cette
personne politiquement,
professionnellement et socialement. A
l’inverse, ceux qui se laissent
instrumentaliser par le lobby juif
bénéficient de son soutien, que ce soit
financièrement, médiatiquement ou
politiquement.
J’estime nécessaire de dénoncer cette
situation et de s’y opposer. Je
m’efforce de le faire à travers mes
livres et des interviews comme
M. Brunner le fait à travers ses
articles sur son site internet.
Jacob COHEN »
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