Ces détenus mineurs subissent des conditions de détention particulièrement éprouvantes. ils refusent de se nourrir depuis mardi et disent vouloir poursuivre leur mouvement. ces enfants et adolescents n'ont pas droit à la visite et sont privés d'études.
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dans une interview publiée jeudi par le quotidien Haaretz."En aucune circonstance, Israël n'acceptera d'avoir le couteau sous la gorge (...) si le choix doit se faire entre la bombe (iranienne) ou le bombardement (israélien), de mon point de vue mieux vaut le bombardement", a dit Yaalon, ancien chef d'état major et actuel ministre chargé des affaires stratégiques.Selon lui, les Iraniens ont accéléré ces derniers mois leurs activités d'enrichissement d'uranium. "Si l'Iran n'est pas stoppé, ce pays disposera d'ici un an de suffisamment d'uranium enrichi pour produire sept à huit bombes atomiques et sera en mesure de produire une bombe sale, une arme plus primitive, en moins de six mois", a prétendu le ministre."Si les pressions diplomatiques ou économiques sur l'Iran ne sont pas durcies et s'il n'y a pas d'autres développements positifs, le moment de vérité va bientôt arriver", a-t-il souligné. Le Haaretz souligne que Yaalon a durci ses positions sur l'Iran alors qu'il était plutôt considéré comme une "colombe", c'est à dire un partisan de la manière douce, sur ce dossier.
« Israël », seule puissance nucléaire de la région, prétend que son existence serait menacée si Téhéran disposait de la bombe atomique.
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"Les efforts de l'Egypte pourront contribuer au succès et à l'accomplissement de ce processus et à ce que nous puissions mettre en oeuvre les accords passés".
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Il s'agit des frontières les plus longues qu'Israël partage avec l'un de ses pays voisins.
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Dans un communiqué, le club des captifs a révélé qu’une force des services de renseignements de l'occupant israélien et de son armée ont envahi sa maison et l’ont fouillé, alors que Kawas était en dehors de chez lui, puis, ils ont demandé à sa sœur de l’appeler où cette dernière l’a contacté et l’a informé que les soldats armés sont arrivés à son domicile. Le club a, également, ajouté que «Kawas n’a pas tardé à aller à sa maison, où il a trouvé les soldats devant son portail qui l’ont arrêté, ce qui a mené à la protestation de sa famille, où une dispute s’est produite entre eux et les soldats qui ont battu les femmes et les ont obligés, sous menace des armes, à rentrer dans la maison». Le club des captifs a dénoncé, fortement, le fait que l’occupation cible Kawas qui a été arrêté, à plusieurs reprises, souligné que les autorités d’occupation luttent contre toutes les institutions et les festivités qui soutiennent les prisonniers, ainsi qu’il a affirmé que «l’occupation porte l’entière responsabilité de son destin».
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...d'imposer une zone d'isolement, dans le Nord-Est de la Bande de Gaza et de priver les citoyens palestiniens de semer leurs terres agricoles.Les forces occupantes ont, déjà, pris d'assaut, hier, mardi 12/6, le Sud-Est de Wadi Saka, au milieu de la Bande de Gaza, renforcées par 10 bulldozers et 8 chars, sous des tirs intensifs. Le centre d'el-Mizan pour les droits de l'Homme a, fermement, condamné, dans un communiqué, distribué, le mercredi 13/6, le fait que les forces occupantes rasent les terres agricoles, dans l'Est du village de Wadi Saka, dans le secteur, et les attaques continues et quotidiennes des forces armées occupantes, dans les régions frontalières. Il a appelé la communauté internationale à intervenir, pour garantir la cessation des violations israéliennes et le respect des règles de la loi internationale humanitaire et la loi internationale pour les droits de l'Homme, dans les territoires palestiniens occupés et dans la Bande de Gaza, en particulier.
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Selon l'agence syrienne SANA, lors d'une rencontre, mercredi, à Damas, avec le secrétaire général du Front populaire pour la liberté de la Palestine, Ahmed Jebril, Bachar al-Assad, a indiqué qu'en dépit de nombreuses pressions exercées sur le gouvernement syrien, pour qu'il renonce à la cause palestinienne, il reste, pourtant, campé sur sa position ; cette question était et restera importante, telle une boussole pour la Syrie. Bachar alAssad et Ahmed Jebril se sont entretenus des dernières évolutions palestiniennes et des attaques quotidiennes des forces usurpatrices israéliennes contre les droits des Palestiniens, notamment, de nouvelles implantations, en Cisjordanie, avec l'objectif du blocus total de la noble Qods et la judaïsation de cette ville sainte. Pour sa part, le secrétaire général du Front populaire pour la liberté de la Palestine, Ahmed Jebril, a annoncé le soutien de ce Front au peuple et au gouvernement syrien.
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Mamdouh Al-Sheikh, qui parlait, hier, mercredi, à l'antenne d'Al-Alam, a souligné : "L'Arabie saoudite est témoin de la divergence, à la fois, dans les institutions, gouvernementale et religieuse, et d'un côté, il y a des extrémistes, et de l'autre, des partisans de l'ouverture". Cet écrivain saoudien a réitéré : "De l'avis de certains, le modernisme et l'innovation sont les solutions des problèmes d'ordre moral et social du pays, et ils estiment que les technologies et les progrès scientifiques sont de bonnes occasions, pour l'expression des idées des intellectuels, via les sites Internet et la tenue de réunions, loin de toute surveillance et contrôle". Mamdouh Al-Sheikh a précisé que l'extrémisme, au Royaume saoudien, avait fait que les écrivains qui pensaient à la révolution, dans le cadre des traditions, sortent du pays, pour propager leurs idées à l'étranger. "La répression n'est pas la solution des problèmes et il faut trouver un autre moyen", a-t-il martelé, avant d'ajouter que certains jeunes saoudiens critiquent, ouvertement, sur Facebook, l'extrémisme des oulémas wahhabites
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Des équipements médicaux, des tapis, des voitures, des matériaux de construction, l'industrie alimentaire, des services d'ingénierie, les produits pétrochimiques, sont, entre autres, présents, dans le complexe BL de la capitale libanaise où se déroule l'exposition. Le ministre libanais du commerce s'est félicité de la tenue de cette manifestation et a mis l'accent sur la nécessité que représente l'approfondissement des liens, de part et d'autre.
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