Comment je vois le
monde
La face cachée du débarquement en
Normandie
Ce qui resta tabou
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Jeudi 5 juin 2014
«Soldats, marins et aviateurs des Forces
expéditionnaires alliées! Vous êtes sur
le point de vous embarquer pour la
grande croisade vers laquelle ont tendu
tous nos efforts pendant de longs mois.
(…) Les espoirs, les prières de tous les
peuples épris de liberté vous
accompagnent. Vous apporterez la
sécurité dans un monde libre. La fortune
de la bataille a tourné! Les hommes
libres du monde marchent ensemble vers
la Victoire! Bonne chance!(…) Implorons
la bénédiction du Tout-Puissant sur
cette grande et noble entreprise.»
Message d'Eisenhower aux troupes
d'assaut, le 5 juin 1944
Nous avons toujours gardé une image
fabuleuse du débarquement ; Notamment,
nous fûmes subjugués pour ne pas dire
conditionnés par le fim culte : « Le
jour le plus long » , Ce ne sont pas
moins de 5 réalisateurs de nationalités
différentes qui nous font découvrir le
débarquement allié en Normandie du 6
juin 1944. Nous vîmes et admirâmes une
pleiade d’acteurs tout aussi mythiques
les uns que les autres Un casting de
haut vol s'y associe : John Wayne,
Bourvil ou encore Sean Connery, Henry
Fonda , Robert Mitchum mais aussi des
milliers de figurants. Certains
événements de cette campagne militaire
historique ont été passés sous silence.
Les fils connus de l'opération Overlord.
Qui se souvient par exemple que les gros
ballons des parades d'un grand magasin
new-yorkais ont inspiré une supercherie
à l'origine de la réussite du D-Day? Les
Alliés ont en effet eu l'idée de faire
appel à l'entreprise Goodyear pour créer
une armée en caoutchouc. Des chars et
des barges gonflables devaient faire
croire à un débarquement dans le
Pas-de-Calais et détourner l'attention
d'Hitler.» (1)
L'opération Overlord
On sait que le 6 juin 1944, ils étaient
177 Français à débarquer sur les côtes
de Normandie, auprès des Alliés: un
abbé, un repris de justice, un ancien
légionnaire, un jeune marié, un ouvrier,
un gosse de 17 ans, originaires de la
métropole, de la Tunisie, de l'Algérie
ou de Madagascar. Recrutés en
Grande-Bretagne au début de la guerre,
ils ont été entraînés à la dure en
Ecosse avant de porter fièrement le
béret vert du commando Kieffer.
«Aujourd'hui, 70 ans après, l'opération
Overlord reste la campagne militaire la
plus héroïque de l'histoire. Retour sur
des aspects méconnus du débarquement.
C'est la phase d'assaut de l'opération
Overlord qui vise à créer une tête de
pont alliée de grande échelle dans le
nord-ouest de l'Europe et l'ouverture
d'un nouveau front à l'Ouest. Une fois
les plages prises, l'opération se
poursuit par la jonction des forces de
débarquement et l'établissement d'une
tête de pont sur la côte normande puis
l'acheminement d'hommes et de matériels
supplémentaires. L'opération cesse
officiellement le 30 juin 1944. La
flotte d'invasion était composée de 6939
navires (1213 navires de guerre, 4126
navires de transport et 1600 navires de
soutien dont de nombreux navires
marchands) provenant de huit marines
différentes. (2)
La mise en place de cette énorme flotte
s'effectua dans tous les ports de la
côte
Sud de l'Angleterre, de Plymouth jusqu'à
Newhaven.» (2)287.000 personnes
embarquées à bord des navires alliés le
Jour J dont 177 - Nombre de soldats du
commando français Kieffer ayant débarqué
sur Sword Beach. 200.000 obstacles de
plage installés par les Allemands le
long du Mur de l'Atlantique, 200.000
véhicules alliés de toutes sortes
débarqués en Normandie le 6 juin 1944 à
minuit. 11.590 appareils alliés
(chasseurs, bombardiers, transport,
reconnaissance et planeurs), 10.395
tonnes de bombes alliées larguées sur la
Normandie toute la journée du 6 juin
1944, 9 500 - Nombre d'avions alliés
d'attaque et d'appui en vol le Jour J.
