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PCN-SPO

La dette et l'UE : au pied du mur pour payer les dettes des politicards et des Banksters !
KH & LM

Vendredi 7 septembre 2012

Revue de Presse
KH & LM pour PCN-SPO avec Libération (Paris) – Le Temps (Genève) -
The Economist (Londres) - Focus (Berlin)

Les pays membres de l’UE face à leur immense dette publique.
La résultante de décennies de mauvaise gestion particratique, de corruption et de soumission aux banques et à la Finance cosmopolite.
Maintenant c’est la BCE de Berlin (l’Euro est un « Euro-mark ») et l’UE elle même qui doit payer. Une UE - de moins en moins « unie » (sic) - une couverture de l’hebdo allemand FOCUS sur la guerre germano-grecque sur l’Euro résume sans besoin de mots ce qu’est devenue cette « union » en carton-pâte - , de moins en moins « européenne » et de plus en plus NATOland …
Ne tremblez pas pour eux, citoyens européens, c’est VOUS, votre paupérisation et la destruction de votre protection sociale qui allez payer. Pas les banques, pas les politicards, pas les traders et autre banksters !
Même le très libéral hebdomadaire britannique, The Economist, traite les banquiers de "banksters", même LIBE le petit moniteur de Sarhollande, un terme plutôt réservée à la gauche radicale jusqu'à présent...

LE TEMPS ce 7 septembre (lucide) :
« La BCE promet de racheter de la dette «sans limite» (…)
L’institution a annoncé son plan d’aide aux pays en difficulté. Elle se concentre sur les obligations de un à trois ans ».
« Au tour des Etats (…) La Banque centrale européenne (BCE) aura tout fait pour l’éviter. L’institution a pourtant dû se résoudre à annoncer un programme de rachats d’obligations souveraines de grande ampleur. Avec les prêts illimités à trois ans aux banques, en décembre et en février dernier, on a cru qu’elle avait trouvé la parade. Fournissant des liquidités aux banques, elle a espéré qu’elles se mettraient elles-mêmes à acheter de la dette des Etats en difficulté. La mesure n’a donné que quelques mois de répit. »

LIBERATION ce 7 septembre (en pleine propagande pour le « Sarkhollande System ») :
« Depuis quatre ans, le sauvetage de l’euro ressemble à une bande-annonce dont on ne voit jamais le film. Maintes fois promis et programmé, mais sans cesse différé. On ne sait pas encore si l’histoire retiendra ce 6 septembre 2012, mais c’est possible. A Francfort, ce ne fut pas un «jeudi noir», mais un jour d’espoir ou plutôt d’immense soulagement. Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, a prononcé une phrase qui vaut son pesant de milliards d’euros. Avis aux spéculateurs : la banque rachètera désormais «sans limite» de la dette des Etats de la zone euro. En économie, ce sont les banques centrales qui disposent de la force de dissuasion. Encore faut-il qu’elles veuillent bien s’en servir. Cette fois, le message est clair : quiconque jouera de manière «infondée» contre l’un des pays de la zone subira des pertes immédiates. Ce n’est plus une digue de papier qui protège la monnaie unique mais une puissance dotée d’une arme financière quasi atomique ! La France et les pays qui réclamaient à cor et à cri ce revirement stratégique de l’institution européenne auraient tort, pourtant, de se laisser griser par cette victoire. Et pas seulement en raison des multiples conditions imposées par Draghi en échange de l’usage possible de la force. La Banque centrale européenne ne pourra plus servir de bouc émissaire. La décision de la BCE redonne de l’air aux pays les plus en difficultés, comme l’Espagne ou l’Italie, mais remet aussi paradoxalement la pression sur plusieurs Etats-membres - en particulier la France - qui doivent plus que jamais faire la preuve d’une gestion résolue. Elle permet aux responsables politiques d’adapter enfin le modèle européen aux réalités d’un monde nouveau sans avoir un pistolet sur la tempe. En prenant toutes ses responsabilités à l’extrême limite de son mandat, la banque renvoie la balle dans le camp des politiques. »

Ou comment demander au capitaine qui a naufragé le navire par incompétence et irresponsabilité d’organiser le sauvetage !
Il n’y a pas que sur la Syrie ou la Libye que LIBE - ex journal des Maos spontex de Mai 68, devenus les gros bourgeois « maoccidents » (*), ces « néoconservateurs à la Française » au service de l’OTAN et de Wall-street - enfume ses lecteurs …

KH & LM
http://www.facebook.com/note.php?saved&&note_id=415903268474631&id=161681187230175

(*) selon l’excellente analyse du livre LES MAOCCIDENTS de Jean Birnbaum (Stock, 2009).
L’auteur résume ainsi son livre : « A la fois marginale et spectaculaire, une anecdote résume bien les choses. Le 15 avril 2009, l'ancien maoïste André Glucksmann se voyait remettre la Légion...› Lire la suite  d'honneur par Nicolas Sarkozy. Ce jour-là, dans les salons de l'Elysée, le président de la République rendait hommage au « nouveau philosophe », le patron de la droite libérale honorait l'intellectuel formé à l'école de la révolution. Il le tutoyait publiquement. Il se félicitait de leur amitié. Il soulignait lui-même la qualité toute particulière d'une complicité apparemment paradoxale : « Franchement, c'était pas écrit... », ironisait Sarkozy. Ce faisant, il délimitait l'espace de notre tâche : écrire le récit de cette souterraine camaraderie. Plus largement : comprendre comment les maoïstes français sont passés du culte de l'Orient rouge à la défense de l'Occident. En un mot, raconter l'aventure des Maoccidents. »
Les Vert-kakis à la Cohn-Bendit ou Joska Fischer sont la sous-variante « écologiste » à vocation alimentaire des Maoccidents.

 

 

   

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Source : Luc MICHEL

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