TUNISIE SECRET
« Des clones de
cyber-collabos tunisiens
pour déstabiliser l'Algérie »
Luc Michel
Dimanche 7 avril 2013
Le Website tunisien TUNISIE SECRET (*)
revient (15 Mars 2013) sur le dernier
éditorial de Luc MICHEL sur l’Algérie et
confirme ses informations sur le vrai
visage du pseudo « printemps arabe » …
PCN-SPO avec Tunisie Secret /
Revue de Presse / 2013 04 07 /
Extraits :
« La Tunisie exporte ses terroristes en
Syrie et ses cyber-collabos en Algérie.
C’est ce que révèle Luc Michel dans
l’article ci-dessous et qui a été publié
le 13 mars dernier dans
cameroonvoice.com, sous le titre de «
Vers un nouveau coup de force occidental
en Algérie ? ».
L’implication de Ghannouchi et Marzouki
dans l’exportation du « djihad » en
Syrie n’est plus un secret pour
personne. Ce qui est moins connu en
revanche, c’est que la Tunisie est
devenue la capitale des cyber-collabos
qui, selon un agenda américain, œuvrent
à la destruction des derniers Etats
arabes jaloux de leur indépendance.
Depuis plus d’une année, plusieurs
jeunes activistes tunisiens, qui ont été
formé et formaté pour détruire leur
propre pays, ainsi que la Libye,
l’Egypte et la Syrie, ont compris qu’ils
ont été victimes d’un lavage de cerveau
et de manipulation. Ils se sont retirés
et ne collaborent plus avec ceux qui les
ont piégés. D’autres, une minorité
connue de tous, s’obstinent dans la
trahison et le mercenariat. La déchéance
de la Tunisie, les milliers de morts en
Libye et en Syrie ne leur a pas suffit.
Ils continuent leur basse besogne en se
mobilisant contre l’Algérie. Leur
dénonciation est un devoir national car
il ne s’agit plus de jeunes
inconsciemment instrumentalisés, mais de
traîtres et de criminels vendus aux
grandes puissances.
D’où l’intérêt de diffuser cet article
de Luc Michel, qui retrace l’origine du
cyber-collaborationnisme en citant les
pseudos ONG américaines, notamment
Freedom House et OTPOR, chargées de
recruter et de former les jeunes
candidats à la « révolution 2.0 ».
Notons que Samir Dilou, dans un
communiqué du 13 février dernier, a
démenti l’information selon laquelle
Freedom House a formé 200 activistes
algériens, ainsi d’ailleurs que
l’ouverture d’un bureau de Freedom House
à Tunis. C’est évidemment un mensonge
car, c’est David Kramer, président de
cette pseudo ONG, qui avait annoncé en
novembre 2012, lors de sa visite en
Tunisie, l’ouverture imminente de leur
bureau à Tunis. Samir Dilou a raison de
mentir : il est lui-même membre de la
Freedom House. » Des
clones de cyber-collabos tunisiens pour
déstabiliser l’Algérie
En Algérie, les réseaux de
déstabilisation sont en place depuis la
fin 2010. Ils se sont déjà fait la main
en Janvier puis en août-septembre 2011.
La crise libyenne, l’assaut contre la
Syrie et les opérations de l’OTAN au
Sahel ont simplement reporté leur
opération en vue d’un coup d’état
pro-occidental.
OPTOR/Canvas,
encore et toujours…
Ces réseaux de déstabilisation, il ne
faut pas les confondre avec les réseaux
djihadistes chargés, eux, ensuite, de
transformer l’insurrection en guerre
civile. Derrière ces réseaux, on
retrouve les activistes arabes formés à
Belgrade et aux USA par le réseau OTPOR
et CANVAS (1) son école de subversion,
financés par la CIA. OTPOR, directement
financé et soutenu par la CIA et les
réseaux SOROS, est directement derrière
le déclenchement des soi-disant
“révolutions arabes”, par le biais de
coups d’Etat rampants qui sont la marque
des mercenaires des USA et de l’OTAN. Il
s’agit purement et simplement comme nous
n’avons cessé de le dire dès le premier
jour de coups d’Etat, soigneusement
orchestrés et préparés par les services
spéciaux de l’OTAN. Avec l’aide des
mercenaires de l’Occident, les
professionnels de la déstabilisation
made in NATO, « OTPOR et cie » ...
L’article original sur :
http://www.tunisie-secret.com/Des-clones-de-cyber-collabos-tunisiens-pour-destabiliser-l-Algerie_a325.html
(*) L’équipe de
TUNISIE SECRET se présente comme suit :
« Lorsque nous avons lancé notre blog
tunisie-secret.over-blog.com, en mai
2011, nous étions loin de penser que
nous allions avoir un tel succès à peine
dix mois plus tard. Nous n’étions que
quatre et, en toute sincérité, nous
n’avions aucune expérience
journalistique. Deux juristes, des
copains de fac, un ingénieur
franco-tunisien, et un jeune étudiant en
sciences-po. Quatre personnes réunies
autour de la même cause : une Tunisie
libre, avec un régime démocratique,
moderniste et en adéquation avec
l’humanisme universel.
Nous y avons cru et rêvé lorsque Ben Ali
est tombé le 14 janvier 2011. Comme
beaucoup d’autres tunisiens, nous étions
d’autant plus fiers d’appartenir au
premier pays du « printemps arabe », que
nous y avions, chacun de son côté,
modestement contribué. Mais très vite,
nous avons été habités par le doute,
puis le doute s’est transformé en
conviction, puis la conviction s’est mue
en colère. D’abord par rapport à notre
propre pays, où la révolution de la
Dignité a pris un tournant nettement
réactionnaire et théocratique, amorçant
un déclin sans fin. Ensuite, par rapport
au malheur qui a frappé la Libye,
l’Egypte, le Yémen et la Syrie. Nous
avons alors doublement culpabilisé :
d’avoir été instrumentalisé pour
détruire notre propre pays, et d’avoir
été à l’origine de l’invasion
colonialiste de la Libye, de la
soumission de l’Egypte aux Frères
musulmans, et de la guerre civile en
Syrie.
Dès lors, nous nous sommes juré de tout
mettre en œuvre pour dévoiler
l’imposture de la « révolution du jasmin
» et déconstruire le mythe du «
printemps arabe », qui a d’ailleurs très
vitre tourné à l’hiver islamiste. Qu’on
se le dise tout de suite, nous ne sommes
pas un journal neutre. La neutralité
n’existe dans aucun journal et dans
aucun pays du monde. Si ce n’est pas le
pouvoir d’un groupe politique, ou
l’influence d’un lobby quelconque, c’est
le pouvoir de l’argent qui détermine la
ligne éditoriale d’un journal.
Nous ne sommes pas neutres car
l’obscurantisme islamiste est notre
ennemi, la démocratie française notre
modèle, le respect des droits de l’homme
et l’humanisme laïc, les idéaux que nous
défendons. »
http://www.lucmichel.net/2013/04/07/tunisie-secret-des-clones-de-cyber-collabos-tunisiens-pour-destabiliser-lalgerie/
Photos : la Une de
Tunisie secret.
Luc Michel à Tunis, entre deux missions
en Libye, en Avril 2011.
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