7616 tonnes de bombes alliées larguées
sur la Normandie dans la nuit du 5 au 6
juin 1944,11.085 missions effectuées par
les forces aériennes alliées le 6 juin
1944. 10.750 sorties (aller-retour) de
l'aviation alliée pendant les 24 heures
du jour J. Nombre de sorties de la
Luftwaffe (armée de l'air allemande) le
6 juin 1944». (2) Plusieurs milliers de
morts sont aussi à compter parmi les
civils.(2)
Opération Torch
Deux ans plus tôt l'opération Torch vit
le débarquement des Alliés
principalement en Afrique du Nord
(Algérie). Les effectifs mobilisés
furent moins importants Ce sont
principalement des Français d'Alger sous
la conduite de José Aboulker qui
permirent pour une part importante
l'opération de débarquement Opération
Torch est le nom de code donné au
débarquement des Alliés le 8 novembre
1942. La prise d'Alger se fait en un
jour grâce à la Résistance française,
alors qu'à Oran et au Maroc, les
généraux du régime de Vichy accueillent
les Alliés à coups de canon, tout en
livrant la Tunisie aux Allemands sans
aucune résistance, Si les Alliés
réussissaient à y repousser les troupes
de l'Afrikakorps de Rommel, l'Afrique du
Nord permettrait ensuite de disposer
d'une plate-forme pour un projet plus
ambitieux qui concernerait l'Europe
méridionale». (3)
L'opération qui comprenait 107.000
hommes s'effectua sur 200 bâtiments de
guerre et 110 navires de transport. Elle
se divisait en trois groupes ayant pour
mission d'établir neuf têtes de pont sur
près de 1500 km de côte. (...) Le 8
novembre 1942 à l'aube, les premiers
vaisseaux de l'Opération Torch
abordèrent les plages d'Afrique du Nord.
Après une longue préparation, et en
exécution d'accords passés secrètement à
la conférence de Cherchell le 23 octobre
1942 entre la résistance algéroise et le
commandement allié, 400 résistants
français, dont les deux tiers étaient
des Juifs ont neutralisé le 8 novembre
1942, les batteries côtières de Sidi-Ferruch
et le 19e corps d'armée française
d'Alger pendant une quinzaine d'heures.
(...) Les diplomates et généraux
américains ont eu tendance à omettre ou
à minorer le rôle de la Résistance pieds
noirs dans leurs relations ultérieures
de l'opération Torch.» (3)
L'apport ""réel" de la
résistance lors du débarquement: Un
tabou ?
Nous avons vu que les commandos du
Commando Kieffer, des Français qui ont
fait le débarquement, étaient composé de
177 volontaires sur un total de plus de
200.000 Américains, canadiens anglais et
de plusieurs pays du Commonwealth. La
doxa officielle a toujours présenté la
"Résistance" comme étant la cheville
ouvrière de la réussite du débarquement.
Qu'en est-il de l'apport de la
résistance (Forces françaises de
l'Intérieur)?.
