Algérie en phase
avec le mouvement du monde
Pour une Algérie unie dans la diversité:
Le nécessaire vivre ensemble
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Jeudi 16 juin 2016
«On croirait
aujourd'hui, en Algérie et dans le
monde, que les Algériens parlent
l'arabe. Moi-même, je le croyais,
jusqu'au jour où je me suis perdu en
Kabylie. Pour retrouver mon chemin, je
me suis adressé à un paysan sur la
route. Je lui ai parlé en arabe. Il m'a
répondu en tamazight. Impossible de se
comprendre. Ce dialogue de sourds m'a
donné à réfléchir. Je me suis demandé si
le paysan kabyle aurait dû parler arabe,
ou si, au contraire, j'aurais dû parler
tamazight, la première langue du pays
depuis les temps préhistoriques...»,
Kateb
Yacine, Les Ancêtres redoublent de
férocité, 1967.
Encore
une fois, l'actualité récente s'invite
dans un débat récurrent, celui de
l'identité des Algériens qui,
imprudemment laissent les autres régler
à leur place, à leur façon et pour leur
plus strict intérêt. Décidément, du fait
que nous n'avons pas pu, pas su ou pas
voulu aborder d'une façon honnête
remettant à plus tard cette nécessaire
mise au point ou encore et c'est le plus
navrant, se satisfaire d'un statu quo
imposé à l'indépendance.
L'imposition d'un statu quo ante
C'est
en tout cas l'avis de la sociologue
Leila Benhadjoudja qui écrit à ce
propos: «La grande famille des Berbères
est large et se divise en plusieurs
sous-groupes dont les plus connus sont
les Chaouïas, Cheluhs, les Kabyles, les
Rifains, les Touareg, les Mzabs, les
Zenagas, etc (...) Cependant, malgré la
distinction ethnique entre Arabe et
Berbère, certains penseurs restent
sceptiques face à cette distinction tant
les peuples de ces régions sont liés par
leur histoire et tant le métissage a été
important. Salem Chaker préfère parler
de berbérophones (dont la langue est le
tamazight) et d'arabophones car selon
lui, tous les habitants de l'Afrique du
Nord sont des Berbères (Chaker, 1992,
1998). Dans le cas de l'Algérie, Chaker
estime ce pourcentage à 25% de
berbérophones (Chaker, 2004)».(1)
«(...)
Déjà à l'époque coloniale, le mouvement
de libération nationale a écarté les
berbéristes les jugeant nuisibles pour
la lutte unie. (...) La volonté de
l'État de construire une «algérianité»
arabo-musulmane se justifiait en
réaction à l'héritage colonial français.
Cependant, le déni de la diversité
linguistique et culturelle de l'Algérie
représente également une continuité de
la dynamique coloniale. (...) Les
Français employaient le terme
«musulmans» pour désigner les Algériens
colonisés. Ce terme au-delà de la
connotation religieuse, avait d'abord un
sens politique. (....) Cependant, bien
que le régime de l'indigénat concernait
tous les musulmans, l'État colonial
français a tout de même favorisé un
groupe et a contribué à la construction
des oppositions entre les identités
«arabe» et «kabyle» ». (1)
«
L'historienne américaine Lorcin
Patricia, poursuit la sociologue,
démontre dans son ouvrage «Kabyles,
Arabes, Français: identités coloniales»,
comment le gouvernement français a
construit «le mythe kabyle» (...) Après
cent trente-deux ans de colonisation,
l'Algérie devient indépendante en 1962
et adopte une stratégie politique basée
sur un concept clé: l'unicité. Une
langue: l'arabe; une religion l'islam;
un parti: le Front de libération
nationale (FLN). Cette unicité se
voulait un pilier pour la construction
d'un État fort dirigé par un parti
unique censé représenter tous les
Algériens. L'historien Mohammed Harbi
considère que le FLN avait (...) Le
politologue algérien Sami Naïr explique
que l'État rendait l'espace de création
de la société civile inexistant (Naïr,
1992). Les contestations, qu'elles aient
été politiques ou identitaires, comme le
cas du mouvement berbère, étaient
systématiquement marginalisées et
réprimandées.» (1)
Souvenons nous à l’indépendance le
président Ben Bella était pris d’une
véritable crise ne martelant d’une façon
compulsive : « Nous sommes arabes ! Nous
sommes arabes ! Nous sommes arabes !! »
Justement, la sociologue Leila
Benhadjoudja décrit cette époque. Elle
écrit : «En 1963, sous l'autorité du
premier président algérien Ahmed Ben
Bella, un processus important a été
lancé par le gouvernement se traduisant
dans un mouvement nationaliste arabisant
et islamisant. (...) l'Algérie, mais
s'inscrivait dans le mouvement
nationaliste panarabe de l'époque. (...)
