Le communiqué appelle les pays à
cesser de fournir l'arme, l'entrainement
ou le refuge et d'inciter à des actes
terrorismes, mais la coalition surnommé
"opposition" le refuse.
Le communiqué, qu'avait refusé la
soi-disant "opposition", insiste sur le
refus de toute forme d'ingérence ou de
diktat, pour que les Syriens puissent
décider de l'avenir de leur pays via les
voies diplomatiques.
Selon le communiqué, refusé par la
soi-disant "opposition", la Syrie est un
Etat démocratique fondée sur la
souveraineté de la loi, l'indépendance
de la justice, la protection de l'unité
nationale et la diversité culturelle.
La coalition du surnommé "opposition"
a refusé le communiqué qui affirme que
les Syriens ont le droit exclusif de
choisir leur système politique loin de
toute formule donnée.
Il insiste aussi sur la nécessité de
ne renoncer à aucun pouce de la Syrie.
La délégation officielle à la
conférence de Genève affirme que le
communiqué présenté par les
établissements de l'Etat a coûté les
gens de l'argent et des efforts pour
qu'il soit préservé, mais la délégation
de la soi-disant "opposition" l'a
refusé.
"Aucune syrien honnête fier de sa
citoyenneté et qui aime son pays ne peut
refuser le communiqué présenté
aujourd'hui par la délégation
officielle", a assuré ladite délégation.
Des sources proches de la délégation
syrienne à Genève ont affirmé que la
délégation syrienne est toujours ouverte
sur la discussion de tous les points,
précisant qu'elle a avancé ce
communiqué, accepté par chaque citoyen
syrien, pour parvenir à une plate-forme
commune, mais la coalition de la
soi-disant "opposition" l'a refusé.
L.A.