Dans la publication suivante, nous
verrons que l'apport est beaucoup plus
discret que l'histoire officielle ne l'a
présenté. Nous lisons: «Le mythe des
maquisards qui auraient joué un rôle
très important dans la victoire des
Alliés a la vie dure. Dans son ouvrage:
«La Résistance expliquée à mes
petits-enfants», La résistante Lucie
Aubrac déclare: «Dans cette prison
qu'était devenue la France, la
Résistance a renseigné efficacement les
Alliés, a contribué avec peu d'armes à
vaincre l'occupant, a libéré seule une
partie de notre pays, a aidé les Alliés
sur le sol français, a poursuivi avec
eux l'armée allemande jusqu'à sa totale
défaite, a débarrassé la Patrie du
régime de collaboration» (...) Dans son
livre intitulé: Les F.T.P.,l'ancien
commandant en chef des Francs-Tireurs et
Partisans français, Charles Tillon, va
même plus loin: il attribue la réussite
du Débarquement aux FFI qui, dans les
premières heures du 6 juin 1944,
auraient apporté à l'opération des
moyens... deux fois supérieurs à ceux
des Alliés. Sa démonstration vaut la
peine d'être exposée. L'auteur s'appuie
tout d'abord sur une note du QG allié en
1944 selon laquelle la force des FFI
«représentait l'équivalent en hommes de
quinze divisions» (...)» (4)
«L'auteur «oublie» toutefois: -que les
premières vagues d'assaut
anglo-américaines n'étaient pas seules;
elles reçurent l'appui décisif de la
marine et de l'aviation qui
pilonnèrent-que les «quinze divisions»
FFI étaient non seulement peu armées, L.
Aubrac avoue que la Résistance avait
«peu d'armes» mais surtout, qu'elles
n'étaient pas regroupées en Normandie
pour attaquer Les forces allemandes
présentes sur les lieux. Dans l'ouvrage
d'Eisenhower, le satisfecit décerné à la
Résistance arrive au seizième chapitre:
Eh bien, dans ces 74 pages, seules...
onze lignes sont consacrées à l'appui
que pourrait fournir la Résistance. Et
voici ce que D. Eisenhower écrit: «Notre
plan reposait sur l'appoint considérable
que nous escomptions de la part des
mouvements des maquis en France. On
savait qu'ils étaient particulièrement
nombreux en Bretagne, et dans les
montagnes et les collines proches de la
côte méditerranéenne. [...] Nous
désirions particulièrement que, le Jour
J, le général De Gaulle s'adressât avec
moi par radio à la population française
afin qu'elle ne se soulève pas et ne
s'expose pas à des sacrifices inutiles
qui n'avaient pas encore d'intérêt mais
qu'elle se réservât pour le moment où
nous lui demanderions son appui.» C'est
net: pour débarquer, les
Anglo-américains n'avaient nullement
besoin de l'aide de la Résistance. Ils
n'en voulaient pas. Ils considéraient
que ce serait des «sacrifices inutiles».
Les actions de harcèlement n'ont
nullement pesé sur le cours des
opérations.» (4)
A l'occasion du soixantième anniversaire
du Débarquement, la question suivante a
été posée à Jean Vanwelkenhuyzen, un
historien de référence: «La résistance
a-t-elle vraiment représenté un appoint
pour les armées régulières?» Il a
répondu: «Il y a une légende dorée
française qui a été une manière de
gommer la défaite de 1940. Les maquis
locaux ont pu fournir des renseignements
qui échappaient à la reconnaissance
aérienne et aussi jouer un rôle dans
certains combats. Mais dire que cela a
changé les opérations, non».» (4)
Les « dépassements » des GI: un
autre vieux tabou
Un autre tabou honteux est la chape de
plomb concernant les exactions sexuelles
des GI'S autorisés à user et à abuser de
leur position de sauveurs pour s'en
prendre aux Françaises. Grégoire
Kauffmann rapporte les écrits d'un
ouvrage à ce propos: «Pour les GI, le
Débarquement fut aussi un terrain
dangereux d'aventures. Une historienne
américaine s'attaque sans nuances au
mythe du libérateur. De nombreux boys
sont persuadés de la frivolité des
Françaises. Le haut commandement US a
voulu «vendre» le Débarquement comme une
aventure érotique, seul moyen de
galvaniser les soldats envoyés sous les
orages d'acier d'Utah et Omaha Beach
».(5)
Une fois désinhibée, la libido des GI
sera impossible à contenir. Le contraste
entre l'indigence française et
l'opulence yankee favorise toutes les
combines (...) Par crainte des maladies
vénériennes, les autorités américaines
tenteront vainement d'encadrer le chaos.