L'apogée des revendications berbéristes
s'est traduite durant le printemps
berbère en 1980 où toute la Kabylie
s'est retrouvée paralysée par une grève
générale. (...) Depuis l'indépendance,
l'État algérien a fabriqué une identité
officielle et a utilisé l'arabité et
l'islam comme des instruments de
contrôle. Par ses politiques
linguistiques, l'État a limité les
espaces de liberté, et par le fait même
l'identité berbère. De plus, l'arabité
préconisée était aussi une arabité
importée qui brimait l'identité de tous
les Algériens. Rappelons que d'un point
de vue linguistique, bien que la
majorité des Algériens parle l'arabe,
c'est un arabe dialectal propre au pays
et qui s'apparente de moins en moins à
l'arabe classique. (...) »
La
sociologue conclut ne parlant
d’aliénation des modes d’expression
autres que celui de la langue arabe : «
C'est dire que l'État, par sa politique
d'arabisation, a non seulement étouffé
la langue berbère, mais aussi la langue
parlée par la grande majorité de la
population. (...) L'État socialiste, en
interdisant toute association et toute
manifestation à l'extérieur du parti
unique, a privé le peuple de son droit à
s'auto-représenter et de construire une
société civile. Ceci est aussi vrai pour
les berbérophones que pour les
arabophones. L'État algérien se conçoit
encore comme un État-nation homogène ne
laissant place qu'à une seule conception
ethnique et politique de l'algérianité,
ne reconnaissant ainsi l'existence
d'aucune minorité et d'aucun peuple. En
voulant se rapprocher des peuples du
Machrek, l'État a nié l'existence des
peuples de son territoire.» (1)
Les
conséquences logiques de ce déni
d'identité
On
comprend dans ces conditions que ces
braises qui couvent peuvent mettre le
feu à tout moment et faire d'une
revendication d’expression, somme toute
légitime un incendie qui risque
d'emporter le pays dans un contexte de
plus en plus crisique. J'avais dans une
contribution précédente mis en garde
contre le fait de défendre une cause de
reconnaissance tout à fait légitime
d'une identité première que l'Etat est
en train de reconnaître à dose
homéopathique comme cela l'a été
dernièrement avec la reconnaissance du
tamazigh comme langue nationale, mais la
dérive vers la partition d'une région
berbérophone, en l'occurrence l'Algérie,
est tout à fait autre chose.
J'avais écrit: «Mon attention a été
attirée par la déclaration faite à
l'Assemblée nationale française à
l'occasion de Yennayer, le 12 janvier
2012. Déclaration dans laquelle le
président du MAK aurait dit que la
guerre d'indépendance a été un
malentendu.» (2)
A
l'Assemblée nationale française Ferhat
Mehenni déclarait : «La Kabylie n'ayant
pas récupéré sa souveraineté à
l'indépendance de l'Algérie, en 1962,
par formalismes bureaucratique et
protocolaire, son dossier a été
transféré à l'État algérien qui en use
et abuse pour éviter de refermer les
plaies du passé qui compromettent la
construction d'un avenir de solidarité
entre nos deux peuples. (...)
L'émergence d'une Kabylie de laïcité et
de liberté ne peut que renforcer la
communauté internationale éprise de paix
et de stabilité. Pour cela, il serait
bon que cette même communauté
internationale, à commencer par la
France, reconnaisse à la Kabylie le
droit à son autodétermination. Le
Gouvernement provisoire kabyle a besoin
du soutien de tous pour la réalisation
de ce noble objectif. (...) Vous voyez à
travers cet exposé que ce qui oppose
aujourd'hui le pouvoir algérien à la
Kabylie est bien plus lourd que le
malentendu qui a pu exister de 1857 à
1962 entre la Kabylie et la France.»