L'état-major fait des exemples en
ordonnant la pendaison publique de
soldats noirs accusés de viols - boucs
émissaires d'une armée fondée sur la
ségrégation raciale. Face à ce tsunami
sexuel, une douloureuse «crise de la
masculinité» s'empare du mâle
français... L'historienne écorne
singulièrement la geste héroïque du
libérateur accueilli sous les vivats
d'un peuple reconnaissant. Le recours
péremptoire à la métaphore érotique, le
mépris des nuances handicapent la
démonstration, qui n'en décrypte pas
moins l'un des derniers tabous de la
Seconde Guerre.» (5)
De Gaulle tenu à l'écart du
débarquement
Après la débâcle de mai-juin 40,
l'armistice acceptée par le maréchal
Pétain, réfugié en Angleterre dès le 17
juin 1940, De Gaulle lance sur les ondes
de la radio britannique, la BBC, un
appel à la Résistance le 18 juin 1940.
Cela lui vaut le surnom de l'«homme du
18 juin». Rapidement avec le soutien de
Winston Churchill, il fonde, à Londres,
le Comité de la France libre. En juillet
1940, ils sont environ 7000. Les Alliés
ont délibérément exclu De Gaulle qui n'a
été informé que la veille du plan de
débarquement. Ils l'ont écarté des
opérations du 6 juin. De Gaulle, arrivé
en Normandie le 14 juin, réussit
pourtant à transformer cette humiliation
en victoire politique. (6)
Tout a commencé comme nous l’avons écrit
plutôt avec l'opération «Torch», le
débarquement anglo-saxon, Une opération
amphibie réussie militairement, qui
débouche sur un véritable imbroglio
politique: l'amiral Darlan, l'un des
acteurs de la collaboration d'État,
devient haut-commissaire en Afrique,
avec l'assentiment des militaires
américains et de Roosevelt. Les
Américains imposent alors le général
Henri Giraud, et les conflits entre De
Gaulle et Guiraud ne tardèrent pas à
naître. L'amiral Darlan fut éliminé.
Pourtant, à force d'opiniâtreté et
d'indépendance, le 3 juin 1944, De
Gaulle se légitimise graduellement
malgré ses alliés Le Comité français de
la Libération nationale (Cfln) que
présidait le général De Gaulle devint
Gouvernement provisoire de la République
française (Gprf). Les Alliés
anglo-saxons considéraient en effet,
que, dans l'attente d'assurances
démocratiques sur la représentativité du
gouvernement, le rétablissement de la
loi et de l'ordre dans la France libérée
devrait se faire sous la supervision du
général Eisenhower. Avec la création du
Gprf s'ouvrait donc une période de
fortes tensions qui ne prendraient fin
qu'avec l'installation à Paris du
gouvernement provisoire français, à la
fin de l'été. Ces tensions connurent
leur acmé dans les jours qui précédèrent
le débarquement en Normandie. Tenu à
l'écart par les Alliés de la préparation
du débarquement, De Gaulle fut invité
par Churchill à rejoindre Londres.
Parvenu dans la capitale anglaise le 3
juin en fin de journée, il rencontra
Churchill puis Eisenhower le 4. Les
rencontres se passèrent très mal, De
Gaulle refusant toute idée
d'administration provisoire de la France
par les Alliés. (...) L'opposition aux
velléités alliées de prendre
provisoirement les commandes en France
est donc frontale. (7)
Les principaux acteurs du Jour J
en Normandie
Eisenhower, Bradley, Montgomery,
Churchill et De Gaulle pour les Alliés,
Rommel et von Rundstedt pour les
Allemands: même sans être tous en
Normandie, ce 6 juin 1944, tous ont été
les grandes figures du Jour J. Winston
Churchill lancera son fameux appel: «Je
n'ai à offrir que du sang, de la peine,
des larmes et de la sueur» pour un seul
objectif: «la victoire, la victoire à
tout prix». Charles de Gaulle tente de
maintenir la France dans la guerre afin
d'assurer sa présence parmi les
vainqueurs. Mais il est tenu à l'écart
par les Alliés de la préparation du
débarquement. Début juin 1944, il refuse
toute idée d'administration provisoire
de la France par les Alliés. Il fait son
entrée en France le 14 juin. «Depuis
plusieurs jours, j'étais prêt à ce
voyage. Mais les Alliés ne
s'empressaient pas de me le faciliter»».