(3)
J'avais cité la journaliste Nadjia
Bouaricha d’El Watan qui réagissant à ce
discours écrivait: «Il est des moments
dans la vie d'un homme qui marquent son
heure de gloire ou de déclin. Ferhat
Mhenni a eu droit à ce deuxième sort
réservé à ceux de qui l'Histoire se
détourne et continue son chemin.
L'initiateur et promoteur du projet
d'«autonomie-indépendance» de la
Kabylie, Ferhat Mhenni, a franchi, dans
sa quête de crédibilisation de ce
projet, le seuil de l'indélicatesse et
de l'affront. Le chef du MAK a tenu des
propos insultants vis-à-vis de la
Kabylie et de la guerre de Libération
nationale et ce, dans l'enceinte même de
l'Assemblée nationale française, à
l'invitation de son ami député et
ex-ministre UMP, Éric Raoult. (...)
Enlever la Kabylie du sein de l'Algérie
pour l'arrimer à la France n'est
sûrement pas rendre justice à ce bastion
de la résistance qui ne cessera jamais
de revendiquer son algérianité, malgré
les tentatives de division
instrumentalisées par le pouvoir ou par
des nostalgiques de «l'Algérie
française», d'ici ou d'ailleurs.» (4)
En
fait et comme je l’ai écrit nulle part,
il ne fut question pour les maquisards,
notamment ceux de la Kabylie, des Aurès,
de partition ni de malentendu avec la
France. La colonisation fut atroce et
sans faire dans la concurrence
victimaire on dit que l'occupation
française par le fer et par le feu
pendant 132 ans fut un véritable
génocide au ralenti. L'Algérie aurait
perdu 6 millions de personnes hommes
femmes enfants et surtout, surtout le
séisme d'un certain 5 juillet 1830
continue et pour cause à avoir des
répliques dans nos imaginaires de nos
jours (...)» (2)
En
passant de la lutte pour l'autonomie de
la Kabylie dans le cadre d'une Algérie
indivisible, le MAK fait un pas vers
l'aventure. Rappelons qu'en mai 2012,
une délégation de ce même MAK avait été
reçue en visite officielle en Israël, ce
qui avait suscité une vive indignation
des milieux politiques et médiatiques
algériens et dévoilé les liens de
l'organisation avec l'entité sioniste.
Lettre
ouverte à Ferhat Mehenni
Dans
cet ordre justement de fils rouges
dépassés, la lettre de l'universitaire
Salah Guemriche à Ferhat Mehenni mérite
d'être citée même en substance: « Cher ,
Ferhat, la Kabylie, j'y possède un empan
(«chber»), même symbolique, comme tu en
as un du côté de chez moi, dans l'Est
algérien (...) Tu as donc franchi le
pas, un pas d'«aventurier de l'arche
perdue», en créant le Mouvement pour
l'autonomie de la Kabylie (MAK), (...)
j'ai toujours fait mienne la cause
berbère, non point comme militant, mais
comme citoyen algérien non berbérophone,
pour qui la reconnaissance de
l'antériorité de l'entité berbère est
une nécessité ontologique et
l'officialisation de la langue tamazight
un facteur d'épanouissement de l'être
algérien et non pas un facteur de
division. (...) Voilà pourquoi, sans
mettre une croix, si j'ose dire, sur la
langue arabe, je pense qu'il y va de
l'avenir de toute l'Algérie que le
pouvoir se réhabilite en réhabilitant et
en assumant l'identité berbéro-arabe du
peuple algérien. Mais de là à vouloir
amputer le pays d'une partie de son
«corps», voilà qui donne à tes
revendications, cher Ferhat, le
caractère d'un égarement, voire d'un
délire paranoïde. Après l'autonomie, tu
réclames carrément l'indépendance.(...)
Autant dire, cher Ferhat, qu'en
t'accoquinant avec ce qu'Israël a de
plus extrémiste, tu fuis une allégeance
pour passer à une autre: d'un pouvoir
discrétionnaire, celui du régime
algérien que tu combats, à un pouvoir
discriminant et colonial.(...) ta
conversion à l'israélisme et ton flirt
avec le Likoud font désormais de toi
l'objet même de ton propre répertoire.»
(5)
L'aide
«extérieure désintéressée » pour aider à
la partition de l'Algérie
Ce qui
a relancé le feu si on peut s'exprimer
ainsi, concerne la conjonction de deux
évènements qui ne sont pas loin s’en
faut, anodins. Parmi les appuis
gratuits citons d'abord celui d'un
historien autoproclamé révisionniste
quant à la remise en cause des
indépendances des pays africains,
partisan des races supérieures et de la
positivité de l'oeuvre coloniale en
Afrique, je veux citer Bernard Lugan qui
est allé jusqu'à signer une contribution
avec le président du MAK mettant en
cause l'intangibilité des frontières
héritées à l'indépendance ce qui permet,
on l'aura compris d'ouvrir la boîte de
Pandore de l'atomisation des pays
africains.
Dans
le même ordre, nous avons appris avec
stupéfaction l'ingérence en tout cas
verbale d'un ambassadeur dans les
affaires internes du pays, ambassadeur
qui déclare lors d'un déplacement à Tizi
Ouzou que la France privilégiait les
natifs de cette région dans l'octroi de
visas!! C'est comme si l'ambassadeur de
l'Algérie déclarait dans ce pays qu'il
encourageait les natifs d'une région
connue pour son combat identitaire à se
séparer de la métropole! Ce qui explique
d'ailleurs la mise au point du ministre
algérien des Affaires étrangères.
Le
point d'orgue: BHL appelle à la
partition de l'Algérie en soutenant
l'indépendance de la Kabylie
Enfin,
le meilleur pour la fin, l’intellectuel
faussaire pour reprendre le bon mot de
Pascal Boniface, directeur de l’Institut
des relations internationales et
stratégiques en France pour qui les
intellectuels faussaires comme Bernard
Henry Levy, les plus en vogue dans les
médias sont aussi les plus corrompus et
les plus démagos. Passe encore s’il
n’était pas dangereux. BHL Le tintin des
démocrates celui par qui le lynchage de
Kaddafi est arrivé, celui par qui un
pays a disparu en tant qu’Etat continue
toujours à sévir
«
Bernard-Henri Lévy (BHL) est présenté
par les universitaires français comme un
imposteur intellectuel. Sa réussite ne
serait due qu'à un réseau de
connaissances bien organisé. Dans un
article intitulé «BHL n'est pas
seulement ridicule, il est aussi
dangereux, la carrière de BHL est faite
d'affabulations et de ratés monumentaux,
qu'il veuille créer un journal, faire un
film, écrire une pièce de théâtre ou un
livre. Il y a un écart grandissant entre
l'écho médiatique qui lui est donné et
la désaffection du public, qui n'est pas
dupe. Il y a mieux! On apprend que le
lynchage de Kadhafi fait partie de la
croisade de BHL au nom des intérêts
supérieurs des Juifs.» (6)
BHL et
ses amis n'ont toujours pas abandonné
leur projet macabre consistant à
recoloniser tout le Maghreb par le sang,
la malice et la corruption. «Après avoir
appelé de ses voeux à l'avènement d'un
printemps arabe en Algérie,
Bernard-Henri Lévy a lancé dans sa
revue, La règle du jeu, un appel
à soutenir la manifestation organisée à
Paris par le MAK (Mouvement d'autonomie
de la Kabylie). Sous le titre «Kabyles:
un peuple sans reconnaissance en
Algérie» à Paris en commémoration du 36e
anniversaire du printemps berbère. Des
amis kabyles nous ont demandé de relayer
l'appel du gouvernement provisoire
kabyle à manifester à Paris ce dimanche
17 avril 2016 . Nous le faisons d'autant
plus volontiers que les thèmes de la
manifestation, tels qu'ils sont précisés
dans le bref texte qu'ils nous ont
adressé, nous paraissent légitimes,
a-t-il précisé. En outre, il affirme
qu'il compte «revenir sur le combat que
mènent les Kabyles, ce peuple sans Etat
comme le sont les Kurdes, contre ce
qu'ils nomment le colonialisme
algérien». Une initiative qui a suscité
un tollé sur Twitter où ses détracteurs
ont été nombreux à lui rappeler les
désastreuses conséquences de son
interventionnisme en Libye.» (7)
Conclusion
Que
voulons-nous en définitive pour ce pays?