(8)
Le triomphe du mythe de la
libération américaine de l'Europe
Il est curieux de constater comment les
médias épousant les thèses des pouvoirs
peuvent changer du tout au tout. Ainsi,
à titre d'exemple concernant le rôle de
l'armée rouge vainqueur de Stalingrad,
la première rentrée à Berlin, nous
lisons: «En juin 2004, lors du 60e
anniversaire du «débarquement allié» en
Normandie, à la question «Quelle est,
selon vous, la nation qui a le plus
contribué à la défaite de l'Allemagne»
l'Ifop afficha une réponse strictement
inverse de celle collectée en mai 1945:
soit respectivement pour les États-Unis,
58 et 20%, et pour l'URSS, 20 et 57%. Du
printemps à l'été 2004 avait été martelé
que les soldats américains avaient, du 6
juin 1944 au 8 mai 1945, sillonné
l'Europe «occidentale» pour lui rendre
l'indépendance et la liberté que lui
avait ravies l'occupant allemand et que
menaçait l'avancée de l'armée rouge vers
l'Ouest. Du rôle de l'Urss, il ne fut
pas question. Le (70e) cru 2014 promet
pire sur la présentation respective des
«Alliés» sur fond d'invectives contre
l'annexionnisme russe en Ukraine et
ailleurs (9)...
La diabolisation de la Russie surtout
avec l’affaire ukrainienne ne doti
jamais nous faire oublier qu’il y eut
plus de 25 millions de morts parmi les
Russes , que la bataille de Stalingrad a
marqué un tournant dans le conflit et
que l’Allemagne après la débâcle de Von
Paulus ,ne put jamais relever la tête.
Les médias et les pouvoirs occidentaux
devraient en toute objectivité que sans
l’URSS, la guerre ne serait pas gagnée ;
Enfin, l’impérialisme amerericano-britannique
a tout fait pour marginaliser de Gaulle
et aboutir à un protectorat sur la
France. On comprend alor,s la position
de Gaulle qui avait une haute idée de la
France, de se retirer par la suite, de
l’OTAN, d’affermir la dimension
nucléaire de la France quitte à saccager
le Sahara avec une douzaine d’essais
tout aussi catastrophiques les uns que
les autres. Il se trouve encore des gens
qui pensent que le gaz de schiste
exploité par l’ancienne puissance – not
in my back yard, pas chez elle-,
n’abîmera pas une seconde fois, le
Sahara cette fois-çi à Dieu ne plaise,
d’une façon irréversible car il aura
touché au meillieur viatique : l’eau.
Mais ceci est une autre histoire
1.
http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/05/22/la-face-cachee-du-debarquement_4420232_3246.html
2.Opération Overlord: Encyclopédie
Wikipédia
3.Opération Torch: «Encyclopédie
Wikipédia
4.
http://forumfrance-en-guerres.clicforum.fr/t2110-Le-mythe-de-la-Resistance-qui-aurait-permis-le-Debarquement-allie-en-Normandie.htm
5. Grégoire Kauffmann Amours... la face
cachée du Débarquement L'Express
03/06/2014
6.Jean-Pierre Azéma 6 juin 1944:
Opération overlord - 01/05/2004 htpp//histoire.presse.fr
7.http://fresques.ina.fr/de-gaulle/fiche-media/Gaulle00312/6-juin-1944-la-bataille-supreme-est-engagee.html
8.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/23/les-principaux-acteurs-du_n_5377215.html
9.
http://www.mondialisation.ca/le-debarquement-du-6-juin-1944-du-mythe-daujourdhui-a-la-realite-historique/5385061
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique enp-edu.dz
Le sommaire du Pr Chems Eddine Chitour
Les dernières mises à jour
|