Entre ceux qui veulent la partition du
pays croyant sauver la Kabylie et ceux
qui pensent que le salut de l'Algérie
est à rechercher auprès d'une sphère
moyen-orientale arabe avec qui à
l'évidence, nous n'avons aucun atome
crochu, le moment est venu de faire
preuve d'audace pour être en phase avec
le monde, sans rien perdre de nos
identités multiples.
Dans
ce cadre, pourquoi devons-nous à tout
prix copier le modèle jacobin
centraliste qui étouffe les
particularités? Aux Etats Unis les 50
Etats sont autonomes et l’Etat fédéral
est là pour laisser chacun des
gouverneurs des Etats gérer de façon
optimale avec les citoyens au mieux les
affaires de l’Etat en question Ne
peut-on pas penser à une organisation
type Landers allemands où chaque région
dispose d'une autonomie dans le cadre
d'un État fédéral qui est garant des
fondamentaux, Nous pourrons citer dans
le cas de l’Algérie, le drapeau la
monnaie l'identité, les langues, les
fonctions de défense. Nous devons penser
Algériens et non pas en fonction de nos
régions nos particularités »ethniques »
ou religieuses.
Nous
devons rapidement régler cette cause du
vivre ensemble pour que chaque algérien
se sente bien , qu’il soit fier des
multiples facettes du pays et comme le
proclamait un homme politique parlant de
l’unité, il cite quatre villes points
cardinaux : « l’Algérie Min Ta Latta
» ( l’Algérie de Ta à Ta) «
l’Algérie de Tlemcen à Tebassa, de Tizi
Ouzou à Tamanrasset ». Une nation
apaisée qui s’accepte dans ses multiples
dimensions pourra mettre ses citoyens en
ordre de marche pour conjurer les périls
à venir.
Les
défis du pays sont multiples, mais ils
ne peuvent être abordés qu'en réglant
ces préalables. Parmi ces défis,
l'éducation bien comprise avec une
histoire généreuse sur trois mille ans,
contribuera à l'apaisement et barrera la
route à l'aventure. Penser à un système
éducatif en phase avec la marche du
monde? Voilà les vraies questions qui
intéressent les Algériens et qui
pourraient donner aux Algériens l'envie
de participer à la construction du pays
en étant, acteurs ce faisant de leurs
destins dans cette Algérie qui nous
tient tant à coeur.
1.
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/dynamiquesinternationales/DI7/Benhadjoudja+-DI7.pdf
2.C.E.
Chitour: le vrai malentendu algérien:
comment réconcilier les Algériens avec
leur histoire Mondialisation.ca, Le 23
janvier 2012
3.
http://www.tamurt.info/la-kabylie-a-l-honneur-a-l-assemblee-nationale-francaise,2193.html?lang=fr
4.
N.Bouaricha:
http://www.elwatan.com//actualite/ferhat-mhenni-et-l-insulte-aux-martyrs-19-01-2012-155502_109.php
3.S.
Guemriche
http://www.lematindz.net/news/20931-lettre-ouverte-a-ferhat-mehenni.html
4.
https://francais.rt.com/international/19337-bhl-soutient-independance-kabylie
5.
http://www.legrandsoir.info/pour-en-finir-avec-behachel-henri-levy-le-communautariste-faussaire.html
Article de référence
http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_
chitour/243810-le-necessaire-vivre-ensemble.html
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole
Polytechnique enp-edu.dz
Publié le 19 juin
2016 avec l'aimable
autorisation de l'auteur
Le sommaire du Pr Chems Eddine Chitour
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